© 2011 Gaétan G. Charland, Maurice Migneault, Line St-Pierre, Guy Laporte, Éric Martel, Johanne Seguin, Alain Cyr, Marc Belleau
© 2011 Association Urantia du Québec
DEPUIS 1997, L’ASSOCIATION URANTIA DU QUÉBEC (AUQ) AFFILIÉE À L’ASSOCIATION URANTIA INTERNATIONALE (AUI) ŒEUVRE AU QUÉBEC AU SERVICE DES LECTEURS DU LIVRE D’URANTIA AFIN DE RENDRE VIVANTE ICI LA MISSION DU LIVRE D’URANTIA.
Cette mission que l’on retrouve en première page de l’introduction du Livre d’Urantia qui est d’accroitre la conscience cosmique et rehausser la perception spirituelle est aussi associée à un plan directeur que l’on retrouve dans le Mandat de publication.
Le Mandat de publication, fut lu en 1955 pour la première fois aux membres du forum par William S. Sadler jr. et contient les directives essentielles pour l’accomplissement de la mission du Livre d’Urantia. Aujourd’hui, l’AUQ ainsi que toutes les associations affiliées à l’AUI poursuivent la même mission par la mise en applications de ses directives qui sont : la création de milliers de groupes d’étude, la formation de chefs et d’enseignants et l’aide financière au fond mise en place par la Fondation Urantia pour les traductions du Livre d’Urantia dans d’autres langues et sa distribution dans de nombreux pays.
Voilà qui semble simple à réaliser, mais sans organisation, ni plan stratégique, la mission du Livre d’Urantia serait vouée à l’échec. Au tout début des années cinquante, le Dr William Sadler avait été informé par les révélateurs de voir à la formation d’une association qui pourvoirait à la dissémination des enseignements du Livre d’Urantia et la création d’une Fondation qui assurerait la protection des textes, leurs publications et leurs traductions. Aujourd’hui, beaucoup de lecteurs sont confus quant aux raisons réelles de l’existence de ces deux organismes et de leur mission.
Examinons de plus près la mission de l’AUQ et la façon dont l’association s’y prend pour la réaliser. Les Québécois ont été privilégiés de bénéficier de la première traduction du Livre d’Urantia publié en 1961. Suite à l’introduction du Livre d’Urantia au Québec par quelques lecteurs dans les années soixante, il a fallu plusieurs années pour que puisse s’organiser le mouvement Urantia au Québec. C’est grâce au désir de partager ce trésor de vérité de certains de ces premiers lecteurs que sont venus à existence les premiers groupes d’étude. N’eusse été ces premières petites organisations et dévouement de quelques lecteurs à la publication d’une lettre de nouvelles mensuelle appelée Réflectivité, pas grand-chose n’aurait fleurien tant que communauté de lecteurs.
C’est beaucoup plus tard dans les années quatre-vingt que prit réellement naissance le désir de plusieurs lecteurs de s’associer légalement en tant qu’organisation pouvant oeuvrer à la mission du Livre d’Urantia. Ce n’est qu’en 1997 que la majorité des membres de la première association (GALLUQ) rejoignirent les rangs de l’Association Urantia Internationale en tant qu’association légalement accréditée à cette dernière et prenantle nom de Association Urantia du Québec (AUQ). Depuis ce modeste début, l’AUQ grâce à ses membres, à leur générosité et leur dévouement est devenu une des associations les plus importantes de l’AUI sur la scène international.
L’Association qu’est l’AUQ a permis par le biais de plusieurs membres actifs de formuler un plan stratégique basé sur la mission exprimée par les directives contenues dans le mandat de publication. Ce plan stratégique focalisé sur la création et le support des groupes d’étude ont permis en moins de douze ans d’accroitre leur nombre à plus d’une quinzaine et ces derniers continuent de s’accroitre de façon progressive. Il est fort probable qu’il y ait des groupes d’étude dont on ne connait pas l’existence au Québec et l’AUQ sera toujours disponible pour soutenir même ces derniers si le besoin se fait sentir.
En fait, les groupes d’étude ne sont pas une propriété de l’AUQ, même sil’association en tient référence, qu’elle fait tout pour aider à en créer des nouveaux et les supporter; ils sont totalement indépendants de toutes organisations et doivent le demeurer afin de bien remplir leur rôle éducatif et spirituel. Dans son rôle de promotion et de support aux groupes d’étude, l’association pourvoit au service de leur publication par le biais du mensuel Réflectivité ou par des articles concernant leur fonctionnement basé sur l’expérience des lecteurs y participant. L’association offre aussi les services d’une base de données aux lecteurs désireux de former ou d’assister à un groupe d’étude et aussi par leur publication sur le site Internet de l’association.
Pourquoi les groupes d’étude sont si importants? Voilà une question qui mérite une profonde réflexion sur les mécanismes fondamentaux qui aident à transformer la société et le monde dans son ensemble, mais cette mission ne saurait se faire sans le concours d’une dissémination du livre et de ses enseignements d’une façon personnelle systématique et organisée. Dans ce travail, l’association joue un rôle de premier plan en offrant aux lecteurs qui le désirent les livres nécessaires au placement de ces derniers dans les bibliothèques, qu’elles soient scolaires, universitaires ou publiques. En plus, l’association par l’organisation de conférences/ateliers aide à la compréhension et l’intégration des attitudes et mécanismes spirituels nécessaire qui favorisent l’efficacité de la dissémination personnelle des enseignements et du livre.
