Je déclare en présence des dieux souverains de la Moisson : Si les dieux souverains accordent, en épis nombreux et en épis luxuriants, la récolte tardive qu’ils accorderont, la récolte tardive qui sera produite par l’égouttement de l’écume des bras, et en rassemblant la boue entre les cuisses opposées, alors j’accomplirai leurs louanges en présentant les prémices en mille épis, et en plusieurs centaines d’épis ; élevant bien haut les jarres de bière, remplissant et rangeant en rangées le ventre des jarres de bière, je les présenterai en jus et en grain. Quant aux choses qui poussent dans la grande plaine des champs - herbes douces et herbes amères ; quant aux choses qui habitent la plaine bleue de la mer, choses larges de nageoires, et choses étroites de nageoires, jusqu’aux herbes du large et aux herbes du rivage ; et quant aux Vêtements, avec des tissus brillants, des tissus scintillants, des tissus doux et des tissus grossiers, j’accomplirai leurs louanges. Et ayant fourni un cheval blanc, un sanglier blanc et un coq blanc, et les différentes sortes de choses en présence des dieux souverains de la Moisson, j’accomplis leurs louanges en présentant les grandes Offrandes de l’auguste souveraine Petit-Enfant.
Je déclare en présence des dieux souverains, dont les louanges sont accomplies à Tatsuta.
Parce qu’ils n’avaient pas permis, d’abord, aux cinq sortes de céréales que l’auguste Souverain Petit-Enfant, qui gouvernait le grand pays aux nombreuses îles à Shikishima, prenait avec un visage rougeaud comme sa nourriture longue et durable, et aux choses produites par le peuple, jusqu’à la plus petite feuille des herbes, de mûrir, et les avaient gâtées non pas pendant un an, ou pendant deux ans, mais pendant des années continues, il daigna ordonner : « Quant au Cœur du dieu qui apparaîtra dans les divinations de tous les hommes qui sont instruits en choses, déclarez quel dieu il est. »
Sur quoi les hommes savants en choses devinèrent avec leurs divinations, mais ils déclarèrent qu’aucun cœur d’un dieu n’apparaissait.
Lorsqu’il entendit cela, l’auguste Souverain Petit-Enfant daigna les conjurer, en disant : « J’ai cherché à accomplir leurs louanges en tant que temples célestes et temples de campagne, sans oublier ni omettre, et j’ai agi ainsi, mais que le dieu, quel qu’il soit, qui a empêché les choses produites par les gens de la région sous le Ciel de mûrir, et les a gâtées, fasse connaître son Cœur. »
Là-dessus, ils firent connaître l’auguste Souverain Petit-Enfant dans un grand rêve, et lui firent connaître leurs noms, en disant :
« Nos noms, qui ont empêché la maturation des produits fabriqués par les habitants de la région sous le Ciel et les ont gâtés en les assaillant de vents violents et d’eaux agitées, sont la majesté des Piliers du Ciel et la majesté des Piliers de la Patrie. » Et ils le lui firent savoir, en disant : « Si, pour les offrandes qui seront dressées en notre présence, on offre diverses sortes d’offrandes, comme des vêtements, des étoffes brillantes, des étoffes scintillantes, des étoffes douces et des étoffes grossières, et les cinq sortes d’objets, un bouclier, une lance et un cheval équipé d’une selle ; si notre maison est établie à Wonu, à Tachinu, à Tatsuta, dans un endroit où le soleil du matin est opposé et celui du soir caché, et que les louanges s’accomplissent en notre présence, nous bénirons et ferons mûrir les produits des habitants de la région sous le Ciel, d’abord les cinq sortes de céréales, jusqu’à la plus petite feuille d’herbe. »
Écoutez donc, vous tous, gardiens et bedeaux, en déclarant en présence des dieux souverains qu’après avoir fixé les piliers de la Maison à l’endroit que les dieux souverains avaient enseigné par des paroles et fait connaître, afin d’accomplir les louanges en présence des dieux souverains, l’auguste Petit-Enfant Souverain a fait lever et apporter ses grandes Offrandes, et a accompli leurs louanges, en envoyant les princes et les conseillers comme ses messagers.
