© 2010 Johanne Séguin, Guy Breton, Pierre Routhier
© 2010 Association Urantia du Québec
QUAND ON M’A DEMANDÉ D’É CRIRE QUELQUE CHOSE POUR LE TIDINGS-RÉFLECTIVITÉ, JE ME SUIS LAISSÊ INSPIRER PAR MON QUOTIDIEN, MA VIE DE TOUS LES JOURS, CELLE QUI CONTIENT LES EXPÉRIENCES LES PLUS FRAÎCHES ET LES PLUS RÉCENTES QUI POURRAIENT ÉDIFIER MES FRÈRES ET SŒURS D’URANTIA.
Je n’ai rien de nouveau à vous apprendre, à vous grands lecteurs du Livre d’Urantia alors vous me pardonnerez certainement de ne pas me servir constamment de citations pour vous convaincre. Depuis 34 ans que je lis le livre, je suis passée à la phase pratique de façon plus constante depuis quelques années. Ma pratique spirituelle qui au départ était une difficile discipline est devenue avec de la persévérance, une joie et un état de complétude dont je ne peux plus me passer. Cette discipline que je me suis imposée pour collaborer davantage avec Dieu a porté de grands fruits en surabondance et j’en récolte amplement les dividendes. Par la prière, l’adoration soutenue, l’étude des textes seule ou en groupe et l’enseignement, j’ai vraiment développé une conscience plus aigüe de ce qu’est l’Homme et de sa relation avec Dieu. Tout ce qui me constitue, la conscience avec ses sept esprits- adjuvats, la personnalité, le système électrochimique sur lequel s’appui mon identité et mon Ajusteur de pensée qui travaille au niveau de mon mental à me spiritualiser en collaboration avec ma volonté pour créer l’âme!! Quel cadeau!!! Sans oublier l’Esprit de vérité, l’Esprit Saint, mes gardiens de la destinée et autres dont j’oublie le nom. Et je n’ai qu’à collaborer… ma part est tellement petite!! Chaque jour je reviens à l’amour que Dieu a pour moi, à me rendre plus grande que nature… à faire de moi une finalitaire, une fille de la Suprématie!! J’en tremble de joie à chaque fois que j’y pense. Évidemment que j’ai compris que le travail dans le service de Dieu est tout d’abord dans ces découvertes supramatérielles qui sont des autorévélations, des aboutissements de ma relation avec Dieu. Cette clairvoyance qui émerge de façon simagnifique au fur et à mesure que mon âme croît. Qui ne se rappelle pas du premier mouvement de l’enfant qu’il a porté?
Et puis il y a le service social planétaire. Comment remettre à nos frères ce que nous avons reçu? Ça m’a rendue longtemps malheureuse de ne pas pouvoir davantage amener des gens à connaître la révélation et de ce fait à rendre leur vie plus heureuse. Puis par la force des choses et avec quelques erreurs de parcours, j’ai compris la grande sagesse de ne pas donner ce trésor de grande valeur de façon trop abrupte. Confucius disait : un homme noble ne prêche rien qu’il n’ait d’abord mis en pratique. Ce conseil judicieux n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd pour ma part, car je l’avais remarqué déjà chez certaines personnes très spirituelles qui portaient les fruits de leur consécration.
Chogyam Trungpa, un grand maître tibétain disait à ce sujet : À moins d’expérimenter ce fondement de bonté dans notre propre vie, nous ne pouvons prétendre améliorer la vie des autres. Si nous ne sommes que des êtres misérables et malheureux, comment pourrions-nous même imaginer une société éveillée, et encore plus la réaliser?
Ce changement subtil d’aptitude qui se produit dans une personne en croissance spirituelle, l’amène invariablement à pouvoir partager avec sagesse la révélation, car elle le vit intégralement.
