© 2023 Line St-Pierre, Guy Breton, Maurice Migneault, Samuel Heïne
© 2023 Association Urantia du Québec
Line St-Pierre
president@urantiaqc.org
Le souper du souvenir est le rendez-vous du croyant avec Micaël (LU 179:5.6 )
Une tradition s’est installée chaque 6 avril depuis 2017 proposée par nos frères et amis du groupe TheChristExperiment.org, alors que des personnes se retrouvent à partager une bouchée ou un repas à la mémoire de Jésus et échanger leurs impressions sur la vie et les enseignements qu’Il nous a laissé. Cette célébration du repas de la souvenance s’organise très bien entre amis et membres d’une même famille et aussi comme nous, du groupe d’étude « Découverte », qui célébrons ensemble cette demande de Jésus faite à ses apôtres lors du dernier souper avec eux.
De se recueillir, d’ouvrir son coeur, de s’édifier de nos réflexions dans ces moments d’intimité spirituelle, d’affirmer notre amour pour Jésus et ce qu’il représente pour nous, solidifie nos liens humains et élargit notre compréhension quant à la Paternité de Dieu et la fraternité des hommes.
Et lorsque cette compréhension s’installe progressivement en nous, il s’en suit un désir profond de partager l’amour du Père comme son fils nous l’a démontré dans ses années de ministère.
Dieu, notre Père céleste a un plan individuel pour chacun de nous, il s’agit de trouver ce qui nous allume et de servir où l’on peut en y faisant briller notre lumière.
Je vous invite à m’envoyer un résumé de votre expérience du souper de la souvenance qui sera publié dans le Réflectivité et que je traduirai en anglais pour être partagé sur le site de TheChristExperiment.org au profit de tous les amoureux de Jésus!
Amitiés fraternelles!
« Quand vous ferez ces choses, souvenez-vous de la vie que j’ai vécue sur terre parmi vous, et réjouissez-vous du fait que je vais continuer à vivre sur terre avec vous et servir par vous. » (LU 179:5.7 )
Après avoir instauré le souper du souvenir, Jésus dit aux apôtres : « Chaque fois que vous ferez cela, faites-le en souvenir de moi. Et, quand vous vous souviendrez de moi, faites d’abord un retour sur ma vie dans la chair, rappelez-vous que j’ai été jadis avec vous et, ensuite, discernez par la foi que vous souperez tous un jour avec moi dans le royaume éternel du Père. » (LU 179:5.9)
« Dans la vie au jour le jour de l’homme mortel, la vertu est réalisée en choisissant régulièrement le bien plutôt que le mal, et cette aptitude à choisir est la preuve que l’on possède une nature morale. » LU 16:7.6
Guy Breton
Carignan
Lors de mon voyage en Israël en 2018, j’ai eu l’occasion de monter sur le Mont Hermon ( 2800 m ). Je l’ai monté en télésiège, car je n’avais pas le souffle pour le faire, mais j’ai tenu à le descendre à pied pour m’imprégner du sol de cette montagne. Je ne vous cache pas qu’au bas les jambes me tremblaient et que j 'ai ressenti des douleurs aux jarrets pendant quelques jours. Mais j’y tenais et pour plusieurs raisons.
D’abord parce que Jésus a vécu sur ses pentes, seul avec Dieu, durant six semaines. J’avais l’impression que Dieu avait foulé ce sol sous mes pieds.
Aussi parce que Jésus y a séjourné à plusieurs reprises pendant toute sa vie — enfant, adolescent et adulte avec ses apôtres. Il a vu les mêmes paysages que je voyais. Il y allait pour méditer, parler et communier avec son Père. Il y est allé pour y achever de maitriser son mental humain et pour parachever sa consécration totale au reste de l’œuvre de sa vie sur terre.
C’est aussi le mont de la Transfiguration ; là où trois apôtres virent la gloire du Fils de l’Homme et purent constater que tout ce que Jésus leur disait était vrai.
À leur grande surprise et à leur consternation, ils virent Jésus conversant familièrement avec deux êtres brillants vêtus des vêtements de lumière du monde céleste. Le visage et le corps de Jésus brillaient également d’une luminosité céleste. Ils parlaient tous trois une langue étrange.
Pierre supposa à tort que les deux personnages inconnus étaient Moïse et Élie ; en réalité, c’étaient Gabriel et le Père Melchizédek. Ils assistèrent avec stupeur au départ des messagers célestes, laissant Jésus seul pour parachever sa vie terrestre en tant que Fils de l’Homme et Fils de Dieu.