On ne peut aussi passer sous silence les activités qui souvent sont prise comme acquises, telles la conception, l’édition, la publication et l’envoie mensuel de la lettre de nouvelles Réflectivité, l’envoi bimensuel de la lettre de nouvelles internationale Tidings et l’envoi trimestriel du Journal de l’AUI; toutes ces publications sont transmises aux membres et lecteurs qui le désirent de façon électronique ou par courrier postal. Votre association par l’entremise de ses membres directeurs effectue chaque année une visite dans une région éloignée du Québec, telle l’Abitibi, le lac St-Jean, Le Saguenay et Rimouski afin d’y rencontrer des lecteurs et ou membres et les encourager à participer à la mission du Livre d’Urantia.
Votre association maintient aussi une présence sur le Web par le biais d’un site Internet quicontient de nombreux documents de références qui peuvent contribuer à une étude plus compréhensive du Livre d’Urantia. Elle fournit aussi à ses membres une liste de discussion leur permettant d’échanger entre eux sur des sujets qui les intéressent ayant rapport au Livre d’Urantia. Il ne faut pas oublier que grâce à la générosité de ses membres, l’association a permis par le don et l’envoi de livres à des personnes vivant dans des pays moins favorisés que le nôtre, d’avoir accès aux enseignements du Livre d’Urantia et ainsi contribuer à l’épanouissement spirituel de notre monde.
Chaque année, l’association avec l’aide de ses membres ou lecteurs organise des rencontres thématiques sur des sujets variés qui sont tenues à différents endroits du Québec afin de favoriser la participation d’un plus grand nombre de personnes. Ces rencontres d’une journée nécessitent plusieurs heures de préparation et très souvent les groupes d’étude et leurs membres en sont les principaux présentateurs et animateurs. Cette façon de fonctionner, innovée ici fait présentement office de modèle pour certaines associations à l’extérieur du Québec et s’harmonise parfaitement avec la mission de former des enseignants et des leaders.
Ily a plusieurs autres activités effectuées par les membres directeurs de l’association qui s’ajoutent à celles mentionnées dans ce message et qui sont nécessaires aux besoins d’un lectorat québécois toujours grandissant. Sans association, il serait presque ou totalement impossible d’organiser, planifier et réaliser tout ce travail en vue d’accomplir la mission du Livre d’Urantia. Les membres directeurs de l’association sont mus par un esprit de service d’amour et ils répondent ainsi harmonieusement au slogan de l’association qui est « Aimer c’est servir».
J’espère que ce texte vous aidera à mieux comprendre le pourquoi et le rôle de l’association et le besoin de s’organiser en espérant qu’un jour cette compréhension vous motive à participer de plus en plus à la réalisation et l’accomplissement de la mission du Livre d’Urantia.
Aimer c’est servir.
Gaétan G. Charland
Président AUQ
DÈS MA PREMIÈRE ANNÉE D’ÉTUDE ALORS QUE J’AVAIS SIX ANS, JE SUIS DEVENU RÉBARBATIF AUX DIRIGEANTS ET ENSEIGNANTS.
Là où j’ai vécu mon enfance, on ne permettait pas le questionnement, le dogme était roi et l’enseignant, un dirigeant autoritaire. Cette impression demeure toujours en moi et elle représente encore, pour beaucoup de personnes, une réalité bien vivante, et ce n’est pas parce que j’ai changé intérieurement que cette image s’est effacée.
Mais voilà qu’arrive le Livre d’Urantia, l’élévateur de conscience qui nous apprend que le moteur de la croissance spirituel s’alimente beaucoup plus de doutes que de convictions. Il ne nous demande pas d’effacer, d’oublier et de repartir à neuf, il nous propose une nouvelle vision des choses. Il ne nous demande pas de couper la tige de la fleur inodore, mais lui apporte une fragrance nouvelle pour lui redonner de l’attrait. J’ai donc enrichi ma définition des mots dirigeant et enseignant pour être en mesure de les utiliser dans un contexte nouveau de croissance spirituelle.
Rappelez-vous que le passage, année après année, par les classes successives d’un régime d’instruction établi ne signifie pas nécessairement qu’il y ait progrès intellectuel, et encore bien moins croissance spirituelle. LU 100:1.3
Dans ce contexte, l’enseignant ne représente plus la Vérité, mais celui qui nous offre les outils pour que chacun puisse trouver la sienne. Il ne nous apprend plus à nous faire entendre des autres, mais à les écouter. Il n’accorde plus d’importance à la conviction parce qu’une personne convaincue ne se donne plus la peine d’aller voir ailleurs, et alors son cheminement à beaucoup plus de chance de se diriger vers l’apathie ou le fanatisme que vers l’ouverture à la connaissance.
De son côté, le dirigeant ne représente plus le commandement. Sa fonction est maintenant d’harmoniser nos efforts, de canaliser nos énergies. Il est devenu un phare qui nous aide à orienter notre cheminement et non plus un guide qui décide pour nous et dont nous devons suivre les pas. En spiritualité, ce n’est pas l’efficacité qui compte, mais la constance et la longanimité. Je crois que c’est dans cette optique que l’on peut considérer la nécessité des dirigeants et enseignants; mais est-ce qu’il existe vraiment une différence entre les deux?
Il existe bien sûr une différence, mais elle réside beaucoup plus dans la position que dans la fonction, un peu comme les deux mains du pianiste sur le clavier de son instrument, ou les deux bras du rameur dans sa barque. Lorsque nous expliquons à un enfant les raisons d’un comportement, ou lorsque, nous montrons l’exemple par notre conduite, nous devenons un dirigeant et un enseignant. À chaque fois que nous exerçons une influence sur quelqu’un, nous devenons un dirigeant et un enseignant, même si nous n’en avons pas conscience. Tout ce que nous faisons a des conséquences, de là l’importance de toujours avoir un comportement basé sur l’amour, le respect et l’entraide.