Je me suis et je me pose encore des questions sur le Suprême, mais à chaque fois j’ai un fragment de réponse. Alors, je ne cesse plus de me questionner, car cela fait émerger de grandes significations pour moi et ça me plaît énormément! Quelques-unes de ces questions ressemblent à ceci… Comment ma pratique spirituelle peut-elle avoir de l’influence sur les autres? Je me pose simplement cette question-là parce que je me trouve parfois très égoïste de recevoir tant de bénédictions pour moi toute seule… alors que je vois souffrir tant de gens dans leur âme. Quelle influence peut avoir mes prières pour mes enfants, pour mes amis, pour l’humanité? Si moi je change parce que je laisse Dieu me transformer de plus en plus à sa ressemblance, quel avantage cela a-t-il pour les autres?? Comme vous le voyez, je me soucie beaucoup des autres et parfois je l’avoue, je ne fais pas assez confiance en Dieu là-dessus. Voyez-vous, je ne voudrais que Dieu n’en perde aucun… peu être que je commence à lui ressembler?
Tout ça pour vous parler del’inspiration ou plutôt, du pouvoir de l’inspiration. J’ai de belles surprises à ce niveau qui j’en suis sûre réconforterons certains de vous qui désespérez ne pas voir leurs prières exaucées. Ouijel’affirme aujourd’hui que ceux qui pratiquent la vie spirituelle et qui vivent de plus en plus selon la volonté divine qui les habite peuvent avoir un impact majeur sur les autres. Je vous donne deux exemples charmants tirés de mon vécu. Je vis actuellement seule avec mes fils âgés de 21 et 24 ans, tous deux aux études. Ils savent que je pratique les enseignements du livre d’Urantia, je ne m’en cache pas et que je fréquente des lecteurs et lectrices très actifs spirituellement. Mais je ne les achale jamais sauf si la conversation me permet de passer quelques conseils moraux ou des brides de sagesse; je suis encore une mère 0)).
L’autre jour mon plus jeune fils William avec qui je discutais de générosité, me dis à brûle pour point: Tu es la personne la plus généreuse d’elle- même que je connaisse. Il y a Jésus qui n’est pas pire dans son genre puis mère Theresa, mais elle ne t’arrive pas à la cheville.
Alors que quelques jours auparavant mon second fils Louis quia 24 ans m’écrivait sur Facebook : Tout ce que j’ai, tout ce que je suis, je te le dois. Tu es le vent quime pousse dans le dos quoiqu’il arrive pour quej’aille del’avant. Tu es le soleil qui réchauffe ma vie quand je vois tout gris. Celle qui me donne la force et l’envie d’être plus. De vouloir plus… être un homme meilleur. Tu es mon héros, mon modèle, la femme de ma vie. Merci maman d’être ce que tu es et de rester auprès de moi. Je t’aime. Louis.
Je vous partage ces expériences qui parlent d’elles-mêmes non pour me flatter dans le sens du poil, même si ça fait drôlement du bien à une mère, mais pour soutenir mon affirmation qui est devenue une certitude; le travail que je fais avec Dieu porte fruits même pour ceux qui me côtoient. Je vois Dieu qui se révèle en moi dans les yeux de mes enfants… C’es-tu ça un peu le Suprême?? Être une source d’inspiration pour les autres, un modèle… n’est-ce pas la meilleure façon d’enseigner les beautés de Dieu?
L’Inspiration c’est aussi d’accepter le changement, notre changement pour être plus, un être sans prétention qui permet à Dieu de s’exprimer dans le temps et l’espace. Dans le Suprême tout change. La vérité ne peut pas s’installer sans faire éclater un peu les anciens cadres conceptuels ni les anciennes habitudes incrustées…
J’ai un ami qui m’inspire beaucoup et qui a participé au fait que je sois plus solidement ancré dans le progrès spirituel. Il s’appelle Moussa et cet homme est une source d’inspiration. Un jour il m’a dit; il ne faut pas s’accrocher à ce qu’on a compris aujourd’hui quand demain s’en vient. Lâche à la fin du jour et réveille-toi demain comme si c’était un autre jour. Il faut que l’Homme ait la souplesse de la mouvance… comme le Suprême peut être???
J’avais déjà mis ce concept en pratique alors il m’a semblé s’appliquer parfaitement à moi. À tous les soirs sans exception, je lui dis: Père, s’il faut que tu me changes à tel point que demain en me réveillant je ne me reconnaisse plus, mais qu’ainsi je fais davantage ta volonté, j’accepte cette transformation… Depuis c’est une grande histoire d’amour!!!
