© 2013 Line St-Pierre, Robert Cadieux, Guy Laporte, Marc Belleau, Yvan Stol
© 2013 Association Urantia du Québec
EN VOYAGEANT AUTOUR DU MONDE avec mon mari, depuis plusieurs années, pour promouvoir le mouvement Urantia, je me suis rendue compte que les femmes ne représentaient seulement qu’un tiers des participants à chaque réunion à laquelle j’ai assisté, même parmi notre propre association locale.
Maintenant, dans l’espoir de transmettre et de stimuler l’intérêt pour les activités de l’association chez les lectrices en créant de nouvelles possibilités pour elles de s’impliquer, le comité de la femme a été créé au sein de notre association locale du Québec, au Canada.
Depuis un peu plus de deuxans, le comité a recruté près de douze femmes. Certaines d’entre elles ont assistéà une réunion, d’autres, à deux ou trois. La première mission du comité était de promouvoir la participation des femmes dansl’association Urantia et de reconnaître leur propre valeur en tant qu’éducatrices au service de la fraternité humaine.
Après huit de ces réunions (qui exigeaient beaucoup de longs déplacements à cause des distances qui nous séparent) et après avoir beaucoup discuté et partagé afin d’apprendre à nous connaître les unes et les autres et ainsi évaluer de quelle façon notre service serait le plus profitable, nous avons enfin décidé ce que nous voulions contribuer, à ce stade de notre vie, et une nouvelle mission a été formulée:
Mission: Rehausser le statut de la femme, de la mère, pour le bénéfice de leur croissance, leur progrès et pour l’évolution de ce monde.
Vision: Toucher et émouvoir le cœur des femmes, en leur offrant un sentiment d’estime de soi, la dignité, une vie meilleure et plus fructueuse. Pour leur faire prendre conscience de leur valeur, leur importance et leur beauté, le tout étant inclus dans le plan de Dieu pour leur propre bien-être et leur bonheur.
Je crois que donner une mission plus spécifique au comité nous aidera à rester concentrée et à attirer des candidates intéressées.
Voici quelques-unes des idées élaborées par le comité de la femme au Québec:
Un programme d’ateliers, un modèle et un cadre, élaborés pour tenir compte des nombreux aspects de l’éducation dans notre contribution à l’harmonisation de la vérité, de la beauté et de la bonté. Dans ce programme, de nombreux thèmes pourraient être développés, tels que: la maternité, les avantages de la vie familiale, l’éducation par la mère, la sexualité, l’estime de soi, l’amélioration des idéaux des jeunes femmes d’aujourd’hui et beaucoup, beaucoup plus encore.
Je crois sincèrement que les actions concertées de femmes éduquées dans la connaissance de Dieu, contribueront à transformer le monde. Par conséquent, mon désir est d’inciter les femmes à participer à ce grand projet de présenter la cinquième révélation d’époque comme une expérience de vie pour les femmes, les hommes, les familles et, en partageant ma compréhension des enseignements TUB, contribuer à l’amélioration de ce monde.
Le Livre d’Urantia dit:La conscience de soi nous amène à la conscience de Dieu. Éduquer les participantes à la connaissance de soi, la conscience du corps et de la personnalité va les responsabiliser et rehausser leur vie spirituelle.
Parce que la femme est le porte-étendard de la morale, le chef spirituel de l’humanité et la main qui berce l’enfant, l’éducation est une avenue quasi illimitée. Je vois cela comme un processus, un échafaudage: éduquer les jeunes femmes qui deviendront par la suite les conjointes et les mères, auront une famille et feront partie de cette grande aventure de l’humanité prévue dans le plan de Dieu pour leur bien-être personnel et leur propre bonheur.
Si la conscience de soi mène à la conscience de Dieu, devons-nous nous connaître les unes les autres, connaître la réalité de ce que nous sommes afin de mieux apprécier la vie? Il s’agit d’un long processus qui demande beaucoup de préparation, nous avons besoin d’élaborer un format, une méthode et je pense à ça depuis que je suis revenue du Pérou, il y a deux ans et demi. Je sens que Dieu me montre un moyen d’aider et quelque chose est sur le point d’émerger.
En service.
Line St-Pierre
Ste-Sophie
JE ME SUIS RENDU À DRUMMONDVILLE avec mon frère Jean-Pierre, dimanche 10 février 2013 pour assister à l’Assemblée générale annuelle de notre association Ufantia du Québec.
