© 2009 Xavier Francisco
© 2009 Fondation Urantia
Pensées sur Diversey 533 | Volume 3, numéro 3, Sept. 2009 — Table des matières | Fermeture du Bureau du Québec |
Par Xavier Francisco, Barcelona, Espagne
Je lis Le Livre d’Urantia depuis neuf ans. Je me rappelle encore les premières pensées qui me vinrent à l’esprit après avoir lu l’Introduction et les premiers deux ou trois fascicules : « Oh, c’est fort ». J’aimais la façon dont l’Introduction a été écrite ! Après avoir lu les premiers 10 ou 15 fascicules, il me sembla que le langage dans
El libro de Urantia n’était pas naturel. Comme notifié dans la page de couverture, la traduction avait été révisée et corrigée ; donc je décidais de lire l’édition en anglais.
Je recommençais depuis le début. Et encore une fois, j’aimais l’Introduction. En continuant à lire, j’avais l’impression que le langage était naturel, comme si quelqu’un voulait rendre les choses plus faciles. Je dois dire que l’anglais n’est pas ma langue natale ; donc c’était difficile pour moi de lire le livre d’une telle ampleur dans une langue étrangère, mais je remarquais que c’était facile. Donc j’ai continué à lire le livre en anglais jusqu’à maintenant.
Il y a quelques jours, j’ai reçu une copie du El libro de Urantia: edición europea. Pour moi, le lire était facile ; la fluidité du texte était naturelle. Les noms des différentes personnalités étaient claires. La structure grammaticale du texte était magnifique. J’espère que ce livre atteindra de plus en plus de gens en Espagne.
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