© 1991 Kathleen Swadling
© 1991 ANZURA, Australie et Nouvelle-Zélande Urantia Association
J’apprécie Six-O-Six depuis plusieurs années. Les articles sont si brillants, intelligents et stimulants que j’ai souvent pensé à écrire pour féliciter les Australiens pour avoir publié l’une des revues les plus intéressantes et les plus valables de notre mouvement. J’ai été ravi de lire la création de l’AASLU et de prier pour que votre Association australienne des lecteurs et la communauté d’étudiants associée grandisse «… dans la joie de la réalisation de la filiation».
C’est lorsque j’ai reçu votre Vol 12 No. 1 que j’ai remarqué un changement marqué dans la politique de votre publication qui semble avoir résulté de la confusion tumultueuse liée à votre publication antérieure du débat des lecteurs sur l’efficacité de certaines bandes devant faire avec un désastre mondial. Le Vol 12 No 1 ressemblait aux tabloïds que l’on voit aux caisses des supermarchés — « Big Foot capture une fille de 12 ans dans le Montana » ou « Cimetière trouvé sur la lune ». J’étais enclin à vous envoyer une demande pour retirer mon nom de votre liste de diffusion juste pour vous faire savoir à quel point j’étais déçu par la nouvelle direction que vous preniez. Il semblait que n’importe quel document farfelu, égoïste et malavisé serait désormais capable de se retrouver imprimé sur vos pages sous couvert d’« ouverture d’esprit ». Je suis cependant heureux de m’être refusé à toute réaction impulsive, car je n’aurais pas reçu votre prochain numéro avec la nouvelle de la création de l’AASLU, l’intéressant article de Kathleen Swadling et la lettre déchirante de Paul Michael Waterman de Toronto, sans oublier le point positif : « Is God a He or a She » qui m’a encore une fois rappelé le don de l’esprit australien que j’ai tant apprécié chez Six-O-Six. Je voudrais également remercier les rédacteurs pour leur discussion franche et ouverte sur la politique éditoriale qui m’a permis de vous comprendre un peu mieux et du fait que vous travaillez à travailler ensemble plutôt que de détruire tout l’effort pour un combat.
Les lecteurs du Livre d’URANTIA viennent de tous horizons, de toutes races et cultures de la planète. D’une certaine manière, assister à une conférence de lecteurs du Livre d’URANTIA, c’est comme aller sur la plage publique où vous rencontrez des personnes avec lesquelles vous n’auriez jamais pu vous associer autrement. En raison de la diversité des orientations culturelles parmi les lecteurs de notre mouvement, il incombe aux éditeurs de bulletins d’information de notre mouvement de s’en tenir au Livre d’URANTIA, à son étude et à l’expérience des lecteurs. Les cultes religieux New Age, le matériel canalisé et autres ont leurs propres publications (ou devraient). Pour ma part, je me sens obligé d’avoir lu tous ces autres documents dans le contexte du mouvement URANTIA.
Encore une fois, permettez-moi de vous remercier pour votre importante publication. Je prie pour votre production continue et une bonne solution à cette aventure. Je ne veux pas recevoir la moitié du prochain Six-O-Six, mais la totalité. L’avoir en deux parties ressemble à ce qui se passe entre la Fondation URANTIA et la Cinquième Bourse d’Époque. Ce qui va se passer dans cette situation, c’est que l’un d’eux mourra ou qu’ils partiront en deux factions opposées, divisant le mouvement.
Martin Greenhut, Monterey, Montana, États-Unis