© 2014 Hélène Boisvenue, Normand Laperle, Marc Lavigne, Gilles Brien, Line St-Pierre
© 2014 Association Urantia du Québec
Hélène Boisvenue
Sherbrooke
Conférence présentée lors d’une rencontre entre étudiants de la Sagesse Divine Progressive en juillet 2013 à Montréal, Québec Canada
Deuxième partie — de quatre.
Prenons pour exemple, l’homme primitif. Cet homme était très ancré dans des impulsions animales; il était plutôt indolent et ne pensait, dit-on, que lorsqu’il avait faim. Alors, il devait avoir faim… pour réfléchir et imaginer les moyens capables de l’extraire de cette pénible situation. Se faisant, il développa son intelligence. Et l’homme moderne développe aussi son intelligence et explore les faits matériels de sa planète lorsqu’il est mis dans des situations problématiques. Beaucoup de découvertes en sciences ont été réalisées pour solutionner un problème précis. Pensons par exemple aux travaux de Louis Pasteur sur les maladies infectieuses et qui amenèrent l’utilisation des vaccins pour un mieux-être de l’humanité. Il faut que les hommes soient mis dans des conditions favorables pour « penser, faire des plans et imaginer de nouvelles et meilleures méthodes pour faire les choses. » (LU 81:2.14)
D’une manière semblable, à l’aurore de l’humanité, la moralité a émergé de situations de nécessité ou de contrainte. Le fort attachement de la femme pour ses enfants et la compassion de l’homme mobilisé pour protéger cette femme et ses enfants des dangers inhérents à un environnement hostile ont développé chez eux le sens du devoir et des responsabilités et les qualités morales pertinentes à leur survie. Pour l’être humain Dieu a privilégié la vie de famille et l’intégration dans une société. Ces cadres de vie permettent aux êtres humains de s’extraire de leurs tendances égoïstes et de prendre en charge des devoirs altruistes. Il n’y a pas de plus tendres sentiments que ceux des parents pour leurs enfants. Cette expérience humaine peut même rehausser la connaissance de Dieu en tant que Père. (LU 84:7.30)
Le cadre de vie de l’homme (la famille, la société, l’état de vie etc.) est nécessaire à son être et à sa vie. La gestion de son être dans ce cadre de vie repose sur des contraintes évidentes. L’homme en fait l’expérience et il ressent les résultats au niveau de son corps, de sa conscience, de sa personnalité. L’homme et son cadre de vie ont leur origine en Dieu. L’objectif de Dieu est l’intégration de la nature humaine, du cadre de vie et de la volonté divine qui demande le perfectionnement. Il y a une gouvernance divine pour que se réalise cet objectif.
Les qualités morales se développent dans des situations de contraste, sans cela les qualités morales seraient insaisissables. Les contrastes sont des stimulations, des orientations de l’effort de croissance.
Lorsque j’étais jeune mère, responsable du bien-être et de l’éducation de mes enfants, je discutais avec des amies de la pertinence des contes de fées. Devions-nous, par ces histoires, confronter nos jeunes enfants à la violence de certains personnages? La méchanceté dans les contes de fée est aussi présente que la bonté. Un livre d’un pédagogue et psychologue américain, Bruno Bettelheim, intitulé « Psychanalyse des contes de fées », nous aida alors dans nos questionnements. De cette lecture, j’ai surtout retenu l’importance de présenter aux enfants des figures contrastées, sans ambivalence, pour leur permettre de comprendre facilement la différence entre le bien et le mal. Ainsi les personnages des contes de fées sont tout bons ou tout méchants. L’un est brillant, l’autre stupide, l’une est acariâtre et jalouse, l’autre généreuse, etc. Étant si peu développés, les jeunes enfants ont besoin d’un contraste marqué pour saisir le sens moral d’une situation.
Toutes les qualités morales dont nous faisons l’éloge et sur lesquelles vont s’installer les qualités divines se développent dans des situations de contraste où le bien ressort parce qu’il est mis côte à côte avec le mal. Pour des êtres imparfaits, les contrastes sont obligatoires : sans cela, les valeurs, les qualités morales seraient insaisissables. Les contrastes sont des stimulations et des orientations de l’effort de croissance spirituelle. « [Les hommes étant imparfaits ont besoin] des niveaux de valeur relative pour stimuler leur choix. [Ils ne pourraient] identifier et choisir le bien en l’absence de toute situation morale faisant contraste et forçant à penser. […] Toutes les choses divines que le mental humain saisit et que l’âme humaine acquiert sont des aboutissements d’expérience […] des réalités d’expérience personnelle, donc des possessions uniques. » (LU 3:5.16).
