© 2014 Gilles Bertrand, Gilles Brien, Line St-Pierre, Hélène Boisvenue, Laurent Jalbert, Pierre Routhier
© 2014 Association Urantia du Québec
(dimanche 2 février 2014)
EN CE JOUR DE LA MARMOTTE 2014, la vingtaine de personnes réunies lors de l’Assemblée générale annuelle del’A.U.Q. à Drummondville était assez réveillée. Je dirais même très éveillée où l’on ne vit nulle ombre au tableau dans cette journée consacrée à l’élection de nouveaux venus au sein des membres exécutifs réunis pour cette occasion.
On a procédé aux éléments obligatoires d’une assemblée générale faisant quorum. De l’ouverture de l’assemblée générale, de la lecture et de l’adoption de l’ordre du jour, du procès-verbal, des rapports financiers et du bilan présentés tour à tour par Maurice Migneault (secrétaire par intérim), Robert Cadieux (Président d’élection), Luciano Camellini (viceprésident par intérim), Gaétan Charland (président) et Marcel Laporte (trésorier), ce fut un feu déroulant d’informations générales et de mises à jour adéquates.
Des remerciements aux membres démissionnaires furent faits en bonne et due forme. J’en profite donc pour saluer nos deux amis Guy Laporte (ancien V.-P.) et Éric Martel (ancien Secrétaire) pour leur implication auprès de l’A.U.Q. en 2013.
Concernant le processus pour renouveler les places vacantes, l’harmonie régnait tant et si bien que toutes les propositions ont été votées à l’unanimité. On aurait, peut être aimé obtenir, un plus grand nombre de candidats aux postes ouverts à la vice-présidence et au secrétariat, afin de stimuler encore davantage notre implication personnelle et précieuse vis-à-vis de notre organisme qu’est l’A.U.Q., mais cette occasion de service se renouvèlera à terme et je souhaite vraiment que vous songiez à une participation active dès la prochaine rencontre du genre.
Quoi qu’il en soit, les heureux élus furent Johanne Séguin au poste de secrétaire et Luciano Camellini à la VicePrésidence. Malheureusement, Johanne était absente à cause de ses occupations professionnelles et sa candidature par voie écrite fut applaudie chaleureusement par tous les membres présents. Quant à Luciano, son ardeur et son enthousiasme ne furent pas affaiblis par un quart de nuit de travail et il a su nous entretenir et nous faire vibrer d’émulation tant sur ses projets que sur son implication future concernant la très importante rencontre internationale de l’A.U.I. en 2015 à Lennoxville. Tous les détails utiles suivront dans les prochains Réflectivité et soyez assurés que les occasions de service ne manqueront pas. Merci donc Luciano et tu me donnes le goût de lever la main et de crier également… PRÉSENT!
Après les élections, la séance fut suivie par l’exposé de notre président toujours désireux de nous informer avec justesse. Il nous fit comprendre clairement ce qu’est la mission première de la Fondation comparée aux associations du même nom. J’y ai finalement bien compris ce qui suit : la traduction, les impressions et le gardien du texte inviolé concernent de fait la Fondation. Les associations, elles, sont là pour soutenir les individus qui désirent maintenir vivant les enseignements du Livre d’Urantia. Ces derniers organismes, l’A.U.Q. et l’A.U.I. comblent donc par leurs outils pratiques et sociaux, ce mécanisme utile à notre développement individuel et collectif. À nous donc d’y référer et d’y être actif. Tu es comme dans la pub Gaétan, si on ne t’avait pas, faudrait t’inventer…
Gaétan nous a rappelé également l’importance des groupes d’étude et le mandat de publication qui sont des gabarits tout aussi importants l’un que l’autre. D’ailleurs des mises à jour sur ces sujets vont vousêtre présentées ultérieurement et vous verrez que les révélateurs nous indiquent clairement l’importance primordiale de ces deux sujets. Je me suis fait un devoir de relire toute la littérature écrite sur les groupes d’étude et sur le mandat de publication, documents disponibles à la demande ou à retrouver sur le NET.