Je suis membre de l’AUQ depuis le mois d’août 2012, alors c’est ma première assemblée générale annuelle et la journée a été très stimulante. Une AGA, c’est la revue de la régie interne, les élections aux postes des représentants, des discussions sur la vision et l’orientation du mouvement ainsi que les projections du travail à accomplir pour la prochaine année.
Les postes occupés par les membres du conseil d’administration le sont pour un terme de 2 ans. Nous avons un président (Gaétan Charland), un vice-président (Guy Laporte), un secrétaire (Éric Martel), un trésorier (Luciano Camellini) qui sont des postes avec élection, une responsable au comité des membres et communications (Line St-Pierre) et un archiviste (Maurice Migneault) qui s’occupe de conserver l’historique des actions, démarches et documents de l’AUQ.
Cette année, il y avait 2 postes à reconduire ;celui du président et du trésorier. L’assemblée a commencé par une minute de recueillement et de regard vers l’intérieur. Le président d’élection a demandé si quelqu’un voulait solliciter le poste de trésorier. Un membre, Marcel Laporte, s’est proposé comme trésorier et fut élu par acclamation, sans besoin de scrutin. Personne ne s’est présenté pour remplacer Gaétan Charland et il a accepté de demeurer en poste pour un autre mandat de 2 ans.
Avant la pause pour le repas du midi, le président a parlé des projets de l’AUQ pour 2013 et pour l’avenir. Parmi les choses à venir, ce que j’ai retenu de plus important est le Congrès international d’Urantia prévu pour fin juillet et début d’août 2015 sur une période de 5 jours à l’Université Bishops de Lennoxville. C’est un projet très stimulant et pour lequel les membres de l’AUQ vont se mettre à collaborer pour sa préparation, son organisation et son bon déroulement. Ceux qui lisent ces lignes peuvent déjà penser à venir mettre l’épaule à la roue. Le succès de cette rencontre historique au Québec sera l’affaire du savoir-faire des membres de l’AUQ.
Au retour, l’après-midi s’est installé dans un climat différent. Line St-Pierre a commencé les allocutions de partages en nous parlant du comité de la femme. Comment l’idée lui est venue, comment il a démarré, quelle dynamique il est en train de former parmi la communauté des femmes lectrices de l’AUQ et sa corrélation avec l’ensemble du mouvement Urantia. Avec d’autres qui l’ont aidée et stimulée, comme Madeleine Boisvert, ce comité est en train d’ajouter une force et une énergie qui va de l’avant et qui s’identifiera spécifiquement.
Guy Laporte, vice-président depuis 5 ans, a expliqué que lorsqu’il a accepté de prendre ce poste, personne ne s’y présentait. Il pensait que cela allait être une aventure incertaine, qu’il s’engageait dans l’inconnu sans savoir s’il allait pouvoir assumer la fonction. Puis, avec le recul, c’est une expérience qui est allée au-delà de ses attentes. Les réunions du conseil d’administration, les dossiers dans lesquels il a été intervenant, comme les rencontres thématiques qui ont été organisées et aussi les rencontres avec d’autres associations Urantia à l’extérieur du Québec. Son discours est allé dans le sens d’encourager les membres à s’impliquer dans notre association et peut-être au CA. Pour lui,'lexpérience acquise en vaut plus que la peine et il nous a vivement encouragé à prendre part dans l’action de notre AUQ.
Notre trésorier sortant, Luciano Camellini a tenu à nous dire aussi combien, pour lui, l’expérience d’avoir travailléau CA pendant 2 ans a contribué au renforcement de son sentiment d’appartenance et il nous a encouragés à en faire autant, que la satisfaction ressentie valait beaucoup plus que les efforts investis.
