© 2012 Francine Fortin, Louise Dupuis, Dominique Ronfet, Ginette Kavanaghfv, Normand Laperle
© 2012 Association Urantia du Québec
TEL QUE PROMIS LORS DE MON dernier article paru dans le Réflectivité de janvier 2012, voici la suite de ma chronique.
Un des plus grands besoins de l’être humain va au-delà d’être entendu, celui d’être écouté et compris!
Ce ne sont pas les connaissances, mais plutôt les attitudes qui sont nécessaires à l’écoute, même si certaines techniques sont nécessaires. Les attitudes se réfèrent à des façons d’être et les techniques se situent au niveau de l’agir.
Afin de nous stimuler à l’écoute, il est important d’en comprendre les avantages:
Maintenant que nous avons compris l’importance et les avantages d’une bonne écoute, voici les qualités nécessaires d’un bon écoutant :
J’espère que vous vous sentez mieux équipés, suite à cette chronique, pour débuter immédiatement votre écoute authentique et différente et que vous saurez en faire bénéficier tous les frères et sœurs que vous côtoyer.
D’ici ma prochaine chronique, soyez à l’écoute!
« Dieu nous a dotés de deux oreilles et d’unebouche, voilà la raison pour laquelleilfaut écouter deux fois plus qu’il faut parler! ».
Francine Fortin
C’EST LA RECONSTITUTION de nos intentions et de nos mobiles qui prouve et appuie nos déterminations au changement personnel et individuel.
La persistance d’un engagement à vouloir innover, par notre aptitude à développer des habitudes saines de penser et par notre habileté à corriger nos problèmes de comportement. Nous devons apprendre à ajuster notre pensée à la pensée divine, dans le but d’entretenir une harmonie avec l’Ajusteur de Pensée. De cette manière, nous améliorons notre conduite personnelle et individuelle en nous orientant vers des idéaux de vie réajustés.
Il faut que le mental humain soit d’accord et disposé mentalement à se laisser enseigner comme un enfant, à faire des choix moraux et à naître d’esprit. Le LU nous mentionne: [P. 1438 — §1]《Aujourd’hui, mon fils, tu dois naître à nouveau, rétabli en tant qu’homme de foi, de courage et de service dévoué aux hommes pour l’amour de Dieu. Quand tu seras ainsi réadapté en toi-même à la vie, tu seras également réadapté à l’univers; tu seras né de nouveau — né de l’esprit — et désormais toute ta vie ne sera plus qu’un accomplissement victorieux.»
Il nous faut mourir à notre ancienne vie matérielle afin de nous recréer, dans le but de former notre nouveau véhicule de vie. Cette attitude d’élévation mentale contribue grandement à renforcer et à solidifier notre force de caractère dans notre personnalité.
La personnalité humaine doit se recréer spirituellement, se régénérer mentalement, se qualifier à une adaptation à l’environnement social. Les transformations de vie morontielle se concrétisent par une série de consécrations d’expériences personnelles, de changements intellectuels dans un idéal de vie. Il nous faut transcender les vicissitudes de la vie ordinaire emprisonnées dans notre mental, se manifestant par des malaises intérieurs ou mal-être. Ces malaises ressemblentà des poisons physiques et mentaux incrustés dans notre mental matériel. Ces poisons sont nuisibles au progrès de notre âme et à notre contact conscient avec notre Ajusteur de Pensée. Le LU nous en parle ainsi: [LU 110:1.5] « Tous les poisons physiques retardent grandement les efforts des Ajusteurs pour exalter le mental matériel, et, par ailleurs, tous les poisons mentaux, tels que la peur, la colère, l’envie, la jalousie, la suspicion et l’intolérance, interfèrent prodigieusement aussi avec le progrès spirituel de l’âme évoluante.»
Les poisons physiques peuvent se manifester très subtilement dans le mental de la personnalité par le manque de courage, le manque d’orientation, le manque de coordination, le manque de fidélité, le manque de curiosité, le manque de coopération, le manque de vigilance, le manque d’enthousiasme, la nonchalance, l’indolence, l’impatience. La quête de la perfection n’est jamais acquise, il faut développer l’entrain, le dynamiste spirituel de notre personnalité, afin de rester vigilant face à l’indolence. Il faut développer notre esprit de courage afin d’améliorer notre vie de droiture, de justice divine, de miséricorde et de pardon pour notre service divin. En spiritualité, rien n’est magique, la personnalitéale privilège dese construire un nouveau véhicule sans raccourci. Le LU nous dit: [LU 75:8.5] « Au cours de toute votre ascension au Paradis, vous ne gagnerez jamais rien en essayant impatiemment de vous dérober au divin plan établi, au moyen de raccourcis, d’inventions personnelles ou d’autres expédients pour améliorer le chemin de la perfection, vers la perfection et pour la perfection éternelle.»