Puis dans l’après-midi Line St-Pierre nous dévoila certaines activités qu’elle a réalisées depuis un an. Cette fidéicommissaire associée de la Fondation Urantia, a su intéressée plusieurs femmes non seulement au Québec, mais aussi dans certains contacts situés àl’international. Ces trouvailles sont dues principalement à son engament personnel et à son implication auprès de la Fondation à Chicago. Son projet puisqu’il faut le nommer sur: « Le Comité de la Femme », jette un regard frais et nouveau auprès de la gent féminine et va susciter un engouement certain et qui va surement exploser bientôt sur ces porte-drapeaux de la moralité de notre société qui a vraiment un urgent besoin de ces modèles de grâce, de bonté et de beauté. Le profit et le bénéfice seront alors le gain pour tous hommes et femmes. Une fois de plus, les femmes sont fécondes. Belle initiative et je salue, en toute confiance, ces âmes généreuses, ces dames qui viendront se greffer à ce programme cordial. J’attends femmes, avec impatience, vos prochains comptes rendus.
La rencontre trop courte s’est terminée avec des échanges amicaux et spontanés et tous quittèrent joyeusement la salle avec en tête, en tout cas en ce qui me concerne, un désir d’implication dans le mouvement Urantia au Québec.
Cette journée de la marmotte 2014 annonce donc des projets ensoleillés pour l’avenir, venez, vous y joindre.
Alors, pour tous, féconde année 2014.
Gilles Bertrand
Québec
BONJOUR M. ET MME RÉFLECTIVITÉ et les collabos! Bravo pour le dernier Réflectivité! (et ce n’est pas parce que j’y ai participé , les textes sont particulièrement bons et touchants. Merci à Gaétan pour son rappel au sujet des groupes d’étude. C’est vraiment là le terrain où les efforts doivent être mis pour les prochaines années ; créer des groupes de lecteurs. Le Mandat de publication est un sujet et un objet d’intérêt extrême pour tout lecteur sincère après sa lecture du livre. Je vais me joindre à un groupe cette année. Dommage qu’il n’y a pas de groupe à Laval. À moins que j’en parte un…
Merci à Gaétan pour me pousser à y réfléchir. D’autres lecteurs isolés aussi y penseront pour leur coin.
Gilles Brien
Laval
À COMPTER DE MAINTENANT Réflectivité a son adresse courriel: reflectivite.auq@gmail. com où vous pourrez envoyer vos textes, réflexions et commentaires qui seront reçus par Normand Laperle. Normand s’est offertà servir et relever un nouveau défien prenant la responsabilité du Réflectivité assisté de Gilles Bertrand. Ensemble ils travailleront à la correction des textes, au montage de la lettre et à l’envoi postal ainsi que par courriel.
Je remercie mon collaborateur Denis Laniel qui pendant plus de cinq ans, mois après mois a servi au montage du Réflectivité.
Line St-Pierre
Conférence présentée lors d’une rencontre entre étudiants de la Sagesse Divine Progressive en juillet 2013 à Montréal, Québec Canada
Hélène Boisvenue
Première partie de quatre
J’ADRESSE DE CHALEUREUXREMERCIEments à M. Moussa Ndiaye pour son puissant soutien lors de l’élaboration de cette conférence.
Le tragique questionnement des hommes
Cette étude sur la gouvernance divine pour notre planète m’a beaucoup interpellée parce qu’elle peut répondre au tragique questionnement des hommes sur leurs conditions de vie.
J’emploie le mot tragique parce que beaucoup parmi ceux et celles qui nient Dieu et se disent athées le font à cause de la condition humaine qui engendre le mal et la souffrance. Le bouddhisme affirme : «La vie est souffrance».
J’ai relevé certaines affirmations de philosophes qui expriment la douleur et la révolte qui les assaillent quand ils réfléchissent à la condition humaine :
Ce n’est pas Dieu que je n’accepte pas, c’est le monde qu’il a créé que je n’accepte pas.
Quand bien même Dieu existerait, l’homme aurait un devoir d’incroyance, car ce Dieu est intolérable.
Infiniment puissant, Dieu aurait pu s’y prendre autrement.
Pourquoi est-ce que je souffre ? La souffrance c’est le roc de l’athéisme.