Je déclare avec le grand rituel, le rituel céleste, qui lui a été accordé au moment où, par la Parole du cher ancêtre et de la chère génitrice du Souverain, qui demeurent divinement dans la plaine du haut Ciel, ils lui ont accordé la région sous le Ciel, en disant : « Que l’auguste Souverain Petit-Enfant règne tranquillement sur le pays des épis frais qui fleurit au milieu de la lande de roseaux, comme une région paisible. »
Français Quand les deux piliers, la divine Izanagi et l’auguste d’Izanami, sœur cadette et frère aîné, eurent des rapports, et qu’elle eut daigné porter les nombreuses dizaines de pays des pays, et les nombreuses dizaines d’îles des îles, et qu’elle eut daigné porter les nombreuses centaines de myriades de dieux, elle daigna aussi porter son cher plus jeune enfant de tous, le dieu producteur de feu, et que ses parties cachées étant brûlées, elle ordonna dans les rochers, et dit : « Auguste mon cher frère aîné, daigne ne pas me regarder pendant sept nuits de nuits et sept jours de soleil » ; mais quand, avant que les sept jours ne soient accomplis, il regarda, pensant qu’elle restait cachée pour être étrange, elle daigna dire : « Mes parties cachées ont été brûlées lorsque j’ai porté le feu. » À un tel moment, je dis : « Auguste mon cher frère aîné, daigne ne pas me regarder, mais tu m’as violemment regardé » ; Après avoir dit : « L’auguste mon cher frère aîné gouvernera le pays d’en haut ; je gouvernerai le pays d’en bas », elle daigna se cacher dans les rochers. Arrivée sur la colline plate et ténébreuse, elle pensa et dit : « Je suis venue ici, ayant donné naissance et laissé un enfant au cœur mauvais dans le pays d’en haut, gouverné par l’auguste mon illustre frère aîné. » De retour, elle donna naissance à d’autres enfants. Ayant donné naissance à la Déesse de l’Eau, à la courge, à l’herbe de la rivière et à la jeune fille de la colline d’argile, quatre sortes de choses, elle les enseigna par la parole et leur fit comprendre, en disant : « Si le cœur de cet enfant au cœur mauvais devient violent, que la Déesse de l’Eau prenne la courge et la jeune fille de la colline d’argile, l’herbe de la rivière, et l’apaisent. »
En conséquence de cela, j’accomplis ses louanges, et dis que pour les choses établies, afin qu’il ne daigne pas être terriblement prompt de cœur dans leur grand lieu d’auguste Souverain Petit-Enfant, il est prévu des tissus brillants, des tissus scintillants, des tissus doux et des tissus grossiers, et les cinq sortes de choses ; quant aux choses qui habitent la plaine bleue de la mer, il y a des choses larges de nageoire et des choses étroites de nageoire, jusqu’aux herbes du large et aux herbes du rivage ; quant à la liqueur, élevant haut les jarres de bière, remplissant et rangeant en rangées le ventre des jarres de bière, empilant les offrandes, même jusqu’au riz en grain et au riz en épi, comme une chaîne de collines, j’accomplis ses louanges avec le grand rituel, le rituel céleste.
Français Moi (le devin), je déclare : Lorsque par la parole du géniteur et de la génitrice, qui divinement demeurant dans la plaine du haut Ciel, daigna faire le commencement des choses, ils daigna divinement rassembler les centaines de myriades de dieux dans la haute cité du Ciel, et daigna divinement tenir conseil en conseil, en disant : « Lorsque nous ferons en sorte que l’augusteté de notre Souverain Petit-Fils quitte le siège éternel du Ciel, se fraye un chemin avec puissance à travers les multiples nuages du Ciel, et descende du Ciel, avec l’ordre de gouverner tranquillement le pays des épis frais, qui fleurit au milieu de la lande de roseaux comme un pays paisible, quel dieu enverrons-nous en premier pour divinement balayer, balayer et soumettre les dieux qui sont turbulents dans le pays des épis frais » ; tous les dieux réfléchirent et déclarèrent : « Vous enverrez l’auguste d’Amenohohi, et les soumettrez », déclarèrent-ils. Ils le firent donc descendre du Ciel, mais il ne répondit pas. Puis, ayant envoyé l’auguste Takemikuma, celui-ci, obéissant aux ordres de son père, ne répondit pas non plus. Ame-no-waka-hiko, qu’ils envoyèrent, ne répondit pas non plus, mais périt aussitôt sous le coup d’un oiseau. Ils méditèrent donc à nouveau sur la parole des dieux célestes et, ayant daigné faire descendre du Ciel les deux piliers divins, Futsunushi et l’auguste Takemika-dzuchi, qui, ayant daigné divinement balayer, daigner, daigner divinement adoucir les dieux turbulents et faire taire les rochers, les arbres et la moindre feuille d’herbe qui proférait des paroles injurieuses, firent descendre du Ciel l’auguste du Souverain Petit-Enfant.