Marie-Lise Renaud de Québec est venue lire ce qu’elle a écrit après qu’un voisin lui ait laisséle Livreen 2001. Son texte a pour titre: «La promesse oubliée», sa lecture nous a captés par sa poésie et une émotion s’est transmise dans la salle. Ce fut le moment magique de l’après-midi, on a eu le sentiment que les anges écoutaient avec nous et nous avons été un peu surpris par une émotion commune. À l’écoute de son texte et aux sensations ressenties, 2 passages du livre me sont venus en tête :
Les anges développent une affection durable pour leurs associés humains, et une chaude amitié pour eux naîtrait aussi en vous si seulement vous pouviez vous faire une image d’eux. Dépouillés de vos corps matériels et nantis de formes spirituelles, vous seriez très proches des anges par beaucoup d’attributs de la personnalité. Ils partagent la plupart de vos émotions et en éprouvent quelques-unes en supplément. (LU 113:2.5)
Jésus enseigna l’appel aux émotions en tant que technique pour arrêter et focaliser l’attention intellectuelle. Il qualifia le mental ainsi éveillé et vivifié de porte d’entrée vers l’âme où réside cette nature spirituelle de l’homme qui doit reconnaître la vérité et répondre à l’appel spirituel de l’évangile, pour procurer les résultats permanents des vraies transformations de caractère. (LU 152:6.4)
D’autres lecteurs sont venus raconter comment ils ont été mis en contact avec le Livre d’Urantia et leur cheminement personnel. La rencontre s’est terminée de façon conviviale comme elle avait commencé, par plusieurs discussions intéressantes avant que chacun s’en retourne.
J’en profite pour vous inviter à assister et à prendre part à l’Assemblée générale de l’an prochain. L’organisation pour le congrès international de 2015 sera un des sujets les plus importants. Le conseil d’administration aura besoin de toutes les ressources queles membres pourront offrir.
Ce fut une bien belle journée passée en bonne compagnie.
À l’an prochain.
Robert Cadieux
BONJOUR CHERS LECTEURS ET LEC trices, les conditions routières du Québec ont permis à 28 personnes d’assister à l’assemblée générale annuelle de l’Association Urantia du Québec, une progression sur l’année précédente avec 23 présences seulement. L’événement s’est encore déroulé cette année à l’Hôtel Le Dauphin à Drummondville.
Le conseil d’administration pour l’année 2013 se compose donc comme suit: Gaétan Charland président, Guy Laporte vice-président, Éric Martel secrétaire, Marcel Laporte trésorier, Line St-Pierre aux communications.
Deux résolutions ont été adoptées en 2012. La première touche l’achat d’un ordinateur pour faciliter la tâche du secrétaire. La deuxième résolution touche la reconnaissance de Maurice Migneault au poste d’archiviste, cette fonction sera maintenant rattachée au secrétariat, ce travail important avait été fait jusqu’ici dans l’ombre par Maurice.
Une proposition ayant pour effet d’augmenter la cotisation annuelle del’AUQà 60 dollars par année applicable le premier janvier 2014, a été présenté par Édouard Bellerive, laquelle a été adoptée à l’unanimité.
Line St-Pierre nous a présenté l’historique du Comité de la femme depuis sa formation en 2011. Elle a développé sur les difficultés de départ, les espoirs et l’avenir de ce comité lequel devrait éventuellement se transformeren Mouvement grâce aux ramifications internationales qu’il possède, Line, tu as tout notre appui.
Voici les principaux projets de l’AUQ présenté par Gaétan.
Le premier projet porte sur le changement de la dynamique des groupes d’étude afin d’élargir le bassin des lecteurs et d’encourager les initiatives de leadership. Cette nouvelle orientation propose aux groupes d’étude désireux de s’y engager de produire des présentations sur des thèmes à caractère intellectuel non pas seulement spirituel. Ces présentations pourront être par la suite présentées à d’autres groupes d’étude intéressés à les accueillir. Ce projet passe par une liste d’étapes à franchir: (1) la production d’une liste de thèmes cohérents en fonction des objectifs del’AUQ, (2) la production d’une liste de groupes d’étude intéressés à développer des présentations, (3) la production d’une liste des groupes intéressés à accueillir des présentations faites par d’autres groupes d’étude, (4) l’établissement d’un agenda de disponibilité des présentateurs et des groupes qui veulent les accueillir, (5) la planification d’une rencontre générale annuelle, (6) l’établissement d’une stratégie de sauvegarde des présentations produites pour un accès facile pour usage ultérieur. Puisse cette nouvelle orientation, dynamiser d’avantage les groupes d’étude.
Le deuxième projet touche le parrainage des lecteurs éloignés, en l’occurrence ceux d’Haïtiafin de leur apporter les supports essentiels à leur développement en tant qu’association de lecteurs du Livre d’Urantia. Cette initiative se veut une coopération avec une région éloignée partageant la même langue.
Le troisième projet aura lieu à Chicago. Il s’agit d’un Symposium international pour étudier l’aide et les supports nécessaires au développement des groupes d’étude dans le monde.
