© 2016 Normand Laperle, Maurice Migneault, Marc Belleau, Gilles Brien, Réal Demers, Jean-Claude Lafrenière, Jacques Loranger
© 2016 Association Urantia du Québec
Normand Laperle
Rédacteur du Réflectivité
Les membres du conseil d’administration de l’AUQ se joignent pour vous offrir leurs meilleurs vœux pour l’année 2017.
Que cette nouvelle année vous inspire l’amour, la fraternité et les valeurs essentielles dans la vie.
Servir, c’est aimer, Dieu aime.
Samedi 11 février 2017 à 10 h
Hôtel Le Dauphin, 600, boulevard St-Joseph, Drummondville QC, J2C 2C1
Votre Conseil d’administration
Chers membres,
Prenez avis par la présente que votre participation à cette réunion est vivement sollicitée. Cette assemblée nous permettra de vous exposer le compte rendu des actions déterminantes faites par l’Association Urantia du Québec concernant la mission du Livre d’Urantia et de ses projets pour 2017.
Ordre du jour
Activités en après-midi
Premier volet :
On ne peut constater la taille de la montagne qu’en l’observant de loin. Dans cette optique, nous tracerons le portrait du mouvement urantien à travers le monde et nous pourrons ainsi mieux constater de l’ampleur du mouvement grandissant dont nous faisons partie. Nous découvrirons comment des lecteurs de différentes cultures ont réussi à développer à leur façon, un sentiment d’appartenance.
Deuxième volet :
Nous aurons une discussion ouverte découlant de cette vision mondiale, en nous questionnant sur les moyens à prendre pour ramener, à l’échelle du Québec, les découvertes de notre famille urantienne à travers le monde. Nous nous questionnerons à propos de ce que Le Livre d’Urantia peut nous apprendre au sujet de l’importance du sentiment d’appartenance, de l’implication des croyants, des moyens de faire plus de place pour la femme, et même comment nous pouvons y trouver des moyens d’utiliser les médias sociaux plus humainement.
Merci à l’avance de votre participation,
Maurice Migneault
Président AUQ
urantiamaurice@gmail.com
Une nouvelle année approche ; nous pouvons mettre l’emphase sur celle qui se termine ou celle qui s’annonce, c’est le choix de chacun. Nous pouvons réfléchir à ce que nous avons accompli ou à ce qui nous reste à faire, c’est le choix de chacun. Pour ma part, je passe très peu de temps à regarder les sillons que le navire laisse derrière. Je préfère la vision qu’offre la proue du voilier. Je pourrais toujours tenter de faire marche arrière, mais jamais je ne pourrai naviguer dans les mêmes eaux, car tout est en mouvement. L’important est d’ouvrir sa voilure aux vents lorsqu’ils se présentent.
Le 4 février prochain, lors de notre Assemblée générale annuelle, mon mandat à la présidence de l’AUQ prendra fin. Malheureusement, pour cause de disponibilité personnelle à venir, je ne pourrai me représenter. Il est important de bien mesurer ses engagements pour s’assurer de les mener à terme. D’autre part, il est également important de profiter de chaque opportunité de servir, car elles se présentent rarement deux fois. C’est pourquoi je vous enjoins de vous porter volontaire, d’offrir vos services pour le bon fonctionnement de votre association, vous y vivrez des expériences d’une grande richesse.
Il n’est pas nécessaire de signer un contrat à vie pour bien servir, la continuité peut également s’exprimer dans la diversité « La personnalité est la continuité dans le changement ».
Je vous souhaite à tous santé et spiritualité, et nombre d’amitiés pour en faire le partage.
Marc Belleau
Votre trésorier
L’assemblée annuelle de l’association Urantia du Québec (AUQ) se tiendra le 11 février 2017 à 10 h AM à l’hôtel Le Dauphin de Drummondville. Durant la matinée, nous vous présenterons le portrait de la situation financière de l’AUQ, nous vous parlerons du travail accompli par les différents comités et nous prendrons le temps de fraterniser. Nous procéderons aussi à l’élection des postes de président et de trésorier.
Au cours de l’après-midi, Gaétan Charland nous parlera des activités de l’association Urantia à travers le monde. Il est important d’être informé des avancées de la 5e révélation sur notre planète. La création et l’évolution des groupes d’étude ainsi que le nombre de congrès et activités qui ont lieu durant l’année sont de bons indicateurs de la santé du mouvement Urantia sur notre planète ; croyez-moi, le mouvement Urantia est en grande forme et en pleine santé. Nous, qui sommes au Québec, nous faisons partie d’un mouvement spirituel en expansion rapide ; rappelez-vous, il n’y a pas si longtemps, peut-être une trentaine d’années, les groupes d’étude se retrouvaient surtout en Amérique du nord et dans quelques pays d’Europe. Aujourd’hui, il en existe dans les deux Amériques, en Europe, en Afrique, en Asie, en Australie et en Nouvelle Zélande. Depuis la publication du livre d’Urantia en 1955, il s’est écoulé une soixantaine d’années ; nous pouvons parler, à juste titre, d’une avancée rapide des enseignements du Livre d’Urantia sur notre planète. Avec les traductions sur lesquelles la Fondation Urantia travaille et qui verront le jour prochainement, l’Association Urantia Internationale sera appelée à accueillir un nombre de plus en plus important de nouveaux lecteurs, de nouvelles âmes assoiffées d’une révélation plus large de Dieu. Nous, les membres de l’Association Urantia Québec, nous ne sommes pas seuls, nous appartenons à un groupe, à une famille de croyants de plus en plus nombreux.