Depuis lors, j’ai commencé à enseigner à un jeune garçon de 18 ans, le fils d’une amie, qui cherche Dieu. On se rencontre toutes les semaines et je lui enseigne ce que je sais, mais surtout ce quej’ai mis en pratique et qui porte fruits. Je suis heureuse de voir une nouvelle génération se pencher sur les enseignements et j’espère qu’ily en aura de plus en plus. Mais comme le livre d’Urantia le dit : tôt ou tard!!
Bonne inspiration!!!
Johanne Séguin
Par Guy Breton
LIBRE ARBITRE, VOLONTÉ ET LIBERTÉ SONT TROIS CONCEPTS PAS NÉCESSAIREMENT FACILES À DISTINGUER ET SOUVENT CONFONDUS. IL FAUT DIRE QU’ENTRE L’UN ET L’AUTRE, IL Y A UNE ZONE GRISE, UNE ZONE DANS LAQUELLE IL N’EST PAS FACILE DE LES DÉPARTAGER.
Il n’est pas nécessaire, voire même utile qu’on le fasse, à moins que cela nous conduise hors du chemin de la recherche de la Vérité. Si cela devait se produire, il est peut-être bon et souhaitable de rechercher des points de repère importants.
L’un de ces repères est sûrement revoir la définition ou l’essence ou la signification et les valeurs de chaque terme. Une recherche dans le livre d’Urantia montre clairement que libre arbitre et spiritualité vont de pair. Le libre arbitre appelle ou fait référence à une spiritualité de haut niveau, beaucoup plus haut que le niveau matériel et morontiel. Il est aussi facile d’admettre que dans la vie, rares sont les choix spirituels de haut niveau. Le libre arbitre est un don de Dieu, un pouvoir conféré à l’homme et aux êtres évolutionnaires par Dieu. C’est le droit de choisir Dieu ou de faire sa Volonté sans aucune influence extérieure, c’est-à-dire sans aucun être extérieur plus évolué ou non spirituellement ne puisse interférer dans cette décision. Le livre d’Urantia est clair là-dessus: «Le Père Universel n’impose jamais aucune forme de reconnaissance arbitraire, ni d’adoration formelle, ni de service servile aux créatures des univers douées d’intelligence et de volonté. Il faut que d’eux-mêmes dans leur propre coeur les habitants évolutionnaires des mondes du temps et de l’espace le reconnaissent, l’aiment et l’adorent volontairement. (LU 1:1.2). Et on ajoute: « Nul autre être, nulle force, nul créateur ou agent dans le vaste univers des univers ne peuvent interférer à un degré quelconque dans la souveraineté absolue du libre arbitre humain opérant dans les domaines d’option concernant la destinée éternelle de la personnalité du mortel qui choisit ». (LU 5:6.8).
Le libre arbitre se traduit par un acte de la volonté humaine et matérielle. Cet acte concerne strictement le choix de Dieu. Un tel choix est généralement global et durable, c’est-à-dire qu’il n’est pas constamment remis en question. Au cours d’une vie, on peut choisir Dieu, s’en éloigner un certain temps ou carrément lui tourner le dos, et y revenir ou pas. En fait, cet acte ou l’application du libre arbitre peut être en cause un certain nombre de fois restreint. On ne peut jouer au yoyo avec Dieu. Le choix de Dieu engage toute la personnalité, l’ajusteur et le mental humain dans ce qu’il y a de plus sérieux.
Une fois ce choix de Dieu exercé, les êtres évolutionnaires doivent choisir de faire le bien plutôt que le mal. Chaque fois que l’humain choisit de faire le bien, il renforce son choix original de Dieu et permet à son âme de croître, de se développer. De par sa nature, il peut choisir un bien moindre et même faire le mal sans qu’il y ait une remise en question du choix de Dieu. S’il persiste dans le mal, il peut fort bien après un certain temps remettre en cause le choix de sa destinée. Il est entièrement libre face à cette décision, il est l’unique intervenant.
