© 2014 Oscar Blais, Normand Laperle, Hélène Boisvenue
© 2014 Association Urantia du Québec
Oscar Blais
Montréal
Dans ma recherche de Dieu, j’ai découvert que l’univers qu’il a créé n’est pas parfait.
S’il était parfait, nous ne serions pas ici sur cette planète.
« Nous faisons partie d’une création gigantesque et il n’y a rien d’étrange à ce que tout ne se passe pas à la perfection. Notre univers n’a pas été créé parfait, la perfection est note but éternel et non notre origine. » (LU 75:8.6)
Je crois que si l’Univers était parfait, Dieu n’accepterait que ce qui est parfait et rejetterait tout ce qui est imparfait, par conséquent nous serions rejetés. Dieu dans sa divine bonté et son grand amour a tracé une route évolutionnaire ascendante pour nous et nous laisse la liberté (le libre arbitre) de le suivre ou de le rejeter. Même en tombant des centaines de fois durant le trajet, il nous pardonne toujours et nous sommes soutenus par les êtres spirituels qu’il a mis à notre disposition et c’est par ce miracle de la foi que tout cela nous est permis.
La foi est la base de la spiritualité et sans elle nous sommes perdus, car la foi est l’assurance des choses que l’on espère et la démonstration de celles que l’on ne voit pas. (La Bible)
La foi nous apporte l’espérance de se rendre jusqu’au bout de la route, et de ces deux vertus en découle une troisième qui est l’amour et c’est vers là où nous sommes entraînés. L’amour est charismatique, car elle sème autour de nous la paix, la joie et le goût de changer des choses dans sa vie.
Le début de mon aventure et de mon parcours a commencé il y a 36 ans déjà. À l’âge de trente-quatre ans, j’ai senti le besoin de faire du changement dans ma vie. Je n’avais aucune spiritualité et me sentais vide. J’avais déjà entendu parler de la bible et je me disais qu’un jour je me déciderais à en connaître son contenu. Je voyais souvent les Témoins de Jéhovah passé aux portes et un jour j’ai décidé de les laisser entrer chez moi. Ils m’ont parlé de la Vérité, de Jéhovah et de Jésus et j’ai alors commencé à fréquenter la salle du royaume chaque semaine durant deux ans. Après ces deux années, je sentais toujours un vide. J’ai alors décidé d’aller ailleurs et j’ai fréquenté les églises protestantes Baptistes, Frères en Christ, pentecôtistes et j’ai adopté ces derniers pendant quelques années, mais sans grande satisfaction personnelle. Je suis allé vers les adventistes du 7 e jour et tout cela ne remplissait pas le vide.
J’ai tout laissé tomber et suis retourné à lire ma bible quotidiennement et de partager mes lectures avec un ami qui faisait comme moi. On parlait de spiritualité pendant des heures, mais j’avais l’impression de faire du sur place. J’ai donc prié Dieu pour qu’il m’entraîne sur des chemins plus larges où je me sentirais progresser. C’est plusieurs années après que j’ai rencontré un ami de longue date, Guy Laporte qui m’a parlé du Livre d’Urantia.
Le mot Urantia ne m’était pas inconnu et c’est ce qui a attiré mon attention, car je me suis souvenu qu’en 1975 une amie de ma femme m’avait parlé de la Cosmogonie d’Urantia, du commencement du monde et de l’ange déchu Lucifer.
En premier cela a piqué ma curiosité, mais cette semence n’a pas germé en moi. Ce n’est que trente-quatre ans après que Dieu m’a rattrapé à travers Guy Laporte.
Enfin la découverte de cette Cinquième Révélation comble en moi ce vide. Dans ma recherche de Vérité à travers la lecture de tous ces livres spirituels je n’ai trouvé que des demi-vérités, mais avec Le Livre d’Urantia et ses enseignements j’ai trouvé toute LA Vérité.
Aujourd’hui à l’automne de ma vie, je sais enfin où je vais continuer cette aventure.
« La foi révèle Dieu dans l’âme. » (LU 101:2.10)
Normand Laperle
Lévis
Bonjour à tous,
Bon début de printemps. Nous le méritons bien.
