© 1987 Madeline Noordzy
© 1987 ANZURA, Australie et Nouvelle-Zélande Urantia Association
Bessie essayait de trouver une solution. Elle faisait partie des touristes américains qui effectuaient une visite guidée des Fidji, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande.
« Vous semblez connaître quelqu’un dans chaque port où nous faisons escale », a-t-elle dit à Duane Faw alors que nous étions assis autour de la table du petit-déjeuner au vieil hôtel de Melbourne. Duane (oui, vous avez raison, il est l’auteur de « The Paramony ») lui a assuré qu’il ne nous connaissait pas (Steve Shanahan et moi-même) jusqu’à il y a cinq minutes.
« Alors, quel est le lien ? » Bessie m’a demandé. Les quatre lecteurs du Livre d’URANTIA qui étaient assis autour de cette table de petit-déjeuner par un dimanche matin plutôt chaud, répondirent en chœur : « Nous lisons tous le même livre. »
« Était-ce la même connexion lorsque nous nous sommes arrêtés aux Fidji ? » Bessie devenait plutôt curieuse. Duane et Lucilla Faw avaient vu Isi et Martha Racule lorsque leur avion s’était arrêté aux Fidji.
Le Livre d’URANTIA a une manière de changer la vie des gens de plus d’une manière. Outre le changement intérieur qu’elle entraîne, elle a également un effet sur notre vie sociale. Par exemple, qui aurait pu s’attendre à ce que je conduise avec un autocar rempli de touristes américains pour une visite guidée de la ville de Melbourne ? Pourtant, c’est ce que je faisais après que Duane et Lucilla m’aient si généreusement invité à les accompagner, car il ne leur restait que peu de temps pour être ensemble avant de continuer leur route vers Phillip Island pour assister au défilé des pingouins. J’ai eu la chance de voir Melbourne City à travers les yeux du touriste, qui semblait plus impressionné par les couleurs psychédéliques des façades des magasins du centre-ville de Melbourne que par l’architecture de la cathédrale Saint-Patrick.
J’ai été vraiment impressionné par la façon dont ces touristes m’ont fait sentir comme un membre de leur groupe pendant les heures que j’ai passées avec eux. Il ne fait aucun doute que Duane et Lucilla auraient parlé à davantage de lecteurs du Livre d’URANTIA à Canberra, Sydney et en Nouvelle-Zélande.
J’ai le sentiment qu’avant la fin de leur tournée, Bessie et quelques autres de leurs compagnons de voyage vont en apprendre un peu plus sur le livre qui constitue le lien.
Madeline Noordzy, Melbourne