Au jour le jour ou dans la vie de tous les jours, les choix que l’on fait n’ont souvent rien à voir avec la spiritualité et s’ils ont une teinte de spiritualité, ils ne sont pas d’un très haut niveau spirituel et la plupart du temps ils se réfèrent à la moralité.
Les mortels sont des êtres volitifs, c’està-dire qu’ils possèdent une faculté que l’on appelle la volonté. Cette volonté est en nous, il suffit d’en prendre conscience et d’en faire l’expérience. C’est comme la bonté, on n’a pas à faire des actes de bonté pour devenir bon, mais seulement à reconnaître que la bonté est en nous et l’exercer, de la laisser s’exprimer.
La prise de conscience et l’expérience de la volonté se font en trois phases:
La volonté circule dans le mental entre l’intuition et la pensée et est sollicitée lors des pulsions, des désirs, des émotions, des sentiments et des manifestations de l’imagination. Comme tous les éléments constituant l’humain, la volonté a la possibilité de croître, elle peut devenir de plus en plus forte, habile, bonne ou mauvaise dans l’action. Celui ou celle qui a fait le choix de Dieu bénéficie de l’aide de l’Ajusteur pour orienter cette volonté dans le bon sens. Il importe de souligner ici que le manque de volonté est souventl’excuse empruntée pour se disculper. « Ce n’est pas de ma faute, je n’ai pas assez de volonté », comme si la volonté ne dépendait pas de soi.
Une autre attitude abusive dont il faut se méfier est celle de recourir à la volonté de Dieu pour justifier des décisions et des gestes humains. En termes généralistes, la phrase-clé est la suivante : "J’ai demandé à Dieu si je devais faire ceci ou cela, il s’est produit ceci ou cela, qui a confirmé que Dieu est en accord avec mon action, j’ai fait la volonté de Dieu. Je ne suis vraiment pas certain que Dieu interfère vraiment dans la vie matérielle des hommes. La plupart de ces actions n’ont rien de vraiment spirituel, et l’Ajusteur n’est interpellé que par les choses vraiment spirituelles. Souvent, on utilise la volonté de Dieu pour se justifier ou le plus souvent pour se disculper.
Le mot libre arbitre est formé du mot libre qui appelle liberté. Le libre arbitre réfère à la liberté, mais seulement dans le choix de la destinée éternelle. La liberté est la faculté d’agir selon sa volonté en fonction des moyens dont on dispose sans être entravé par le pouvoir d’autrui. Elle est la capacité de se déterminer soi-même à des choix contingents. La liberté peut donc être vue comme un champ d’application de la volonté humaine. Mais la liberté est difficilement séparable de la notion d’autrui et de devoir. Il est voire difficile de parler de liberté au sens matériel. Une bonne partie de l’activité humaine est relative à la satisfaction des besoins de son corps. On n’a pas vraiment le choix de boire et manger, de dormir, de s’habiller, de tenir compte de l’hygiène… etc. Sur le plan familial, la liberté est aussi très restreinte. On n’a pas le choix de ses parents, de ses frères et sœurs, des travaux à exécuter, de l’entraide à donner… Sur le plan social, on reconnaît facilement que sa liberté finit là où celle des autres commence. Les lois, les règlements, les étiquettes… sont tous des limitations de liberté. Même dans le choix du conjoint, a-t-on vraiment la liberté de choisir? Les affinités, les qualités, les défauts, les habitudes, les dépendances, le jugement, l’intelligence, les conventions sociales, les mœurs… sont autant d’éléments qui interviennent dans le processus. Sur le plan du travail, qui est véritablement libre de faire et de dire ce qu’il veut? Même sur le plan personnel, il est difficile de parler de liberté. Ne sommes-nous pas soumis à notre hérédité, à notre éducation, à nos peurs, à nos bibittes… à notre ego? Sur le plan religieux, ne sommes-nous pas dépendants de nos croyances, de nos valeurs qui nous ont été inculquées, parfois sous la pression, suite à nos expériences de vie, aux événements de notre vie? Le moindre que l’on puisse dire est que la liberté est un grand mot, mais que son champ d’application est souvent restreint.