Suite le mois prochain
dans la partie 3 (de 4)
« Quand les hommes perdent de vue l’amour d’un Dieu personnel, le royaume de Dieu devient simplement le royaume du bien. » LU 2:5.12
Normand Laperle
Lévis
L’édition de «Réflectivité » change de main. C’est maintenant moi Normand Laperle qui s’engage à vous servir, chers lecteurs.
Je tiens à rendre un hommage tout spécial à Line St-Pierre qui a su mener la barque de la publication de ce mensuel durant plus de sept (7) ans. Je salut son engagement et son esprit de service. Elle est un exemple et une inspiration pour beaucoup d’entre nous.
Il existe maintenant une nouvelle adresse courriel pour communiquer directement avec l’équipe d’édition du «Réflectivité ». Vous pouvez désormais nous joindre à : reflectivite.auq@gmail.com. Un ami et collaborateur de Québec, Gilles Bertrand, et moi-même, serons alors heureux de répondre à vos besoins concernant l’édition d’articles ou autres.
Dans ce mot, j’ai une invitation toute spéciale à vous faire. Elle est toute simple. J’aimerais vous inviter à collaborer à l’élaboration des prochains «Réflectivité ». Dites-moi ce que vous aimeriez y voir, vos idées pêle-mêle, vos suggestions, vos préférences. Vos critiques, seront votre participation. Sans formalités, sommairement ou sans structure, n’hésitez pas à nous faire parvenir votre optique, même partiellement. De ce mélange, nous en ferons sûrement une recette savoureuse. Par défaut, nous préserverons votre anonymat total comme il se doit.
Cette publication est la vôtre, dans le sens que c’est vous qui l’alimentez. Elle est nourrie de vos contributions volontaires, de vos partages.
Le « Réflectivité » est un mensuel chapeauté par l’AUQ. Il se veut un lieu d’échanges sous forme écrite, principalement entre lecteurs du « Livre d’Urantia ». On y retrouve des récits de transformations intérieures, d’expériences de vie, de quêtes de sens et de découvertes spirituelles. Ayant, comme êtres humains, la même origine et la même destinée, ces narrations nous plongent dans le constat que nous vivons tous les mêmes difficultés et les mêmes étapes de vie, cheminant donc tous ensemble dans la même direction. De là un sentiment de fraternité.
Marc Lavigne
Lévis
Nous souhaitons la bienvenue à la nouvelle équipe de la revue « Réflectivité». Normand Laperle en sera l’éditeur. Nous tenons spécialement à féliciter la performance et le merveilleux travail de l’équipe précédente, qui a maintenu la barre pendant plus de sept (7) ans. L’équipe était composée de Line StPierre (éditrice) et de Denis Laniel (mise en page), de chroniqueuses et chroniqueurs qui ont su ravir les lectrices et les lecteurs et être un reflet pertinent de la collectivité Urantienne. BRAVO!
Gilles Brien
Laval
Tous les lecteurs ont leur partie préférée du gros livre bleu. Pour la plupart, c’est la dernière partie du Livre d’Urantia, la vie de Jésus. Et je dois admettre qu’en réfléchissant bien, c’est mon cas aussi. Aucun livre de fiction ou de religion ne m’a procuré autant de bonheur et d’émotions. La lecture du compte-rendu journalier de la vie de Joshua ben Joseph sur Terre se lit comme un roman, un thriller politique, une chronique du temps de l’époque qui nous prend à la gorge. Avec des personnages de méchants comme on les aime, avec des aventures et des miracles, il y a dans la vie de Jésus tous les ingrédients pour une histoire fabuleuse, la plus incroyable jamais racontée. Il parait même que c’est une histoire vraie… L’origine de la partie IV du Livre d’Urantia est spéciale en soi.
Les fascicules sur la vie de Jésus ont été produits par une commission de médians et ont été terminés un an après que les parties I, II et III furent déclarées complètes. Ces trois premières parties du livre ont été achevées en 1934. Les fascicules de Jésus ne sont apparus qu’en 1935.
Ce délai d’un an s’expliquerait parce que les médians étaient inquiets de s’impliquer dans une affaire en instance devant les tribunaux, la cause « Gabriel vs Lucifer». Ils hésitaient à compléter leur projet jusqu’à ce qu’ils soient assurés qu’ils aient pleine autorité pour raconter l’histoire de la vie de Jésus. Cette permission semble leur avoir été accordée, car les fascicules de la vie de Jésus furent «livrés» un an plus tard.
Quel est le miracle de Jésus qui vous touche le plus?
