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La pensée, le progrès et la destinée | Réflectivité — Número 382 — Août 2024 — Table des matières | La famille : l'unité fondamentale de la fraternité |
Claude Flibotte
Sainte-Julie
À la suite de ma lecture sur les sept cercles psychiques décrits dans Le Livre d’Urantia, je me suis souvent demandé comment je pourrais identifier dans quel cercle je me trouvais au moment de ces interrogations. Est-ce seulement possible de le savoir? Sur quoi me baser pour me faire une idée dans mon investigation? Sachant que la maitrise de ces cercles n’est pas l’équivalent de la fusion avec mon Ajusteur (LU 110:6.1), si je pouvais en reconnaitre les étapes, peut-être pourrais-je faciliter le moment de la fusion! Mon premier réflexe consiste à me référer au livre !
Les cercles psychiques ne sont ni exclusivement intellectuels ni entièrement morontiels; ils concernent le statut de personnalité, les accomplissements mentaux, la croissance de l’âme et l’accord avec l’Ajusteur. La traversée réussie de ces niveaux exige le fonctionnement harmonieux de la personnalité entière, et non simplement d’une de ses phases. La croissance des parties n’équivaut pas à la vraie maturation du tout ; en réalité, les parties croissent proportionnellement à l’expansion de l’ensemble du moi — du moi tout entier matériel, intellectuel et spirituel. LU 110:6.3
Par cette citation, il est clair que je dois développer harmonieusement les trois aspects de mon individualité, ma nature matérielle en procurant à mon corps tout le nécessaire vital pour son bienêtre ; ma capacité intellectuelle en nourrissant mon mental de pensées équilibrées à tous les points de vue afin de reconnaitre les justes significations des faits de ce monde et d’anticiper ceux des mondes supérieurs ; ma réalité spirituelle en identifiant et en mettant en pratique dans ma vie humaine les vertus de la réalité d’esprit se dégageant de la synthèse des faits et des significations qui sont déduites.
… C’est à un mental parfaitement équilibré, logé dans un corps aux habitudes saines, aux énergies nerveuses stabilisées et aux fonctions chimiques équilibrées quand les pouvoirs physiques, mentaux et spirituels se développent en harmonie trine — qu’un maximum de lumière et de vérité peut être communiqué avec un minimum de danger temporel et de risques pour le véritable bienêtre d’un tel être. C’est par cette croissance équilibrée que l’homme fait, un par un, l’ascension des cercles de progression planétaire, depuis le septième jusqu’au premier. LU 110:6.4
Ainsi donc, chaque décision intellectuelle, chaque choix moral influent sur mon développement spirituel, ce qui rend mon Ajusteur plus apte à fonctionner dans mon mental. Cercle après cercle, cette attitude me permet d’émerger de cette manière des stades inférieurs d’association et d’accord mental avec mon Ajusteur. Finalement, c’est la répétition de faire les bons choix, ou du moins de corriger la situation lors d’une mauvaise décision, qui me permet de créer ainsi une habitude d’exprimer ma personnalité et de franchir, un à un, les cercles psychiques.
Selon l’auteur du fascicule 110, il est difficile de définir avec précision les sept niveaux de la progression humaine, parce que ces niveaux sont personnels. Cependant, trois manifestations s’en dégagent pour les identifier : premièrement, un bon accord avec son Ajusteur en devenant de plus en plus divin comme lui ; deuxièmement, favoriser l’évolution de mon âme ce qui révèle l’étendue et la profondeur du franchissement des cercles ; et finalement, le degré de réalité de ma personnalité qui devient de plus en plus une actualité dans l’univers au fur et à mesure que je m’approche du franchissement total de ces cercles (LU 110:6.7-10) !