Cette dimension de notre spiritualité, notre appartenance à un mouvement, fera l’objet d’une discussion en plénière qui suivra la présentation de Gaétan. Nous réfléchirons sur des questions comme: qu’est-ce que l’appartenance à un groupe ? Cette appartenance est-elle nécessaire ? Est-elle un frein à l’unité spirituelle des êtres humains ? Comment ce sentiment d’appartenance peut-il s’exprimer dans le mouvement Urantia au Québec ? Est-ce qu’appartenir à un groupe signifie l’exclusion de tout autre groupe ?
Au cours de notre ascension vers le Paradis, nous changerons de statut de nombreuses fois et ce faisant, nous appartiendrons à des groupes différents : fils de Dieu par la foi, fils ascendant du monde des maisons, citoyens de Jerusem, ascendeurs des cercles de Havona, citoyens du Paradis et Finalitaire. À chaque étape, on nous demandera d’être loyal envers ceux avec qui nous sommes associés. Le travail d’équipe est un des apprentissages important de notre carrière universelle ; je suis profondément convaincu que l’appartenance au groupe est un sentiment qui nous habitera durant toute notre ascension. Je crois qu’il vaut la peine que l’on s’y attarde maintenant.
Espérant vous voir nombreux à cette assemblée annuelle.
Marc Belleau
Lasalle
[Ce texte est la transcription d’une conférence donnée au mois de mai 2016 par l’Association Urantia du Québec lors d’une thématique intitulée « Naître de l’esprit ».]
« AVEC Dieu le Père, la grande relation est la filiation. Avec Dieu le Suprême, l’accomplissement est la condition préalable au statut — il faut faire quelque chose aussi bien qu’être quelque chose. » LU 115:0.1
Naitre de l’esprit, c’est devenir conscient de notre filiation avec Dieu, mais c’est aussi et surtout s’investir dans le plan divin, s’engager dans notre partenariat avec Dieu, servir la grande famille divine.
C’est notre relation avec le Père céleste qui nous permet d’être quelque chose. Avant même que nous en soyons réellement conscients, il fait de nous des fils et des filles par la foi, des ascendeurs en puissance. Ce potentiel qu’il remet entre nos mains doit s’actualiser par notre propre volonté et pour ce faire, Dieu nous octroie le libre arbitre, la capacité de faire des choix moraux. Par ces choix nous créons notre être, en collaboration avec l’ajusteur de pensée. Mais de quels choix s’agit-il ? Ces choix concernent les domaines de notre vie qui ont une incidence sur notre carrière ascendante, par exemple : le métier que nous avons choisi d’exercer, les activités artistiques que nous pratiquons, les concepts philosophiques et spirituels que nous endossons et que nous développons, les connaissances générales et spécifiques que nous accumulons. Les connaissances, pour ne prendre que cette dernière catégorie, sont infinies et nous les choisissons en fonction de nos passions et de nos inclinaisons personnelles ; elles entrent donc dans la définition de ce que nous sommes. Notre être se construit donc par les choix que nous faisons.
Et Dieu ne s’arrête pas là puisqu’il assure aussi notre devenir. Et qu’allons-nous devenir ? Nous deviendrons des êtres morontiels, des êtres spirituels, des ascendeurs du Paradis, des finalitaires et cette liste n’a pas de fin. En réalité, notre éternité est tissée d’une infinité de devenirs. Je dois vous dire que tout ça me semble bien palpitant et cette perspective me paraît beaucoup plus cohérente que tout ce flou conceptuel proposé par les religions institutionnalisées.
Notre relation avec le Père céleste est basée sur notre capacité de choisir librement ce que nous désirons être et devenir et il s’est donné comme règle de toujours respecter nos choix. N’est-ce pas la plus belle preuve d’amour que nous puissions recevoir de notre Dieu?
C’est notre relation avec le Suprême qui nous permet de faire et d’agir. Dans sa forme la plus simple, faire quelque chose signifie vivre sa vie au quotidien : résoudre des problèmes et apporter des solutions, relever des défis, améliorer la qualité de vie des gens que l’on côtoie par notre travail quotidien, servir Dieu et la famille divine. En soi, ça n’est pas compliqué à comprendre. Mais ce n’est pas de cela dont j’aimerais vous parler aujourd’hui. J’aimerais plutôt aborder le « faire » sous un autre angle en suggérant l’idée que le service, notre action dans le plan divin, nous permet de prendre conscience de notre relation avec le Suprême. Mais avant d’aborder cette idée, prenons le temps de nous rappeler quelques notions importantes sur cet être fascinant.
