« Ce monde n’est qu’un pont ; vous pouvez passer dessus, mais vous ne devriez pas penser à y construire une habitation. »
Vous ne pouvez pas rester immobile. Vous devez avancer dans la justice ou régresser dans le mal et le péché.
Vous devez refuser d’entretenir même des sentiments de culpabilité. Si vous confessez vos péchés, ils sont pardonnés.
Vous devez être né de l’esprit. Vous devez être instruit par l’esprit et être conduit par l’esprit si vous voulez vivre une vie remplie de l’esprit parmi vos semblables.
Vos ancêtres ont pris l’habitude de croire que Dieu les y a conduits pour les tester, les punir ou les fortifier. Mais tu sais mieux.
C’est une folie de supplanter une tentation par une autre par la simple force de la volonté humaine.
Développer un réel intérêt et un amour pour ces formes de conduite supérieures et plus idéalistes, et l’ancien et l’inférieur seront oubliés dans l’amour du nouveau et du supérieur.
La destinée spirituelle dépend de la foi, de l’amour et de la dévotion à la vérité – de la faim et de la soif de justice – du désir sincère de trouver Dieu et de lui ressembler.
Ne commettez pas l’erreur d’estimer la valeur de l’âme par les imperfections de l’esprit ou par les appétits du corps. Votre destinée spirituelle est conditionnée uniquement par vos aspirations et vos objectifs spirituels.
La religion est l’expérience exclusivement spirituelle de ceux qui connaissent Dieu. Mais le pouvoir moral et l’énergie spirituelle sont des forces puissantes pour faire face aux situations sociales.
Vous êtes destiné à vivre une vie étroite et mesquine si vous n’aimez que ceux qui vous aiment.
Moins il y a d’amour dans la nature d’une créature, plus le besoin d’amour est grand.
L’amour n’est jamais égoïste. Comme pour l’amour divin, il ne peut pas être autonome mais doit être accordé de manière désintéressée.
Les individus connaissant Dieu ne sont pas découragés par le malheur ni abattus par la déception.
Les foies spirituels ne sont pas perturbés par les épisodes du monde matériel.
Chaque jour que vivent les vrais croyants, il leur est plus facile de faire la bonne chose.
La vie spirituelle augmente puissamment le véritable respect de soi.
Le respect de soi est toujours coordonné avec l’amour et le service des autres.
Il n’est pas possible de se respecter plus que d’aimer son prochain.
Au fil des jours, chaque vrai croyant devient de plus en plus habile à attirer ses semblables dans l’amour de la vérité éternelle.
En esprit, votre citoyenneté est au ciel ; dans la chair, vous êtes toujours citoyens des royaumes terrestres.
Rendre aux Césars des royaumes terrestres ce qui leur revient de droit. Mais rendez à Dieu ce qui est spirituel.
La mesure de votre capacité spirituelle est votre foi en la vérité et votre amour pour l’homme.
La mesure de votre force de caractère est votre capacité à résister aux rancunes et à résister aux rumeurs.
La défaite est le véritable miroir dans lequel vous pouvez honnêtement vous voir réellement.
Le tact est le pivot du levier social. La tolérance est la marque d’une grande âme.
Ne recherchez aucune reconnaissance non méritée. N’ayez besoin d’aucune sympathie imméritée.
Dans tout ce qui touche à l’honneur, ne recherche que ce qui t’appartient honnêtement.
Le mortel conscient de Dieu est certain du salut. Il n’a donc pas peur.
Endurer courageusement les souffrances inévitables. Ne vous plaignez pas face aux difficultés.
Le vrai croyant ne se lasse jamais de bien faire. Les obstacles ne font que mettre à l’épreuve les efforts des bâtisseurs du royaume.
Après le séjour en Phénicie, Jésus et sa poignée de disciples retournèrent à Génésaret, sur la rive occidentale de la mer de Galilée, et traversèrent immédiatement vers la rive orientale, vers le territoire de Philippe, le frère d’Hérode.
Peu de temps après, ils furent rejoints par près d’une centaine d’évangélistes ainsi que par le corps des femmes pour commencer ce qui serait la phase finale de l’effusion de Jésus sur Urantia.
Un incident important s’est produit très tôt dans cette période, son importance étant dans ce qu’il nous apprend sur l’autoritarisme autoproclamé.
Le pouvoir a tendance à corrompre, et le pouvoir absolu corrompt absolument. Les grands hommes sont toujours des méchants. Il n’y a pas de pire hérésie que celle selon laquelle la fonction sanctifie celui qui la détient. Barron Actora, historien.