Saviez-vous que le premier bulletin «Réflectivité » a été publié en novembre 1982 ? Guy Hévey en était le coordonnateur. Cette année-là, Emma Christensen est décédée à l’âge de 92 ans. Jusqu’à ce jour, elle était la dernière personne encore vivante à avoir fait partie du groupe de contact des six (les témoins du dormeur). En 1982, il n’y avait que la « Fondation d’Urantia» et la « Urantia Brotherhood ». L’Association d’Urantia international (AUI) n’existait pas encore. Au Québec, on utilisait l’expression « Mouvement Urantia » pour parler de toutes les activités administratives reliées au «Livre d’Urantia». C’est aussi l’année où la version française du livre bleu a commencé à se vendre en un seul volume.
Aujourd’hui, 31 ans plus tard, on avance encore. Bien des choses restent à faire. Il nous faut construire l’avenir. Il nous faut l’inventer. Mais cette tâche n’est pas celle d’une seule personne, ni même de quelques élites, ce sont les petits gestes de milliers de personnes qui s’ajoutent les uns aux autres. Chacune des petites contributions compte. Dans ce contexte, il n’est pas nécessaire de se préoccuper des avantages à grande échelle, elles se placent d’elles-mêmes. Les associations sauront vous dire où sont leurs besoins. Ensuite, on n’a qu’à se préoccuper des avantages au niveau personnel. À l’échelle individuelle, chaque personne est maîtresse d’elle-même et de son devenir. Au fond, on devient ce que l’on veut devenir. Ça dépend entièrement de nous. Il faut que chacun/e se demande : Est-ce que j’avance ? Je veux aller où ? Je veux vivre quoi ?
Le Réflectivité est un lieu de partage. Lorsque je suis allé chez Line St-Pierre pour faire le transfert de connaissance dans l’administration du Réflectivité, elle me disait que sa plus grosse difficulté était de trouver des gens pour écrire des articles. Dans le but de trouver une solution à cette difficulté, je lance une invitation aux abonnées. Je cherche huit (8) personnes parmi vous qui s’engageraient à écrire un (1) article tous les quatre (4) mois. Ça nous ferait une garantie de deux (2) articles par mois. Les autres articles seraient comblés par les « contributions volontaires» comme il se fait actuellement. S’il n’y avait que quatre (4) personnes qui se porteraient volontaires, ça nous ferait un (1) article garanti tous les quatre (4) mois. Et s’il y en avait plus que huit (8), on pourrait espacer davantage le temps entre les contributions.
La personne qui s’engagerait aurait le choix de son sujet, tout en suivant les règles du gros bon sens. C’est-à-dire qu’il faut quand même que les articles aient comme toile de fond le « Livre d’Urantia » et on veut que ce soit constructif, pas destructif. Bien entendu, il y a une exception à ces règles : en tant que rédacteur, je me réserve le droit d’avoir le dernier mot.
Cela vous fait une façon toute simple et pas trop exigeante de vous engager et ça nous aiderait à résoudre notre plus gros problème. Il n’y aurait pas de contrat obligatoire, juste une promesse d’adhésion. On ne vous tire pas par le bras. C’est un contrat moral. Lorsque vous voudrez vous désengager, vous le dites un peu à l’avance pour qu’on puisse relayer l’activité à un/e autre volontaire. Je vous invite donc à nous envoyer votre candidature à cet effet.
Bonne lecture.
Hélène Boisvenue
Sherbrooke
Conférence présentée lors d’une rencontre entre étudiants de la Sagesse Divine Progressive en juillet 2013 à Montréal, Québec Canada
Troisième partie — de quatre.
J’ai tiré du Livre d’Urantia (LU 3:5.6) des qualités morales essentielles à notre croissance spirituelle qui se développent dans des situations de contraste :
1. Le courage, la force de caractère
Lettre d’un soldat
Il y a quelques mois, j’écoutais à la TV une émission spéciale qui nous informait de la participation des soldats canadiens à la guerre en Corée de 1950 à 1953. Lors de cette émission, la fille d’un des soldats morts à cette guerre nous lisait la lettre que son père avait écrite à sa mère alors enceinte : il lui demandait d’élever leur enfant de manière à ce que cet enfant puisse faire face avec courage aux difficultés de la vie.
Mettons-nous dans la position d’un éducateur, d’une éducatrice. Que fait-on par exemple pour qu’un enfant puisse faire face aux difficultés de la vie? En éducation, comment fait-on pour former les enfants au courage, à la force de caractère? Il faut qu’ils soient placés dans des situations où ils sont obligés de réagir aux désappointements et de s’attaquer à des difficultés. On déplore tous l’éducation déficiente des enfants trop gâtés, ainsi mal aguerris pour faire face aux difficultés de la vie.
