© 2002 La Bibliothèque de la Confrérie des Hommes
À propos de la certitude | Volume 9 - No. 4 — Table des matières | Dieu – conscience de ; Dieu – volonté de |
Il n’est pas possible que l’Esprit ait plus de bonté que le Père puisque toute bonté a son origine dans le Père, mais dans les actes de l’Esprit nous pouvons mieux comprendre cette bonté. La fidélité du Père et la constance du Fils sont rendues très réelles aux êtres spirituels et aux créatures matérielles des sphères par le ministère d’amour et le service incessant des personnalités de l’Esprit Infini.
La science ne se contente que des causes premières, la religion de la personnalité suprême et la philosophie de l’unité. L’Apocalypse affirme que ces trois ne font qu’un et que tous sont bons. Le réel éternel est le bien de l’univers et non les illusions temporelles du mal spatial. Dans l’expérience spirituelle de toutes les personnalités, il est toujours vrai que le réel est bon et que le bien est réel.
« Pourquoi m’appelles-tu bon ? Nul n’est bon sauf Dieu. » (Jésus)
Le Jésus humain considérait Dieu comme étant saint, juste et grand, tout en étant vrai, beau et bon. Il a concentré tous ces attributs divins dans son esprit comme étant la « volonté du Père céleste ». Le Dieu de Jésus était à la fois « le Saint d’Israël » et « le Père vivant et aimant qui est aux cieux ».
Le péché est une expérience de conscience de créature ; cela ne fait pas partie de la conscience de Dieu.
La possibilité du mal est nécessaire au choix moral, mais pas sa réalité. Le mal potentiel agit tout aussi bien comme stimulant de décision dans les domaines du progrès moral. Le mal ne devient une réalité d’expérience personnelle que lorsqu’un esprit moral fait du mal son choix.
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