Voilà de bien bonnes raisons justifiant ma présence sur ce mont, mais pour moi la plus importante est la suivante : C’est aussi là, sur ce mont, que Jésus a vécu, ce qu’on a appelé la grande tentation et a rencontré en personne les chefs de la grande Rébellion Caligastia prince de la Terre et Satan représentant de Lucifer. Il s’y est présenté en tant qu’homme — créature humaine et non divine — les a rencontrés, a entendu leurs arguments, les a confrontés et les a vaincus. En plus, il a refusé de les déchoir lui-même préférant les référer à un tribunal supérieur pour cette tâche.
Pour moi, ce fait aussi appelé « l’épreuve de l’univers » [LU 134:8.6] est plus que marquant pour deux grandes raisons :
Ces deux faits m’impressionnent grandement, me donnent espoir et confiance.
Il est intéressant de lire ce qui suit: « Cette “tentation”, cette épreuve finale de loyalisme humain en face des exposés fallacieux de personnalités rebelles, ne concernait ni la nourriture, ni des pinacles de temples ni des actes présomptueux ; elle ne concernait pas les royaumes de ce monde, mais la souveraineté d’un puissant et glorieux univers. Le symbolisme de vos écrits était destiné aux âges arriérés de la pensée infantile du monde. Les générations futures devraient comprendre la grande lutte que le Fils de l’Homme a livré durant cette journée mouvementée sur le mont Hermon. » LU 134:8.6
J’ai descendu à pied ce mont une seule fois, mais je le monte en pensée très souvent.
Maurice Migneault
Ottawa
« En se préparant à quitter Rome, Jésus ne fit d’adieux à aucun de ses amis. » LU 133:0.1
Dès ma première lecture du Livre d’Urantia, il y a une trentaine d’années, cette phrase m’a interpelé. Ce n’est pas sans raison que les Révélateurs ont pris la peine de souligner ce fait. Il doit y avoir ici un message important à retenir.
Avant la fin de sa première semaine à Rome, Jésus avait pris contact avec trentedeux chefs religieux parmi les cyniques, stoïciens, et le groupe des mystères, et durant tout son séjour avec un grand nombre de personnes d’origines et conditions diverses. Imaginons qu’il eut fait une « tournée d’adieux » avant son départ et que, à cause de circonstances particulières, il n’ait pu les rencontrer tous ses contacts. Certains auraient pu se croire privilégiés et d’autres ignorés, voir rejetés, et cela aurait peut-être créé de l’animosité, chose qu’il ne voulait surement pas.
Mais Jésus n’a-t-il jamais fait des adieux à quelqu’un ? Si on se reporte à ce moment où il était le plus susceptible d’en faire, en quittant Rome, Ganid dit : « adieu Maitre, mais pas pour toujours… » LU 133:9.4, quant à Gonod, il dit : « adieu à un grand éducateur … ». Et Jésus répondit : « Que la paix soit sur vous… ». Nous remarquons que c’est Ganid et Gonod qui disent adieu, et non pas Jésus.
Pour nous qui vivons dans le temps, la perspective d’une longue séparation est habituellement prétexte à des adieux, mais pour Jésus qui avait, à ce moment, conscience de sa double nature, celle de créature subissant le temps et celle de créateur le transcendant, cette séparation n’en était peut-être pas vraiment une.
Que penser alors des apparitions après sa résurrection? Pouvaient-elles être une forme d’adieu? Puisqu’il avait annoncé ces choses avant sa mort, cela n’était peut-être qu’un simple prolongement de ses contacts humains.
Tout au long de notre cheminement vers le Paradis nous entrerons en relation avec un nombre considérable de personnalités ; serat-il alors nécessaire pour nous de faire des adieux à chaque changement d’environnement ou de niveau d’existence ?
Si nous vivions chaque jour comme si c’était le dernier, et chacune de nos rencontres humaines comme une bulle intemporelle, à quoi nous serviraient les adieux ?
« L’adoration de la beauté abstraite n’est pas l’adoration de Dieu. L’exaltation de la nature et le respect pour l’unité ne le sont pas davantage. » (LU 5:5.4)
Samuel Heïne
Ile de la Réunion
À la lumière de nos compréhensions d’études du « Livre d’Urantia », pouvonsnous partager notre point de vue sur ce que le livre appelle ; la pratique de la sélection raciale, en vue de développer l’homme moyen de la future civilisation ?
Pourquoi cela semble-t-il essentiel à la bonne progression de l’humanité et quelles en sont les causes ?
Trois interrogations qui, semble-t-il, englobent le mécanisme créatif et évolutif de Dieu tel que décrit dans le « Livre d’Urantia ». — La partie dans le tout et le tout dans la partie.
Dieu dans son Amour et sa Sagesse doit pouvoir, par l’intermédiaire de la révélation du « Livre d’Urantia », nous donner une explication cohérente, juste, équitable et valable du sujet.
C’est aussi à cause de « ce point noir » mal compris du « Livre d’Urantia » que beaucoup de lecteurs/lectrices potentiels se détournent du livre dans un mauvais jugement.