Maurice Migneault
Ottawa, 2011-01-15
OÙ SE TROUVENT CES FEMMES PARTENAIRES AVEC DIEU QUE JE CONNAIS ET DONT LA PENSÉE S’EST MODULÉE AUX ENSEIGNEMENTS DU LIVRE D’URANTIA AU FIL DES ANS?
Où vous trouvez-vous, celles à quij’ai parlé au téléphone et n’ai pas encore rencontré? Vous que j’ai rencontré lors de formations spirituelles, lors de groupes d’étude, lors de piqueniques à Cap Santé et à Montréal? Surement, vous êtes des lectrices-étudiantes solitaires.
Le peu d’intérêt des femmes au mouvement Urantia au Québec et partout ailleurs où j’ai voyagé avec Gaétan me désole.
Ce n’est pas parce que nous lisons le même livre que nous pensons de la même façon. La pensée féminine n’étant pas celle de l’homme, nous reconnaissons voir les choses de façon différente, mais convergente souvent vers le même but. Les moyens, les façons de faire peuvent être différents, mais le résultat souhaité est le même, dans ce cas-ci, emmener les gens à une conscience plus grande de la Réalité divine qui les habite.
Dans Le Livre d’Urantia il est écrit que la femme est le porte- flambeau de la moralité et de la spiritualité. En tant que mère de deux enfants, je les ai éduqués avec les connaissances de la vie du temps et leur ai inculqué les valeurs morales que je connaissais de ma mère et que je vivais. À leur tour avec leurs enfants ils feront de même.
Aujourd’hui avec ma religion personnelle comprise des enseignements de la 5 e révélation, combien mieux équipée je pourrais retransmettre à mes enfants ces valeurs de bonté, de beauté et de vérité. La femme joue un très grand rôle dont bien souvent elle ignore et ne se doute même pas. Elle est co-créatrice d’enfants, fils de Dieu. Toute une responsabilité pour celle qui sait.
Une poétesse russe a dit : «Donnez nous de bonnes mères et nous vous ferons de meilleurs enfants» au Sénégal on dit : quand on éduque un homme, on éduque un individu; quand on éduque une femme, on éduque toute une nation.
Depuis que j’ai accepté la responsabilité d’éditrice de Réflectivité en 2006, peu, mais très peu de femmes m’ont soumis des articles. Est-ce par désintéressement à la révélation, par peur de jugement, ou peut-être un manque d’expérience face à l’écriture? Si cette dernière est votre réponse, osezécrire quelque chose, me l’envoyer à line.stpierre@gmail.com et je corrigerai vos textes. Comme chaque personnalité est unique, chaque point de vue et pensée réfléchis est nécessaire à la compréhension d’homme et de femme différents dans leur nature.
Je me réjouis à l’effet qu’un nouveau comité s’est formé dans l’association lors de notre dernier conseil d’administration pour explorer les profondeurs de la pensée féminine parmi des lectrices et des femmes spirituelles au Québec. Johanne Séguin en est la présidente et sa participation féminine au conseil est bienvenue.
Il faut faire quelque chose pour être quelque chose, comme disait un bon amià moi.
J’anticipe recevoir votre lettre bientôt pour une future parution dans le Réflectivité.
Aimer c’est servir.
Line St-Pierre
Ste-Sophie, 31 janvier 2010
IL Y A MAINTENANT UN PEU PLUS DE 20 ANS QUE J’AI DÉCOUVERT LE LIVRE D’URANTIA.
Dès le début, j’ai été emballé. Enfin, je commençais à trouver un sens à la vie, à trouver un sens à ma vie. Rapidement, j’ai voulu partager ma découverte avec ma famille et ami. Erreur, en peu de temps les gens qui m’entouraient se sont éloignés de moi : je passais pour un fou!
J’avais 20 ans, disons que je manquais de tact et de subtilité. J’ai appris qu’il valait mieux être discret, qu’il valait mieux «sonder le terrain »avant d’en parler ouvertement. J’ai compris que pour la grande majorité des gens Dieu était synonyme d’institution religieuse, avec tout ce que cela implique.
Un ou deux ans plus tard, j’ai réussi à former un groupe d’étude, mais en moins d’un an c’était terminé. J’ai continué à étudier le livre mais presque en secret, sans en parler à personne. Honnêtement, je me suis senti très seul.
Des années ont passé, puis au début 2010, j’ai réalisé que, pour une bonne part ma foi ressemblait plus à un assentiment intellectuel qu’à une foi vivante. Je me suis alors posé les questions suivantes:
Et bien ou, je suis un fils de Dieu et je n’ai absolument rien à perdre à croire de tout cœur à ces enseignements, au contraire, j’ai tout à gagner! Et d’un seul coup ma foi a fait un bond de géant. Instantanément, ma foi est devenue vivante. C’était si simple.
Quelques mois on passé, j’ai beaucoup réfléchi et j’ai décidé d’agir. Depuis longtemps je m’indigne contrel’état lamentable du monde, surtout contre la fausseté et le mensonge. Je suis au moins un cinq milliardième de l’humanité et cela est devenu inconcevable que je ne fasse rien pour celle-ci. Jouer un rôle, autant petit soit-il, dans l’évolution spirituelle de notre planète c’est ce que je veux faire. J’ai donc décidé de former un nouveau groupe d’étude, de réunir des lecteurs isolés. Je suis aussi entré en contact avec l’AUQ,
Dans ma démarche pour former un groupe, j’ai vite réalisé que cela signifiait que j’acceptais, par le fait même, d’afficher publiquement mon allégeance à Dieu. Je ne dis pas que j’irai courir dans les rues en criant que je suis un fils de Dieu. Non! Je dis qu’à partir de maintenant j’accepterai d’être mal compris et peut-être jugé par la famille, les amis, les connaissances.