Bien qu’il soit difficile d’identifier le franchissement des sept cercles, le Messager Solitaire d’Orvonton nous donne quelques pistes :
Le septième cercle. Les êtres humains pénètrent dans ce niveau quand ils développent leurs pouvoirs de choix personnel, de décision individuelle, de responsabilité morale et leur capacité d’atteindre l’individualité spirituelle. Cela dénote le fonctionnement unifié des sept esprits-mentaux adjuvats sous la direction de l’esprit de sagesse, la mise en circuit de la créature humaine dans l’influence du Saint-Esprit et, sur Urantia, le fonctionnement initial de l’Esprit de Vérité en même temps que la réception d’un Ajusteur de Pensée dans le mental du mortel. L’entrée dans le septième cercle fait, d’une créature mortelle, un vrai citoyen potentiel de l’univers local. LU 110:6.13
Clairement, cette description correspond au moment de ma première décision morale, ce qui déclencha la cascade d’évènements décrits dans cette citation. En moyenne sur Urantia, cela se produisait un peu avant l’âge de six ans au moment de la révélation de cette information (LU 108:2.1).
Le troisième cercle. Le travail de l’Ajusteur est beaucoup plus efficace après que l’ascendeur humain a atteint le troisième cercle et reçu, à titre personnel, un gardien séraphique de la destinée. Bien qu’il n’y ait apparemment pas d’efforts concertés entre l’Ajusteur et le gardien séraphique, on peut néanmoins observer, après l’affectation de l’accompagnateur séraphique personnel, une amélioration indubitable dans toutes les phases d’accomplissement cosmique et de développement spirituel. Quand le troisième cercle est atteint, l’Ajusteur s’efforce de rendre morontiel le mental de l’homme pendant le reste de sa vie de mortel, de franchir les cercles restants et d’atteindre le stade final de l’association divinehumaine avant que la mort naturelle ne dissolve cette association exceptionnelle. LU 110:6.14
Il est intéressant de souligner le fait que toutes personnes ayant atteint le troisième cercle soient considérées comme une association humaine-divine exceptionnelle!Je me demande si beaucoup de gens sur Urantia atteignent ce troisième cercle. Exceptionnelle doit-il être pris dans le sens d’une exception parce qu’il y en a peu ou bien dans le sens d’une relation particulièrement fantastique!
Le premier cercle. Généralement, l’Ajusteur ne peut parler directement et immédiatement avec vous avant que vous ayez atteint le premier cercle, le cercle final d’accomplissement progressif d’un mortel. Ce niveau représente la plus grande réalisation possible des relations mental-Ajusteur au cours de l’expérience humaine, avant que l’âme morontielle évoluante ait été libérée de son support corporel matériel. En ce qui concerne le mental, les émotions et la clairvoyance cosmique, l’aboutissement au premier cercle psychique représente le plus grand rapprochement possible entre le mental matériel et l’Ajusteur spirituel dans l’expérience humaine. LU 110:6.15
Par cette description, il est probable qu’un individu particulièrement divinisé et en synchronisme presque parfait avec son Ajusteur puisse entretenir une relation consciente avec lui. Cependant, je soupçonne que ce phénomène soit rare ici-bas, et qu’il est plutôt expérimenté à travers une intuition, une clairvoyance, de la bonne décision à prendre pour chacune des situations.
À la citation LU 110:6.16, l’auteur nous dit que les cercles de progressions psychiques devraient possiblement être mieux nommés niveaux cosmiques parce que c’est par la maitrise de chacun de ces cercles que nous saisissons les significations et réalisons les valeurs d’une approche progressive de la conscience morontielle de l’existence d’une relation initiale entre l’âme évolutionnaire et l’Être Suprême émergent. Ainsi, bien qu’un individu ne soit pas pleinement conscient de la réalité de Dieu, s’il manifeste dans sa vie humaine une coordination avec son Ajusteur et contribue sans le savoir à faire la volonté du Père en étant au service de sa communauté de manière aimante, fraternelle et même paternelle, alors de manière inconsciente, il progresse d’un cercle à l’autre, et il contribue réellement à l’actualisation de l’Être Suprême.