A titre perso, c’est vraiment un sujet que j’aimerai bien approfondir à la lumière des différents points de vue d’autres lecteurs et lectrices avancées. — D’où l’utilité des groupes d’étude.
Les révélateurs ne nous en parlent pas pour rien !
Vue de façon simpliste, ce que j’ai actuellement compris dans l’étude « objective » de ce sujet dans le « Livre d’Urantia », c’est que Dieu dans son plan créatif, délègue sous supervision. — Sagesse et Savoir-faire de ne pas laisser faire n’importe quoi et n’importe comment !
Il semble que les mondes de créations porteurs d’humains — soient englobés dans deux extrêmes de manifestations.
D’un côté les mondes créer avec les moindres problèmes « pour l’atteinte d’un but bien déterminé à l’avance » et de l’autre extrême, les mondes créer avec le plus de problèmes en vue du même objectif final.
J’ai volontairement omis les facteurs « hasards chances » et « hasards malchances » qui peuvent aussi entrer en ligne de compte !
À la lumière des informations reçues dans la « Livre d’Urantia », celui qui dit que « la chance est un hasard heureux » se trompe lui-même.
Que de problèmes « enrichissants » à résoudre sur terre !-Il y a du boulot à rattraper.
Avec tout cet acquis expérientiel, nous allons être de vrais « emmerdeurs » sur le monde des maisons !
Dans le bon sens du terme.
C’est un fait indiscutable que l’humain apprend beaucoup plus de ses erreurs, même quand, dans les cas extrêmes, elles sont honteuses et impardonnables.
Les révélations contenues dans le « Livre d’Urantia » peuvent sans doute et je l’espère « maintenant et dans le temps », influencer l’humanité de l’avenir à agir de façon plus intelligente.
Pour le plus grand bien du plus grand nombre ; puisse toutes nos pensées, nos sentiments et nos actions être gouvernés consciemment par Dieu en nous-mêmes, mais aussi et surtout « dans le respect du libre arbitre et de la liberté individuelle de chacune et chacun des humains habitants de notre planète ».
Tous et toutes sur le même bateau pour un premier voyagent !
Quelle aventure!
Il y à un aphorisme d’Héraclite — philosophe grec de la fin du VIe siècle av. J.-C — qui dit « La guerre est le père de toutes choses ; car chaque idée, chaque force, chaque conscience séparée, chaque être vivant, du fait de son ignorance, entre en collision avec les autres et tente de vivre, de croitre et de s’accomplir en s’affirmant de façon indépendante, et non en s’harmonisant avec le reste de l’existence. »
Au-delà des causes, des buts et intérêts ; la guerre ne se définit-elle pas comme étant la manifestation d’un état de conflit qui demande à rétablir l’harmonie ?
Je regarde souvent la chaine de télévision Arte et l’on peut réellement ressentir actuellement l’émergence collective d’une volonté de fierté européenne. — Fierté culturelle bien ordonnée commence par soimême.
La race européenne — le caucasien est vraiment « dans l’analyse historique des points positifs et dans les faits » un peuple de grande valeur qui à acquis dans le temps un savoir-faire diversifiés lui permettant d’être fier de ce qu’il a à transmettre aux futures générations de son peuple.
Au niveau de la France, entre autres, « la fierté nationale » qui reprend du terrain est quelque part pour moi la preuve « positive » d’un désir du peuple de reprendre en main son bagage culturel, racial et intellectuel.
Néanmoins, n’oublions pas qu’a une époque, lorsque le besoin de main d’œuvre étrangère c’est fait ressentir, les Français en général se sont débarrassés des tâches ingrates propres à la survie de leurs nations.
Ce que je trouve tout de même étonnant, c’est cette actuelle revendication à l’invasion étrangère en France et en Europe !
Pendant que cette main d’œuvre « étrangère » se constituait progressivement de familles nombreuses, les Français quant à eux se sont mis à ne plus faire d’enfants ou n’en faire qu’un ou deux !
Pour moi qui ai travaillé dans l’élevage ovin pendant de nombreuses années, je peux dire que « la perte » d’une lignée raciale vient de deux facteurs;
Premièrement: Ladite lignée se croise avec une autre lignée raciale.
Deuxièmement : Ladite lignée ne reproduit plus suffisamment sa race.