Beaucoup de philosophes athées présentent l’existence du mal comme une preuve de la non-existence de Dieu. Pour de nombreux auteurs, la réalité de la souffrance est inconciliable avec l’existence de Dieu. Un Dieu puissant et bon peut-il permettre la souffrance? Le cœur et la raison résistent lorsqu’on doit associer la souffrance et la bonté de Dieu.
Les penseurs qui réfléchissent à la question et qui ne rejettent pas Dieu pour autant avalisent la situation en affirmant que le monde n’étant pas Dieu, il ne peut être parfait. Car s’il était parfait, il serait Dieu et rien ne pourrait exister en dehors de lui. Le monde est donc soumis à la finitude, à l’imperfection : imperfection chez les personnes et instabilité de la nature d’où la possibilité du mal et de la souffrance.
C’est l’ignorance de la sagesse divine qui fait que la pensée de l’homme est troublée par sa vie sur terre et en même temps désespère devant Dieu. La réflexion que je présente ici sur la gouvernance divine pour notre planète essaie de cerner la sagesse de Dieu en ce qui a trait à la condition humaine.
L’imperfection permet la croissance et le partenariat
Nous avons au départ des données évidentes : l’être humain, son cadre de vie, la planète et l’univers sont imparfaits et ils s’insèrent dans une réalité où le temps intervient indubitablement. Ne pourrait-on pas posericil’hypothèse quel’imperfection indique une qualité d’inachèvement dans le temps, situation voulue par Dieu. L’imperfection permet le progrès, la croissance, le perfectionnement. Un délai dans le temps se pose entre l’imperfection et la perfection ou, dit autrement, entre l’inachèvement et l’accomplissement. Ce délai dans le temps est très important : il rend possible aux créatures de participer à la création divine en permettant aux personnalités créées de devenir partenaires de la Déité dans leur accomplissement. LU 105:6.5
Le progrès est le mot de passe de l’univers. Dans votre concept de la manière dont Dieu traite les hommes, ne pourriez-vous pas vous élever jusqu’au niveau où vous reconnaîtrez que le progrès est le mot de passe de l’univers. LU 4:1.2
La joie de se réaliser ou le plaisir de l’émergence
Lorsque ma fille était très petite, elle était émerveillée par les gâteaux que je faisais. Elle s’assoyait sur le comptoir près de moi et elle m’observait fascinée et réjouie du résultat. Plus tard, vers cinq ans, elle a exigé de faire elle-même les gâteaux. Son travail n’était pas alors aussi bien que le mien bien entendu, souvent il y avait des dégâts de pâte et de glaçage, mais ma fille était très heureuse de réaliser. J’ai gardé un tendre souvenir de la joie qu’elle manifestait si vivement. Maintenant, grâce à de nombreuses expériences, elle est devenue plus habile que moi dans ce domaine de la cuisine.
Pour les personnalités, il y a beaucoup de satisfaction, de plénitude, de joie à se réaliser, à construire, à faire émerger des choses, des idées, des valeurs. Au pouvoir de l’émergence que procure le don de la personnalité, ajoutez-y le plaisir de l’émergence.
Dieu comprend le besoin de ses créatures de se réaliser, de se construire. N’y a-t-il pas projet plus fascinant que de se réaliser soi-même et de faire ainsi émerger l’homme spirituel, le finalitaire. Dieu nous en donne les moyens.
Le cadre de vie contribue au perfectionnement ou à la divinisation de l’homme
Un des éléments déterminants pour le perfectionnement de l’être humain est son cadre de vie. La terre n’est pas muette et elle fournit les nombreuxfacteurs quiencadrent les hommes dont la famille, la race, la santé, l’intégration sociale, l’éducation, la religion, la vie économique (la science et l’industrie), la population, la planification nationale, les loisirs, l’environnement physique et autres.