Les poisons mentaux se manifestent très subtilement par toute sorte de comportements personnels et par des attitudes négatives face à des relations avec d’autres personnalités. La personnalité a la responsabilité de se libérer de ses déficiences, par une consécration à corriger ses défauts de caractère et le LU nous le confirme: [LU 47:3.8] « Presque toute l’expérience du monde des maisons numéro 1 concerne les soins apportés aux déficiences. Les survivants qui arrivent sur cette première sphère de retenue présentent des défauts de caractère si nombreux et si variés, et de telles déficiences d’expérience humaine, que le royaume consacre ses activités majeures à corriger et à guérir ces multiples héritages de la vie incarnée sur les mondes matériels évolutionnaires du temps et de l’espace.»
Les poisons mentaux concernent aussiles peurs. Les peurs peuvent être aussi imaginaires, illusoires et irréelles, par des situations qui ne sont pas arrivées et qui n’arriveront peut-être jamais. Afin de s’en libérer, il faut les examiner et être vigilant à trouver des solutions valables et réalisables. Une peur peut être réelle par un danger physique qui peut nuire à notre intégrité. Le meilleur moyen pour stabiliser nos déséquilibres mentaux et émotionnels, il est préférable de se retirer quelque temps afin de pratiquer un examen minutieux de nous-mêmes dans le but d’atteindre une certaine maturité émotionnelle. Par notre expérience personnelle, cette habitude de perfectionnement dans notre vie personnelle nous aide à redéfinir nos valeurs spirituelles.
Il faut examiner les poisons physiques et mentaux par une analyse impartiale. Dans cette analyse, il faut faire preuve de loyauté, d’authenticité et être honnête envers nousmêmes. Nos conflits mentaux sont intérieurs à nous et ne proviennent jamais de l’extérieur, c’est pourquoi il est essentiel de les examiner dans différentes situations ou événements quotidiens afin de cerner les faits tels qu’ils sont.
Le pardon est la chose la plus difficile à apprendre et est l’indication la plus profonde que vous êtes en contact avec votre Ajusteur de Pensée. Par sa volonté,la personnalité réussit à se libérer des ressentiments et des rancunes cristallisées autour d’injustices passées. Il faut trouver des solutions concrètes, censées et connectées à la réalité, sans pour autant jeter le discrédit sur les personnes impliquées dans nos conflits mentaux.
Au fur et à mesure que nous poursuivons cet apprentissage de perfectionnement, cette accoutumance finit par s’imprégner dans notre mental. C’est un procédé afin de parvenir à l’amélioration de nos relations avec cette Présence Divine qui spiritualise nos idéaux de vie. C’est ainsi que l’homme par sa ténacité intellectuelle assimile, intègre des valeurs morales et des significations spirituelles dans sa conscience. À force de répétition, notre contact spirituel avecl’Ajusteur de Pensée se fait plus rapidement. Ce choix doit être volontaire, dans un désir sincère d’être à l’image et à la ressemblance du Père Universel.
Louise Dupuis
louisedupuis@sogetel.net
JEREMY RIFKIN DANS SON LIVRE, Une nouvelle conscience pour un monde en crise, développe une théorie basée sur des résultats d’analyse comportementale et de recherche en neurosciences: l’empathie, cette capacité intuitive à reconnaître les sentiments d’autrui est innée.
Elle débute bébé, mais sera brimée, étouffée par une éducation culpabilisante.
Notre société efface cette réalité pour ne valoriser que le pouvoir sur l’autre, de l’acquis au détriment de l’autre. Cette vision a été largement théorisée par Freud et a fini par s’imposer comme une évidence pour beaucoup.
Nous serions nés pour dominer, nés pour satisfaire au plus près nos désirs immédiats.
L’analyse touffue de RIFKIN démontre clairement cette situation. Nous sommes nés avec la capacité de nous identifier, de nous «ressentir» les uns les autres. En quoi ce don d’empathie peut-il nous aider dans notre rôle de dirigeant?
En regardant le comportement de Jésus, nous voyons à quel point ce don était développé chez lui. On devine que c’est ce qui lui permettait, en tant qu’humain, de lire les besoins d’autrui et d’y répondre au mieux, au plus juste s’adaptant toujours à l’écoute de l’autre.