Étant donné que la vie de Jésus de Nazareth est un modèle parfait pour moi, je me suis posé la question à savoir si je pouvais reconnaitre dans la description faite de sa vie, à la quatrième partie du Livre d’Urantia, le franchissement de ces sept cercles. L’idée me vint de demander à AskJesus, l’intelligence artificielle centrée sur la vie de Jésus, s’il pouvait me donner une réponse. Malheureusement, bien que sa réponse fut quelque peu plausible, elle ne me semblait pas correspondre avec justesse à la définition de l’auteur du fascicule 110. Puis, je me suis référé à un article de Linda Buselli paru dans le volume 1, numéro 2 du Fellowship Herald du printemps 1999 intitulé «Les sept cercles psychiques » où elle avait tenté d’identifier les moments où Jésus avait franchi les sept cercles. Vous pourrez trouver son article traduit en français avec le lien suivant : https://urantiapedia.org/fr/article/Linda_Buselli/The_seven_psychic_circles.
En laissant de côté les autres comparaisons avec les chakras, les sacrements et les Séfirot, il est intéressant de constater ses découvertes. Comme nous tous, Jésus atteignit le septième cercle psychique au moment de sa première décision morale un peu avant l’âge de cinq ans (LU 123:2.1). Extrêmement curieux de tous les faits de la vie matérielle, Jésus avait constamment des questions a poser pour comprendre le monde. Selon les recherches de Linda, Jésus traversa le sixième cercle psychique à sept ans lorsqu’il noua des relations avec ses camarades de classe et les gens venant des quatre coins du monde à Nazareth. C’est ainsi que Jésus apprit à connaitre la race humaine, à l’aimer avec une grande dévotion. Il avait également une relation bien personnelle dans ses prières avec ce qu’il appelait son Père Céleste. À l’âge de dix ans, Jésus commença à prendre conscience de la nature de sa mission dont il fit part à ses parents (LU 124:2.1). Une même personnalité, celle de Micaël de Nébadon, devait faire l’équilibre avec deux natures, une divine et une humaine (LU 124:4.4). Toujours selon Linda, Jésus atteignit le cinquième cercle psychique par la résolution des conflits entre ses convictions personnelles et le désir d’obéir à ses parents et ses obligations familiales en un magistral concept de solidarité collective basé sur la loyauté, l’équité, la tolérance et l’amour (LU 124:4.9). Nous voyons que Jésus commença sa vie humaine avec une conscience limitée à son environnement immédiat, sa famille, puis sa ville, les gens provenant de partout sur la planète, la planète entière puis le ciel étoilé pour éventuellement recouvrer sa conscience cosmique de l’univers des univers en tant que Micaël de Nébadon.
Linda souligne à ce moment de la vie de Jésus, et je suis d’accord avec elle, que la ligne de démarcation entre chacun des cercles n’est pas clairement déterminée, mais plutôt vague et flou. Ainsi, tout comme les besoins fondamentaux de l’être humain décrit par la pyramide de Maslow où nous montons et descendons selon les circonstances, nous avons à prendre constamment des décisions qui concernent n’importe lequel de ces cercles à différents moments de la vie. Il en va de même pour les esprits-mentaux adjuvats, bien que nous ayons atteint le fonctionnement du septième adjuvat, cela n’empêche pas les autres d’être opérant tout au long de notre vie humaine.
Possiblement, Jésus aborda le quatrième ou même le troisième cercle psychique vers l’âge de treize ans, car à ce moment-là, grâce à sa communion assidue avec son Ajusteur, il acquit humainement la certitude qu’il était destiné à remplir sur terre une mission pour éclairer l’humanité et lui révéler Dieu.