Il faut concevoir qu’il y a une manière divine de gouverner les êtres et les choses de notre monde pour structurer et réaliser leur perfectionnement. Le perfectionnement de l’homme est sa spiritualisation ou sa divinisation. Certains mystiques des religions chrétienne, musulmane, juive et sûrement d’autres venant de l’Asie ont saisi cette vérité dans les siècles passés. Par exemple, Maître Eckart, dominicain du Moyen-âge (1260-1328) affirmait déjà à cette époque : «II faut absolument que je devienne Lui et qu’ll devienne moi. « La spiritualité de Maître Eckart fut fortement décriée par l’Église d’alors et un procès fut mené contre ce prédicateur trop audacieux. Au 10e siècle, un mystique musulman, Al-Halladj, fut crucifié pour avoir osé affirmer: «Je suis la Vérité », ce qui revenait à s’identifier à Dieu[1]. Aujourd’hui nous sommes prêts à saisir de telles vérités. Les mystiques des temps passés sont redécouverts et, c’est une grâce de Dieu, leurs écrits pourraient avec fécondité engendrer une nouvelle spiritualité. «Rien n’est plus puissant qu’une idée dont le temps est venu.»(Victor Hugo)
Dieu veut pénétrer la matérialité et il le fera en partenariat avec l’homme.
De l’homme animal, il veut faire émerger l’homme divin. Les éléments du cadre de vie que j’ai identifiés précédemment engendrent des conditions qui enrôlent les hommes dans le progrès, la croissance et le perfectionnement, qui entraînent l’homme dans le processus de divinisation.
À suivre dans le Réflectivité du mois d’avril.
Hélène Boisvenue
JE SUIS NÉ AU QUÉBEC DANS les années quarante, à l’époque de Maurice Duplessis comme premier ministre et en un temps où le clergé Wait plus d’emprise que les politiciens. Chez nous, tous les soirs dans le salon il y avait le chapelet où toute la famille participait. Au matin du Jour del’An, l’ainé demandait la bénédiction paternelle et, tous à genou devant lui, papa nous bénissait et nous souhaitait le Paradis à la fin de nos jours. C’était l’époque des traditions.
Au primaire, les religieuses m’enseignaient, puis des femmes laïques dans un collège des Frères du Sacré-Cœur. Il y avait le mois de Marie, le mois de St-Joseph, le mois du Sacré-Cœur, patron de notre école et la prière tous les soirs à l’église. Nous écoutions Les Plouffe à la radio et comme on obligeait les messages publicitaires à se terminer un peu avant sept heures, on courait à l’église pour la prière du soir.
Mon père étant journalier, les revenus étaient minimes pour supporter une famille de neuf enfants dont j’étais le cadet. Faire de grandes études était plus dans nos rêves que dans la réalité. Cependant, quatre des plus âgés de la famille sont entrés dans des communautés religieuses et y ont reçu leur éducation supérieure.
Malgré toute cette exposition à la culture religieuse, les meilleurs temps de contact avec mon Créateur étaient quand j’allais marcher dans les champs et les boisés des terres agricoles nous entourant. C’était un monologue, je LUI parlais comme à un ami et pouvait facilement lui raconter tout ce qui me tracassait et lui partageait mes inquiétudes quant à mon avenir. Je me sentais en confiance, comme un dernier refuge du quotidien et je sentais la présence d’un Père Céleste à qui je confiais mes espoirs, mes chagrins, mes doutes. Je revenais de ma promenade, allégé de ce fardeau qu’était l’avenir pour moi, en confiance qu’IL allait tout arranger en temps et lieu.
En ces temps, la situation politique au Québec nécessitait d’augmenter la population et les curés ont décidé d’épouser cette cause en prêchant qu’empêcher la famille était péché. Je revois ma mère au retour de la messe du dimanche où elle était allée rencontrer son Créateur, nous lançant toute frustrée: «Bon, le curé est encore monté en chaire et nous a envoyés chez le diable.» II en résulta que la famille grandit encore pour se retrouver au nombre de douze. Deux ans après, mon père mourait, donc plus question d’études supérieures pour moi, car il fallait nourrir la maisonnée.
J’ai débuté sur le marché du travail comme banquier suivi d’un bref séjour dans l’aviation puis un emploi avec le gouvernement fédéral qui m’emmena dans les Maritimes, plus précisément au Nouveau-Brunswick où j’ai fait connaissance d’une charmante, jolie, jeune fille qui est devenue ma compagne de vie.
