[p. 224]
Introduction, 1-8. Une époque de guerres et de malheurs, 9-16. L’insurrection perse et le roi soldat romain 17-28. Le guerrier venu de Syrie et son fils, 29-47 ans. Guerre perse et terres céréalières du Nil, 48-65. Une autre chanson pour les Alexandrins annoncée, 66-71. Colère contre les Assyriens et les Égéens, 72-78. Misérable Antioche, 79-84. Villes d’Arabie réprimandées, 85-97. Guerres et trahison, 98-106. Souverain romain de Dacie, 107-116. Le voleur syrien, 117-135. Le roi des Gaules et ses terribles malheurs, 136-156. Misérable Syrie, 157-165. Misérable Antioche, 165-171. Malheur à de nombreuses villes d’Asie, 172-189. Meurtres et guerres, 190-208. Allégorie du taureau, du dragon, du cerf, du lion et de la chèvre, 209-230. Prière de la Sibylle, 231-232.
[p. 225]
GRAND mot divin qu’il me demande de chanter à nouveau—[1]
Le Dieu saint immortel et impérissable,
Qui donne aux rois leur pouvoir et leur enlève,
Et qui leur a déterminé le temps dans les deux sens,
5 À la fois celui de la vie et celui de la mort funeste.
Et c’est ce que le Dieu céleste m’ordonne
Ne voulant pas annoncer la nouvelle aux rois
Concernant le pouvoir royal. . . .
. . . . . . .
. . . . . . .
Et lance l’impétueux Arès ; et par lui[2]
10 Tous périssent, l’enfant et le vieil homme qui donne
Aux lois sur les assemblées ; et beaucoup de guerres
Et il y aura des batailles et des homicides,
Famines et pestes, tremblements de terre
Et de puissants éclairs, et de nombreuses manières
15 Des Assyriens du monde entier,
Et le pillage et le vol des temples.
Et puis il y aura une insurrection
Des Perses industrieux, et avec eux[3]
Indiens, Arméniens et Arabes ;
20 Et à eux encore un roi romain[4]
(1-14.)
[p. 226]
Insatié par la guerre et leader
Ses lanciers contre les Assyriens
S’approchera, un jeune Arès, et aussi loin
Comme l’Euphrate argenté et profond
25 Le belliqueux Ares étendra-t-il sa lance mortelle
À cause de . . .[5]
Car par son ami trahi, il tombera
Dans les rangs frappés par le fer brillant.
Et sortant aussitôt de Syrie[6]
30 Il y aura un guerrier épris de pourpre qui règnera,
Terreur d’Arès, et aussi de son fils,[7]
Un César, même toute la terre opprimera ;
Et un seul nom est pour eux deux :
Au premier et au vingtième, il faut placer[8]
35 Cinq cents. Mais quand ceux-ci règneront en guerre,
Et des lois seront promulguées, il y aura
Un peu de repos après la guerre, pas pour longtemps ;
Mais quand un loup s’approche d’un troupeau de moutons[9]
Prêtez des serments solennels contre les chiens aux dents blanches,
40 Puis, après avoir induit en erreur, il déchirera en morceaux
Le mouton laineux, et il rejeta ses serments ;
(16-30.)
[p. 227]
Et alors il y aura un conflit illégal
Des rois hautains dans les guerres et des Syriens
périra terriblement, et les Indiens
45 Et les Arméniens et les Arabes,
Les Perses et les Babyloniens
Les uns les autres se détruiront par de durs combats.
Mais quand un Arès romain détruira[10]
Un Ares allemand ruineur de vie
50 Triompher sur l’océan, alors c’est la guerre
De nombreuses années pour les Perses hautains,
Mais pour eux il n’y aura pas de victoire ;
Car comme un poisson nage, ce n’est pas à propos
D’un haut rocher aux nombreuses crêtes et venteux
55 Précipitant, et une tortue ne vole pas non plus,
Et un aigle ne vient pas non plus dans l’eau,
Il en était de même pour les Perses en ce jour-là
Loin de la victoire, tandis que la tendre nourrice[11]
Des Italiens, dans la plaine du Nil
60 Se reposer au bord de l’eau sacrée,
Envoie le sort désigné à Rome aux sept collines.