Enfin, le quatrième projet, mais non le moindre, est l’annonce du Congrès international de l’AUI en 2015 qui se déroulera à l’Université Bishops à Lennoxville dans la province de Québec. Le thème est à venir… Ce super événement d’importance internationale chapeauté par l’AUI va entrainer la création de plusieurs comités d’accueil pour combler la longue liste des besoins qu’il occasionne. C’est donc une invitation à ceux et celles qui veulent servir, car la liste des besoins est longue. Qu’il suffise de mentionner les principaux besoins: le transport des gens de l’aéroport au site de l’Université Bishops, la traduction des documents, l’accompagnement de personnes nécessiteuses, le comité de divertissements et bien d’autres besoins qui s’ajouteront. La devise de l’AUQ étant : < AIMER, C’EST SERVIR >; ce projet est donc une occasion en or…
Suite à ces annonces de projets emballants à venir, la deuxième partie de la rencontre a fait place aux partages d’expérience de plusieurs lecteurs du LU dont : Marie-Lise Renaud, Pierre Routhier, Guy Vachon, Guy Laporte et Claude Boisvert. C’est toujours réconfortant de connaître mieux nos frères et sœurs qui ont la générosité d’ouvrir leurs cœurs.
Guy Laporte
Vice-président de l’AUQ
EXISTE-T-IL VRAIMENT UNE vie après la mort? Certains noncroyants avancent l’idée qu’il n’y a pas de suite à notre vie matérielle et que l’au-delà est une fiction de l’esprit humain lui permettant de diminuer l’appréhension que suscite la fin de l’existence.
Il est difficile de parler du concept de la survie éternelle à une époque dominée par un fort courant matérialiste. Nous vivons dans une société qui recherche des preuves tangibles et, pour certain, croire en l’au-delà exige un acte de foi presque impossible à faire.
Pour ceux qui ont évolué dans un milieu où Dieu est présent et bien vivant, ce problème ne se pose pas. Mais l’époque à laquelle nous appartenons est bien différente; parler de Dieu, aujourd’hui, est devenu tabou dans bien des milieux. Dans ces circonstances, la foi peut être vue, par certains, comme quelque chose d’étrange et difficile à comprendre. Pour cette raison, présenter les avantages du concept de la survie éternelle à ceux dont la foi est faible ou quasi inexistante permet d’aborder la spiritualité sous un angle plus concret, celui de la raison et de la logique. En expliquant la fonction et l’utilité de ce concept, nous le rendons raisonnable et cela donne une base intellectuelle sur laquelle la foi peut s’appuyer pour ensuite grandir. Dans ce texte, nous verrons que le concept de la vie après la mort est entièrement plausible et raisonnable et qu’au-delà de ses implications spirituelles, il est un choix logique et gagnant non seulement pour l’individu, mais aussi pour la société.
Croire en la survie éternelle, à la manière dont le Livre d’Urantia la présente, donne une très grande signification à notre vie terrestre. En effet, tout ce que nous faisons ici-bas élève ou abaisse notre statut intellectuel et spirituel dans l’au-delà. Travaillerà nous améliorer durant cette vie-ci nous permet de court-circuiter certaines sphères morontielles, ces mondes intermédiaires qui ont pour fonction de corriger nos défauts et de suppléer aux manques de notre carrière terrestre. Les efforts que nous déployons maintenant ont une influence directe sur notre statut dans la prochaine vie. De plus, la croyance en la survie nous donne l’espoir auquel nous pouvons nous accrocher lorsque vient le moment de quitter ce monde pour le suivant. Autrement, l’expérience de la mort, par laquelle nous devons tous passer, pourrait s’avérer être traumatisante.