Les parents ont parfois une tendresse filiale peu sage quand, lâchement, ils soustraient leurs enfants aux séquelles d’actes inappropriés. J’ai admiré l’attitude sensée du conjoint de ma fille lorsqu’il offrit à son fils de douze ans deux billets pour assister à une joute de hockey au forum de Montréal. L’enfant, un peu prétentieux, dit alors à son père que les sièges choisis n’étaient pas assez bien placés et que, dans ces conditions, il n’irait peut-être pas à ce match (cela dans l’espoir d’obtenir de meilleurs billets). Malgré les pleurs du garçon, mon gendre donna les billets à un ami et obligea ainsi son fils à assumer les tristes conséquences de ses paroles et à faire face à un vif désappointement.
2. L’altruisme, le service du prochain, demande des situations d’inégalité sociale.
Comment se développe l’altruisme chez un enfant? J’ai posé cette question à une amie travailleuse sociale, spécialisée en éthique. Voici ce qu’elle me répondit : «Tous les enfants expérimentent un jour ou l’autre des situations de manque. Ainsi l’enfant sera capable par la suite d’identifier les manques et les besoins chez les autres personnes de son entourage et il sera capable aussi de se mettre à leur place. » C’est l’expérience d’une telle situation qui permet que se développe l’empathie et la bienveillance. Les services sociaux mis sur pied par nos sociétés ou les nombreux organismes communautaires l’ont été pour aider des personnes dans le besoin. Ces projets communautaires ont développé une sensibilité à l’autre chez les personnes impliquées.
3. L’amour de la vérité avec l’acceptation de la suivre où qu’elle conduise requiert un monde où l’erreur et la fausseté sont possibles.
L’expérience de l’erreur et la douleur et les déceptions qui s’ensuivent rendent la vérité désirable et en stimule la recherche. Une recherche sincère va entraîner avec puissance le développement de nombreuses qualités désirables dont l’enthousiasme, le dynamisme, le courage, la constance, l’espoir, la persévérance et bien d’autres expressions de la personnalité où cœur et raison pourront se marier avec force.
4. Le désintéressement, l’esprit d’oubli de soi, nécessite de vivre avec les clameurs d’un moi qui exige reconnaissance et honneur.
On nous dit dans le Livre d’Urantia que l’enfant a déjà développé une nature égoïste forte et bien unifiée bien avant qu’il puisse atteindre une capacité morale, donc avant d’être capable de choisir le service altruiste. (Fasc. LU 103:2.9) Cette situation est nécessaire, car pour choisir dynamiquement, il faut qu’il y ait au moins deux possibilités qui se conjuguent avec puissance.
5. L’espoir, la noblesse de la confiance, requiert cette situation où l’on est confronté à des incertitudes et à des insécurités.
Sans incertitudes, la confiance ne ferait pas partie de la réalité des valeurs. Examinons le comportement d’une personne qui doit se présenter en entrevue pour l’obtention d’un poste qui lui tient vraiment à cœur. L’espoir d’être sélectionnée va mobiliser chez elle les ressources considérables de sa personnalité et des capacités latentes pourront ainsi s’actualiser qui autrement resteraient inertes.
6. La foi, l’affirmation suprême de la pensée humaine, exige cette situation où l’on sait toujours moins que ce que l’on peut croire. Cette situation développe une foi construite sur la confiance et l’abandon à la garde divine.
Je vous fais part ici de l’attitude d’une personne qui m’est très chère. Cette personne hésite beaucoup quant à la réalité de Dieu et elle se qualifie elle-même d’agnostique. Alors que nous parlions de spiritualité, elle me confiait que, toute sa vie, elle avait cherché à savoir la vérité à propos de Dieu, mais, aujourd’hui, épuisée de chercher et s’appuyant sur la parole de Jésus qui affirmait :
«Cherchez et vous trouverez », elle avait décidé de s’abandonner à la bonté de Dieu : « S’il existe, Dieu est indubitablement bon, il saura prendre soin de moi », ajoute-t-elle. Cette personne qui affirmait ne pas avoir la foi a présenté ainsi une des plus belles expressions de foi que je connaisse.
7. L’idéalisme, l’émergence du concept divin, requiert une ambiance de beauté et de bonté relatives qui va stimuler le désir de choses meilleures.
