© 2007 Johanna Beukers
© 2007 Association Francophone des Lecteurs du Livre d'Urantia
Conte : La Grange | Le Lien Urantien — Numéro 41 — Hiver 2007 — Table des matières | Réflexion sur l'infidélité |
Goûter l’air, un peu de pluie ainsi que des plats typiques Savoyards nous a convivialement amenés dans une nouvelle sphère inconnue jusqu’ici pour la rencontre biannuelle de l’AFLLU qui s’est tenue du 8 au 11 novembre 2007.
Puisque Jacques Hellet, que nous remercions beaucoup pour sa démarche, s’était proposé à Armeau de se charger de trouver un endroit sympathique pour cet automne pour permettre à l’AFLLU de réunir ses poulains une nouvelle fois, nous voilà établis pour 3 nuits et 3 jours à l’Hôtel Dauphinois.
Les patrons qui ont ouvert l’hôtel spécialement pour nous, ont témoigné d’une grande efficacité, d’un effort considérable en variété et richesse des repas, ainsi que d’une assistance sans connivence pour améliorer la situation des salles de réunion. Car c’était un peu le point noir de la rencontre : pas assez de place.
Le total des participants étant de 34, certains sont arrivés le vendredi 9 novembre et d’autres sont partis déjà le samedi 10 / 11.
Peu importe car le but était d’avancer et d’enrichir le plus possible notre potentiel et notre savoir-faire pour apprendre à mieux percevoir le rôle à jouer ensemble avec notre Ajusteur. Un sujet important parce que chaque lecteur/lectrice du Livre d’Urantia est sans doute sous l’emprise de la fascination pour ce Moniteur de Mystère qui nous est si cher et si proche.
Plusieurs sous sujets étaient abordés, en commençant par ceux préparés par Chris Ragetly vendredi matin, notamment les relations entre l’Ajusteur et l’individu.
Venait ensuite le tour de Jean Royer l’après-midi avec les sujets : L’Ajusteur ; La Personnalité ; et la réincarnation.
Nous avons continué d’approfondir le sujet dans le LU. La 2ème partie de l’après-midi s’est déroulée sous la direction de Georges Michelson-Dupont.
C’était une journée extrêmement instructive avec des débats profonds et riches.
Le vendredi soir le Président Michel Rouanet est arrivé. Il a invité les Responsables Régionaux présents à se réunir après le repas pour faire le point. Ainsi nous avons enfin eu le grand plaisir d’accueillir 3 lecteurs suisses.
Le Président a insisté et encouragé l’équipe de Suisse à mettre en place un bureau exécutif dans un futur proche qui resterait pourtant sous la houlette de l’AFLLU.
Samedi matin, après 3 minutes de silence demandées avant chaque réunion, Michel Rouanet a brièvement présenté par des moyens informatiques (par manque d’un rétroprojecteur) les résultats pour l’AFLLU écoulés et atteints lors de la dernière année. L’AFLLU et ses membres lecteurs grandissent lentement mais sûrement en nombre. Ce qui est très réconfortant à apprendre.
La majeure partie de la matinée de samedi a ensuite pu être consacrée à former deux ateliers comprenant cha- cun 15 participants avec un modérateur et un rapporteur pour toujours encore approfondir le vaste sujet sur l’Ajusteur.
Début de l’après-midi, une partie du groupe a souhaité rendre visite à l’abbaye de Haute Combe. Une dizaine d’autres est restée sur place pour continuer le débat sur la relation « créature-Dieu », soit « de faire la volonté du Père ».
Après le repas du soir une réunion a pris place pour ceux et celles qui font partie du Conseil d’Administration.
Dimanche matin, des conclusions étaient fournies par les deux rapporteurs des ateliers pour clôturer ce séjour très instructif et enrichissant à tout point de vue.
En ce qui me concerne j’ai appris diverses choses qui m’ont parues essentielles le long du parcours difficile qui permet de grandir avec l’aide précieuse de mon Contrôleur de Pensée. Notamment ai-je entendu très souvent prononcer le mot amour. Un mot magique qui restera pourtant souvent sans aucun sens car mis à toutes les sauces.
Percer ce sens profond appartient, c’est évident, à notre Contrôleur de Pensée. Á nous de nous brancher sur cette longueur d’onde en toute humilité pour intégrer ce magnifique défi dans notre vie quotidienne : aimer fraternellement, mais surtout, aimer paternellement, comme le Père nous aime, sans condition et en toute sincérité.
Johanna Beuckers
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