Je ferai fi du regard des hommes pour m’en remettre au regard de Dieu. Peut-être vais-je aussi réussir vraiment à regarder les hommes commej’imagine que Dieu les regarde.
Pour terminer, j’ai le plaisir d’annoncer que le 11 décembre dernier s’est tenu la première réunion du groupe d’étude UNI-TERRE à Ste-Émilie de l’Énergie. Nous étions quatre personnes très enthousiasmes et heureuses de faire connaissance. À partir du 9 janvier, les réunions se tiendront les dimanches matin à 9 h00. Il nous ferait plaisir d’accueillir d’autres lecteurs. N’hésitez pas à me contacter.
Éric Martel
450-756-9387
Loubar69@bell.net
BONJOUR CHERS LECTEURS ET LECTRICES, cela fait déjà trois ans que j’occupe le poste de viceprésident dans cette belle association de chercheurs de vérité.
Comment est-ce arrivé? Un soir, j’ai reçu un appel d’un ami qui m’annonçait l’ouverture de ce poste et qu’il m’y voyait. Lui m’y voyait, moi j’en doutais! Cependant, une petite voix en moi me disait que oui je devais foncer et oser proposer ma candidature. Je n’avais aucune expérience d’administrateur, j’étais même intimidé par cette sphère d’activité. J’avais peur de ne pas être à la hauteur. Quel est le rôle d’un vice-président dans la vie, surtout dans ce genre d’organisation? Mais, ma petite voix ne lâchait pas et je l’ai écouté.
Puis-je vous dire que je ne l’ai jamais regretté? Je me suis vite aperçu que les titres qui m’effrayaient n’avaient pas grande importance dans cette équipe orientée vers la** dissémination des enseignements** du livre d’Urantia ainsi qu’à la formation de dirigeants et d’enseignants. Le respect des forces, des valeurs et de la disponibilité de chacun est à l’honneur. L’esprit de camaraderie fraternelle règne. La compétition est chose du passé. L’esprit de service est prépondérant. La tâche du vice-président n’est pas aussi cléricale que celles de secrétaire et de trésorier. L’assistance aux réunions du conseil administratif mensuel est appréciée. À ces sessions de travail, l’amour est rendu visible.
Au fil du temps, j’ai trouvé une niche au sein de l’équipe. Mon expérience antérieure d’enseignant m’a permis d’accepter des responsabilités dans l’organisation des thématiques que l’association pilote. Les activités de préparation et de coordination gravitant autour de ces événements sont on ne peu plus enrichissantes pour tous. La journée de l’événement est certainement un point fort, mais ne représente que la pointe de l’iceberg. La récompense est directement proportionnelle à l’effort des participants dans ces thématiques dédiées aux progrès spirituels. Si j’ai présenté ce volet de mes activités comme vice-président, c’est pour montrer la souplesse de l’équipe à respecter et encourager les potentiels de chacun.
Une autre activité que j’apprécie beaucoup est la visite en régions éloignées pour rencontrer des lecteurs isolés. Elle n’est pas obligatoire, mais est source d’agréables surprises. Comme vous le voyez, les occasions de servir ne manquent pas à ce poste. Pour terminer, je peux dire que, si servir est un privilège, le poste de vice-président est un cadeau que m’a présenté mon ami. J’espère que ce court témoignage encourage mes frères et soeurs à oser s’engager dans la voie du service! L’Association Urantia du Québec a besoin de vos potentiels et vous offre l’occasion de les développer, à ce poste ou à d’autres.
Guy Laporte,
vice-président de l’AUQ
DANS L’ÉTERNELLE ÉCONOMIE DE L’ADMINISTRATION DE L’UNIVERS, ON NE RENCONTRE JAMAIS DE GASPILLAGE PAR RÉPÉTITION INUTILE DE FONCTIONS. LU 6:4.2
Pour que ceci soit possible, il faut bien connaître ses fonctions et avoir une bonne idée de celles des autres, si on ne veut pas les répéter en les superposant.
Pour ce qui est du rôle du Secrétaire, selon l’article 52 de notre Charte et règlement, le Secrétaire s’occupe du courrier et rédige les procès-verbaux; il garde le registre des membres, oriente les lecteurs vers des groupes d’étude et répond aux questions des membres, ou délègue une autre personne poury répondre.
Mais, il faut bien comprendre que notre Charte n’est pas comme la Convention collective d’un syndicat. Il y a une grande plasticité, flexibilité, dans son application et c’est ce qui lui assure une bonne harmonie.
Sinousy réfléchissons bien, nous sommes, tous à notre façon, un Conseil d’administration en entier. Nous sommes tous des Présidents qui doivent gérer leur quotidien efficacement; nous sommes tous des Trésoriers qui doivent gérer leur finance avec sagesse; nous sommes tous des Secrétaires qui doivent assurer un suivi dans les nombreux devoirs administratifs que la société nous impose. Alors, quoi de plus naturel pour une Association que d’avoir un Conseil d’administration, et quoi de plus naturel que d’y participer, de près ou de loin.
Maurice Migneault
Secrétaire de l’AUQ
JE SUIS UN LECTEUR DU LIVRE D’URANTIA DEPUIS 1970. A CETTE ÉPOQUE, IL N’Y AVAIT PAS D’ASSOCIATION AU QUÉBEC POUR REGROUPER LES LECTEURS.
