© 2020 Bob Solone
© 2020 Fondation Urantia
Par Bob Solone, la Fondation Urantia, États-Unis
Supposez, un moment, que vous avez deux passions dans la vie : premièrement la musique, « la langue universelle des hommes, des anges et des esprits » et ensuite le Livre d’Urantia, la cinquième révélation d’époque, à notre monde. LU 44:1.15 Puis, supposez que, pour la première moitié de votre vie d’adulte, vous avez pu pourchasser votre première passion comme carrière et profession, partageant l’amour et le don de la musique. Et finalement, imaginez la joie de rejoindre le personnel de la Fondation Urantia, l’éditeur et le gardien du Livre d’Urantia.
Et bien, c’est ce qui m’est arrivé, me rendant la personne la plus heureuse que je connaisse. Travailler avec la Fondation, d’abord en tant que bénévole au milieu des années 80, puis officiellement rejoignant le personnel en 1989 et ayant porté plusieurs casquettes durant les années intermédiaires, à 533 Diversey – que mes amis et moi-même désignaient avec amour comme « la crèche » - fut, toujours avec la musique, la plus grande joie de ma vie.
Mon rôle continu au Service aux Lecteurs de la Fondation a été une bénédiction, un défi et une éducation. Répondre aux demandes des lecteurs du monde entier ne m’a pas seulement inspiré à accroître ma compréhension du texte, mais aussi ce fut une sorte de leçon sur le comportement humain. J’ai appris très vite qu’il n’y a aucunes interprétations officielles du texte du Livre d’Urantia. L’expérience du groupe d’étude m’apprît que chaque personne interprète le texte à sa manière. Pour moi, cela le rend vraiment encore plus intéressant que de l’étudier seul.
Lorsque je répond aux questions à propos du livre, je me remémore que je représente la Fondation Urantia, l’éditeur. Par conséquent, je n’essaie jamais d’interpréter le texte, mais reste neutre et essaie de renvoyer le lecteur curieux, aux parties du livre qui correspondent à ses questions. Cela peut s’avérer difficile. Quelquefois, je dois le reconnaître, étant seulement un autre étudiant du livre, je n’ai pas la réponse. Mais je peux toujours dire quelque chose comme, « C’est une bonne question, je la partagerai avec les autres étudiants de mon groupe d’étude. »
Et pour terminer, par mon petit rôle de rouage dans la roue de la Fondation Urantia, je me rappelle toujours de l’importance, d’encourager les groupes d’étude à travers le monde. Comme l’on en informa nos premiers leaders, « des milliers de groupes d’étude doivent être créés. » Et nous avons la chance de posséder de nombreux outils pour aider les lecteurs et les groupes d’étude, comme urantiastudygroup.org. Donc, je suis chaque jour, reconnaissant de pouvoir contribuer, dans une faible mesure, à cette révélation.