Le Suprême est une déité expérientielle. Tout comme la créature, elle évolue durant l’âge de l’univers auquel nous appartenons et à l’intérieur des limites du Grand Univers dans lequel nous vivons présentement. Elle cherche à exprimer son potentiel ; elle le fait à travers nous, avec nous et en nous. Sans la coopération de toutes les créatures du Grand Univers, le potentiel du Suprême ne pourra pas émerger. Les succès du Suprême relèvent donc, en partie, de nos accomplissements et de notre bonne volonté à agir et à faire quelque chose.
« Ainsi, tandis que nous cherchons à exprimer notre moi, le Suprême s’efforce en nous et avec nous d’exprimer la déité. De même que nous trouvons le Père, de même le Suprême a retrouvé le Créateur Paradisiaque de toutes choses. De même que nous maitrisons les problèmes de la réalisation de soi, de même le Dieu d’expérience atteint la suprématie toute-puissante dans les univers du temps et de l’espace. » LU 117:4.6
Lorsque nous réglons les problèmes de notre vie quotidienne, que ce soit au niveau matériel, intellectuel ou spirituel, nous transformons le milieu dans lequel nous évoluons par nos décisions et nos actions ; nous laissons une trace derrière nous. Je trouve inspirant de savoir que Dieu nous aime au point de nous permettre de transformer sa propre création par le pouvoir de nos actions en sachant très bien que nous ferons nécessairement des erreurs. Ainsi, il permet notre participation à cette grande aventure en nous permettant d’ajouter notre petite Pierre à l’édifice.
« La personnalité en progrès laisse une trainée de réalité actualisée lors de son passage par les niveaux ascendants de l’univers. Qu’elles soient mentales, spirituelles ou énergétiques, les créations croissantes du temps et de l’espace sont modifiées par la progression des personnalités à travers leurs domaines. Quand l’homme agit, le Suprême réagit, et cette opération constitue le fait de la progression. » LU 117:5.6
En effet, quand nous agissons, le Suprême réagit et j’ajouterais que cette opération constitue, non seulement le fait de la progression, mais aussi l’essence de notre relation avec cet être divin et même une certaine forme de communication. Lorsqu’il y a action-réaction entre deux êtres, nous pouvons parler, à coup sûr, de communication. Est-ce que ces réactions de l’Être Suprême à nos actions sont des moyens de nous aider à corriger le tir lorsque nous agissons de manière non conforme à la volonté de Dieu ? Par exemple, lorsque la vie semble nous mettre des bâtons dans les roues, ou qu’elle semble nous faciliter la tâche, est-ce la façon par laquelle le Suprême tente d’orienter nos pas? Cela me semble plausible et bien qu’il n’y ait rien dans le livre d’Urantia qui appuie spécifiquement cette idée, je me plais à penser que l’Être Suprême participe activement à notre progression d’une façon ou d’une autre.
Nous pourrions nous questionner sur l’importance de notre relation avec le Suprême. Après tout, il s’agit d’une révélation importante du Livre d’Urantia et un concept relativement nouveau dans notre conscience humaine. Cette relation est importante pour nous, car elle a un lien avec le passage des cercles psychiques d’accomplissement humain. Ces cercles mesurent notre niveau de conscience et indiquent notre degré de maturité. Nous entrons dans le 7e cercle lorsque nous recevons notre ajusteur de pensée puis, de ce niveau le plus bas, nous progressons vers le premier cercle (le niveau le plus élevé) ou un certain degré de maturité est atteint, prélude à la fusion avec l’ajusteur. Le passage de ces cercles ne mesure pas seulement notre degré de conscience de Dieu, mais aussi et surtout le degré de conscience de notre relation avec le Suprême.
« Ces franchissements de cercles n’ont que des rapports relatifs avec le fait d’avoir conscience de Dieu. Celui qui est dans le septième ou sixième cercle peut connaître Dieu — avoir conscience de sa filiation — presque aussi bien que celui qui est dans le second ou le premier cercle, mais les êtres des cercles inférieurs sont beaucoup moins conscients de leur relation expérientielle avec l’Être Suprême, de leur citoyenneté universelle. » LU 110:6.16
Nous pouvons devenir conscients de notre relation expérientielle avec le Suprême par le service que nous rendons à la famille divine : nos frères et sæurs dans la chair et les êtres spirituels chargés du bien-être de notre planète. C’est par notre engagement dans le service que nous tissons les liens d’une relation étroite avec cet être fascinant. Bien sûr, nous pouvons choisir de ne rien faire, mais tôt ou tard, les évènements de la vie (ou peut-être s’agit-il de la réaction du Suprême lui-même) nous obligeront à réagir, à faire quelque chose. Mais cette attitude est loin d’être celle d’une créature qui prend ses responsabilités cosmiques face à Dieu. Nous avons un autre choix qui est de nous engager corps et âme dans le service. Cet engagement requiert le choix de l’individu qui s’engage par opposition à celui ou celle qui attend que la vie l’oblige à faire quelque chose. Le choix de s’engager nécessite un niveau de conscience plus élevé. Le service volontaire, délibérément choisi, c’est l’essence du « faire » dont il est question dans ce texte, c’est la base de notre relation avec le Suprême et la clé du passage des cercles d’accomplissement humain.