J’avais la chance cependant d’avoir quelques lecteurs dans mon milieu de travail avec qui je pouvais communiquer mes états d’âme à propos de ce divin livre. Cette situation privilégiée ne devait toutefois pas durer. En 1979, j’ai changé d’emploi et je me suis retrouvé dans un véritable désert, plus aucun lecteur dans mon nouvel environnement. Ce nouveau contexte d’isolement a été quelque peu responsable de l’accumulation de poussière de mon précieux live.
Cette période désertique s’est étirée jusqu’à ma retraite en 2003 ou un événement inattendu est arrivé. En visitant un salon du livre à Montréal, ma conjointe Denyse, y découvre un kiosque del’AUQ et enregistre mon nom et mes coordonnées. Ce contact avec l’association des lecteurs au Québec fut très stimulant et fut le début d’un nouveau départ.
J’ai depuis participé à de nombreux groupes de lecture ainsi qu’à plusieurs thématiques organisées par l’AUQ. Quel pouvoir donne la possibilité de partager sa foi avec d’autres lecteurs. Le travail de rapprochement des lecteurs qu’effectue l’AUQ m’est apparu tellement important que j’ai décidé de m’engager dans le service actif et suis devenu vice-président de l’association en 2008.
En tant que membre du conseil d’administration de l’Association Urantia du Québec, j’ai été à même de mieux apprécier l’importance du mandat à effectuer. Premier constat, tous les administrateurs de cette organisation sans but lucratif y travaillent bénévolement. Le mandat principal de l’association est de disséminer les enseignements du Livre d’Urantia et de promouvoir la formation de dirigeants et d’enseignants. Pour y parvenir, l’association favorise la formation de groupes d’étude du livre, organise des thématiques concernant les enseignements du livre, publie une lettre de nouvelles mensuelle — RÉFLECTIVITÉ — adressée aux lecteurs du livre. L’association prévoit un voyage annuel en région au Québec pour établir de nouveaux contacts entre les lecteurs éloignés des grands centres. Elle participe également aux coûts énormes que nécessitent les traductions de ce volumineux livre.
Toutes ces activités nécessitent un budget. D’où vient-il? Pour une part, des cotisations des membres de l’AUQ, et d’autre part de la générosité des dons reçus. Apparait ici l’importance de devenir membre de l’AUQ. Combattre l’isolement du lecteur, favoriser l’éclosion de chefs et d’enseignants et disséminer les enseignements de ce précieux livre d’Urantia, tels sont les activités de l’Association Urantia du Québec. Pour y parvenir, votre aide est précieuse. Comment le faire? Devenir membre est un bon départ est prépondérant. La tâche du viceprésident n’est pas aussi cléricale que celles de secrétaire.
Guy Laporte
Vice-président de l’AUQ
LORS DELA DERNIÈRE RENCONTRE DU CONSEIL D’ADMINISTRATION LE 14 JANVIER 2011, OÙ J’ÉTAIS PRÉSENTE, J’AI PROPOSÉ UN PROJET QUI A ÉTÉ ACCEPTÉ AVEC ENTHOUSIASME.
Par le fait même, le conseil a décidé de me donner un mandat comme présidente d’un comité sur la femme. Cette idée est née des voyages au travers le monde de Line St-Pierre et Gaétan Charland qui ont rencontré les femmes et les hommes de multiples groupes d’étude sur les enseignements du Livre d’Urantia. Line m’avait partagé cette réflexion sur la place des femmes dans le mouvement urantien et se posait la question suivante; pourquoi y a-t-il si peu de femmes actives dans le mouvement? Qu’est-ce que ça prendrait pour que les femmes s’intéressent davantage aux enseignements du Livre d’Urantia? Quand elle a posé la question à son mari, celui-ci lui a répondu que ce serait les femmes qui auraient davantage la réponse à cette question.
J’ai été interpellé par cette réflexion, qui à mon avis mérite un approfondissement plus élargi que la simple vision d’une seule personne. Comme nous le savons tous, le questionnement est souvent le début de l’émergence. Faut-il tout d’abord se poser les bonnes questions.
Comment définissons — nous une femme spirituelle en 2011? Quelles sont les valeurs qu’elle véhicule et quel modèle représente-telle? Quel est son rôle dans la société actuelle? Et surtout, dans le contexte de révélatrice des enseignements du Livre d’Urantia, où doit-elle concentrer ses efforts pour être à même d’être une inspiration pour ses contemporains? Les révélateurs nous ont fait savoir que le livre étant donné avant son temps, était mis dans les mains de ceux qui devaient préparer le terrain.
Je suis doncà la recherche de ces femmes qui sont investies de cette mission pour former un comité qui se rencontrera pour discuter de ces sujets concernant la femme. Un rapport sera conçu suite à ces consultations et disponible comme source d’inspiration et jel’espère également, comme levier pour stimuler la participation cruciale des femmes à la révélation. Nous redéfinirons de façon actuelle la signification de ce que représente pour la femme le fait d’être nommé le porte-drapeau de la morale et la directrice spirituelle de l’humanité, rien de moins. Si vous êtes intéressée comme femme à vous joindre à moi dans ce projet, vous pouvez me contacter par courriel:joan_s59hotmail.com
Dans la même veine d’inspiration et de façon concomitante, je souhaiterais créer une consultation jeunesse c’est-à-dire rassembler plusieurs personnes hommes ou femmes de 18 à 35 ans ayant été en contact avec les enseignements du Livre d’Urantia d’une façon ou d’une autre. Le but étant de connaître leur point de vue et leurs idées concernant la dissémination de la révélation. La motivation vient toujours de l’action, voilà mon dessein. Pour ceux intéressés ou qui connaîtraient des jeunes intéressants, me contacter à l’adresse ci-haut.