De ce point de vue, ne nous plaignions plus, faisons des enfants et éduquons-les bien! (Sourire)
Étant un caucasien marié par « affinités » et puis par « amour » avec une Indienne du sud, nos enfants issus du métissage ne peuvent pas se sentir expatrié aux valeurs reçues grâce à l’éducation que nous leur avons donnée! (Ce sera le sujet d’un autre partage)
« Sur un monde normal, il y a longtemps que l’aptitude biologique de la race a été amenée à un niveau élevé durant les époques postadamiques; et, maintenant, l’évolution physique des hommes se poursuit d’age en âge au cours des ères d’ancrage. Le champ de la vision et de l’audition s’étend. Le chiffre de la population est désormais stationnaire. La reproduction est règlementée d’après les nécessités planétaires et les dons héréditaires innés. Durant cet âge, les habitants de la planète sont divisés en cinq à dix groupes, et les groupes inférieurs n’ont le droit de procréer que moitié autant d’enfants que les groupes supérieurs. L’amélioration constante d’une race aussi magnifique durant toute l’ère de lumière et de vie est largement une affaire de reproduction sélective chez les lignées raciales qui font montre de qualité supérieure de nature sociale, philosophique, cosmique et spirituelle. » (LU 55:6.3)
Voilà pour ma réflexion de ce matin.
Amitiés fraternelles.
« Nommer des vertus, ce n’est pas les définir, mais les vivre, c’est les connaitre. » LU 16:7.6
Inscrivez à votre agenda, l’Assemblée générale de l’AUQ, samedi le 4 avril 2020, 10 h 00 à 15 h 00 , à l’Hôtel Best Western, 420 Monseigneur-Dubois Blvd, Saint-Jérôme, Québec, J7Y 3L8.
Même si vous n’êtes pas membre, vous pouvez assister à cette rencontre.
En avant-midi, vous entendrez, entre autres, un compte rendu des activités et projets qui ont eu lieu en 2019 et celles prévues pour 2020.
En après-midi, nous vous ferons une présentation en lien avec nos activités, suivi d’une discussion de groupe ou vous pourrez partager vos idées et vos impressions sur les orientations proposées.
Cette activité permet à plusieurs lecteurs de différents niveaux de compréhension, d’échanger et d’étudier ensemble les enseignements du Livre d’Urantia. Elle favorise le progrès spirituel en permettant à ses participants de trouver des applications pratiques aux enseignements du Livre d’Urantia dans leur vie quotidienne. Cette démarche importante permet de garder un point de vue élargi sur les concepts de vérité.
Vous désirez participer ou former un groupe d’étude ; avec joie, nous vous assisterons. Vous désirez faire paraître votre groupe d’étude dans cette liste, contactez la responsable, via courriel association.urantia.quebec@gmail.com ou au 450-565-3323.
Groupe de l’Outaouais
Région : Gatineau
Le mercredi, de 19h00 à 21h00
Maurice Migneault (613) 789-6833
Groupe : « Uni-Terre »
Région : Joliette
Les dimanches de 09 h 00 am à 11 h 00 am , (virtuel Zoom)
Contact :
Éric Martel (450) 756-9387
Groupe : «À la Maisonnia »
Région : Québec
Aux 2 sem. : Les dimanches, de 13h15 à 15 h 30
Gilles Bertrand & Louise Renaud (418) 871-4564
Groupe : « La Famille Unie d’Urantia »
Région : Montréal — Centre-ville
Les jeudi, de 17h30 à 20h30
Mme Diane Labrecque (514) 277-2308
Groupe : « Le Pont »
Région : Montérégie
(Sainte-Julie, sud de Montréal)
Les mardis, de 13h00 à 15h00
Claude Flibotte (438) 404-6399
Groupe : « La chapelle »
Région : Québec
Aux 2 sem. : Les dimanches, de 13 h 15 à 15 h 30
Normand Laperle (418) 835-1809
Groupe : « Découverte »
Région : Laurentides — St-Jérôme
Les lundis, de 19h30 à 21h30
Gaétan Charland et Line St-Pierre Tél.: (450) 565-3323
Possibilité de participer via Internet (Zoom)
Groupe de Sherbrooke
Région : Sherbrooke
Aux 2 sem. : Mardi ou mercredi, (à confirmer) de 19h00 à 21h00
Hélène Boisvenue et Denis Gravelle
Tél.: (819) 569-6416
Groupe d’étude virtuel, français
Chaque mercredi de 14 hr à 16 hr . Heure de l’Est (Montréal)
Via Zoom : https://www.zoom.us/j/9084766734
Responsable :
Guy Perron (438) 495-7747
Groupe : « Le Portail du Bercail »
Région : Sorel
Contact :
Mme Éva & Ernest Asselin
(450) 517-0136
Groupe : « Saguenay »
Région : Saguenay
Contact :
Jean-Guillaume Tremblay
(418) 693-2049
Pour voir la liste officielle des groupes d’étude :
Cliquez directement sur le lien suivant : http://urantia-quebec.ca/activites_liste_des_groupes.php
Responsable :
(418) 835-1809 (Normand Laperle)
Assistant :
(418) 871-4564 (Gilles Bertrand)
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