J’aimerais donner une raison supplémentaire pour souligner l’importance de notre relation avec le Suprême. Nous comprenons pourquoi la première personne de la Trinité devient notre Père céleste puisqu’il envoie une partie de lui-même habiter notre mental humain pour le féconder et créer l’Âme humaine qui survivra à la mort physique. Nous pourrions utiliser une image similaire, celle de la mère, pour décrire notre relation avec le Suprême puisque nous puisons à même les ressources de cet être divin pour nous construire physiquement, intellectuellement et spirituellement, un peu comme l’embryon puise dans les ressources de sa mère pour construire son corps.
« L’homme mortel et toutes les autres créatures finies sont créés à partir du potentiel vivant d’énergie, de mental et d’esprit qui existe dans le Suprême. C’est dans les ressources du Suprême que l’ascendeur, composé d’un mortel et d’un Ajusteur, puise pour créer le caractère immortel et divin d’un finalitaire. C’est en utilisant la réalité même du Suprême que l’Ajusteur, avec le consentement de la volonté humaine, tisse les modèles de la nature éternelle d’un fils ascendant de Dieu. » LU 117:4.8
Ainsi l’ajusteur de pensée et l’Être Suprême, tout comme les parents humains, travaillent de concert pour amener l’ensemble de leur création vers sa pleine maturité. Notre Père céleste, tel un phare, nous indique la direction à prendre et le Suprême, en plus de mettre à notre disposition tout le matériel dont nous avons besoin pour nous construire et devenir des finalitaires accomplis, réagit aux actions que nous posons afin d’orienter nos pas et nous aider à corriger le tir. Évidemment, nous utilisons ici des images bien connues pour illustrer notre relation avec ces deux êtres divins. Nous avons tous eu un père et une mère, et dans bien des cas, nous deviendrons, nous aussi, des parents. Même si ces images ont leurs limites, elles demeurent un bon moyen de faire comprendre la relation que nous entretenons avec ces différentes personnes de la Déité. Telle est leur seule et unique fonction.
Être, développer notre relation avec le Père céleste nous semble probablement plus facile à saisir. Jésus nous en a parlé avec beaucoup d’éloquence et nous l’a démontré avec une grande limpidité lors de son incarnation, mais notre relation avec le Suprême, notre action dans le plan divin, est un concept relativement nouveau et peu compris qu’il nous faudra approfondir. Il est vrai que sans nous, le Suprême ne pourra pas devenir factuel, mais il est aussi vrai que nous ne pourrons jamais accomplir notre destinée sans lui. En réalité, il faut faire quelque chose aussi bien qu’être quelque chose et à défaut de nous engager dès maintenant dans le service et ainsi développer une plus grande conscience de notre relation avec le Suprême, nous devrons compenser ces manques lorsque nous nous réveillerons dans la vie morontielle.
( 2e partie, de 2 )
Gilles Brien
Laval
[La première partie a paru dans le Réflectivité #300 novembre 2016, à la p. 2.]
On dit parfois que tout le monde a sa montagne à grimper. Pour d’autres, c’est un océan à vaincre. Dans mon cas, ce serait plutôt un désert à traverser. Mon pèlerinage intérieur comme lecteur du « Livre d’Urantia » (LU) est certainement différent du votre. Notre itinéraire est différent, mais notre direction est la même.
J’ai commencé ma lecture du livre à l’automne 1976. Cela fait maintenant 40 ans. Et bien que j’aie lu le livre à 3 ou 4 reprises, je n’ai pas l’impression d’avoir terminé encore ma lecture. Le LU est pour moi, sans conteste, le plus beau et le plus percutant livre que j’ai lu dans ma vie. Il a profondément affecté ma vision du monde, de la vie, de mes origines et de ma destinée. Le hic, c’est qu’un tel savoir qui m’a été donné librement m’impose de chercher à le partager tout aussi librement. Je n’ai pas le choix. Le bâton de pèlerin n’est toujours pas loin. Mais avec les années, le bâton s’est fait vieux et se casse plus facilement sur l’indifférence des gens. Il n’y a pas foule sur les sentiers qui mènent à la vie spirituelle. Ce serait plutôt le désert…
Hélas, le monde est devenu une sorte de désert. Chacun court après son mirage. Or, le désert est un révélateur de tous les possibles. Le désert renvoie à l’humilité, à la conscience de la fragilité de l’existence humaine. Si le livre d’Urantia a été fait pour les générations à venir dans les prochains 1000 ans, c’est à nous de le porter dans le désert du présent siècle. Le premier d’une dizaine de siècles à passer avant de voir les fleurs et les fruits du LU nourrir le monde. C’est peut-être long à venir, mais un tel cadeau vaut la peine d’attendre.
Et en parlant de cadeaux, je souhaite à tous les lecteurs et lectrices du LU une année 2017 remplie de belles surprises.