Veuillez agréer toute ma sincérité et ma joie de servir la Suprématie divine.
Johanne Séguin
Présidente du Comité de la femme
BONJOUR CHERS LECTEURS ET LECTRICES, J’ESPÈRE QUE PLUSIEURS D’ENTRE VOUS ME RECONNAISSENT POUR M’AVOIR RENCONTRÉ À L’OCCASION D’UNE RÉUNION QUELCONQUE QUI REGROUPE LES CHERCHEURS DE VÉRITÉ QUE NOUS SOMMES.
Ouencore, pour avoir vu et revule nom de ce trésorier qui depuis quatre années déjà, prend grand plaisir à vous rappeler que la cause est unique, mais que les besoins sont multiples. Comment nous dissocier de cette belle fraternité qui allie nos idéaux!? Je suis convaincu que chacun de vous partage une parcelle de ma personne à cet égard. Permettez-moi de vous introduire, tel que je le vis, à la fonction de trésorier au sein de L’Association Urantia du Québec.
Pour moi, compter de l’argent est vraiment une fonction secondaire (bien qu’elle mérite d’être faite avec un très grand soin); c’est surtout sur les gens que je compte. Gérer la santé économique de notre association est indissociable de la mise en œuvre de tous les mécanismes à notre portée qui nous permettront de disséminer efficacement les enseignements du Livre d’Urantia. Et bien sûr, cela demande consultation et c’est pourquoi il est dynamisant de partager avec mes collègues du Conseil, les orientations et les moyens que nous prendrons pour atteindre nos objectifs.
Voici quelques faits :
Le Trésorier est responsable de la caisse et des comptes bancaires de l’association ; il recueille les cotisations et les contributions; il est responsable des collecteurs de fonds. (Statuts AUQ, art. 53)
Ces responsabilités permettent au Trésorier de s’épanouir à plusieurs niveaux :
Sur le plan affaires, il est amenéà saisirles subtilités concernant la gestion de base de toute bonne entreprise. Certains termes comptables et juridiques sont inévitablement démystifiés et par le fait même, contribuent à élargir le champ d’action pour toute personne œuvrant ou souhaitant œuvrer dans le monde des pme. Cette influence est également favorable dans la gestion de nos affaires personnelles.
Au niveau des relations de travail, les comptes-rendus aux associations nationale et internationale procurent des occasions supplémentaires pour communiquer nos points de vue et de participer à l’élaboration de notre mission sur un niveau élargi. Je conserve encore l’agréable souvenir de mon voyage à Chicago en 2008 alors que j’ai participé à une rencontre du Conseil de l’Association Urantia Internationale. Cela m’a soulevé un peu plus haut dans ma vision du monde. Il y a à peine quelques semaines, j’ai reçu un communiqué de Mark Kurtz, trésorier en chef de l’AUI, à l’effet qu’une liste de discussion sur Internet a été créée exclusivement au bénéfice des trésoriers de toutes les associations issues de l’AUI, tant local que national: ceci, afin que nous puissions mutuellement nous édifier dans notre savoir-faire en partageant une vision globale. N’est-ce pas là une belle plateforme pour fraterniser avec des gens de toute provenance sur Urantia?
Concernant ma satisfaction à faire ce travail, j’ai le privilège de constater de plus en plus que les occasions de servir sont sans bornes, mais surtout, à la portée de tous. Et avec cette expérience, une partie de ma propre quête est compensée par le sentiment de faire un pas de plus envers la réalisation de mon plus grand idéal, de m’unifier avec celui qui est la source même de mon existence. Au quotidien, nous sommes tous des trésoriers. Et moi, je prends souvent plaisir à dire que lorsque je m’occupe des affaires de mon Père, Il envoie ses anges pour m’aider à gérer les miennes.
Je pense que d’avoir été inscrit à cette tâche aura certainement contribué à me faire partager un des plus beaux travail de groupe que j’aurai connu sur Urantia. Seul, rien ne s’accomplit; l’univers lui-même évolue en relation avec chacune de ses parties. C’est pourquoi je vous remercie tous et toutes d’être là avec nous afin que mon travail puisse conserver sa valeur et afin que d’autres personnes puissent être inspirées à utiliser ce genre de chenal. Notre plus grand trésor est dans notre cœur, et le Père donne le sien librement.
Alain Cyr,
tresorier.auq@gmail.com
NOUS AVONS VU, DANS LE MENSUEL RÉFLECTIVITÉ DU MOIS DE DÉCEMBRE DERNIER, QUE LE SERVICE EST AVANT TOUT L’EXPRESSION DE L’AMOUR QUE NOUS PORTONS AUX AUTRES, ET QU’IL EST, DE PLUS, UN MOYEN DE CROÎTRE.
Nous verrons, aujourd’hui, comment le service peut s’appliquer dans la vie de tous les jours.
