© 2023 Halbert Katzen, JD
Par Halbert Katzen J.D.
Bien que le terme Voie Lactée (galaxie) ne soit pas préféré par les auteurs du Livre d’Urantia, sa référence au superunivers d’Orvonton est essentielle pour développer une bonne compréhension de la cosmologie du Livre d’Urantia.
Cette étude de référence croisée offre un aperçu complet de la façon dont les révélateurs utilisent galaxie (avec ses dérivés) et Voie Lactée. Voir l’article de Nigel Nunn Massive Orvonton pour une étude plus approfondie de ce sujet et allez sur cette page pour une appréciation plus large de son érudition.
Tous les auteurs, même s’ils ne sont pas des révélateurs du Livre d’Urantia, font des choix quant à savoir s’ils doivent présumer de la familiarité de leur lecteur avec l’usage courant et la disponibilité des dictionnaires. Ils peuvent aussi choisir de créer et de définir de nouveaux mots. Ou ils peuvent redéfinir des termes existants. Naturellement, comme Le Livre d’Urantia est écrit pour un public multigénérationnel et fournit des concepts révélateurs et des informations sur la cosmologie, les auteurs doivent particulièrement aller au-delà des usages contemporains et des définitions des dictionnaires.
Parfois, les révélateurs redéfinissent spécifiquement (ou définissent mieux) un terme pour nous avec une déclaration comme : « Et les descendants mixtes de cette souche Badonite améliorée sont apparus sur la scène de l’action comme un peuple apparemment nouveau — la race néandertalienne. » Parfois, la redéfinition d’un terme existant est plus contextuelle et/ou peut être dérivée de la construction grammaticale de la phrase dans laquelle le terme est utilisé.
Cette présentation commence par une étude du mot galaxie et de ses dérivés car c’est le contexte conceptuel plus large dans lequel l’exemple spécifique de la Voie Lactée est considéré.
Malgré la valeur d’une perspective cosmologique plus large qui ne peut venir que de l’intégration des enseignements du Livre d’Urantia avec la science, ce type d’analyse fournit néanmoins une compréhension fondamentale de la façon dont les auteurs utilisent les termes. Il existe une abondance d’utilisations grammaticales et contextuelles cohérentes pour conclure que le terme de galaxie de la Voie Lactée doit être associé au superunivers d’Orvonton.
Subgalactic apparaît une fois :
Le centre de rotation de votre secteur mineur est situé fort loin dans l’énorme et dense nuage stellaire du Sagittaire, autour duquel votre univers local et les créations qui lui sont associées se déplacent tous. Et de part et d’autre du vaste système subgalactique du Sagittaire, vous pouvez observer deux grands courants de nuages stellaires qui émergent sous forme de prodigieuses spirales stellaires. (LU 15:3.5)
Galaxie est utilisé dix fois. La première fois, il apparaît juste après les trois paragraphes qui introduisent le terme Voie Lactée.
Parmi les dix secteurs majeurs d’Orvonton, huit ont été à peu près identifiés par les astronomes urantiens. Il est difficile de reconnaitre séparément les deux autres parce que vous êtes obligés de regarder ces phénomènes de l’intérieur. Si vous pouviez examiner le superunivers d’Orvonton depuis un emplacement très éloigné dans l’espace, vous reconnaitriez immédiatement les dix secteurs majeurs de la septième galaxie. (LU 15:3.4)
Les deux instances suivantes de galaxie se produisent lorsqu’il est utilisé immédiatement après Milky Way.
La galaxie de la Voie Lactée est composée d’un vaste nombre de nébuleuses précédemment spirales et d’autres nébuleuses, dont beaucoup ont conservé leur configuration première. … (LU 15:4.8)
Il faut considérer les immenses nuages stellaires d’Orvonton comme des agrégats individuels de matière, comparables aux nébuleuses séparées que l’on peut observer dans les régions d’espace extérieures à la galaxie de la Voie Lactée. … (LU 15:4.9)
Les sept dernières occurrences sont toutes dans le contexte de personnalités, de dieux et de saints, où il est utilisé pour signifier « plusieurs ». Les exemples incluent « galaxie de dieux olympiens » et « galaxie illimitée de personnalités ».