J’accomplis vos louanges, en disant : Quant aux Offrandes dressées, afin que les dieux souverains qui entrent dans la demeure céleste de l’auguste Petit-Fils Souverain, qui, après qu’il eut choisi comme pays paisible - le pays du grand Yamato où le soleil est haut, comme le centre des pays des quatre coins qui lui furent accordés lorsqu’il fut ainsi envoyé du Ciel - plantant vigoureusement les piliers de la maison sur les rochers les plus bas, et élevant les poutres transversales jusqu’à la plaine du haut Ciel, les constructeurs avaient fait pour lui l’ombre des Cieux et l’ombre du soleil, et où il gouvernera tranquillement le pays comme un pays paisible peut le faire, sans daigner être turbulent, daigner être féroce, et daigner blesser, connaissant, en vertu de leur divinité, les choses qui ont été commencées dans la plaine du haut Ciel, daignant corriger avec la correction Divine et la Grande correction, se déplacent d’ici vers les lieux purs des ruisseaux de montagne qui regardent au loin sur les quatre coins, et gouvernent Français les comme leur propre place. Que les dieux souverains prennent tranquillement avec un cœur pur, comme des offrandes paisibles et des offrandes suffisantes les grandes offrandes que j’ai dressées, les empilant sur les tables comme une chaîne de collines, fournissant des tissus brillants, des tissus scintillants, des tissus doux et des tissus grossiers, comme une chose à voir clairement - un miroir : comme des choses avec lesquelles jouer - des perles : comme des choses avec lesquelles tirer - un arc et des flèches : comme des choses avec lesquelles frapper et couper - une épée : comme une chose qui galope - un cheval ; quant à la liqueur - élevant bien haut les jarres de bière, remplissant et rangeant en rangées le ventre des jarres de bière, avec des grains de riz et des épis ; quant aux choses qui habitent dans les collines, des choses douces de cheveux et des choses dures de cheveux ; quant aux choses qui poussent dans la grande plaine des champs - des herbes douces et des herbes amères ; Quant aux choses qui habitent la plaine de la mer bleue, les choses larges et les choses étroites, jusqu’aux herbes du large et aux herbes du court, et sans daigner être turbulentes, daigner être féroces et daigner faire du mal, retirez-vous dans les endroits larges et propres des ruisseaux de montagne, et en vertu de leur divinité soyez tranquilles.