À quoi les êtres célestes qui peuplent les univers occupent-ils leur temps? Je dirais que leur principale activité c’est le service, l’équivalent de notre travail quotidien sur Urantia. Nous avons déjà vu, dans le texte précédent, que le régime du Paradis incorpore le service comme partie de notre apprentissage. Nous pouvons lire aussi, à propos de la vie sur les sphères de Jérusem, siège de notre système local :
«Les activités de ce monde comportent trois variétés distinctes : le travail, le progrès et le jeu, autrement dit le service, l’étude et la détente. » LU 46:5.29
Bien que l’on parle ici des activités du Paradis et de Jérusem, il est plausible de penser que le reste de notre éternité sera occupé, entre autres, à ces trois types d’activités. Le service est une partie essentielle de la gestion de l’univers. Mais pourquoi parler de service plutôt que de travail? Le travail, vu par notre société moderne, est avant tout un moyen nous permettant d’assurer notre survie physique. Le service, quant à lui, pourrait être défini comme un style de vie, une façon d’accomplir notre travail quotidien. Il dénote une préoccupation face aux gens qui nous entourent et face aux milieux dans lesquels nous travaillons. Le service nous demande d’exécuter les tâches qui nous sont dévolues au bénéfice de la communauté. Lorsqu’on accomplit notre travail dans le seul but d’obtenir un salaire ou une promotion, nos motivations sont exclusivement tournées vers l’assouvissement d’un besoin personnel; notre regard, orienté vers nous-mêmes, nous empêche de comprendre les vrais besoins de notre entourage. En accomplissant notre travail dans le but premier d’aider, celui-ci devient service puisqu’il est orienté vers les besoins d’autrui. Entendez-moi bien, il n’est pas question de condamner ceux qui cherchent à s’accomplir par la poursuite d’une carrière professionnelle. Il s’agit plutôt de changer les motivations attachées à l’exécution de notre travail quotidien en lui donnant une dimension altruiste. Jésus parle de cette dimension quotidienne du service lorsqu’il s’adresse à la tenancière d’une auberge grecque, dans laquelle il s’était arrêté lors de son retour de Rome avec ses deux amis indiens:
«… offre ton hospitalité comme une personne qui reçoit les enfants du Très Haut. Élève la corvée de ton travail quotidien au niveau élevé d’un art par la conscience croissante que tu sers Dieu en servant les personnes que Dieu habite par son esprit venu vivre dans le cœur des hommes. Cherche ainsi à transformer leur mental et à conduire leur âme à la connaissance du Père Paradisiaque qui a octroyé tous ces dons d’esprit divin. » LU 133:4.8
L’esprit du service, en plus d’ennoblir nos tâches quotidiennes, nous permet de découvrir et comprendre les besoins réels des gens qui nous entourent ou des organismes pour lesquels nous œuvrons; cela nous rend plus efficaces dans l’exécution de nos multiples activités. Ainsi, l’esprit du service plutôt que le simple assouvissement de nos besoins individuels peut devenir le moteur de notre réalisation personnelle.
Nous trouvons, en Jésus de Nazareth, un brillant exemple de service. Il fit preuve d’un dévouement exemplaire lorsque son père terrestre fut tué lors d’un accident sur un des chantiers de construction pour lequel il travaillait. À 15 ans, la gestion familiale est retombée sur ses épaules. Son dévouement à l’égard de ses frères et sœurs était touchant; il fut un frère et un vrai père pour eux. Pensons aussi à sa relation avec Ganid, le jeune Indien dont il était le précepteur. Pendant 2 ans, il instruisit patiemment ce garçon avide de vérité. Lorsque ce dernier tomba gravement malade, Jésus en prit soin avec beaucoup de tendresse et de sagesse.
L’esprit du service peut s’appliquer à bien d’autres activités de notre vie. Il peut s’agir de l’innovation c’est-à-dire, la création ou l’amélioration d’outils ou de techniques visant le rehaussement de la qualité de la vie de notre entourage. Par exemple, Jésus, en raison de la connaissance qu’il avait de l’ébénisterie, a amélioré les techniques de construction de bateaux de son époque rendant la navigation à voile plus sécurisée. Au bout de cinq ans, la majorité des bateaux de Capharnaüm étaient construits selon ce modèle supérieur (LU 129:1.3). Il existe beaucoup d’exemples d’individus ayant mis leurs capacités au service de l’humanité. Pensons à ceux qui ont inventél’ordinateur et qui ont facilité la vie d’une multitude d’êtres humains.
Il peut s’agir du service philanthropique — l’aide humanitaire — comme ces bénévoles qui, par compassion, sont allés secourir les sinistrés du tremblement de terre qui s’est produit récemment à Haïti. Il peut s’agir aussi de bénévolat pour des organismes soutenant les causes sociales comme les soupes populaires. Pensons également à Jésus qui prenait le temps d’aider ses compatriotes alors qu’il allait son chemin. Il faisait tout simplement du bien en passant. Ce type de service est fait sans aucune rétribution, et cela représente une difficulté de plus dans son exécution, un don de soi plus grand.
Il peut s’agir du service le plus élevé qui soit, celui de l’expansion du règne de Dieu sur Urantia. C’est de loin le plus important de tous les types de service. S’impliquer dans le plan divin consistant à faire connaître notre Père céleste à ceux qui le cherchent par le partage de nos points de vue sur la spiritualité, vivre une vie inspirante et exprimer librement notre passion pour Dieu, devrait être nos premières préoccupations. Dans notre société moderne et matérialiste, cela représente un réel défi.
Le service n’est pas défini exclusivement par le désintéressement. Il est normal de recevoir un salaire pour notre travail quotidien. Les factures ne se paient pas toutes seules! Dans le même ordre d’idée, ce n’est pas parce que nous servons bénévolement que nous sommes automatiquement dans l’esprit du service. On peut donner du temps dans le seul et unique but de rencontrer des gens et se désennuyer. On peut faire du bénévolat pour enrichir un curriculum vitae. Dans ce cas, la motivation première de ces activités est exclusivement tournée vers soi.
Que le service s’exprime à travers notre travail quotidien, dans la création d’innovations, dans le bénévolat ou au niveau del’expansion du règne de Dieu, il est toujours et avant tout une question d’attitude, une façon de vivre, une manière élevée d’accomplir nos tâches pour le bien de notre communauté, de notre monde, de notre univers. Que se passerait-il dans notre société si l’esprit du service contaminait l’âme des croyants, si cet esprit imprégnait nos activités quotidiennes? Notre monde a grandement besoin d’être inspiré par ceux qui oseront servir leur semblable tout comme notre Maître Micaëll’a si bien démontré par son service désintéressé à toute l’humanité.