Alors comment pourrions-nous développer cette faculté qui nous aiderait à trouver la bonne réponse, non standardisée, aux besoins de nos contemporains?
Car si nous pouvons communiquer de l’information, nous ne pouvons pas communiquer notre expérience. C’est un peu le drame humain et nous y sommes confrontés en tant que «porteur»d’un message. Pour peuquel’on se donne cette prétention.
Mais si nous avions aussi à apprendre d’autrui? En inversant le rapport, nous ouvrons la voie à de réels échanges et non à une démarche «missionnaire» de conquête.
C’est en multipliant les occasions d’échanges que nous éviterons de tomber dans une simple transposition de comportements «commerciaux» dans le domaine spirituel, du développement intérieur, qui ne répond pas aux mêmes règles.
C’est un réflexe malheureusement assez naturel que de penser: «puisque cela fonctionne dans un domaine cela doit donner d’aussi bons résultats dans tel autre.»
Mais rien n’est plus faux lorsque nous mettons en parallèle le domaine que je nommerai «de l’esprit», faute de mieux, et celui de la matière. Le domaine des valeurs éternelles et celui transitoire qui répond aux passagères lois de la pesanteur.
Car avant d’avoir un langage de prédicateur il nous faut surtout apprendre. Apprendre l’honnêteté, la sincérité, apprendre à se connaître, apprendre à se reconnaître dans l’autre: c’est sans doute cela «apprendre à l’aimer». Apprendre à se chercher dans l’autre. Il nous faut donc créer des espaces qui obligent ces échanges inter culturels, inter religieux.
Que nous, lecteurs des fascicules, soyons des exemples d’écoute d’autrui, des puits de curiosité puisque l’éternité nous est offerte, des guides étonnés par la voie qui se découvre devant et en nous dans notre expérience.
Pour terminer je reviendrai à l’analyse de Jeremy RIFKIN pour qui cette capacité d’empathie représente en fait l’avenir de l’humanité, un cap de civilisation, un don trop longtemps retenu. Imaginons la place que notre communauté de lecteurs pourrait prendre dans notre époque de transition afin d’accompagner ce changement.
Soyons créatifs et inventifs dans notre avenir commun. Imaginons des solutions nouvelles.
Redécouvrons l’altruisme désintéressé.
Dominique RONFET
Association Française des lecteurs
du Livre d’Urantia (AFLLU)
BONJOUR À VOUS TOUS LECTEURS et lectrices du Livre d’Urantia. Je viens simplement vous partager mes impressions personnelles sur la journée thématique du 27 mai dernier à Drummondville ayant comme thème : Le langage divin.
Journée très profitable, par la façon de s’exprimer des deux conférenciers Marc Belleau et Gaétan Charland, sur le contenu de leurs exposés et l’approfondissement de certains textes du Livre d’Urantia, suivi des partages des assistants, ce fut un gros plus pour moi.
Ça fait du bien de se rencontrer entre personnes qui ont le même intérêt d’avancer spirituellement. Nous étions 35 attentifs et de belle humeur.
Après le dîner, ce fut le moment des tables rondes, comme elles se trouvaient déjà rondes, les idées débattues tournaient facilement.
On se retrouvait dans un climat propice pour partager nos idées et nos trouvailles sur la prière, la méditation, l’adoration, la vénération et plus…
L’atmosphère en était une d’ouverture, d’amitié et de collaboration. Je suis revenue chez-moi nourri de spiritualité et de joie.
En somme, ce fut un succès et aux dires de l’animateur, Guy Laporte, ce n’était pas une rencontre sur la coche, mais deux coches au-dessus.
Un gros merci sincère à tous les organisateurs de cette magnifique journée, elle fut très appréciée
Ginette Kavanagh
PRENDRE CONSCIENCE DE LA place qu’occupe « Le Livre d’Urantia » dans notre vie, c’est de prendre conscience de la place qu’occupe le Père, l’Ajusteur.
Je suis allé au 8 e Congrès international de l’AUI à Medellín, Colombie, Amérique du Sud, du 28 avril au 1er mai 2012 dont le thème était «L’art de l’enseignement et de la dissémination du Livre d’Urantia.»
Trois constats :
La dimension planétaire de la portée du Livre d’Urantia. Lorsque j’étais allé à Chicago en 2011, cet aspect du « Livre d’Urantia » ne m’était pas apparu avec autant de force. Chicago est la maison mère du «Livre d’Urantia ». C’est donc normal qu’il y ait toutes les activités que j’y ai vues. Chicago est sur le même continent d’où je demeure (Québec, Canada) et j’avais l’impression que c’était dans ma cour.