Or, ces choses sont là ; et tandis que le nom de Rome[12]
Doit tenir en nombre de temps de rotation,
Tant d’années la grande ville noble
65 Du seigneur de Macédoine, s’il le veut, distribue du maïs.
Une autre douleur très pénible que je chanterai
Pour les Alexandrins détruits
À cause des luttes d’hommes honteux.
Des hommes forts qui étaient autrefois terribles
(31-52.)
[p. 228]
70 Étant alors impuissant, je prierai pour la paix
A cause de la méchanceté des chefs.
Et la colère du Dieu puissant viendra
Sur les Assyriens et un ruisseau de montagne
Les détruira complètement, ce qui viendra
75 À la ville de César et nuire aux Cananéens.[13]
Le Pyrame irriguera la ville[14]
De Mopsus; alors les Égiens tomberont[15]
À cause de conflits entre hommes très puissants.
Toi, misérable Antioche, Arès sera fort[16]
80 Ne pars pas pendant qu’autour de toi une guerre assyrienne
Est pressant, car un chef d’hommes habitera
Dans tes maisons, qui combattra avec tous
Les Perses lanceurs de flèches, lui-même
Ayant obtenu du pouvoir royal des Romains.
85 Maintenant, villes arabes, équipez-vous
Avec des temples et des lieux pour la course,
Et avec de vastes marchés et une richesse splendide,
Avec des images, de l’or, de l’argent, de l’ivoire ;
Et toi qui aimes le plus apprendre,
90 Bostra et Philippopolis, afin que tu viennes[17]
Dans un grand chagrin; et les sphères riantes[18]
De la voûte zodiacale, Bélier,
Taureau, Gémeaux et autant d’étoiles
Les heures dirigeantes apparaissent comme avec elles au paradis
(53-71.)
[p. 229]
95 Ne te bénéficiera pas ; toi, misérable,
J’ai fait confiance à beaucoup, quand cet homme même
Apportera ensuite ce qui est à toi.
Et maintenant pour les Alexandrins aimant la guerre
Vais-je chanter les guerres les plus terribles ? et beaucoup de monde
100 périront pendant que leurs villes seront détruites
Par des citoyens les uns contre les autres
Et se battre pour des conflits haineux,
Et autour d’eux l’horrible Arès, se précipitant,
Doit cesser la guerre. Et puis quelqu’un de grande âme[19]
105 Avec son propre puissant fils tombera
Par trahison à cause du roi aîné.
Et après lui règnera puissamment[20]
O’er Rome fertile, un autre seigneur à la grande âme
Versé dans la guerre, venant des Daces
110 Et au nombre de trois cents ; il aura
Aussi la lettre du chiffre quatre,
Et beaucoup seront tués, et alors le roi
Tous ses frères et ses amis détruiront-ils
Même si les rois sont retranchés, et aussitôt
115 Y aura-t-il des combats, des pillages et des meurtres
Soudain à cause du roi aîné.[21]
Puis, quand un homme rusé sera appelé,[22]
(72-89.)
[p. 230]
Un voleur et un Romain peu connu
De Syrie apparaissant, il par ruse
120 Dans une race d’hommes cappadociens
Doit traverser et, assiégeant, fera pression fort,
Insatiable de la guerre. Et puis pour toi,
Tyana et Mazaka, il y aura[23]
Une capture ; tu seras asservi et mis
125 Sur ton cou à nouveau un joug effrayant.
La Syrie aride pleurera les hommes détruits
Et puis la déesse Sélénienne ne gardera pas[24]
Sa ville sainte. Mais quand il s’enfuit
De Syrie viendra avant les Romains,
130 Et passera par-dessus les fleuves de l’Euphrate,
Ce n’est plus comme les Romains, mais comme les féroces
Alors les Perses tireurs de fléchettes, accomplissant leur destin,
Le souverain des Italiens tombera[25]
Dans les rangs frappés par le fer brillant ;
135 Et près de lui périront ses enfants.
Mais quand un autre roi de Rome régnera,[26]
Alors aussi aux Romains viendra
Des nations instables, sur les murs de Rome
Ares destructeur avec son fils bâtard ;[27]
140 Alors aussi il y aura des famines, des pestes,[28]
Et de puissants éclairs et des guerres terribles,
(90-106.)