Il (le prêtre) dit : « Je déclare en présence des dieux souverains, qui, comme d’innombrables tas de pierres, sont assis sur le chemin dans les multiples bifurcations… accomplissez vos louanges en déclarant vos noms, Jeune et Jeune Fille des Nombreuses Bifurcations et de la Porte-Ne-Viens-Pas-Plus, et dites : pour les offrandes dressées afin que vous puissiez empêcher les serviteurs du monarque d’être empoisonnés et d’être d’accord avec les choses qui viendront du Pays-Racine, du Pays-Bas, agissant brutalement et haïssant, que vous puissiez garder le bas de la porte quand ils viennent du bas, garder le haut quand ils viennent du haut, en gardant avec une garde nocturne et avec une garde quotidienne, et, que vous puissiez les louer paisiblement, prenez les grandes offrandes qui sont dressées en les empilant comme une chaîne de collines - c’est-à-dire en fournissant des tissus brillants, etc., et assis sur le chemin comme d’innombrables tas de pierres dans les multiples bifurcations, daignez louer les « L’augusteté du Souverain Petit-Enfant est éternelle et immuable, et de bénir son âge comme un âge luxuriant. »
Il (le prêtre envoyé) dit : « Écoutez, vous tous, ministres des dieux et sanctificateurs des offrandes, le grand rituel, le rituel céleste, déclaré en la grande présence de la grande divinité resplendissante du ciel, dont les louanges sont accomplies en dressant les piliers robustes de la grande maison, et en exaltant la traverse jusqu’à la plaine du haut ciel aux sources de la rivière Isuzu à Udji à Watarahi. »
Il dit : « C’est la grande Parole du Souverain. Écoutez, vous tous, ministres des dieux et sanctificateurs des offrandes, l’accomplissement des louanges en ce dix-septième jour de la sixième lune de cette année, alors que le soleil du matin se lève dans la gloire, de l’Oho-Nakatomi, qui, ayant abondamment amassé comme une chaîne de collines le fil du tribut, la liqueur et la nourriture sanctifiées présentées comme d’usage par les gens des maisons de la divinité qui lui sont attribuées dans les trois départements et dans divers pays et lieux, afin qu’elle daigne bénir sa vie (celle du Mikado) comme une longue vie et sa vieillesse comme un âge luxuriant, éternellement et immuablement comme d’innombrables amas de pierres ; qu’elle daigne bénir les enfants qui lui sont nés, et qu’elle daigne faire fleurir les cinq sortes de céréales que les hommes de - cent fonctions et les paysans des pays des quatre coins de la région sous le Ciel cultivent et mangent longtemps et paisiblement, et qu’en les protégeant et en les aidant pour les bénir - est caché par les grandes baguettes d’offrande.
Je déclare en la grande présence de la grande divinité resplendissante du Ciel qui siège à Ise. Parce que la Souveraine grande déesse lui accorde les pays des quatre coins sur lesquels s’étend son regard, aussi loin que la limite où le Ciel se dresse comme un mur, aussi loin que les limites où la campagne se dresse au loin, aussi loin que la limite où les nuages bleus s’étendent à plat, aussi loin que les limites où les nuages blancs s’étendent tombés - la plaine bleue de la mer jusqu’à la limite où viennent les proues des navires sans perches ni pagaies, les navires qui se pressent continuellement sur la grande plaine maritime, et les routes que les hommes parcourent par terre, aussi loin que la limite où viennent les sabots des chevaux, avec les cordes de bagages étroitement liées, foulant les rochers inégaux et les racines des arbres et se dressant continuellement dans un long chemin sans interruption - rendant les pays étroits larges et les pays montagneux plats, et comme s’il rapprochait les pays lointains en jetant des dizaines de cordes par-dessus eux - il entassera les prémices comme une chaîne de collines dans la grande présence de la Souveraine grande déesse, et il s’élèvera paisiblement Profitez du reste.
Le rituel s’ouvre par un appel à l’écoute des princes de la famille du Mikado, des ministres d’État et de tous les autres fonctionnaires, dans des termes modernes, suite à l’instauration d’une forme d’administration calquée sur celle des Chinois. Vient ensuite une seconde énumération des serviteurs du souverain, selon l’ancienne division : compagnies portant l’écharpe (servantes), compagnies portant l’écharpe (cuisinières), compagnies portant le carquois et celles portant l’épée (gardes), qui ouvre le texte authentique et ancien. La nature du titre du Mikado à gouverner le pays est ensuite énoncée, comme dans le rituel des dieux de la peste, déjà cité, après quoi nous avons une liste des offenses dont la nation doit être purgée.