Par contre, pour aller à Medellín en Colombie, j’ai fait 12 à 15 heures d’avion incluant le passage de deux frontières. Arrivé à destination, on parle une autre langue, on baigne dans une autre culture, on est ailleurs. J’ai retrouvé des amis d’autres pays et d’autres continents que j’avais rencontrés à Chicago.
Paradoxalement, la planète m’apparait maintenant plus petite. Medellín est maintenant dans ma cour arrière, parce que j’y suis allé.
Le fait d’organiser des congrès internationaux à différents endroits sur la planète est une bonne idée parce que ça attire des gens qui habitent autour de ces régions. Ça «décentralise l’implication des gens» par rapport aux activités du Livre d’Urantia. Ça enracine davantage ces régions dans le mouvement. Ça fait découvrir des potentiels insoupçonnés de ces régions. Sur 150 participants, environ 72% venaient d’Amérique du Sud et d’Amérique centrale dont 57% des participants venait de la Colombie.
Pour les gens qui se déplacent vers ces régions, ça fait découvrirla dimension planétaire du livre. Ça fait aussi ressortir la dimension «de leur propre implication ». Ça fait découvrir qu’il y a beaucoup plus de ressemblances que de différences entre nous chercheurs de vérité. Ça nous fait puiser dans un savoir planétaire afin de s’aider entre nous. C’est un moment idéal pour faire le point sur notre évolution régionale et individuelle.
J’ai pu converser un-à-un avec des gens d’Argentine, d’Australie, du Brésil, du Canada, du Chili, du Costa Rica, del’Équateur, d’Espagne, du Pérou, de la République Dominicaine, de Russie, d’Angleterre, des É.U., d’Afrique (Nigéria, Cameroun, Malawi, Sénégal), de la Colombie (Barranquilla, Bogota, Boyaca, Cali, Medellín, Monteria, Santander). Mon seul regret est de ne pas avoir pu parler l’espagnol pour pouvoir échanger intimement avec ceux qui ne parlaient qu’espagnol. J’ai donc décidé d’apprendre l’espagnol.
Deuxième constat : Les deux niveaux d’échange dans ce type de rencontre.
Il y a les discours centrés sur le thème et il y a les contacts individuels, seul à seul, entre personnalités. Force est de constater que c’est surtout ce dernier qui nous reste en mémoire lorsqu’on revient chez soi.
C’est comme si les activités n’étaient qu’en surface, comme support à quelque chose de plus essentiel en arrière de tout ça. Ça n’enlève pas l’importance des conférences qui se passent au niveau intellectuel et donnent le ton à nos futures recherches visées et orientations. Je réalise que plus un exposé est intellectuel, moins il a de chance d’être retenu par les participants. Et qu’à l’inverse, plus un exposé est personnel (transmis directement par l’âme et la personnalité), plus il va être retenu par les participants. Par contre, il ne faut quand même pas que ces mêmes activités soient négligées. Il faut que les participants se sentent constamment en confiance et bien encadrés. Il ne faut pas que l’organisation soit une préoccupation pour eux. Il faut qu’ils puissent «s’abandonner à l’interpersonnalité » l’âme en paix. Pendant que l’intellect est rassuré, lâme peut travailler à grandir.
Cequi m’amène à mon troisième constat. Durant ces congrès, on sent un type d’énergie de fond qui prévaut dans tous les échanges interpersonnels. C’est doux et fort en même temps. C’est l’amour. Mais pas n’importe quelle sorte d’amour. L’amour dont je parle prend son origine au-delà de la sentimentalité, au-delà de la psychologie et au-delà du mental. Elle tient compte du potentiel d’immortalité de l’être, de son cheminement dans l’éternité.
Se pourrait-il que ce type d’amour prenne son origine au-delà de la spiritualité dans l’Ajusteur, dans l’étincelle divine qui nous habite? Je laisse la question ouverte.
L’amour possède une force d’« entrainement ». Elle est à la base de toutes les relations entre personnalités. Elle peut être vue comme ayant une certaine «densité », quelque chose de «tangible», de «substantiel ». Prendre conscience de l’amour qui nous habite décuple sa force, parce qu’à partir de ce moment-là, elle peut être prise en charge par la personnalité.
Je sors de ce congrès grandi.
Merci aux organisateurs.
