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PRÉFACE | xi |
INTRODUCTION.
CHAPITRE | PAGE |
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I. LE TAOÏSME ÉTAIT-IL PLUS ANCIEN QUE LAO-DZE ? | 1 |
Trois religions en Chine. Particularité du Tâo Teh King. | |
II. LES TEXTES DU TÂO TEH KING ET DU KWANG-DZE SHÛ, QUANT À LEUR AUTHENTICITÉ ET À LEUR AUTHENTICITÉ, ET LEUR ARRANGEMENT | 4 |
i. Le Roi Tâo Teh. Les témoignages de l’historien Sze-mâ Khien ; de Lieh-dze, Han Fei-dze et d’autres écrivains taoïstes ; et de Pan Kû. Le catalogue de la bibliothèque impériale des Han ; et celui de la dynastie Sui. Les commentaires du « vieil homme du côté Ho » et de Wang Pî. Division en parties et chapitres, et nombre de caractères dans le texte.
ii. Les Écrits de Kwang-dze. Importance de ces Écrits pour le taoïsme. La division des Livres en trois parties. Leur titre général et sa signification.
III. Quelle est la signification du nom Tao ? Et les principaux points de croyance du Taoïsme | 12
Signification du nom. Usage du terme Thien. Usage particulier de celui-ci par Kwang-dze. L’opinion de M. Giles selon laquelle le nom « Dieu » est l’équivalent de Thien. Relation entre le Tâo et le nom Tî. Absence de notion de Création proprement dite dans le taoïsme. L’homme est composé d’un corps et d’un esprit. Cultiver le Tâo favorise la longévité. Les résultats surprenants du Tâo ; et comment il procède par opposition. L’état paradisiaque. Le déclin du taoïsme avant l’essor de la connaissance. Les enseignements moraux et pratiques de Lâo-dze. L’humilité ; ses trois joyaux ; que le bien doit être rendu pour le mal.
IV. COMPTES DE LAO-DZE ET KWANG-DZE DONNÉS PAR SZE-MÂ KHIEN | 33
V. DU TRAITÉ DES ACTIONS ET DE LEURS RÉCOMPENSES | 38
Style et nature particuliers du traité. Date de publication. Signification du titre. L’ancien taoïsme était-il une religion ? La famille Kang. Influence du bouddhisme sur le taoïsme.
[p. viii]
LE TÂO TEH KING.
CHAPITRE | PAGE |
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PARTIE I (Chapitres i à xxxvii) | 45 à 79 |
Ch. 1. Incarner le Tao, p. 47. 2. La Nourriture de la Personne, pp. 47, 48. 3. Garder les gens au repos, p. 49. 4. L’Absence de Source, pp. 49, 50. 5. L’Utilisation du Vide, p. 50. 6. L’Achèvement des Formes Matérielles, p. 51. 7. Enrober la Lumière, p. 52. 8. La Nature Placide et Contente, pp. 52, 53. 9. Plénitude et Complaisance contraires au Tao, p. 53. 10. Possibilités par le Tao, pp. 53, 54. 11. L’Usage de ce qui n’a pas d’Existence Substancielle, p. 54, 55. 12. La Répression des Désirs, p. 55. 13. La Honte répugnante, p. 56. 14. La Manifestation du Mystère, p. 57. 15. L’Exposition des Qualités du Tâo, p. 58, 59. 16. Retour à la Racine, p. 59, 60. 17. L’Influence Pure, p. 60, 61. 18. La Décadence des Mœurs, p. 61. 19. Retour à l’Influence Pure, p. 62. 20. Être Différent des Hommes Ordinaires, p. 62, 63. 21. Le Cœur vide, ou le Tao en action, p. 64. 22. L’Augmentation accordée à l’Humilité, p. 65. 23. Le Vide absolu, pp. 65, 66. 24. La Douloureuse Grâce, p. 67. 25. Représentations du Mystère, pp. 67, 68. 26. La Qualité de la Gravité, p. 69. 27. La Dextérité dans l’Utilisation du Tao, p. 70. 28. Le Retour à la Simplicité, p. 71. 29. Ne rien faire, pp. 71, 72. 30. Un Avertissement contre la Guerre, pp. 72, 73. 31. Calmer la Guerre, pp. 73, 74. 32. Le Tao sans nom, pp. 74, 75. 33. La discrimination entre les attributs, p. 75. 34. La tâche de réalisation, pp. 76) 77. 35. L’attribut de bienveillance, p. 77. 36. Minimiser la lumière, p. 78. 37. L’exercice du gouvernement, p. 79. |
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PARTIE II (Chapitres xxxviii à lxxxi) | 80 à 124 |
Ch. 38. Des attributs du Tao, pp. 80, 81. 39. L’origine de la loi, pp. 82, 83. 40. La dispense de l’usage (des moyens), pp. 839 84. 41. Identique et différence, pp. 84, 85. 42. Les transformations du Tao, p. 85. 43. L’usage universel (de l’action dans la faiblesse du Tao), p. 87. 44. Précautions, pp. 87, 88. 45. La grande vertu ou la vertu débordante, p. 88. 46. La modération du désir ou de l’ambition, pp. 88, 89. 47. Observant ce qui est lointain, p. 89. 48. Oubliant la connaissance, p. aller. 49. La qualité de l’indulgence, p. 91. 50. La valeur accordée à la vie, pp. 92, 93. 51. L’opération (du Tâo) dans la nourriture des choses, pp. 93, 94. 52. Retour à la source, pp. 94, 95. 