Français Parmi les diverses sortes d’offenses qui peuvent être commises par ignorance ou par négligence par le peuple croissant du Ciel, qui naîtra dans le pays, que l’auguste Petit-Fils Souverain, se cachant dans la nouvelle résidence, a construit en plantant vigoureusement les piliers de la maison sur les rochers les plus bas, et en élevant les poutres transversales vers la plaine du haut Ciel, comme son ombre contre les Cieux et son ombre contre le soleil, gouvernera tranquillement comme un pays paisible, à savoir, le pays du grand Yamato, où le soleil est vu en haut, qui sera fixé comme un pays paisible, comme le centre des pays des quatre quartiers ainsi accordés à lui - briser les crêtes, combler les cours d’eau, ouvrir les écluses, doubler les semis, planter des piquets, écorcher vif, écorcher en arrière et excréments ; beaucoup de ces offenses sont distinguées comme des offenses célestes et comme des offenses terrestres ; couper la chair vivante, couper la chair morte, la lèpre, la chair orgueilleuse, l’offense commise avec sa propre mère, l’offense commise avec son propre enfant, l’offense commise avec la mère et l’enfant, l’offense commise avec l’enfant et la mère, l’offense commise avec des bêtes, les calamités des vers rampants, les calamités d’un dieu d’en haut, les calamités des oiseaux d’en haut, les offenses de tuer des bêtes et d’utiliser des incantations ; beaucoup de ces offenses peuvent être révélées.
Le grand prêtre organise ensuite les sacrifices et, se tournant vers l’assemblée, agite devant eux une sorte de balai d’herbe, symbolisant le nettoyage de leurs offenses. À ce moment, l’original demande au prêtre de répéter « le grand rituel, le rituel céleste ». Plusieurs versions de ce qui semble être le document manquant ont été découvertes, et il s’avère qu’il s’agissait d’une brève allocution adressée à tous les dieux, les invitant à accomplir la partie restante du rituel principal, après quoi l’original poursuit :
Quand il l’aura ainsi répété, les dieux célestes ouvriront les portes éternelles du ciel, et se frayant un chemin avec puissance à travers les multiples nuages du ciel, ils entendront ; et les dieux de la campagne, montant aux sommets des hautes montagnes et aux sommets des basses collines, et déchirant les brumes des hautes montagnes et les brumes des basses collines, porteront l’oreille.
Et quand ils auront ainsi entendu, la Jeune Fille de la Descente dans le Courant, qui demeure dans le courant du torrent rapide qui dévale les ravins depuis les sommets des hautes montagnes et les sommets des basses collines, portera dans la grande plaine maritime les offenses qui sont effacées et purifiées, de sorte qu’il n’y ait plus d’offense ; comme le vent de Sbinato souffle les multiples nuages du Ciel, comme le vent du matin et le vent du soir soufflent la brume du matin et la brume du soir, comme les grands navires qui se trouvent sur le rivage du grand port desserrent leurs proues et desserrent leurs poupes pour s’avancer dans la grande plaine maritime ; comme les troncs des arbres de la forêt, lointains et proches, sont dégagés par la faucille tranchante, la faucille forgée au feu ; de sorte qu’il n’y aura plus aucune offense appelée une offense dans la cour de l’auguste Souveraine Petit-Enfant pour commencer, et dans les pays des quatre coins de la région sous le Ciel.
Et quand elle les emportera ainsi, la divinité appelée la Jeune Fille du Martinet purificateur, qui demeure dans les multiples rencontres des eaux de la mer, les multiples courants des eaux de la mer agitées les engloutiront.
Et quand elle les aura ainsi engloutis, le seigneur du lieu où souffle le Souffle, qui demeure dans le lieu où souffle le Souffle, les soufflera complètement avec son souffle jusqu’au pays des Racines, le pays du Fond.
Et quand il les aura ainsi chassés, la divinité appelée la Jeune Fille du Bannissement des Rapides, qui habite dans le Pays des Racines, le Pays du Fond, les bannira complètement et s’en débarrassera.
Et lorsqu’ils auront été ainsi débarrassés, il n’y aura plus, à partir de ce jour, de délit qui soit appelé délit, à l’égard des hommes des offices qui servent dans la cour du Souverain, ni dans les quatre coins de la région sous le Ciel.
[Alors le grand prêtre dit :]
Écoutez-vous tous comment il conduit le cheval comme une chose qui dresse ses oreilles vers la plaine du haut Ciel, et daigne balayer et purifier avec la purification générale, comme le soleil du soir se couche le dernier jour de la lune aqueuse de cette année.
Ô devins des quatre pays, emportez les sacrifices hors de la route fluviale et emportez-les.