Normand Laperle
Lévis, Québec
nlap@videotron.ca
RENCONTRE DES HÔTES DE GROUPE D’ÉTUDE
Le samedi 11 août
Endroit à déterminer
Pique-nique, Fête de Micaël
Le dimanche 19 août
Parc Angrignon à Ville La Salle
Brunch des Fêtes
Dimanche 2 décembre
Hôtel Best Western de St-Jérôme
CETTE ACTIVITÉ PERMET À PLUSIEURS LECTEURS DE DIFFÉRENTS NIVEAUX DE compréhension, d’échanger et d’étudier ensemble les enseignements du Livre d’Urantia. Elle favorise le progrès spirituel en permettant à ses participants de trouver des applications pratiques aux enseignements du Livre d’Urantia dans leur vie quotidienne. Cette pratique importante permet de garder un point de vue élargi sur les concepts de vérité.
Vous désirez participer ou former un groupe d’étude; avec joie, nous vous assisterons. Vous désirez faire paraître votre groupe d’étude dans cette liste, contactez la responsable, via courriel association.urantia.quebec@gmail.com ou au 450-565-3323.
Groupe: Découverte
Tous les lundis de 19 h 30 à 21 h 30
Région des Laurentides Gaétan Charland et Line St-Pierre
Tél.: 450-565-3323
Groupe: Étoile du Soir
Tous les mercredis de 19 h00 à 21 h00
Région des Laurentides
Carmen Charland
Tél.: 450-553-3601
Groupe: Le Pont
Tous les jeudis de 19h30 à 21 h 30
Rive-Sud de Montréal
Guy Vachon
Tél.: 450-465-7049
Groupe: Lecteurs de la Mauricie
Tous les lundis de 19h00 à 21 h00
Région de Trois-Riviêres
Madeleine Boisvert et
Tél: 819-376-8850
Roger Périgny
819-379-5768
Groupe: Veritas
Tous les mardis de 19 h00 à 21 h 30
Région de Montréal, près de la station de métro de l’Église
Lise et Pierre Routhier
Tél.: 514-761-2378
Groupe de Sherbrooke
Aux deux semaines, le mardi ou mercredi (à confirmer)
De 19h30 à 21 h 30
Hélène Boisvenue ou Denis Gravelle
Tél.: 819 569-6416
Groupe: Les Ascendants
Aux deux semaines le dimanche de à 15h30
Rive-Sud de Québec
Guy LeBlanc
Tél: 418-835-1809
Groupe: Les Agondontaires
Aux deux semaines le dimanche de 13h00 à 16h00 Rive-Nord de Québec
Guy & Rolande L. Martin
Tél: 418-651-3851
Groupe: Les Débonnaires
Les mercredis de 19 h00 à 21 h 00
Région de Montréal
Julien Audet
Tél : 514-315-9871
Groupe: Fraternité-Urantia
Les mercredis de 19 h 30 à 21 h 00
Région de Lanaudière
Richard Landry & Gisèle Boisjoly
Tél : 450-589-6922
Groupe: Vers les Sommets
Le vendredi de19h00 à 21 h00
Régions Ormstown & Valleyfield
Louise Sauvé
Tél: 450-829-3631
Groupe: La Famille unie d’Urantia
Le lundi de 19 h 00 à 21 ho0
Région Montréal
Mme Diane Labrecque
Tél : 514-277-2308
Les Partenaires du Suprême
Le lundi de 19h30 à 21 h30
Région Québec
Richard Lachance
Tél : (418) 614-2520 ou (418) 933-0244 (cell)
À la Maisonia
Aux deux semaines le lundi de 19h15 à 21 h30
Région de Québec
Gilles Bertrand & Louise Renaud
Tél : 418-871-4564
Groupe: Uni-Terre
Tous les dimanches dés 9h00
Région de Lanaudiére
Éric Martel
Tél: 450-756-9387
Groupe : Laurantia
Tous les dimanches dés 9h00
Région Petite Nation en Outaouais
Denise Charron & Jean-Claude Lafreniêre
Tél : 819-983-2113
Groupe: Les précurseurs de la Réalité divine
Aux deux semaines le mardi de 18h30 à 20h30
Région des Laurentides
Mme Johanne Séguin
Tél : 819-327-3237
Groupe : Sans Frontiére
Le dimanche de 9h30 à 1 Ih30
Région Hawkesbury
Yvon et Iréne Belle-lsle
Tél : 613-632-5706
Groupe : de l’Outaouais
Le dimanche de 14h00 à 16h00
Région d’Ottawa
Maurice Migneault
Tél : 613-789-6833
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