« Le courage de la goutte d’eau, c’est qu’elle ose tomber dans le désert. » (Lao Tsé)
Réal Demers
Laval
[La 1r : dans le Réflectivité #297, juillet 2016 ; La 2e : dans le Réflectivité #298, septembre 2016 ; La 3e : dans le Réflectivité #299, octobre 2016]
Aujourd’hui je prends ces quelques minutes pour te parler de mon vieil arbre au fond du jardin qui chante encore des berceuses aux oiseaux sans se soucier que l’hiver les a fait fuir vers des cieux plus cléments.
Il se remémore la saison fleurie où ses branches étaient pleines de joyeux volatiles qui piaillaient à qui mieux mieux. À les regarder voleter tout autour et venir se reposer sur ses branches, il se prenait à rêver qu’il voletait lui aussi avec eux et qu’il s’arrêtait ensuite pour les bercer doucement.
Il se remémore aussi la longue période pleine de fruits que les oiseaux mangeaient joyeusement. C’est là qu’il a appris que donner procure plus de joie que de recevoir. Il faisait ses délices des chamailleries et des joyeux ébats de son petit monde grouillant de vie à la mesure du couvert et du gîte qu’il pouvait offrir à ses hôtes ailés. Même dans le silence de la nuit, quand chaque oiseau dormait, la tête sous une aile, blottie contre son tronc à la naissance de ses branches, il respirait à leur rythme tout en se demandant ce que serait demain.
Il savait que les jours n’étaient pas tous ensoleillés; il en avait vu des pluvieux, des gris où l’on distingue mal le passage de la nuit au jour et où le midi ressemble plutôt à un crépuscule qui se hâte d’arriver; il en avait vu où le vent vient transir ses hôtes, étant bien conscient que ses grandes branches ne les protègent pas de tout.
Cependant, mon vieil arbre au fond du jardin dresse encore fièrement sa ramure haut dans les airs et parce que, heureux hasard, la foudre l’a épargné jusqu’à maintenant, il persiste à croire que les oiseaux qui sont venus y faire leur nid étaient sous sa protection tandis que ces derniers ont toujours été sous l’impression que rien de fâcheux ne pouvait leur arriver tant qu’ils seraient cachés dans son feuillage, juchés sur ses plus hautes branches… Mon vieil arbre se sentait alors protecteur et tous ses oiseaux n’avaient pas à se préoccuper des mauvais coups du sort.
Quand mon vieil arbre parle de ses saisons, il se remémore le temps où le rêve remplissait ses printemps avec des branches chargées de feuilles toutes neuves et de boutons annonçant l’arrivée prochaine des fleurs, il se remémore le temps où une multitude de fleurs se transformant en fruits faisaient de ses étés un moment privilégié de rencontres pour la valetaille avoisinante, il se remémore le temps où le dépouillement progressif de ses automnes l’avait conduit à abandonner tout ce qui lui restait de fruits pendant que le rougeoiement de ses feuilles annonçait le début d’une transformation du sol en un tapis coloré comme autant de mots d’amour mis là pour donner de la couleur au quotidien.
Cette succession ininterrompue de moments forts lors de la belle saison et de recueillement se prolongeant pendant tout l’hiver semble se dérégler peu à peu: l’hiver s’étire de plus en plus, et même les chauds rayons du soleil d’été ont moins d’effet sur lui. Ses feuilles sont moins nombreuses, ses fruits se font rares et les quelques volatiles qui le visitent ne restent jamais bien longtemps. C’est à tout cela que pense mon vieil arbre à l’arrivée du présent hiver qui prend lentement ses droits tandis que ses rêves d’été envolés rythment de moins en moins ses jours.
Appliquant à lui-même la succession des saisons qu’il a vécue plusieurs fois, il se rend bien compte qu’il arrive à la dernière période de sa vie, qu’il arrive à un hiver auquel ne suivra aucun printemps pour le délivrer d’une torpeur envahissante.
C’est alors qu’une nouvelle perspective de vie s’installe en lui, une vision d’un futur qui grandit sans fin avec le temps, une brisure dans la suite ininterrompue des saisons telles qu’il les a vécues, une fenêtre ouverte sur un printemps nouveau, un printemps long, très long, suivi d’un été encore plus long.
L’automne qui suivrait ce très long printemps-été ne ressemblerait pas à ce qu’il connaît de l’automne, car c’est plutôt un été qui se prolonge en faisant cohabiter la verdure estivale et les couleurs variées de l’automne; c’est une force sage, une sagesse forte, rien qui ressemble à un déclin, un étéautomne sans fin qui remplace un long printemps été, un été-automne sans fin où cohabitent fleurs et fruits, un été automne qui permet de vivre avec la force de l’été et la maturité de l’automne; c’est une perspective nouvelle où l’hiver n’aura plus sa place.
Longtemps après le début de ce premier été-automne, une poussée de croissance laisse présager, à mon vieil arbre, l’ajout d’un nouveau printemps où se surimpose un nouveau début à un ancien vécu qui se prolonge encore et encore. Ainsi, pendant que se déroule un premier cycle d’été-automne, un second cycle commence par un printemps encore plus étendu qui vient de s’installer; par la suite, un nouvel été s’ajoute à l’ancien été et un nouvel été-automne vient ensuite couronner le tout.