Prenons cet exemple d’une situation où les citoyens d’un pays se rendent compte que la collusion et la corruption entachent les travaux d’intérêt public. Si les gens se scandalisent des fraudes commises, c’est qu’ils sont mus par des idéaux d’honnêteté et de gestion saine des deniers publics. Qui ne désire pas plus de justice, plus de bonté, plus de beauté lorsqu’on se rend compte des défaillances d’un système? Cette situation contribue à stimuler la recherche et l’expression d’idéaux et participe ainsi à l’émergence du concept divin. Comment comprendre cela? C’est que les concepts de Dieu élaborés par les hommes intègrent toujours leurs plus hauts idéaux. Ainsi on peut dire que les idéaux qui s’élèvent rehaussent la représentation relative que les hommes peuvent avoir de Dieu.
8. La loyauté, la dévotion au devoir supérieur impose cette situation où la possibilité d’une désertion ou d’une trahison est possible. La dévotion au devoir implique le danger qui résulterait d’une défaillance.
Un couple d’amis d’origine serbe, maintenant canadiens, vivaient à Sarajevo lorsque la guerre éclata en Yougoslavie en 1992. Dans cette ville se côtoyaient trois communautés, dont les Serbes, les musulmans et les Croates; tous ces gens vivaient relativement bien ensemble avant la guerre. L’homme de ce couple avait même un ami très cher d’une ethnie différente de la sienne. Son attachement pour lui était tellement tangible qu’il l’avait choisi comme témoin à son mariage. Lorsque la ville fut mis à feu et à sang, cet ami le trahit et lui affirma : « Vous les Serbes, on va tous vous tuer!» La douleur de la trahison est encore intense chez mon ami, mais je sens chez lui une fidélité sans faille pour notre amitié. Ayant connu l’odieux de la traîtrise, jamais il ne se permettrait d’exercer lui-même une telle infamie. Cette expérience a développé chez lui un sens aigu de la loyauté.
9. L’expérience du plaisir, la satisfaction du bonheur, implique cette situation où la possibilité de la souffrance est toujours présente.
J’ai le bonheur de côtoyer mes deux petitsenfants, une fillette de quatre ans et un garçonnet de deux ans. Un viscéral attachement me lie à eux et cette solide tendresse nourrit ma joie de vivre, surtout lorsque ma petite fille me dit avec sérieux : « Grand-maman, tu me tiens à cœur . La pensée que des circonstances malheureuses m’arracheraient à leur affection fait en sorte d’intensifier la douceur et le bonheur présents de pouvoir les aimer.
Toutes les qualités précédemment énumérées et qui se développent dans des situations de contraste sont nécessaires et obligatoires pour qui veut s’élever vers sa rencontre vers Dieu, pour qui veut se spiritualiser ou encore dit autrement pour qui veut se diviniser. Ces qualités ouvrent la conscience de l’homme sur la direction de la divinité. Elles sont aussi des qualités de relations d’amour et de service dirigées vers les hommes.
Suite de la gouvernance divine le mois prochain dans la partie 4 (de 4 )
Définitions : « Adjuvant»
En médecine : Médicament ou traitement qui renforce ou complète les effets du traitement principal.
En chimie : Substance qui facilite une réaction ou qui améliore les propriétés d’une autre substance.
Étymologie : Emprunt au latin classique adjuvans signifiant ‘qui aide’, participe présent de adjuvare, ‘aider’.
Par analogie: « Il y voit en outre un puissant adjuvant dans la lutte pour l’emploi et pour un développement équilibré de notre économie. » — Sénat, février 2000
Source : Logiciel Antidote
Je vous invite à essayer le lien suivant :
http://www.youtube.com/watch?v=9zakfdsN2yk
C’est une vidéo créée par www. UrantiaBookOutReach.com. Vous verrez un dessin animé sur la vie et les enseignements de Jésus (en anglais). La scène commence avec Jésus et ses apôtres sur le point de commencer leur ministère public à la mi-janvier A.D. 27. C’est intéressant de voir ce qu’il se fait autour du « Livre d’Urantia ».
La rencontre pour la fête de Micael aura lieu dimanche le 24 aoüt prés du Lac aux Castors dans le Parc du Mont-Royal, Montréal.
Information supplémentaire à venir.
CETTE ACTIVITÉ PERMET À PLUSIEURS LECTEURS DE DIFFÉRENTS NIVEAUX DE compréhension, d’échanger et d’étudier ensemble les enseignements du Livre d’Urantia. Elle favorise le progrès spirituel en permettant à ses participants de trouver des applications pratiques aux enseignements du Livre d’Urantia dans leur vie quotidienne. Cette pratique importante permet de garder un point de vue élargi sur les concepts de vérité.