Ensemble, nous avons œuvrédans différentes organisations pour aider les gens à trouver Dieu dans leur quotidien. Nous avons commencé dans un programme d’Aide à la famille avec des fiancés ou des nouveaux mariés et différents sujets étaient abordés, tels que les finances, la sexualité et les problèmes que tout nouveau couple rencontre au quotidien. Puis ce fut le Renouement conjugal, une organisation ou en couple avec une vingtaine d’autres nous explorions pendant un weekend la spiritualité dans nos vies et à l’intérieur du couple. Tout ça se faisait en discussions, en partages et par notre exemple. Nous avons beaucoup reçu, probablement plus que ce que nous avons donné et ces rencontres nous ont permis de grandir ensemble.
Peu après, Le Livre d’URANTIA apparu dans ma vie, m’expliquant l’existence de l’Esprit du Père Éternel en nous, nommé le Moniteur de Mystère, qu’on reçoit en bas âge qui nous guide constamment et nous aide si nous voulons collaborer avec lui, car il ne fera rien sans notre consentement. On dit de l’Ajusteur qu’il est engagé dans un effort constant pour spiritualiser votre mental…(LU 110:4.2) et grâce à lui j’ai vécu des expériences qui sans aucun doute dans mon esprit, je sais que je continuerai à vivre lorsque j’aurai quitté cette vie terrestre.
Cette vie est une étape d’enseignements et souvent, c’està travers les épreuves que nous grandissons. J’ai enseigné et j’ai été enseigné à travers une multitude d’expériences dont la longue maladie de notre fils, contracté à travers un cancer à dix-sept ans et qui est décédé à la maison à vingt- trois ans, à peine trois jours après avoir eu enterré ma belle-mère. Quelques années plus tard, en notre absence, notre maison fut complètement détruite par un feu.
Toutes ces épreuves nous ont rendus plus riches psychologiquement et spirituellement. Toutes ces choses matérielles auxquelles nous tenions tant sont maintenant gardées dans nos souvenirs. Nous en sommes venus à réaliser que la seule réalité était belle et bien spirituelle et que lors de notre départ, tout le reste ne suit pas.
Alors, ma foi, elle vient d’où? Je crois qu’elle vient premièrement de mon vécu, de l’attention que j’ai portée au pourquoi des évènements qui sont arrivées dans ma vie, aux valeurs que j’ai recherchées et à l’application que j’en ai faite dans mon quotidien.
Voir nos épreuves comme une occasion en or est un saut qu’on ne peut faire instantanément, mais les épreuves de la vie sont là pour nous l’enseigner. Donc, «Bonne épreuve à tous».
Laurent Jalbert
Nouveau-Brunswick
PRÈS DE 30 ANS D’EXISTENCE POUR le groupe Veritas qui met fin à son expérience hebdomadaire, pour des raisons de santé.
Ce groupe d’étude surgit du premier groupe d’étude au Québec, « Les prémorontiens », et du groupe d’étude Veritas naquit le groupe d’étude de Guy Vachon « Le Pont » de la rive sud de Montréal
Toutes ces rencontres du groupe Veritas furent des échanges de point de vue des participants, permettant à chacun de rectifier le leur.
Pierre Routhier
4071 rue Edna, Montréal, Qc, H4G 1Y6
514-761-2378
À raison de 5$ plus les frais de poste. Faites-moi part de votre intérêt, soit par courriel à line.stpierre@gmail.com ou par téléphone au 450-565-3323.
Line St-Pierre
CETTE ACTIVITÉ PERMET À PLUSIEURS LECTEURS DE DIFFÉRENTS NIVEAUX DE compréhension, d’échanger et d’étudier ensemble les enseignements du Livre d’Urantia. Elle favorise le progrès spirituel en permettant à ses participants de trouver des applications pratiques aux enseignements du Livre d’Urantia dans leur vie quotidienne. Cette pratique importante permet de garder un point de vue élargi sur les concepts de vérité.
Vous désirez participer ou former un groupe d’étude; avec joie, nous vous assisterons. Vous désirez faire paraître votre groupe d’étude dans cette liste, contactez la responsable, via courriel association.urantia.quebec@gmail.com ou au 450-565-3323.