Chaque fois que s’ajoute une nouvelle force printanière, une nouvelle extension de sa taille permet à l’ancien vécu de coexister avec la nouveauté. Ainsi se superposent, cycles après cycles, les étés-automnes toujours dominants sans perdre la fraîcheur de chaque printemps nouveau. Alors fleurs et fruits sont toujours au rendez-vous, chaque récolte faisant place à une autre encore plus grande permettant à des oiseaux toujours plus nombreux de s’y nourrir, de s’y égayer et d’y vivre en toute sécurité.
Mon vieil arbre contemple cette nouvelle vision d’un futur merveilleux et c’est ce qui rend son hiver doux à vivre. En effet, là où le froid s’installe à l’extérieur, il trouve, dans cette vision, chaleur et réconfort. Cette perspective de croissance sans fin le réjouit et la diminution de ses activités lui laisse du temps pour s’habiller le coeur en vue de ce nouveau commencement qui finira bien un jour par arriver.
Encore maintenant, en attendant ce nouveau commencement, quand il regarde voleter à l’unisson un grand nombre d’oiseaux et qu’il voit toutes ses branches envahies par eux le temps d’une halte avant de repartir, il est heureux. Le bruissement de leurs ailes et leurs cris à qui mieux mieux le tirent de sa méditation et le projettent dans le présent. Un heureux tintamarre vaut bien toutes les thérapies pour guérir de la nostalgie du passé ou de l’inquiétude du futur.
Dans quelque temps, pendant qu’au fond de mon jardin on verra que mon vieil arbre, engourdi par son hiver, ne répond plus à l’éveil du printemps, ne pleurez pas, car, à l’insu de tous, redevenu jeune, il vit un nouvel éveil qui fait de son rêve une réalité où des arbres parlent entre eux de leur croissance sans fin, de protection des oiseaux qu’il nourrissent pendant le jour et qu’ils hébergent sur leurs branches pendant la nuit.
Ils parlent aussi de toutes sortes de choses qu’on ne peut même pas imaginer maintenant, mais qui seront devenues de nouveaux rêves qui ne pourront se réaliser que dans un futur encore plus éloigné.
Vieil arbre je suis… Grand arbre tu es !
Ces mots, je te les offre à la manière d’un bon vin: ils prendront de la force avec le temps. Cependant, un vin ne peut être bu qu’une fois tandis que ces mots, qui ont maintenant le goût d’un vin nouveau, auront encore et encore une saveur qui ira en augmentant avec l’âge.
Si l’évocation de ces idées peut être grisante, je t’assure qu’il n’y a aucun danger à voleter au-dessus du quotidien et à marcher ensuite sur le pavé avec l’impression d’être léger comme une plume.
Avec l’amour d’un grand-papa.
« Les idées peuvent prendre leur origine dans les stimuli du monde extérieur, mais les idéaux naissent seulement dans les royaumes créatifs du monde intérieur. » LU 111:4.10
Jean-Claude Lafrenière
Saint-André-Avellin, QC
[Durant la thématique à Drummondville du 14 mai 2016, Jean-Claude nous a chanté ses compositions personnelles inspirées du « Livre d’Urantia ». Ses compositions antérieures ont paru dans les Réflectivité suivants : #296, juin ; #297, juillet ; #298, sept, #299, oct. Et #300, nov. 2016]
J’ai d’abord composé les parties a et b, puis j’ai voulu montrer la déviance et ses suites, en continuant.
Certains groupes en sont revenus à la simple affirmation de leur foi pour faire partie du groupe commentaire. Ex. : Bahaï, musulman.
Lorsque j’étais encore rosicrucien (ordre de la Rose-Croix), je pris conscience que ce mouvement découlait de la 3e révélation, pour le pharaon Akénaton et Moïse. Aussi, je décidai de démissionner sur-le-champ, et de me consacrer à la 5e révélation.
Sur l’air de : « Mozart — Concerto No. 21 pour piano, en C majeur, K. 467 : Deuxième mouvement »
Jacques Loranger
St-Hubert
Construction.fran-jac@bell.net
La plupart des spécialistes sont d’accord sur le fait que l’adolescence est la période la plus difficile de la vie d’un être humain.
Un sens à la vie
« Comme bien des ados, plusieurs rencontrés cherche un sens à leur vie et sont en quête d’un repère identitaire. » (Extrait d’une enquête de La Presse)
C’est la période de la vie ou les changements liés au manque d’expérience, sont les plus drastiques ; même si vous n’êtes pas prêt vous n’avez plus le droit d’être un enfant (surtout chez vos amis) et pas le droit non plus d’être un adulte.
Il faut alors qu’ils adoptent de nouvelles règles, avec de nouveaux groupes — pensons simplement à l’entrée au secondaire ou au CÉGEP. Nous avons vu en 2016 des ados désespérés qui ont tenté, d’autres ont réussi, de joindre l’État Islamique. D’autres joignent des gangs de rue et aboutissent parfois jusqu’à la prostitution.