Dieu comprend pleinement le besoin qu’a toute créature intelligente d’agir et d’expérimenter. En conséquence, dans toute situation, qu’il s’agisse de la destinée d’un univers ou du bienêtre de la plus humble de ses créatures, Dieu s’abstient pour laisser agir la galaxie de personnalités créées ou Créatrices qui, par inhérence, interviennent entre lui et toute situation universelle ou tout évènement créatif donnés. (LU 32:4.2)
En tant que reliquat de tradition à Ur, il avait appris l’histoire des Sept Maitres Esprits et, en conséquence, il créa une galaxie de sept dieux suprêmes où Ahura-Mazda dominait. (LU 95:6.2)
Dans la mesure où les philosophes grecs reconnaissaient le divin et le superfini, ils étaient franchement monothéistes et n’avaient guère de reconnaissance envers toute la galaxie de dieux et de déesses de l’Olympe. (LU 98:2.4)
Au cours de la grande renaissance monothéiste de l’évangile de Melchizédek pendant le sixième siècle avant le Christ, les missionnaires de Salem furent trop peu nombreux à pénétrer en Italie. Ceux qui y allèrent furent incapables de vaincre l’influence de la prêtrise étrusque en expansion rapide, avec sa nouvelle galaxie de dieux et de temples qui furent tous incorporés dans la religion d’État romaine. (LU 98:3.2)
Un tel concept du JE SUIS implique la pleine réalisation de soi. Il embrasse la galaxie illimitée de personnalités qui sont devenues des participants volontaires dans la révélation de soi du JE SUIS, et qui resteront éternellement des parties volitives absolues de la totalité de l’infinité, des fils finals du Père absolu. (LU 106:8.23)
« Tu effuses cette vie d’incarnation mortelle sur Urantia, mais tu dois vivre cette vie pour inspirer spirituellement toutes les intelligences humaines et suprahumaines qui ont vécu, existent actuellement ou pourront encore vivre sur chacun des mondes habités qui ont formé, forment maintenant ou peuvent encore former une partie de la vaste galaxie de ton domaine administratif. (LU 120:2.7)
Une nouvelle menace spirituelle s’éleva par la création d’une galaxie de « saints » censés avoir une influence spéciale auprès des tribunaux divins ; en conséquence, si l’on savait faire efficacement appel à eux, ils devaient pouvoir intercéder en faveur des hommes auprès des Dieux. (LU 195:4.2)
Extragalactic apparaît une fois et dans le même paragraphe que lorsque galactic est utilisé pour la première fois :
Dans un avenir peu éloigné, de nouveaux télescopes révèleront, aux regards émerveillés des astronomes d’Urantia, au moins 375 millions de nouvelles galaxies dans les lointaines étendues de l’espace extérieur. En même temps, ces télescopes plus puissants découvriront que beaucoup d’univers iles que l’on situait précédemment dans l’espace extérieur font en réalité partie du système galactique d’Orvonton. Les sept superunivers sont encore en train de croitre ; la périphérie de chacun subit une expansion graduelle ; de nouvelles nébuleuses sont constamment stabilisées et organisées ; et quelques-unes des nébuleuses que les astronomes d’Urantia considèrent comme extragalactiques se trouvent en réalité aux lisières d’Orvonton et poursuivent leur voyage avec nous. (LU 12:2.3)
Les trois utilisations supplémentaires de galactic apparaissent comme des références plus générales aux univers créés :
Si l’amour caractérise la divinité de la première triunité, l’archétype est la manifestation galactique de la deuxième triunité. (LU 104:4.15)
Ce sont toutefois les univers locaux qui représentent les vrais laboratoires dans lesquels se réalisent les expérimentations mentales, les aventures galactiques, les développements de la divinité et les progrès de la personnalité. Le total cosmique de ces éléments constitue la base effective sur laquelle le Suprême s’appuie pour achever, dans l’expérience et par l’expérience, l’évolution de la déité. (LU 116:4.7)
Le Suprême est le canal divin à travers lequel coule l’infinité créative des triodités qui se cristallise dans le panorama galactique de l’espace où a lieu la magnifique épopée des personnalités du temps : la conquête par l’esprit sur l’énergie-matière par l’intermédiaire du mental. (LU 117:3.2)
Galaxies apparaît onze fois. Lorsqu’il n’est pas utilisé comme référence générale au cosmos, comme dans « les beautés harmonieuses des galaxies du temps », il fait référence soit à l’agrégat des sept superunivers et/ou à des régions dans les niveaux de l’espace extérieur.