Il y a quelque chose de fascinant et de merveilleux dans les miracles, surtout ceux de Jésus. Les humains de l’époque de Jésus sont décrits dans le Livre d’Urantia comme des gens avides de miracles pour les yeux et les oreilles, mais sourds et aveugles aux vérités spirituelles pour l’âme et le cœur. Les choses n’ont pas beaucoup changé en 2000 ans. La pensée magique est restée très populaire chez des centaines de millions de personnes, surtout chez les politiciens. Et la soif des foules pour les miracles est toujours aussi grande. Suffit de regarder les files d’acheteurs de loto pour s’en convaincre. Tout le monde cherche le miracle dans sa vie, de nos jours. La job de rêve, l’auto de rêve, la maison de rêve, bref le genre de miracles qui fait tourner le monde moderne.
Si on aime autant les miracles, c’est que tout le monde aime la magie. Et si Jésus s’est laissé aller à « commettre» autant de miracles dans sa vie, malgré les avertissements de son Ajusteur Personnalisé, c’est par amour pour ses créatures.
Les miracles de Jésus nous éblouissent, certes, mais au-delà de leurs effets spectaculaires, ils nous interpellent. S’il n’y avait pas eu de manifestations extraordinaires de démonstration de pouvoir dans la vie de Jésus, que resterait-il aujourd’hui des souvenirs de son passage sur Terre? Pas grand-chose proba- blement. Saint-Pierre de Rome n’existerait peut-être pas. Les gens auraient peu à peu oublié son histoire. Peut-être que oui. Peut-être que non. Difficile à dire. Ce qui est sûr, et qui restera toujours vrai, c’est que les gens aiment les bonnes histoires. Et raconter Jésus sans les miracles qu’il a accomplis, c’est comme essayer de raconter les Canadiens sans parler de coupe Stanley.
Dans tous les miracles faits par Jésus tels que racontés par le Livre d’Urantia, le plus grand est bien entendu la résurrection de Lazare. Au chapitre des miracles, le retour à la vie est certainement le plus grand des miracles. Et ce n’est pas Lazare qui va s’en plaindre! Les lecteurs assidus du livre savent que Lazare est mort à nouveau à 67 ans, de la même maladie qui l’avait emportée à Béthanie, quand il était plus jeune. Je me suis toujours demandé si Lazare en avait voulu à Jésus pour ce manque de « créativité ». Mais bon…
Quant à moi, le plus grand des miracles de Jésus est celui dont on parle le moins. Tous les lecteurs ont leur miracle préféré dans le récit de la vie de Jésus. Le vin de Cana est un miracle comme tout bon hôte souhaiterait voir tomber du ciel quand le party manque de munitions. Chasser le démon d’une personne possédée est un sacré miracle aussi, quoiqu’on a beau chasser le démon, il revient toujours au galop. Guérir un aveugle ou un paralytique n’est pas si mal non plus. Mais guérir 683 personnes d’un coup, hommes, femmes et enfants, voilà un miracle à l’américaine. C’est Big, ostentatoire même.
Tout s’est passé dans la cour extérieure de la maison de Zébédée à Béthanie, la région portuaire de Capharnaüm. La population était en émoi au sujet de prétendues guérisons attribuées à Jésus. Tous les gens souffrants et malades du coin s’étaient donné rendez-vous dans la cour de Zébédée, sachant que Jésus serait là. La description faite du regard de Jésus sur un millier d’éclopés, de malades et de «poqués » et d’autres qui arrivaient, me trouble toujours autant. J’imagine très bien ces pères qui ame- naient leurs enfants malades ou handicapés, ces femmes qui trainaient leurs frères ou sœurs aveugles ou paralysés, à même leur dos, ou les tirants dans une charrette, tous croyant que Jésus allait les guérir, tous cherchant un miracle.
Si je n’ai pas de difficulté à imaginer la scène, c’est que moi aussi j’aurais bien aimé être là, dans la file, avec les autres. Moi aussi j’aurais amené mes enfants se faire guérir par le gars de Nazareth. Je me vois très bien dans la peau du voisin de Zébédée : «Un homme partit avec sa fille paralysée dès que le soleil eut disparu derrière la maison de son voisin » (LU 145:3.2). Je l’avoue, j’aurais été là le premier à tenir la main de mes deux garçons autistes pendant que la vaste légion d’anges, de contrôleurs physiques, de porteurs de vie et de médians se serait mise au travail…
Je ne doute pas que ce miracle, cette explosion de guérisons surnaturelles, comme le racontent les révélateurs, ont eu peu d’effet sur les gens miraculés.
«Un petit nombre d’entre eux furent vraiment édifiés […], mais cette stupéfiante manifestation curative […] ne fit aucunement progresser le royaume spirituel dans le cœur des hommes. » (LU 145:3.14).