[p. 231]
Et soudain l’anarchie dans les villes ;
Et les Syriens périront terriblement ;
Car une grande colère viendra sur eux
145 Du Très-Haut et aussitôt un soulèvement
des Perses industrieux, et mêlés
Avec les Perses, les Syriens détruiront
Les Romains, mais par décret divin
Ils ne feront pas de conquête de leurs lois.
150 Hélas, combien avec leurs biens fuiront
Faites face à l’Orient aux hommes d’autres langues
Hélas, le sang noir de combien d’hommes
La terre boira ! Car ce sera un moment
Dans lequel les vivants parlent des morts
155 Une bénédiction doit être prononcée de bouche à oreille
La mort est belle et la mort les fuira.[29]
Et maintenant pour toi, misérable Syrie,
Je pleure de chagrin ; car c’est à toi que viendra[30]
Un coup terrible de la part des tireurs de flèches,
160 Que tu n’aurais jamais pensé qu’il te viendrait.
Le fugitif de Rome viendra aussi[31]
Portant une grande lance, traversant son chemin
Euphrate avec ses nombreuses myriades,
Et il te brûlera et disposera de toutes choses
165 Dans le mauvais sens. Ô misérable Antioche,[32]
Et toi, une ville qu’ils n’appelleront jamais,
Quand par ton manque de prudence tu tomberas
Sous les lances ; et enlevant toutes choses
Et te mettant nu, il te laissera ainsi
170 Sans couverture, sans abri ; et quand quelqu’un
(107-128.)
[p. 232]
Il voit qu’il va tout d’un coup pleurer pour toi.
Et tu seras, ô Hiérapolis,[33]
Un triomphe, toi aussi, Béroée ; pleurer
A Chalcis, pour ses fils récemment blessés.
175 Hélas, combien par le haut mont escarpé
De Casius habitera et près d’Amanus[34]
Combien et combien de Lycus laves,[35]
Et Marsyas autant et Pyrame[36]
Le tourbillon d’argent; même jusqu’aux limites
180 De l’Asie, ils amasseront leur butin,
Rendre les villes nues et éliminer les idoles
Et j’ai démoli les temples sur une terre si nourrissante.
Et parfois aux Gaulois et aux Pannoniens,[37]
Aux Mysiens et aux Bithyniens il y aura
185 Grande tristesse lorsqu’un guerrier arrive.
Ô Lyciens, Lyciens, un loup viendra
Pour lécher ton sang, quand les Sanniens viendront
Avec Ares qui détruit la ville et les Carpiens
Doit s’approcher avec les Ausoniens pour combattre.
190 Et puis par sa propre imprudence éhontée
Le fils bâtard fera mourir le roi,[38]
Et lui-même pour son impiété
Doit périr immédiatement. Et encore une fois règnera
Après lui encore un autre dont le nom indique
(128-144.)
[p. 233]
195 Première lettre ; mais lui aussi tombera rapidement[39]
Par le puissant Arès, frappé par le fer brillant.
Et encore une fois, le monde sera confus,
Des hommes périssant par la peste et la guerre.
Et les Perses rendus fous par les Ausoniens[40]
200 Sera encore une fois dans le labeur d’Arès
Forcez leur passage. Et puis il y aura un vol
Des Romains ; et ensuite il viendra
Le prêtre entendit parler de tout autour, envoyé par le soleil,[41]
De Syrie apparaissant et par ruse
205 Doit-il accomplir toutes choses. Et puis aussi
La ville du soleil offrira la prière ;[42]
Et autour d’elle les Perses oseront
Les terribles menaces des Phéniciens.