À l’opposé, ne pas adhérer au concept de la vie après la mort rend difficile de donner un sens à l’existence des individus. En effet, pourquoi faire l’effort d’acquérir des connaissances, rechercher la beauté, s’améliorer et devenir bon si tout cela doit périr avec le corps humain? Il n’y a aucune logique à fournir les efforts nécessaires pour croître et se développer si notre vie terrestre n’est qu’une impasse. Cette philosophie, on s’en doute, détruit l’impulsion à devenir meilleur; elle est déprimante pour l’individu et elle ne le pousse pas à s’améliorer. Cela a des conséquences pour la société. En effet, une telle philosophie pousse l’individu à vivre pour lui-même, à en profiter au maximum, et souvent sans égard pour les autres, avant de disparaître. La présence d’un trop grand nombre de ces d’individus peut mettre la survie d’une société en péril et peut amener son effondrement; imaginez un instant que notre société soit majoritairement composée de gens comme ceux que l’on voit défiler présentement à la commission Charbonneau — cette enquête menée pour contrer la collusion au sein de la construction au Québec — et vous aurez une petite idée du pandémonium dans lequel nous serions plongés. Une société ne peut survivre et prospérer lorsque ses membres sont détournés del’accomplissement intellectuel et spirituel de soi. La qualité des individus est garante de la qualité du groupe; nous avons intérêtà protéger le concept de la vie après la mort puisqu’il incite chaque être humain à devenir meilleur assurant, du même coup, la qualité de l’ensemble ainsi que sa survie.
Certains avancentl’idéeque nous n’avons pas besoin d’un Dieu qui entretient la survie des créatures, que faire du bien autour de soi et inspirer les autres justifie amplement notre vie sur terre. Certes, c’est un bel exemple de philanthropie humaine, mais l’existence ne servirait-elle qu’à apporter notre maigre contribution à l’univers pour ensuite disparaître dans le néant? Personnellement, je refuse de croire à cette conception d’un univers mécanique qui exige tout de ses membres, sans assurer leur survie personnelle. Je suis contre la vision d’un univers qui demande le meilleur de chacun de nous et nous jette, ensuite, telles de vulgaires ordures lorsque notre course est terminée. Jene vois pas pourquoi je contribuerais à améliorer un univers d’un égocentrisme que rien ne vient adoucir. Je considère plutôt l’univers créé par Dieu comme une grande école de vie où les accomplissements, les succès de chacun viennent s’ajouter à l’expérience grandissante du tout, un univers qui s’occupe de fournir ce dont nous avons besoin pour grandir et assurer notre survie personnelle. C’est là, je crois, le plus beau des partenariats qui puisse exister entre l’être humain et Dieu.
Croire en la survie nous permet de donner un sens plus profond à notre existence et adoucitl’angoisse reliée à l’approche de la mort. Réfléchissons quelques instants. Supposons que l’après-vie existe — et personnellement, j’adhère à ce postulat — , nous nous éveillerons sur les rives du premier monde des maisons avec la satisfaction d’avoir fait le bon choix. S’il s’avère que l’au-delà n’existe pas et que c’est le néant, nous aurons tout de même profité des bienfaits de cette croyance; notre vie mortelle aura été mieux orientée et le passage de la mort, plus supportable; nous sommes gagnants sur toute la ligne. À l’opposé, ne pas croire en la survie ne nous donne aucun réconfort à l’approche de la mort et vide de tout son sens la vie que nous menons et tout ce que nous entreprenons icibas; avec cette conception athée, nous perdons sur toute la ligne.
En réfléchissant sur les avantages et les inconvénients de ces 2 visions diamétralement opposées, il est facile de comprendre que nous avons intérêt à protéger et promouvoir l’idée de la survie éternelle, et cela, pour le bien-être des individus et de la société.
Marc Belleau
L’AFLLU (Association Francophone des Lecteurs du Livre d’Urantia) vous invite à participer à sa rencontre nationale qui se déroulera du jeudi 14 mars à 18 heures au dimanche 17 mars 14 heures au Domaine de Chales Route de Saint Viâtre — 41600 — Nouan le Fuzelier, France
Le thème de cette rencontre autour duquel nous travaillerons sera :
«La Liberté et Le Libre arbitre»
Qu’est ce que c’est ? Pourquoi ? Individuellement ou socialement. Implication et conséquences, sur les trois niveaux, matériel, mental et spirituel.
Pour connaître les détails ainsi que les tarifs, contactez Max Masotti : lectorat@urantia.fr Vous espérant nombreux pour cette réunion fraternelle liée aux enseignements et aux valeurs du Livre d’Urantia,
Yvan Stol, président
valoriser
CETTE ACTIVITÉ PERMET À PLUSIEURS LECTEURS DE DIFFÉRENTS NIVEAUX DE compréhension, d’échanger et d’étudier ensemble les enseignements du Livre d’Urantia. Elle favorise le progrès spirituel en permettant à ses participants de trouver des applications pratiques aux enseignements du Livre d’Urantia dans leur vie quotidienne. Cette pratique importante permet de garder un point de vue élargi sur les concepts de vérité.