Les miracles sont peut-être des illusions et assurément des tours de magie qui cachent l’essentiel. Mais il y a de ces miracles qui touchent le cœur et qui donnent espoir de se trouver un jour en présence du Grand Magicien.
À raison de 5$ plus les frais de poste.
Faites-moi part de votre intérêt, soit par courriel à line.stpierre@gmail.com ou par téléphone au 450-565-3323.
Line St-Pierre
CETTE ACTIVITÉ PERMET À PLUSIEURS LECTEURS DE DIFFÉRENTS NIVEAUX DE compréhension, d’échanger et d’étudier ensemble les enseignements du Livre d’Urantia. Elle favorise le progrès spirituel en permettant à ses participants de trouver des applications pratiques aux enseignements du Livre d’Urantia dans leur vie quotidienne. Cette pratique importante permet de garder un point de vue élargi sur les concepts de vérité.
Vous désirez participer ou former un groupe d’étude; avec joie, nous vous assisterons. Vous désirez faire paraître votre groupe d’étude dans cette liste, contactez la responsable, via courriel association.urantia.quebec@gmail.com ou au 450-565-3323.
Groupe de l’Outaouais
Région de Gatineau
Les mardi de 19h00 à 21 h00
Maurice Migneault :
(613) 789-6833
Groupe : «Sans Frontière »
Région de Hawkesbury
Les dimanches de 9h30 à 11h30
Yvon et Irène Belle-Isle : (613) 632-5706
Groupe : «Laurantia »
Région de Petite Nation en Outaouais
Les dimanches dès 9 h 00
Denise Charron & Jean-Claude Lafrenière Tél : (819) 983-2113
Groupe : « Découverte »
Région des Laurentides
Les lundis de 19h30 à 21h30
Gaétan Charland et Line St-Pierre
Tél.: (450) 565-3323
Groupe : «Étoile du Soir »
Région des Laurentides
Les mercredis de 19h00 à 21 h00
Carmen Charland : (450) 553-3601
Groupe : «Les Débonnaires »
Région de Terrebonne
Aux 2 sem. : Les jeudis de 19h00 à 21h00
Julien Audet : (514) 315-9871
Groupe : «Uni-Terre»
Région de Lanaudière
Les dimanches dès 9 h 00
Éric Martel : (450) 756-9387
Groupe : « Fraternité-Urantia »
Région de Lanaudière
Les mercredis de 19h30 à 21h00
Richard Landry & Gisèle Boisjoly Tél : (450) 589-6922
Groupe : «La Famille Unie d’Urantia »
Région de Montréal
Les mardis de 19h00 à 21 h00
Mme Diane Labrecque : (514) 277-2308
Groupe : «Le Pont »
Région de Rive-Sud de Montréal
Les jeudis de 19h30 à 21h30
Guy Vachon : (450) 465-7049
Groupe : «Le Phare de la Rive-Sud »
Région de Rive-Sud de Montréal
Les lundis de 19h00 à 21h00
Luciano Camellini et Dominique Marchessault Tel.: (450) 332-1459
Groupe : « Vers les Sommets »
Régions d’Ormstown & Valleyfield
Les vendredis de19h00 à 21h00
Louise Sauvé : (450) 829-3631
Groupe de Sherbrooke
Région de Sherbrooke
Aux 2 sem.: Mardis ou mercredis (à confirmer) de 19h30 à 21h30
Hélène Boisvenue et Denis Gravelle Tél.: (819) 569-6416
Groupe : «Lecteurs de la Mauricie »
Région de Trois-Rivières
Les lundis de 19h00 à 21 h00
Madeleine Boisvert : (819) 376-8850
Roger Périgny : (819) 379-5768
Groupe : «Les Agondontaires »
Région de Québec
Aux 2 sem. : Les dimanches de à 16h00
Guy & Rolande L. Martin : (418) 651-3851
Groupe : «Les Partenaires du Suprême »
Région de Québec
Les lundis de 19h30 à 21 h 30
Richard Lachance : (418) 614-2520
ou (418) 933-0244 (cell.)
Groupe : «À la Maisonia »
Région de Québec
Aux 2 sem. : Les dimanches de 13h15 à 15h30
Gilles Bertrand & Louise Renaud :
(418) 871-4564
Groupe : «Les Ascendants»
Région de Rive-Sud de Québec
Aux 2 sem. : Les dimanches de 13 h 00 à 15h30
Guy Le Blanc : (418) 886-2366
Responsable : Normand Laperle
Assisté par : Gilles Bertrand.
Pour nous joindre :
reflectivite.auq@gmail.com
(418) 835-1809 (Normand Laperle)
(418) 871-4564 (Gilles Bertrand)
Date limite pour nous envoyer vos articles : Le 15 de chaque mois.
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