Vous désirez participer ou former un groupe d’étude; avec joie, nous vous assisterons. Vous désirez faire paraître votre groupe d’étude dans cette liste, contactez la responsable, via courriel association.urantia.quebec@gmail.com ou au 450-565-3323.
Groupe de l’Outaouais
Région de Gatineau
Les mardi de 19h00 à 21 h00
Maurice Migneault :
(613) 789-6833
Groupe : «Sans Frontière »
Région de Hawkesbury
Les dimanches de 9h30 à 11h30
Yvon et Irène Belle-Isle : (613) 632-5706
Groupe : «Laurantia »
Région de Petite Nation en Outaouais
Les dimanches dès 9 h 00
Denise Charron & Jean-Claude Lafrenière Tél : (819) 983-2113
Groupe : « Découverte »
Région des Laurentides
Les lundis de 19h30 à 21h30
Gaétan Charland et Line St-Pierre
Tél.: (450) 565-3323
Groupe : «Étoile du Soir »
Région des Laurentides
Les mercredis de 19h00 à 21 h00
Carmen Charland : (450) 553-3601
Groupe : «Les Débonnaires »
Région de Terrebonne
Aux 2 sem. : Les jeudis de 19h00 à 21h00
Julien Audet : (514) 315-9871
Groupe : «Uni-Terre»
Région de Lanaudière
Les dimanches dès 9 h 00
Éric Martel : (450) 756-9387
Groupe : « Fraternité-Urantia »
Région de Lanaudière
Les mercredis de 19h30 à 21h00
Richard Landry & Gisèle Boisjoly Tél : (450) 589-6922
Groupe : «La Famille Unie d’Urantia »
Région de Montréal
Les mardis de 19h00 à 21 h00
Mme Diane Labrecque : (514) 277-2308
Groupe : «Le Pont »
Région de Rive-Sud de Montréal
Les jeudis de 19h30 à 21h30
Guy Vachon : (450) 465-7049
Groupe : «Le Phare de la Rive-Sud »
Région de Rive-Sud de Montréal
Les lundis de 19h00 à 21h00
Luciano Camellini et Dominique Marchessault Tel.: (450) 332-1459
Groupe : « Vers les Sommets »
Régions d’Ormstown & Valleyfield
Les vendredis de19h00 à 21h00
Louise Sauvé : (450) 829-3631
Groupe de Sherbrooke
Région de Sherbrooke
Aux 2 sem.: Mardis ou mercredis (à confirmer) de 19h30 à 21h30
Hélène Boisvenue et Denis Gravelle Tél.: (819) 569-6416
Groupe : «Lecteurs de la Mauricie »
Région de Trois-Rivières
Les lundis de 19h00 à 21 h00
Madeleine Boisvert : (819) 376-8850
Roger Périgny : (819) 379-5768
Groupe : «Les Agondontaires »
Région de Québec
Aux 2 sem. : Les dimanches de à 16h00
Guy & Rolande L. Martin : (418) 651-3851
Groupe : «Les Partenaires du Suprême »
Région de Québec
Les lundis de 19h30 à 21 h 30
Richard Lachance : (418) 614-2520
ou (418) 933-0244 (cell.)
Groupe : «À la Maisonia »
Région de Québec
Aux 2 sem. : Les dimanches de 13h15 à 15h30
Gilles Bertrand & Louise Renaud :
(418) 871-4564
Groupe : «Les Ascendants»
Région de Rive-Sud de Québec
Aux 2 sem. : Les dimanches de 13 h 00 à 15h30
Guy Le Blanc : (418) 886-2366
Responsable : Normand Laperle
Assisté par : Gilles Bertrand.
Pour nous joindre :
reflectivite.auq@gmail.com
(418) 835-1809 (Normand Laperle)
(418) 871-4564 (Gilles Bertrand)
Date limite pour nous envoyer vos articles : Le 15 de chaque mois.
➤ Ajoutez vos coordonnées complètes pour qu’on puisse vous joindre si nécessaire.
Publication :
Mensuel : Première semaine du mois.
Avertissement :
Nous nous réservons le droit de modifier les articles au profit du lectorat. Cependant, dans certains cas précis, ces changements seront soumis à l’auteur concerné, pour approbation finale avant publication.
Toute soumission d’articles ou autres devient la propriété du journal et aucune ne sera retournée.
Toute interprétation, opinion, conclusion ou représentation artistique, affirmée ou impliquée, sont celles des auteurs et ne reflètent pas nécessairement l’opinion et les points de vue de l’AUI ou les associations de niveaux nationaux et locaux.