Vous désirez participer ou former un groupe d’étude; avec joie, nous vous assisterons. Vous désirez faire paraître votre groupe d’étude dans cette liste, contactez la responsable, via courriel association.urantia.quebec@gmail.com ou au 450-565-3323.
Groupe: Découverte
Tous les lundis de 19 h 30 à 21 h 30
Région des Laurentides Gaétan Charland et Line St-Pierre
Tél.: 450-565-3323
Groupe: Étoile du Soir
Tous les mercredis de 19 h00 à 21 h00
Région des Laurentides
Carmen Charland
Tél.: 450-553-3601
Groupe: Le Pont
Tous les jeudis de 19h30 à 21 h 30
Rive-Sud de Montréal
Guy Vachon
Tél.: 450-465-7049
Groupe: Lecteurs de la Mauricie
Tous les lundis de 19h00 à 21 h00
Région de Trois-Riviêres
Madeleine Boisvert et
Tél: 819-376-8850
Roger Périgny
819-379-5768
Groupe: Veritas
Tous les mardis de 19 h00 à 21 h 30
Région de Montréal, près de la station de métro de l’Église
Lise et Pierre Routhier
Tél.: 514-761-2378
Groupe de Sherbrooke
Aux deux semaines, le mardi ou mercredi (à confirmer)
De 19h30 à 21 h 30
Hélène Boisvenue ou Denis Gravelle
Tél.: 819 569-6416
Groupe: Les Ascendants
Aux deux semaines le dimanche de à 15h30
Rive-Sud de Québec
Guy LeBlanc
Tél: 418-835-1809
Groupe: Les Agondontaires
Aux deux semaines le dimanche de 13h00 à 16h00 Rive-Nord de Québec
Guy & Rolande L. Martin
Tél: 418-651-3851
Groupe: Les Débonnaires
Les mercredis de 19 h00 à 21 h 00
Région de Montréal
Julien Audet
Tél : 514-315-9871
Groupe: Fraternité-Urantia
Les mercredis de 19 h 30 à 21 h 00
Région de Lanaudière
Richard Landry & Gisèle Boisjoly
Tél : 450-589-6922
Groupe: Vers les Sommets
Le vendredi de19h00 à 21 h00
Régions Ormstown & Valleyfield
Louise Sauvé
Tél: 450-829-3631
Groupe: La Famille unie d’Urantia
Le lundi de 19 h 00 à 21 ho0
Région Montréal
Mme Diane Labrecque
Tél : 514-277-2308
Les Partenaires du Suprême
Le lundi de 19h30 à 21 h30
Région Québec
Richard Lachance
Tél : (418) 614-2520 ou (418) 933-0244 (cell)
À la Maisonia
Aux deux semaines le lundi de 19h15 à 21 h30
Région de Québec
Gilles Bertrand & Louise Renaud
Tél : 418-871-4564
Groupe: Uni-Terre
Tous les dimanches dés 9h00
Région de Lanaudiére
Éric Martel
Tél: 450-756-9387
Groupe : Laurantia
Tous les dimanches dés 9h00
Région Petite Nation en Outaouais
Denise Charron & Jean-Claude Lafreniêre
Tél : 819-983-2113
Groupe: Les précurseurs de la Réalité divine
Aux deux semaines le mardi de 18h30 à 20h30
Région des Laurentides
Mme Johanne Séguin
Tél : 819-327-3237
Groupe : Sans Frontiére
Le dimanche de 9h30 à 1 Ih30
Région Hawkesbury
Yvon et Iréne Belle-lsle
Tél : 613-632-5706
Groupe : de l’Outaouais
Le dimanche de 14h00 à 16h00
Région d’Ottawa
Maurice Migneault
Tél : 613-789-6833
Groupe : Les fréres Alphée
Le dimanche
Région Thetford Mines
Sylvére Marcoux
Tél : 418-332-3560
Groupe : Le Phare de la Rive-Sud
Tous les lundis de 19h30 à 21h30
Région Rive-Sud de Montréal
Luciano Camellini et Dominique Marchessault
Avis: Toute interprétation, opinion, conclusion ou représentation artistique, affirmée ou impliquée, sont celles des auteurs et ne reflètent pas nécessairement l’opinion et les points de vue d’Urantia Association International ou les associations de niveaux locaux et nationaux.