Voilà quelques éléments de réflexions pouvant solliciter quelques moments. Il ne s’agit que d’une opinion qui, je l’espère, suscitera un quelconque intérêt dans votre cheminement.
Comment disséminer les enseignements du Livre d’Urantia
TRENTE-TROIS PERSONNES SONT VENUES PARTICIPER À CETTE RENCONTRE SUR LA DISSÉMINATION DES ENSEIGNEMENTS DU LIVRE D’URANTIA, AU SALON ROUGE DE L’HÔTEL LE DAUPHIN DE DRUMMONDVILLE. LE SOLEIL RAYONNAIT À L’EXTÉRIEUR ET EN NOS CCEURS EN CE BEAU SAMEDI.
L’animateur Guy Laporte nous présenta les conférenciers et le déroulement de la journée.
Maurice Migneault nous renseigna sur la dissémination des enseignements du LU, selon le plan des révélateurs. Lorsque vous avez quelque chose d’important à dire à une ou plusieurs personnes, vous choisissez le bon moment, le bon endroit et la bonne façon de le lui dire! C’est également ce modèle que les révélateurs du Livre d’Urantia ont respecté, ne devrions-nous pas aussi, respecter cette même approche. Il faut nous préparer, en relation avec les forces spirituelles en nous et autour de nous, pour ne pas dire n’importe quoi, n’importe comment, n’importe où, à n’importe qui. Les rencontres thématiques, les groupes d’étude et autres regroupements de formation organisés nous aident à mieux renseigner ceux et celles qui ont soif et faim de vérité.
Guy Laporte nous parla de l’approche de Jésus durant sa vie terrestre. Toute sa vie privée fut sa formation en relation avec ses semblables et son Ajusteur. Même son professeur, le chazan, avoua avoir appris plus de choses, par les questions pénétrantes de Jésus, que lui-même n’avait été capable d’en enseigner au jeune garçon. Jésus s’intéressait aux gens, les abordait souvent par des questions et finalement, c’est eux qui lui posaient des questions, c’est ainsi que Jésus les instruisaient. La substance de son message était toujours le fait del’amour de notre Père céleste et sa grande miséricorde, et que l’humain est fils de ce même Dieu, par sa foi en Lui. Jésus était devenu un expert autant en posant des questions qu’en y répondant.
Guy Leblanc nous raconte sa façon de s’approcher des gens en s’intéressant à leurs conversations. Dans un restaurant, quelques femmes discutant entre elles, il les approche avec son sourire en leur disant : «je n’ai pu m’empêcher d’écouter votre intéressante conversation, puis-je vous poser une question?» Il nous donna d’autres exemples de sa façon de faire des approches, qui est simplement de s’intéresser aux gens, si l’on veut qu’ils s’intéressent à nous, pour pouvoir leur donner un petit coup de pouce vers Dieu. Pour mieux servir notre prochain, il nous faut avoir la simplicité d’un enfant et c’est la magie du cœur et de la compassion fera le reste.
Normand Laperle nous entretient sur la grandeur d’âme, qui se retrouve partout, en tout les temps et en tous lieux, puisque c’est la croissance de l’âme, quand nous sommes en conformité avec la volonté divine de notre Père Universel, en union avec notre Ajusteur, nous produisons les fruits de l’Esprit. Ce qui fait grandir l’âme, c’est la spiritualité et c’est le travail de l’Ajusteur d’emmagasiner cette spiritualité dans l’âme. Notre langage, nos gestes et nos actions deviennent spirituels dans notre désir de servir nos semblables en faisant la volonté de Dieu. C’est ainsi que l’on fait grandir notre âme et l’âme des autres en leur donnant le goût du beau, du vrai et du bon ce qui les rapproche de Dieu.
L’après-midi fut consacré aux ateliers en tables rondes pour échanger sur nos diverses façons de disséminer les enseignements du Livre d’Urantia et la plénière nous révéla les perles de cet exercice.
Pierre Routhier
(VIVRE À PARTIR DU VIDE)
Trente rayons convergents vers un même moyeu;
Mais c’est dans le trou au centre de la roue que la charrette trouve son usage.