Les zones relativement tranquilles entre les niveaux d’espace, comme celle qui sépare les sept superunivers du premier niveau d’espace extérieur, sont d’énormes régions elliptiques où les activités spatiales sont au repos. Ces zones séparent les vastes galaxies qui tournent à grande vitesse en procession ordonnée autour du Paradis. Vous pouvez visualiser le premier niveau d’espace extérieur, où d’innombrables univers sont maintenant en cours de formation, comme une vaste procession de galaxies tournant autour du Paradis, bornée en haut et en bas par les zones tranquilles d’espace médian, et bornée à l’intérieur et à l’extérieur par les zones d’espace relativement tranquilles. (LU 11:7.7)
Ce zonage alterné du maitre univers, associé au flux alterné des galaxies dans le sens des aiguilles d’une montre et en sens inverse, est un facteur de stabilisation de la gravité physique destiné à empêcher que la pression de gravité ne s’accentue au point où elle produirait un effet de désagrégation et de dispersion. Ce dispositif exerce une influence antigravitationnelle et agit comme un frein sur des vitesses qui autrement seraient dangereuses. (LU 11:7.9)
Dans un avenir peu éloigné, de nouveaux télescopes révèleront, aux regards émerveillés des astronomes d’Urantia, au moins 375 millions de nouvelles galaxies dans les lointaines étendues de l’espace extérieur. En même temps, ces télescopes plus puissants découvriront que beaucoup d’univers iles que l’on situait précédemment dans l’espace extérieur font en réalité partie du système galactique d’Orvonton. Les sept superunivers sont encore en train de croitre ; la périphérie de chacun subit une expansion graduelle ; de nouvelles nébuleuses sont constamment stabilisées et organisées ; et quelques-unes des nébuleuses que les astronomes d’Urantia considèrent comme extragalactiques se trouvent en réalité aux lisières d’Orvonton et poursuivent leur voyage avec nous. (LU 12:2.3)
Mais la plus importante de ces distorsions provient de ce que les vastes univers de l’espace extérieur situés dans les royaumes avoisinant les domaines des sept superunivers paraissent effectuer leur rotation en sens inverse de celle du grand univers. Autrement dit, ces myriades de nébuleuses ainsi que les soleils et sphères qui les accompagnent tournent présentement autour de la création centrale dans le sens des aiguilles d’une montre. Or les sept superunivers tournent en sens inverse autour du Paradis. Il semble que le second univers extérieur de galaxies, tout comme les sept superunivers, tourne en sens inverse des aiguilles d’une montre autour du Paradis. Les astronomes observateurs d’Uversa croient découvrir la preuve que des mouvements rotatifs s’effectuent dans une troisième ceinture d’espace immensément lointaine, et que ces mouvements commencent à manifester des tendances à s’orienter dans le sens des aiguilles d’une montre. (LU 12:4.15)
Nous ne savons pas ce que sera la destinée de ces ordres stationnaires de citoyenneté de l’univers local et du superunivers, mais il est tout à fait possible qu’au moment où les finalitaires du Paradis exploreront les frontières en expansion de la divinité dans les systèmes planétaires du premier niveau d’espace extérieur, leurs frères de la lutte évolutionnaire ascendante fusionnés avec le Fils ou l’Esprit contribueront d’une manière appropriée à maintenir l’équilibre expérientiel des superunivers devenus parfaits. En même temps, ils se tiendront prêts à accueillir à son arrivée le flot de pèlerins qui pourrait, dans ce lointain avenir, se déverser vers le Paradis, à travers Orvonton et ses créations sœurs, comme un vaste torrent recherchant l’esprit en venant des galaxies, présentement inexplorées et inhabitées, de l’espace extérieur. (LU 40:10.8)
