© 2008 Jeff Wattles
© 2008 Fondation Urantia
Par Jeff Wattles, Ohio, Etats-Unis
Une traduction du Livre d’Urantia est le produit – le croyez-vous ? – d’une équipe ! La traductrice en chef, Hagiko Wattles, est une excellente styliste de prose en japonais, qui par son patient travail a achevé la première ébauche d’à peu près 165 des fascicules. Son mari, Jeffrey Wattles, a servi de conseiller en langue anglaise, alors qu’ils travaillaient ensemble durant les après-midi de semaine, en séances qui se partageaient entre se creuser la tête, les rires et la satisfaction. Robert Reno apporta son assistance technique et un ordinateur grandement amélioré. Sa femme, Mezuru Kawahara, se trouva être la personne chez Microsoft en charge du développement de logiciel pour les utilisateurs qui écrivent en japonais. Tous les deux contribuèrent récemment au logiciel « state-of-the-art ». Rob est un expert de classe mondiale en bouddhisme shin avec de nombreux contacts qui seront particulièrement précieux dans les années à venir. Ces mots font échos à nos oreilles alors que nous attendons un renouveau de cette tradition.
La grande force du bouddhisme est que ses adhérents sont libres de choisir la vérité dans toutes les religions ; une telle liberté de choix a rarement caractérisé une religion sur notre monde. A cet égard la secte shin du Japon est devenu l’une des religions les plus progressives du monde. Elle a ranimé l’ancien esprit missionnaire des disciples de Gautama et a commencé à envoyer des éducateurs aux autres peuples. Cette volonté de s’approprier la vérité de quelque et toutes sortes qu’elle soit, est vraiment une tendance louable qui apparut parmi les croyants religieux durant la première moitié du vingtième siècle AD. (1041)
Edward Southwick est un autre membre de l’équipe. Il fait de la navette entre les Etats-Unis et le Japon, et sa femme qui est japonaise a commencé à étudier le Livre sérieusement. Hagiko et Jeff prennent note aussi de la direction amicale de Richard Keeler, et des paroles de bienvenue et d’encouragement de Seppo Kanerva, dont le soutien confiant donne la certitude que ce projet est vraiment guidé par une organisation mûre et bien dirigée. La liste de discussion des traducteurs vaut aussi la peine d’être mentionnée, ce qui nous permet de partager de questions avec d’autres traducteurs et d’expérimenter la camaraderie avec des personnes qui ont eu l’expérience d’apporter un tel projet à réalisation.
Hagiko est reconnaissante du soutien qui permet de rendre disponible l’aide spirituel à son pays bien aimé. Les immigrants japonais aux Etats-Unis et partout ailleurs ne lisent généralement pas assez bien l’anglais par rapport aux exigences de compréhension du texte de l’édition anglaise du Livre d’Urantia. Il y a un certain intérêt pour le livre dans les cercles New Age. Et ensuite, il y aura des chrétiens, une minorité dont l’influence dans la société japonaise s’étendra bien au-delà de leurs membres. C’est un privilège de participer comme nous le pouvons.
Hagiko est reconnaissante du soutien qui permet de rendre disponible l’aide spirituel à son pays bien aimé.