© 2018 Ivan Stol
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Mes bien Chères Seurs, mes bien Chers Frères
(REPRENEZ AVEC MOI TOUS EN CŒUR…)
CES TEMPS-CI, et suite à mes nombreuses années à la tête de notre association et aux participations aux nombreuses conférences auxquelles j’ai participé (mais toujours de façon effacée et passive), de nombreuses réflexions m’ont amené à entrevoir certaines évidences sur le fait de la rapide diffusion du Livre d’Urantia.
Le livre a été confié à des personnes non seulement ouvertes et cultivées, mais également qui voyageaient beaucoup dans le monde et qui avaient, de ce fait une facilité de contact et donc un potentiel de diffusion non négligeable. Aujourd’hui encore, si le livre atteint des lieux si diversifiés, c’est encore grâce à ce genre de personnages.
Ensuite, chaque groupe qui réceptionne cet ouvrage essaye de mettre tout en œuvre pour le faire connaitre autour de lui et de le traduire pour le rendre plus accessible. Les solutions pour ce faire sont multiples, individuelles (personnes à personnes, conférences), collectives (présentations, salons, réunions) ou communicatives (internet, reportages). Il reste donc des méthodes encore inexplorées chez nous, mais cela est surtout dû au fait de notre prudence et de notre volonté de discrétion. Cela dit, si l’ont en croit les études menées sur les populations et leurs croyances, seules 10% font partie de groupes religieux ou sectes alors que parmi les 90% restant, au moins 70% ont une croyance en un Dieu ou à des causes supérieures mais non vraiment définies clairement dans leurs pensées. Peut-être notre « timidité » empêchet-elle finalement d’apporter à ces gens cette clarification que nous pourrions leur fournir. Le problème est de savoir comment le faire sans être intrusif en déclenchant chez ces personnes une motivation libre de vouloir en savoir plus et, personnellement, je pense qu’il faut se montrer et susciter l’intérêt à notre égard, tout en restant dans certaines limites pour ne pas attirer des « indésirables ».
Certains vont dire qu’internet est une bonne solution. Moi je réponds qu’internet c’est comme Dieu mais en moins bien, c’est-à-dire que si nous ne demandons pas, il ne vient rien mais c’est pire car Dieu travail en nous et pas internet.
Je pense qu’il est nécessaire d’atteindre personnellement les gens pour réveiller en eux ce qui dort, et ensuite, quand le moteur est parti, les autres moyens mis en place serviront de support à leur soif.
Il y a du travail qui nous attend, dans tous les domaines, et même les critiques constructives sont des sources d’idées à faire murir, donc la participation de tous est la bienvenue et ne pensez pas être moins bien qu’un autre, nous ne pouvons pas savoir d’où viendra l’idée qui manque pour avancer.
Sur ce, je vous souhaite une bonne lecture. Ivan
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