Mais quand deux chefs, hommes rapides à la guerre, gouverneront
210 Les très puissants Romains, dont l’un
Doit avoir le numéro soixante-dix, et l’autre[43]
Le numéro trois, et même alors le taureau majestueux,[44]
Qui creuse la terre avec ses sabots et remue
La poussière avec ses deux cornes fera bien des maux
215 Sur un reptile à la peau foncée, perpétrez—[45]
Qui trace une trace avec ses écailles ; et en outre,
(145-161.)
[p. 234]
Lui-même périra. Et pourtant après lui
viendra encore un autre cerf aux belles cornes,[46]
Affamé de montagnes, luttant dur
220 Pour se nourrir des bêtes excrétrices de venin
Alors viendra un lion redoutable et craintif,[47]
Envoyé du soleil et respirant beaucoup de flammes.
Et puis aussi par son imprudence éhontée
Doit-il détruire le cerf rapide et bien cornu,
225 Et la plus puissante bête excrétrice de venin[48]
Tellement d’effroi, qui émet de nombreux bruits de cornemuse,
Et le bouc qui avance de côté,[49]
Et après lui la renommée suit ; lui-même[50]
Sain, indemne, inaccessible, règnera
230 Les Romains et les Perses seront faibles.
Mais, Seigneur, Roi du monde, ô Dieu, retiens[51]
Le chant de nos paroles, et donne un chant charmant.
(161-173.)
[p. 235]
Les douzième et treizième livres sont aussi étroitement liés que le sont le premier et le deuxième, et comme eux sont probablement l’œuvre d’un seul auteur. Après les mots « pouvoir royal », à la huitième ligne, il y a un défaut notable dans le texte. ↩︎
Impetuous Ares.—Référence probablement à Maximinus. ↩︎
Persiens. — Les Sassanides, comme au livre xi, 356. ↩︎
Roman king. — Gordien III, qui a vaincu l’armée perse sous {footnote p. 226} Sapor sur les rives du Chaboras, un bras de l’Euphrate, et fut tué peu après par Philippus (M. Julius Philippus), qui succéda à l’empire. ↩︎
Ici, le texte grec est quelque peu corrompu et incertain. ↩︎
Hors de Syrie.—La référence est à M. Julius Philippus, qui était appelé l’Arabe à cause de sa naissance à Bostra, en Syrie, quelque part au sud de Damas. ↩︎
Son fils. — Philippe lui associa son fils, du même nom, dans l’empire. ↩︎
34, 35. La lettre grecque pour cinq cents est {grec F}, initiale de Philippus. Le « un et vingt » doit être compris comme désignant les initiales (A=1 et K=20) d’Auguste, le titre assumé par le père, et de Cæsar (Kaisar), le nom de son fils. ↩︎
38, 39. Comp. livre XIV, 448, 449. ↩︎
Roman Ares.—Comp. livre XII, 355, 356. ↩︎
58, 59. Infirmière des Italiens. — Alexandrie, représentant l’Égypte et source d’approvisionnement en céréales de l’Italie et du monde romain. ↩︎
Nom de Rome.—Comp. livre viii, 195, et la note sur la valeur numérique des lettres du nom. ↩︎
Cæsar’s city.—Peut-être faisant référence à Césarée de Philippe. ↩︎
Pyramus.—Rivière de Cilicie. ↩︎
Mopsus.—Plus communément appelé Mopsuestia, ville située sur le Pyrame. Ægæans.—Habitants de la ville d’Ægæ, près de l’embouchure de cette même rivière. ↩︎
Misérable Antioche.—Comp. ligne 165 et livre iv, 181. ↩︎
Bostra.—Situé à une cinquantaine de milles au sud de Damas. ↩︎