La veille du sabbat de la Pâque, un torrent d’illumination spirituelle traversa le mental mortel de Jésus et fit déborder son cœur de pitié affectueuse pour ces foules spirituellement aveugles et moralement ignorantes assemblées en vue de commémorer l’ancienne Pâque. Ce fut l’un des jours les plus extraordinaires de l’incarnation du Fils de Dieu. Durant cette nuit, pour la première fois dans sa carrière terrestre, un messager spécial de Salvington, commissionné par Emmanuel, lui apparut et dit : «L’heure est venue. Il est temps que tu commences à t’occuper des affaires de ton Père. » LU 124:6.15
Selon la description de la citation suivante, il est pratiquement certain que Jésus avait atteint le troisième cercle psychique, car son centre d’intérêt principal était maintenant de faire la volonté de son Père du Paradis où l’attrait des choses matérielles de ce monde n’avait que peu d’importance dans sa pensée.
Depuis le septième cercle jusqu’au troisième, les sept esprits-mentaux adjuvats exercent une action accrue et unifiée pour sevrer le mental humain de sa dépendance des réalités des mécanismes de la vie matérielle, ce qui le prépare à mieux pénétrer les niveaux morontiels d’expérience. À partir du troisième cercle, l’influence des adjuvats diminue progressivement. LU 110:6.20
C’est peut-être lors de sa quatorzième et quinzième année que Jésus aborda le deuxième cercle psychique. Déjà, il avait acquis un certain degré de communication avec son Ajusteur comme le mentionne la citation suivante.
De toutes les expériences de la vie terrestre de Jésus, sa quatorzième et sa quinzième année furent les plus cruciales. Les deux années comprises entre le moment où il commença à prendre conscience de sa divinité et de son destin, et celui où il réussit à communiquer, dans une large mesure, avec son Ajusteur intérieur furent les plus éprouvantes de sa vie mouvementée sur Urantia. C’est cette période de deux ans que l’on devrait appeler la grande épreuve, la vraie tentation… LU 126:0.1
Après le décès de son père Joseph, et de la fin de sa quatorzième année jusqu’à sa vingtième année, Jésus se consacra à deux choses, prendre soin de sa famille et se préparer à accomplir sur terre la volonté de son Père céleste (LU 126:2.5). Les médians nous propose un compte rendu de sa seizième année en ces termes :
Ce jeune homme physiquement fort et robuste acquit également la pleine mesure de son intellect humain, non la pleine expérience de la pensée humaine, mais la pleine aptitude à un tel développement intellectuel. Il avait un corps sain et bien proportionné, un mental vif et analytique, un naturel bienveillant et compatissant, un tempérament quelque peu fluctuant, mais dynamique. Cet ensemble commençait à composer une personnalité forte, frappante et attirante. LU 127:1.3
C’est possiblement vers l’âge de dix-sept ans que Jésus atteint le premier cercle psychique.
Durant cette année-là, Jésus progressa grandement dans l’organisation de son mental. Peu à peu, il avait concilié sa nature divine avec sa nature humaine. Il réalisa toute cette organisation intellectuelle par la force de ses propres décisions et avec la seule aide de son Moniteur intérieur, un Moniteur semblable à ceux qui habitent le mental de tous les mortels normaux sur tous les mondes après l’effusion d’un Fils. LU 127:2.12
À la lecture de la vie de Jésus, il me semble que la maitrise du premier cercle psychique soit une tâche plus ardue et longue comparativement à la maitrise des cercles précédents. Après s’être énormément consacré à sa famille, lors de sa vingtième année, Jésus poursuivit l’unification de ses deux natures.
Cette année-là, il reprit la tâche de fusionner davantage sa nature mortelle et sa nature divine en une simple et efficace individualité humaine. Son statut moral et sa compréhension spirituelle continuèrent à croitre. LU 127:6.9
À sa vingt-deuxième année, Jésus passa le flambeau de la responsabilité familiale à son frère Jacques (LU 128:2.4). À vingtsix ans, il est écrit que Jésus réfléchissait beaucoup sur ses relations avec son Père qui est aux cieux, mais en parlait peu (LU 128:7.2). C’est lors de sa vingt-septième année que Jésus eut des contacts conscients avec son Ajusteur.