On vous a décrit, dans une certaine mesure, l’organisation et le personnel de l’univers central, des superunivers et des univers locaux. On vous a dit certaines choses sur le caractère et l’origine de diverses personnalités qui régissent présentement ces vastes créations. On vous a également informés que d’immenses galaxies d’univers sont en processus d’organisation bien au-delà de la périphérie du grand univers, dans le premier niveau d’espace extérieur. … (LU 112:7.16)
Nous croyons que les mortels fusionnés avec leur Ajusteur, ainsi que leurs compagnons finalitaires, sont destinés à fonctionner, d’une façon ou d’une autre, dans l’administration des univers du premier niveau d’espace extérieur. Nous n’avons pas le moindre doute qu’en temps voulu, ces énormes galaxies deviendront des univers habités. (LU 112:7.17)
Du point de vue existentiel, rien de nouveau ne peut arriver dans aucune des galaxies, car le parachèvement de l’infinité inhérent au JE SUIS est éternellement présent dans les sept Absolus, il est fonctionnellement associé dans les triunités et il est associé d’une manière transmissible dans les triodités. (LU 115:2.1)
Le grand univers rendu parfait de ces temps futurs sera immensément différent de ce qu’il est à présent. Adieu les aventures passionnantes de l’organisation des galaxies de l’espace, l’implantation de la vie sur les mondes incertains du temps et l’harmonie émergeant du chaos par évolution, la beauté émergeant des potentiels, la vérité émergeant des significations et la bonté émergeant des valeurs. Les univers du temps auront achevé l’accomplissement de leur destinée finie ! (LU 117:7.17)
Dieu le Suprême est la personnalisation de toute l’expérience de l’univers, la focalisation de toute l’évolution finie, la réalité de toutes les créatures portée au maximum, la consommation de la sagesse cosmique, l’incorporation des harmonieuses beautés des galaxies du temps, la vérité des significations du mental cosmique et la bonté des valeurs spirituelles suprêmes. (LU 118:9.9)
La providence est la marche sure et certaine des galaxies de l’espace et des personnalités du temps vers les buts de l’éternité, d’abord dans le Suprême, ensuite dans l’Ultime et peut-être dans l’Absolu. Nous croyons que la même providence existe dans l’infinité et qu’elle est la volonté, les actions et le dessein de la Trinité du Paradis, qui motive ainsi l’apparition de myriades d’univers dans le panorama cosmique. (LU 118:10.23)
La Voie Lactée est utilisée sept fois. Les trois premières fois se trouvent dans le document 15 : Les Sept Superunivers, Section 3 : Le Superunivers d’Orvonton, qui commence ainsi :
Pratiquement tous les royaumes étoilés visibles d’Urantia à l’œil nu appartiennent à la septième section du grand univers, le superunivers d’Orvonton. Le vaste système d’étoiles de la Voie Lactée représente le noyau central d’Orvonton et se trouve très au-delà des frontières de votre univers local. Ce grand agrégat de soleils, d’iles obscures de l’espace, d’étoiles doubles, d’amas globulaires, de nuages stellaires, de nébuleuses spirales ou autres, ainsi que de myriades de planètes individuelles, forme un groupement ovale allongé à profil de montre englobant environ un septième des univers évolutionnaires habités. (LU 15:3.1)
Notez que le mot « représente » est utilisé pour associer la Voie Lactée à Orvonton et que « galaxies » n’est pas inclus dans la liste des choses qui composent Orvonton.