91-95. Ces allusions aux constellations peuvent impliquer une dévotion notable à l’astrologie de la part du peuple arabe. ↩︎
104-106. Le père et le fils mentionnés ici sont les mêmes que ceux décrits aux lignes 29 à 33. ↩︎
107-112. Cela semble décrire Trajan de Pannonie, mieux connu sous le nom de Decius. Envoyées par l’empereur Philippe contre Mœsia, les troupes le proclamèrent empereur, et il exerça le pouvoir impérial pendant environ deux ans. Les noms Trajan et Decius sont représentés par leurs lettres initiales, qui sont respectivement les chiffres grecs de trois cents et quatre cents. ↩︎
Comp. ligne 106 ci-dessus. Le ancien roi est ici apparemment destiné à Philippe. ↩︎
Wily man. — Se référant peut-être à Cyriade, l’un des soi-disant « trente tyrans » qui surgirent dans diverses parties de l’empire à cette époque. ↩︎
Tyana et Mazaka.—Chefs des villes de Cappadoce. ↩︎
Déesse sélénienne.—Déesse de la lune. Sa ville sainte peut-être comprise comme Séleucie sur le Tigre, autrefois connue pour le culte de la lune. ↩︎
Souverain des Italiens. — Decius Trajan, décrit dans les lignes 107-112 ci-dessus, qui fut frappé sous une pluie de fléchettes alors qu’il combattait les Goths. ↩︎
Un autre roi.—Gallus Trebonianus, qui fut proclamé empereur par les légions à la mort de Decius. ↩︎
Fils bâtard.—Référence à Volusianus, fils de Gallus. ↩︎
Comp. lignes 11 à 14 ci-dessus et livre XII, 149, 150, 202-204. ↩︎
Comp. livres II, 376 et VIII, 468. ↩︎
158-160. Comp. livre III, 387-389. ↩︎
Le fugitif. — Néron. Comp. livre V, 118-180. ↩︎
165-168. Comp. livre IV, 181-183. ↩︎
172-174. Hiérapolis . . . Béroée. . . Chalcis.—Villes de Syrie, à l’est d’Antioche. ↩︎
Casius.—S’élevant au sud d’Antioche. Amanus.—Une chaîne de montagnes au nord d’Antioche et surplombant la vallée de Pyramus. ↩︎
Lycus.—Rivière du Pont. ↩︎
Marsyas. — Un fleuve de Syrie, un bras de l’Oronte. ↩︎
183-189. La mention de ces provinces largement séparées décrit le large éventail des guerres dévastatrices de cette période. ↩︎
Fils bâtard.—Le même qu’à la ligne 139. ↩︎
Première lettre.—Désignant évidemment Æmilianus, qui fut lui-même retranché avant d’avoir régné quatre mois. ↩︎
Perses . . . encore.—Sous Sapor, qui captura Valérien, mit les Romains en fuite et répandit la destruction sur la Syrie et la Cappadoce. ↩︎
Prêtre . —Odenatus. ↩︎
Cité du soleil.—Ici se référant à Palmyre. ↩︎
Soixante-dix . . . three. — Le premier est représenté par {grec O}, initiale de la forme grecque du nom Valérien [{grec Ou?alh~rianos}], et le second par {grec G}, initiale de Gallienus. ↩︎
Bull.—Représentant ici Valérien, qui infligea de nombreux maux aux Perses, mais fut lui-même détruit. ↩︎
Reptile à la peau foncée.—Sapor, roi des Perses. ↩︎
Stag.—Macrianus, le général romain. ↩︎
Lion.—Odenatus. ↩︎
Le plus puissant. . . Beast.—Les Perses. ↩︎
He-chèvre.—Référence douteuse. Alexandre suggère Balista, l’un des soi-disant « trente tyrans », qui prétendit au trône sous le règne de Gallien. Comp. Dan. viii, 5, pour la même figure. ↩︎
Il lui-même.—Odenatus. ↩︎
231, 232. Comp. conclusion des livres xi et xii. ↩︎