Cette année-là, Jésus fit de grands progrès dans la maitrise ascendante de son mental humain et atteignit des niveaux élevés et nouveaux de contact conscient avec son Ajusteur de Pensée intérieur. LU 129:1.14
C’est au cours de son voyage autour de la Méditerranée à vingt-neuf ans que Jésus franchit de grandes étapes dans sa tâche humaine de dominer le mental matériel et mortel, et son Ajusteur intérieur progressa dans l’ascension et la conquête spirituelle de ce même intellect humain (LU 129:3.9). Au cours de sa trentième année, Jésus fit de grands progrès pour atteindre un équilibre parfait fonctionnel de son mental humain avec son Ajusteur.
Cette année fut l’une des plus exceptionnelles dans l’expérience intérieure du Fils de l’Homme ; il fit de grands progrès dans la réalisation d’une harmonie fonctionnelle entre son mental humain et son Ajusteur intérieur. LU 134:1.7
Puis, vint le moment où son Ajusteur fit sentir à son sujet humain que le synchronisme parfait entre l’humain et le divin arrivait à son terme. Aussi, Jésus se retira seul accompagné de son Ajusteur intérieur sur le mont Hermon.
Jésus passa les trois dernières semaines d’aout et les trois premières de septembre sur le mont Hermon. Durant ces semaines, il acheva la tâche de mortel d’atteindre les cercles de compréhension mentale et de contrôle de la personnalité. Pendant toute cette période de communion avec son Père céleste, l’Ajusteur intérieur paracheva également les services qui lui avaient été assignés. Le but humain de cette créature terrestre fut alors atteint. Il ne restait qu’à consommer la phase finale d’harmonisation de son mental avec l’Ajusteur. LU 134:8.4
L’acte final eut lieu lors du baptême de Jésus par Jean le Baptiste le lundi 14 janvier de l’an 26 . Il avait 31 ans, 4 mois, 24 jours. À ce moment-là, Jésus avait achevé la conquête de son mental humain et l’identification de soi avec l’esprit. Un parfait synchronisme et une pleine communication s’étaient établis entre le mental humain de Jésus et son Ajusteur esprit intérieur (LU 136:2.2). La suite, nous la connaissons tous, la fusion n’eut pas lieu, mais un phénomène encore plus spectaculaire se produisit.
Ordinairement, quand la personnalité d’un mortel du royaume atteint d’aussi hauts niveaux de perfection, on voit se produire les phénomènes préliminaires d’élévation spirituelle qui se terminent, en fin de compte, par la fusion définitive de l’âme murie du mortel avec son divin Ajusteur associé. Un tel changement aurait apparemment dû se produire dans l’expérience de la personnalité de Jésus de Nazareth le jour même où il descendit dans le Jourdain avec ses deux frères pour être baptisé par Jean. Cette cérémonie était l’acte final de sa vie purement humaine sur Urantia, et beaucoup d’observateurs suprahumains s’attendaient à être témoins de la fusion de l’Ajusteur avec le mental qu’il habitait, mais ils allaient tous être déçus. Quelque chose de nouveau et d’encore plus grandiose se produisit. Tandis que Jean imposait les mains sur Jésus pour le baptiser, l’Ajusteur intérieur prit définitivement congé de l’âme humaine devenue parfaite de Joshua ben Joseph. Quelques instants plus tard, cette entité divine revint de Divinington en tant qu’Ajusteur Personnalisé et chef de ses semblables dans tout l’univers local de Nébadon. Jésus put ainsi observer son propre esprit divin antérieur redescendant vers lui sous forme personnalisée, et il entendit alors ce même esprit originaire du Paradis prendre la parole et dire : «Celui-ci est mon Fils bienaimé en qui j’ai trouvé mon plaisir. » LU 136:2.3
Cependant, pour nous qui ne sommes pas des fils créateurs, cette fusion entre notre identité humaine et notre identité divine en une seule personnalité sera un fait éternel. C’est ce que je nous souhaite !
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