Le deuxième paragraphe est une phrase :
Depuis l’emplacement astronomique d’Urantia, en regardant la grande Voie Lactée à travers une section droite des systèmes rapprochés, on observe que les sphères d’Orvonton voyagent dans un vaste plan allongé dont la largeur est beaucoup plus grande que l’épaisseur et la longueur beaucoup plus grande que la largeur. (LU 15:3.2)
La description devient plus précise lorsqu’elle est combinée avec cette déclaration plus bas dans la section 3 :
Les univers locaux sont plus près les uns des autres lorsqu’ils approchent de Havona ; les circuits sont plus nombreux et se superposent de plus en plus, couche sur couche. Mais, à plus grande distance du centre éternel, il y a de moins en moins de systèmes, de couches, de circuits et d’univers. (LU 15:3.16)
Dans le troisième paragraphe du document 15, section 3, les auteurs rétrogradent le terme Voie Lactée avec le qualificatif « soi-disant ». Peut-être est-ce parce que tout Orvonton ne semble pas « laiteux » avec des étoiles.
L’observation de ce qu’on appelle la Voie Lactée révèle que la densité stellaire d’Orvonton est comparativement plus forte quand on regarde le ciel dans un plan donné, tandis qu’elle diminue de chaque côté de ce plan ; le nombre d’étoiles et d’autres sphères décroit quand on s’écarte du plan principal de notre superunivers matériel. Lorsque l’angle d’observation est propice et que l’on regarde à travers le corps principal de cette région de densité maximum, on regarde en même temps vers l’univers résidentiel et le centre de toutes choses. (LU 15:3.3)
Après les trois premières utilisations de Milky Way dans les trois premiers paragraphes du document 15, section 3, les deux prochaines apparitions du terme se produisent dans la section suivante :
La galaxie de la Voie Lactée est composée d’un vaste nombre de nébuleuses précédemment spirales et d’autres nébuleuses, dont beaucoup ont conservé leur configuration première. Mais, à la suite de catastrophes internes et d’attractions externes, beaucoup ont subi de tels remaniements et déformations que ces énormes agrégats apparaissent comme de gigantesques masses lumineuses de soleils flamboyants, tel le Nuage de Magellan. Le type globulaire d’amas d’étoiles prédomine au voisinage des limites extérieures d’Orvonton.
Il faut considérer les immenses nuages stellaires d’Orvonton comme des agrégats individuels de matière, comparables aux nébuleuses séparées que l’on peut observer dans les régions d’espace extérieures à la galaxie de la Voie Lactée. Toutefois, beaucoup des présumés nuages stellaires de l’espace ne sont formés que de matière gazeuse. Le potentiel d’énergie de ces nuages de gaz stellaires est incroyablement colossal ; et une partie en est reprise par les soleils voisins et renvoyée dans l’espace sous forme d’émanations solaires. (LU 15:4.8-9)
La sixième occurrence de Voie Lactée :
Le système Satanien de mondes habités est fort éloigné d’Uversa et du grand amas de soleils qui fonctionne comme centre physique ou astronomique du septième superunivers. Depuis Jérusem, capitale de Satania, il faut plus de deux-cent-mille années-lumière pour arriver au centre physique du superunivers d’Orvonton, loin, très loin dans le diamètre dense de la Voie Lactée. Satania est à la périphérie de l’univers local, et Nébadon est présentement très excentré et proche de la lisière extérieure d’Orvonton. Du plus lointain système de mondes habités jusqu’au centre du superunivers, il y a juste un peu moins de deux-cent- cinquante-mille années-lumière. (LU 32:2.11)
Et ici, avec la dernière utilisation de Milky Way, la structure de la phrase fait référence sans ambiguïté à Orvonton, le septième des superunivers :
- Les rayons spatiaux courts. Ce sont les plus courtes de toutes les vibrations purement électroniques ; elles représentent le stade préatomique de cette forme de matière. Il faut des températures extraordinairement basses ou élevées pour produire ces rayons spatiaux qui sont de deux sortes : l’une qui accompagne la naissance des atomes et l’autre qui dénote leur dislocation. La plus grande quantité d’entre eux émane du plan le plus dense du superunivers, celui de la Voie Lactée, qui est aussi le plan de plus grande densité des univers extérieurs. (LU 42:5.5)