« … Quiconque veut devenir grand dans le royaume de mon Père, doit d’abord devenir le serviteur de tous. » LU 137:8.11
Marc Belleau
belleaumarc@hotmail.com
Si vous avez des commentaires, des questions ou des objections à propos de ce texte, n’hésitez pas à m’écrire. Il me fera plaisir de vous lire.
Assemblée générale annuelle
Samedi 5 février 2011 en matinée
Accueil dès 9h30
Présentation sur les groupes d’étude
à 13 h 30 , jusqu’à 16 h 30
Hôtel Le Dauphin, Drummondville
Thématique
Dimanche 13 mars 2011
Leadership et Enseignement
Présentations en matinée et discussions
en table ronde en après- midi
Hôtel Le Dauphin à Drummondville Accueil dès 9 h 30 jusqu’á 16h Coût 10$
Thématique
Samedi 14 mai 2011
Le thème et l’endroit vous seront communiqués ultérieurement
Pique-nique, Fête de Micaël
Dimanche 21 août 2011
Parc Angrignon à Ville La Salle
Visite en région
Les 1er et 2 octobre 2011
L’endroit vous sera communiqué ultérieurement
Thématique
Dimanche 16 octobre 2011
Le thème et l’endroit vous seront communiqués ultérieurement.
Souper des Fêtes
Samedi le 3 décembre 2011
L’endroit à venir.
L’Association Urantia du Québec (A.U.Q.) est affiliée à l’Association Urantia Internationale (A.U.I.) et soutient la Fondation Urantia dans son mandat tel que décrit dans la Déclaration de Fiducie de la Fondation Urantia et l’assiste dans la dissémination des enseignements révélés dans le Livre d’Urantia. L’Association est dirigée par un conseil d’administration composé d’un président, d’un vice-président, d’un secrétaire et d’un trésorier. Tous sont élus pour un mandat de deux ans, lors de l’Assemblée Générale Annuelle. On peut adhérer à l’Association en tant que membre régulier ou membre amis, selon des critères d’admissibilité propres à chacun.
L’Association Urantia du Québec se réserve le droit de révoquer ou de refuser toute demande d’adhésion si le requérant ne satisfait pas à ses exigences et règlements ou à ceux de l’International Urantia Association.
MEMBRE RÉGULIER
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CETTE ACTIVITÉ PERMET À PLUSIEURS LECTEURS DE DIFFÉRENTS NIVEAUX DE COMPRÉHENSION, D’ÉCHANGER ET D’ÉTUDIER ENSEMBLE LES ENSEIGNEMENTS DU LIVRE D’URANTIA. ELLE FAVORISE LE PROGRÈS SPIRITUEL EN PERMETTANT À SES PARTICIPANTS DE TROUVER DES APPLICATIONS PRATIQUES AUX ENSEIGNEMENTS DU LIVRE D’URANTIA DANS LEUR VIE QUOTIDIENNE. CETTE PRATIQUE IMPORTANTE PERMET DE GARDER UN POINT DE VUE ÉLARGI SUR LES CONCEPTS DE VÉRITÉ.
Vous désirez participer ou former un groupe d’étude; avec joie, nous vous assisterons. Vous désirez faire paraître votre groupe d’étude dans cette liste, contactez la responsable, via courriel association.urantia.quebec@gmail.com ou au 450-565-3323.
Groupe: Découverte
Tous les lundis de 19 h 30 à 21 h 30
Région des Laurentides Gaétan Charland et Line St-Pierre
Tél.: 450-565-3323
Groupe: Étoile du Soir
Tous les mercredis de 19 h00 à 21 h00
Région des Laurentides
Carmen Charland
Tél.: 450-553-3601
Groupe: Le Pont
Tous les jeudis de 19h30 à 21 h 30
Rive-Sud de Montréal
Guy Vachon
Tél.: 450-465-7049
Groupe: des Basses Laurentides
Tous les lundis de 19 ho0 à 21 h00
Yvon ou Irène Belle-Isle
Tél : 819-423-1240
Groupe: Lecteurs de la Mauricie
Tous les lundis de 19 ho0 à 21 ho0
Région de Trois-Rivières
Madeleine Boisvert et
Tél: 819-376-8850
Roger Périgny
819-379-5768
Groupe: Veritas
Tous les mardis de 19 h00 à 21 h 30
Région de Montréal, près de la station de métro de l’Église
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De 19h30 à 21 h 30
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Groupe: Les Ascendants
Aux deux semaines le dimanche de à 15h30
Rive-Sud de Québec
Guy LeBlanc
Tél: 418-835-1809
Groupe: Les Agondontaires
Aux deux semaines le dimanche de 13h00 à 16h00 Rive-Nord de Québec
Guy & Rolande L. Martin
Tél: 418-651-3851
Groupe: Les Débonnaires
Les mercredis de 19 h00 à 21 h 00
Région de Montréal
Julien Audet
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Groupe: Fraternité-Urantia
Les mercredis de 19 h 30 à 21 h 00
Région de Lanaudière
Richard Landry & Gisèle Boisjoly
Tél : 450-589-6922
Groupe: Vers les Sommets
Le vendredi de19h00 à 21 h00
Régions Ormstown & Valleyfield
Louise Sauvé
Tél: 450-829-3631
Groupe: La Famille unie d’Urantia
Le lundi de 19 h 00 à 21 ho0
Région Montréal
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