Groupe: Découverte
Tous les lundis de 19 h 30 à 21 h 30
Région des Laurentides Gaétan Charland et Line St-Pierre
Tél.: 450-565-3323
Groupe: Étoile du Soir
Tous les mercredis de 19 h00 à 21 h00
Région des Laurentides
Carmen Charland
Tél.: 450-553-3601
Groupe: Le Pont
Tous les jeudis de 19h30 à 21 h 30
Rive-Sud de Montréal
Guy Vachon
Tél.: 450-465-7049
Groupe: Lecteurs de la Mauricie
Tous les lundis de 19h00 à 21 h00
Région de Trois-Riviêres
Madeleine Boisvert et
Tél: 819-376-8850
Roger Périgny
819-379-5768
Groupe: Veritas
Tous les mardis de 19 h00 à 21 h 30
Région de Montréal, près de la station de métro de l’Église
Lise et Pierre Routhier
Tél.: 514-761-2378
Groupe de Sherbrooke
Aux deux semaines, le mardi ou mercredi (à confirmer)
De 19h30 à 21 h 30
Hélène Boisvenue ou Denis Gravelle
Tél.: 819 569-6416
Groupe: Les Ascendants
Aux deux semaines le dimanche de à 15h30
Rive-Sud de Québec
Guy LeBlanc
Tél: 418-835-1809
Groupe: Les Agondontaires
Aux deux semaines le dimanche de 13h00 à 16h00 Rive-Nord de Québec
Guy & Rolande L. Martin
Tél: 418-651-3851
Groupe: Les Débonnaires
Les mercredis de 19 h00 à 21 h 00
Région de Montréal
Julien Audet
Tél : 514-315-9871
Groupe: Fraternité-Urantia
Les mercredis de 19 h 30 à 21 h 00
Région de Lanaudière
Richard Landry & Gisèle Boisjoly
Tél : 450-589-6922
Groupe: Vers les Sommets
Le vendredi de19h00 à 21 h00
Régions Ormstown & Valleyfield
Louise Sauvé
Tél: 450-829-3631
Groupe: La Famille unie d’Urantia
Le lundi de 19 h 00 à 21 ho0
Région Montréal
Mme Diane Labrecque
Tél : 514-277-2308
Les Partenaires du Suprême
Le lundi de 19h30 à 21 h30
Région Québec
Richard Lachance
Tél : (418) 614-2520 ou (418) 933-0244 (cell)
À la Maisonia
Aux deux semaines le lundi de 19h15 à 21 h30
Région de Québec
Gilles Bertrand & Louise Renaud
Tél : 418-871-4564
Groupe: Uni-Terre
Tous les dimanches dés 9h00
Région de Lanaudiére
Éric Martel
Tél: 450-756-9387
Groupe : Laurantia
Tous les dimanches dés 9h00
Région Petite Nation en Outaouais
Denise Charron & Jean-Claude Lafreniêre
Tél : 819-983-2113
Groupe: Les précurseurs de la Réalité divine
Aux deux semaines le mardi de 18h30 à 20h30
Région des Laurentides
Mme Johanne Séguin
Tél : 819-327-3237
Groupe : Sans Frontiére
Le dimanche de 9h30 à 1 Ih30
Région Hawkesbury
Yvon et Iréne Belle-lsle
Tél : 613-632-5706
Groupe : de l’Outaouais
Le dimanche de 14h00 à 16h00
Région d’Ottawa
Maurice Migneault
Tél : 613-789-6833
Groupe : Les fréres Alphée
Le dimanche
Région Thetford Mines
Sylvére Marcoux
Tél : 418-332-3560
Groupe : Le Phare de la Rive-Sud
Tous les lundis de 19h30 à 21h30
Région Rive-Sud de Montréal
Luciano Camellini et Dominique Marchessault
Avis: Toute interprétation, opinion, conclusion ou représentation artistique, affirmée ou impliquée, sont celles des auteurs et ne reflètent pas nécessairement l’opinion et les points de vue d’Urantia Association International ou les associations de niveaux locaux et nationaux.
Exemples puisées dans Dieu, de Frédéric Lenoir, Robert Laffont 2011, p. 253 et Maître Eckhart de Jean-François Malherbe, Fides 1999, p. 7 ↩︎