Façonez de l’argile pour en faire un récipient;
C’est l’espace à l’intérieur qui le rend utile.
Sculptez de magnifiques portes et fenêtres, mais la piéce est utile que si ell est vide.
L’utilité de ce qui est, dépend de ce qui n’est pas.
Fête de Michaël
Samedi le 21 août 2010
Au Parc Angrignon à La Salle
Voyage en région par les membres du Conseil
Les 9-10 et 11 octobre 2010
Lac St-Jean
Journée Thématique
Dimanche le 14 novembre 2010
L’endroit et le sujet sont à confirmer.
Souper de Noël 2010
Samedi le 4 décembre 2010 Les détails suivront.
CETTE ACTIVITÉ PERMET À PLUSIEURS LECTEURS DE DIFFÉRENTS NIVEAUX DE COMPRÉHENSION, D’ÉCHANGER ET D’ÉTUDIER ENSEMBLE LES ENSEIGNEMENTS DU LIVRE D’URANTIA. ELLE FAVORISE LE PROGRÈS SPIRITUEL EN PERMETTANT À SES PARTICIPANTS DE TROUVER DES APPLICATIONS PRATIQUES AUX ENSEIGNEMENTS DU LIVRE D’URANTIA DANS LEUR VIE QUOTIDIENNE. CETTE PRATIQUE IMPORTANTE PERMET DE GARDER UN POINT DE VUE ÉLARGI SUR LES CONCEPTS DE VÉRITÉ.
Vous désirez participer ou former un groupe d’étude; avec joie, nous vous assisterons. Vous désirez faire paraître votre groupe d’étude dans cette liste, contactez la responsable, via courriel association.urantia.quebec@gmail.com ou au 450-565-3323.
Groupe: Découverte
Tous les lundis de 19 h 30 à 21 h 30
Région des Laurentides Gaétan Charland et Line St-Pierre
Tél.: 450-565-3323
Groupe: Étoile du Soir
Tous les mercredis de 19 h00 à 21 h00
Région des Laurentides
Carmen Charland
Tél.: 450-553-3601
Groupe: Le Pont
Tous les jeudis de 19h30 à 21 h 30
Rive-Sud de Montréal
Guy Vachon
Tél.: 450-465-7049
Groupe: des Basses Laurentides
Tous les lundis de 19 ho0 à 21 h00
Yvon ou Irène Belle-Isle
Tél : 819-423-1240
Groupe: Lecteurs de la Mauricie
Tous les lundis de 19 ho0 à 21 ho0
Région de Trois-Rivières
Madeleine Boisvert et
Tél: 819-376-8850
Roger Périgny
819-379-5768
Groupe: Veritas
Tous les mardis de 19 h00 à 21 h 30
Région de Montréal, près de la station de métro de l’Église
Lise et Pierre Routhier
Tél.: 514-761-2378
Groupe de Sherbrooke
Aux deux semaines, le mardi ou mercredi (à confirmer)
De 19h30 à 21 h 30
Hélène Boisvenue ou Denis Gravelle
Tél.: 819 569-6416
Groupe: Les Ascendants
Aux deux semaines le dimanche de à 15h30
Rive-Sud de Québec
Guy LeBlanc
Tél: 418-835-1809
Groupe: Les Agondontaires
Aux deux semaines le dimanche de 13h00 à 16h00 Rive-Nord de Québec
Guy & Rolande L. Martin
Tél: 418-651-3851
Groupe: Les Débonnaires
Les mercredis de 19 h00 à 21 h 00
Région de Montréal
Julien Audet
Tél : 514-315-9871
Groupe: Fraternité-Urantia
Les mercredis de 19 h 30 à 21 h 00
Région de Lanaudière
Richard Landry & Gisèle Boisjoly
Tél : 450-589-6922
Groupe: Vers les Sommets
Le vendredi de19h00 à 21 h00
Régions Ormstown & Valleyfield
Louise Sauvé
Tél: 450-829-3631
Groupe: La Famille unie d’Urantia
Le lundi de 19 h 00 à 21 ho0
Région Montréal
Mme Diane Labrecque
Tél : 514-277-2308
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