On sait qu’à cet âge non seulement le corps se transforme, mais aussi le cerveau. Les ados murissent en développant leurs propres idées sur de nombreux sujets. Souvent leurs relations avec leurs familles deviennent compliquées, ils doivent souvent travailler pour payer leurs études et en plus on leur demande de choisir une carrière. Ouf — avouons qu’ils ne l’ont pas facile.
En 1995 avec 4 autres personnes j’ai écrit un cours sur le leadership, lequel fut donné pendant une dizaine d’années à travers le Québec, de Valleyfield, aux Iles-dela-Madeleine à environ 450 adolescents. Les impondérables et les nécessités que la vie amène ont fait qu’il n’y a pas eu de relève et tout a cessé.
Voilà que je me suis mis à rêver de me servir des bases de ce cours pour en écrire un en anglais et cette fois, le présenter lors de la tenue des différents événements d’Urantia à travers l’Amérique, permettant ainsi aux ados des lecteurs d’en profiter. Vous allez me dire que c’est un gros rêve « The Dream Never Dies, Just the Dreamer » (Le rêve ne meurt jamais, seulement le rêveur.)
C’est évident que le contenu du cours écrit au début des années 90 ne tient plus la route. Depuis ce temps, la fulgurante évolution que ce soit entre autres au niveau des communications et des échanges sociaux rendent les exercices d’apprentissage d’alors, le moins que l’on puisse dire désuet.
Je pense plutôt à une approche plus près des enseignements du Livre d’Urantia ; instaurer subtilement les chemins à utiliser à travers la cinquième révélation. En ce sens, je verrais très bien y introduire le thème sur « Le Service » tel que présenté par Conrad Lavallée lors de la dernière thématique de l’AUQ tenue à Drummondville en octobre dernier. Il y a assurément d’autres sujets dans cet ordre d’idées qui pourraient faire partie de ce cours. Le contenu du Livre d’Urantia présente des approches intéressantes que l’on peut présenter aux ados d’aujourd’hui pour non seulement les aider à passer à travers cette difficile période de l’adolescence, mais aussi pour les initier subtilement aux bienfaits que l’étude du livre peut leur apporter. Je constate que la relève pour la dissémination du livre et de ses enseignements ne se fait plus jeune. Je crois que toute tentative pour promouvoir notre but commun est avisée.
Dans un livre paru récemment, — « Le ccur des Québécois » écrit par Marie Grégoire, Éric Montigny et Youri Rivet — ont mentionnent que l’histoire nous montre que la révolution est l’apanage des jeunes ; j’y crois fermement, et j’insiste aussi pour dire — et c’est personnel — que si nous avons les outils pour aider à former les ados et leur faciliter l’entrée dans le monde adulte, on se doit de le faire. Je me permettrais même d’ajouter qu’il faut regarder avec nos lunettes d’aujourd’hui la situation des ados; le nombre de finissants au CÉGEP n’est pas très encourageant.
Il n’empêche que nous, les Baby-Boomers (car la majorité des lecteurs appartiennent à ce groupe) peuvent non seulement par nos expériences personnelles, mais aussi par les connaissances que nous avons acquises à travers l’étude du Livre d’Urantia, apporter beaucoup à la croissance et au progrès des ados.
En terminant, j’aimerais solliciter votre aide sur ce projet. Je suis persuadé que certains d’entre vous possèdent des compétences et des connaissances et voient combien les enseignements du Livre d’Urantia pourraient convenir à l’élaboration de ce cours.
Le projet est à l’étape embryonnaire, mais la structure du cours de 1995 peut très bien être utilisée ; c’est le contenu pédagogique qui a besoin d’être adapté.
Alors, si vous êtes intéressé à embarquer dans le bateau, je fournis les rames.
Merci
Rencontre de la nouvelle année 2016, à Québec
C’est devenu une tradition à Québec. Chaque année nous invitons les lecteurs du « Livre d’Urantia » à un brunch de partages pour démarrer la nouvelle année.
Cette année, ça se passe à l’hôtel Bernières de Lévis, 535 rue de Bernières, Saint-Nicolas, QC, G7A-1C9, le samedi 21 janvier 2017, 09h00. (http://hotelbernieres.qc.ca).
Il est préférable de réserver auprès de Guy Le Blanc au leblanc94@videotron.ca ou au 418-886-2366 (maison : 19 h00 à 21h00).
Assemblée Générale Annuelle (AGA) de l’AUQ
Inscrivez à votre agenda, l’Assemblée générale de l’AUQ, samedi le 11 février 2017, 10h 00 , à l’hôtel « Le dauphin », au 600 boul. St-Joseph, Drummondville.
Même si vous n’êtes pas membre, vous pouvez assister à cette rencontre.
Vous entendrez, entre autres, un compte rendu des activités et projets qui ont eu lieu en 2016 et celles à venir en 2017.
En après-midi, il y aura un survol des activités qui ont eu lieu au niveau international, suivie d’une présentation des différents comités de l’AUQ.