53. Augmentation des preuves, pp. 961 97. 54. La culture (du Tâo) et l’observation (de ses effets), pp. 97, 98. 55. Le charme mystérieux, p. 99. 56. L’excellence mystérieuse, p. 100. [p. ix] 57. L’Influence Véritable, pp. 100, 101. 58. Transformation selon les Circonstances, pp. 101, 102. 59. Garder le Tâo, pp. 102, 103. 60. Occuper le Trône, pp. 103, 104. 61. L’Attribut d’Humilité, pp. 104, 105. 62. Pratiquer le Tâo, pp. 105, 106. 63. Penser au Commencement, pp. 106, 107. 64. Garder la Minute, pp. 107, 108. 65. Excellence pure et sans mélange, pp. 108, 109. 66. Se mettre en dernier, p. 109. 67. Trois choses précieuses, p. 110. 68. Correspondre au Ciel, pp. 111, 112. 69. L’Utilisation du Mystérieux (Tâo), p. 112. 70. La Difficulté d’être (correctement) Connu, pp. 112, 113. 71. La Maladie de la Connaissance, p. 113. 72. S’aimer soi-même, p. 114. 73. Permettre aux Hommes de suivre leur Cours, p. 116. 74. Limiter l’Illusion, p. 117. 75. Comment l’avidité nuit, pp. 117, 118. 76. Un avertissement contre la confiance en la force, pp. 118, 119. 77. La voie du ciel, p. 119. 78. Les choses auxquelles il faut croire, p. 120. 79. L’adhésion au lien ou à l’alliance, p. 121. 80. Être seul, p. 122 81. La manifestation de la simplicité, p. 123. |
LES ÉCRITS DE KWANG-DZE.
INTRODUCTION.
BRÈVES NOTICES DES DIFFÉRENTS LIVRES
PARTIE I.
LIVRE | ||
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I. i. | Hsiâo-yâo Yû, ou la jouissance dans une aisance sans souci | 164 |
II. ii. | Khî Wû Lun, ou l’ajustement des controverses | 176 |
III. iii. | Yang Shang Kû, ou Nourrir le Seigneur de la Vie. | 198 |
IV. iv. | Zän Kien Shih, ou l’Homme dans le monde, associé aux autres hommes. | 203 |
V. v. | Teh Khung Fû, ou le Sceau de la Vertu complet | 223 |
VI. vi. | Tâ Zung Shih, ou le Grand et Très Honoré Maître | 236 |
VII. vii. | Ying Tî Wang, ou le cours normal des dirigeants et des rois | 259 |
PARTIE II.
LIVRE | ||
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VIII. je. | Phien Mâu, ou orteils palmés | 268 |
IX. ii. | Mâ Thî, ou sabots de cheval | 276 |
X. iii. | Khü Khieh, ou Ouvrir les sacoches | 281 |
XI. iv. | Zâi Yû, ou laisser-être et faire preuve de tolérance[p. x] | 291 |
XII. V. | Thien Tî, ou Ciel et Terre | 307 |
XIII. vi. | Thien Tâo, ou la Voie du Ciel | 330 |
XIV. vii. | Thien Yün, ou la Révolution du Ciel | 345 |
XV. viii. | Kho Î, ou les idées enracinées | 363 |
XVI. ix. | Shan Hsing, ou la correction de la nature | 368 |
XVII. X. | Khiû Shui, ou les inondations de l’automne | 374 |
Translittération des alphabets orientaux adoptés pour les traductions des livres sacrés de l’Orient | 393 |
À la page 58, remplacez les troisième et quatrième phrases de la note explicative du chapitre XIV par ce qui suit : « Ce n’était qu’une fantaisie intéressante de l’ingénieux écrivain, et les efforts minutieux de Victor von Strauss pour la soutenir en 1870 n’ont pas réussi à me faire en penser plus favorablement. »
Le Dr Edkins, dans un article paru dans la China Review de juillet et août 1884, adopte un point de vue différent sur le chapitre. Il lit les monosyllabes Î, Hî et Wei selon sa conception des anciens noms des caractères chinois, et les appelle Âi, Kâi et Mâi, les considérant comme représentatifs d’un ou trois noms de Dieu. Il dit : « Je suis enclin à trouver ici des traces de la présence de la pensée babylonienne… Nous n’avons pas les mots originaux pour la première trinité de la religion babylonienne. Ils sont sous la forme assyrienne ou sémitique Anu, Bel, Nuah. En akkadienne, ils étaient Ilu, Enu, Hia. Parmi ceux-ci, Ilu était le Dieu suprême, source du Chaos, en chinois Hwun tun ou Hwun lun. Dans ce chaos, toutes les formes étaient confondues, comme c’est le cas dans le chaos taoïste. Bel ou Enu est le mot qui sépare les éléments du chaos. » Nuah ou Hia est la lumière de Dieu qui pénètre l’univers et maintient l’ordre établi par la parole. C’est cette Trinité divine, dans la langue d’une nation intermédiaire, que Lao-tseu semble avoir envisagée dans les divers passages où il parle du principe originel de l’univers sous une forme triple.
Cette lecture de notre chapitre ne me satisfait pas plus que celle de Rémusat ; et je me contente, dans mon interprétation, de m’en tenir aux secours des dictionnaires chinois et des commentateurs réputés qui en ont fait leur étude.