L’Association Urantia du Québec (A.U.Q.) est affiliée à l’Association Urantia Internationale (A.U.I.) et soutient la Fondation Urantia dans son mandat tel que décrit dans la Déclaration de Fiducie de la Fondation Urantia et l’assiste dans la dissémination des enseignements révélés dans le Livre d’Urantia. L’Association est dirigée par un conseil d’administration composé d’un président, d’un vice-président, d’un secrétaire et d’un trésorier. Tous sont élus pour un mandat de deux ans, lors de l’Assemblée Générale Annuelle. On peut adhérer à l’Association en tant que membre régulier ou membre amis, selon des critères d’admissibilité propres à chacun.
L’Association Urantia du Québec se réserve le droit de révoquer ou de refuser toute demande d’adhésion si le requérant ne satisfait pas à ses exigences et règlements ou à ceux de l’International Urantia Association.
MEMBRE RÉGULIER
Critères d’admissibilité :
Avantages d’être membre régulier :
MEMBRE AMI
Critères d’admissibilité :
Avantages d’être membre ami :
ASSOCIATION URANTIA DU QUÉBEC FORMULAIRE D’ADHÉSION
S.V.P., ÉCRIRE EN CARACTÈRES D’IMPRIMERIE
NOM : _____
PRÉNOM: _____
ADRESSE : _____
VILLE : _____
PROVINCE : _____ CODE POSTAL: _____
TÉL. RÉS. : ( ) _____
TÉL. BUR. : ( )
Signature : _____
COURRIEL : _____
Date : _____
Je demande l’adhésion en tant que : membre régulier membre amis Je désirs le mensuel Réflectivité : imprimé numérique Ci-joint, un chèque au montant de 50.00$ fait à l’ordre de l’Association Urantia du Québec.
Expédiez à: Association Urantia du Québec, C.P. 304, St-Jérôme QC, J7Z 5L0
DANS CE DOCUMENT, LE GENRE EST RESTREINT AU MASCULIN UNIQUEMENT DANS LE BUT D’ALLÉGER LE TEXTE.
Cette activité permet à plusieurs lecteurs de différents niveaux de compréhension, d’échanger et d’étudier ensemble les enseignements du Livre d’Urantia. Elle favorise le progrès spirituel en permettant à ses participants de trouver des applications pratiques aux enseignements du Livre d’Urantia dans leur vie quotidienne. Cette pratique importante permet de garder un point de vue élargi sur les concepts de vérité.
Vous désirez participer ou former un groupe d’étude; avec joie, nous vous assisterons. Vous désirez faire paraître votre groupe d’étude dans cette liste, contactez la responsable, via courriel association.urantia.quebec@gmail.com ou au 450-565-3323.
Groupe de l’Outaouais
Région de Gatineau
Les mardi de 19h00 à 21 h00
Maurice Migneault :
(613) 789-6833
Groupe de Sherbrooke
Région de Sherbrooke
Aux 2 sem.: Mardis ou mercredis (à confirmer) de 19h30 à 21h30
Hélène Boisvenue et Denis Gravelle Tél.: (819) 569-6416
Groupe : « Découverte »
Région des Laurentides
Les lundis, de 19h30 à 21h30
Gaétan Charland et Line St-Pierre
Tél.: (450) 565-3323
Groupe : «À la Maisonia »
Région de Québec
Aux 2 sem. : Les dimanches de 13h15 à 15h30
Gilles Bertrand & Louise Renaud :
(418) 871-4564
Groupe: Vers les Sommets
Régions Ormstown & Valleyfield
Le vendredi de19h00 à 21 h00
Louise Sauvé
Tél: 450-829-3631
Groupe : Laurantia
Région Petite Nation en Outaouais
Tous les dimanches dés 9h00
Denise Charron & Jean-Claude Lafreniêre
Tél : 819-983-2113
Groupe : « Le Pont »
Région de Rive-Sud de Montréal
Les jeudis de 19h30 à 21h30
Guy Vachon : (450) 465-7049
Groupe: Les Agondontaires
Région de Québec
Aux deux semaines le dimanche de 13h00 à 16h00 Rive-Nord de Québec
Guy & Rolande L. Martin
Tél: 418-651-3851
Groupe : Sans Frontiére
Région Hawkesbury
Le dimanche de 9h30 à 1 Ih30
Yvon et Iréne Belle-lsle
Tél : 613-632-5706
Groupe : « La Famille Unie d’Urantia »
Région de Montréal
Les mardis de 19h00 à 21 h00
Mme Diane Labrecque : (514) 277-2308
Groupe : «Étoile du Soir »
Région des Laurentides
Les mercredis de 19h00 à 21 h00
Carmen Charland : (450) 553-3601
Responsable: Normand Laperle
Assisté par: Gilles Bertrand.
(418) 835-1809 (Normand Laperle)
(418) 871-4564 (Gilles Bertrand)
Publication (mensuel)
Dans la deuxième semaine du mois précédent.
Pour soumettre vos articles :
Date de tombée : I’avant dernier dimanche précédent le moi paraitre.
Envoyez-les à: reflectivite.auq@gmail.com
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