© 2014 Hélène Boisvenue, Normand Laperle, Gilles Bertrand, Yvon Belle-Isle, Roger Périgny, Gaétan G. Charland
© 2014 Association Urantia du Québec
¶ La participation des femmes au mouvement Urantia
Hélène Boisvenue
Sherbrooke
[Table ronde lors de la rencontre du 21 septembre 2014 à Drummondville]
En table ronde, quelques lectrices du Livre d’Urantia présentes à la rencontre du 21 septembre ont discuté de l’implication des femmes au mouvement Urantia et à des groupes d’étude. «Pourquoi les femmes sont-elles généralement moins nombreuses que les hommes? » se sont-elles demandé. V oici des éléments de la discussion qui ont permis d’identifier certaines causes de la problématique et d’apporter quelques solutions intéressantes.
¶ Causes
Souvent minoritaires dans les groupes d’étude, les femmes se sentent incomprises et mal à l’aise surtout quand l’étude se transforme en débats intellectuels souvent très stériles spirituellement. Cet inconfort vient probablement d’une triste partie de notre histoire. Il y a peu de temps, l’autorité religieuse, c’était une affaire d’hommes. Bien que le discours ait changé quant à la place des femmes dans notre société, beaucoup de femmes, surtout les plus âgées, ont intégré les normes anciennes — on traîne encore le passé.
En général, les femmes manquent de confiance en elles-mêmes lorsqu’elles tentent de s’exprimer en public et encore plus lorsqu’elles doivent assumer un leadership. La situation est complexe et l’analyse pourrait relever d’études sociologiques. Une cause possible a été cernée par des recherches expérimentales en éducation. Trop souvent les éducateurs et les éducatrices n’identifient pas explicitement les qualités et les capacités des filles sous leur garde et ces dernières ne savent plus pour quelles raisons et dans quels domaines elles sont compétentes; se connaissant mal, les filles développent alors peu de confiance en elles-mêmes.
Une participante soulève le problème particulier des jeunes femmes qui assument une profession exigeante à laquelle s’ajoutent les responsabilités familiales, la gestion du quotidien et l’éducation des enfants. Ces femmes n’ont pas vraiment le temps de se consacrer aux activités du mouvement Urantia. Leur recherche spirituelle s’exprime surtout dans une action auprès de leurs enfants. Les femmes vivent souvent une spiritualité appliquée à la vie de famille.
¶ Solutions
Rappelons-nous combien fut extraordinaire et inédite l’attitude de Jésus envers les femmes. À l’encontre de traditions millénaires, Jésus a élevé la femme et lui a donné une part égale à celle de l’homme en ce qui a trait à l’évolution de la planète et surtout en ce qui a trait à son action spirituelle. Les femmes en recherche spirituelle ont des prises de conscience importantes à faire et cette conscientisation va les entraîner sur le chemin de la confiance et du courage.
Ne dit-on pas dans le Livre d’Urantia que « la main qui balance le berceau fraternise […] avec la destinée. » (LU 84:6.4). C’est donc dire que la fonction maternelle que Dieu a attribuée aux femmes a développé chez elles des qualités et des expertises applicables dans toutes les sphères du développement humain et en particulier dans celle de la spiritualité. Il est important que les femmes découvrent qui elles sont pour se responsabiliser quant à leur rôle spirituel. Se sentir incomprises doit-il les paralyser et bloquer leur engagement? La confiance qui manque tant aux femmes se résorbera en partenariat avec Dieu. Il ne faut surtout pas oublier la puissance de l’Ajusteur. La femme doit faire sa part là où elle est avec la guidance divine.
S’appuyant de nouveau sur un passage du Livre d’Urantia qui affirme qu’« un homme et une femme qui coopèrent sont, dans la plupart de leurs actions, très supérieurs à deux hommes ou deux femmes. » (LU 84:1.9), plusieurs femmes participantes ont exprimé leur volonté de collaborer avec les hommes pour leur croissance spirituelle mutuelle sachant que leur partenariat pourra triompher des limitations naturelles des uns et des unes. L’esprit divin veut se réaliser à travers hommes et femmes ce n’est pas une compétition. Chacun, chacune a un potentiel à actualiser.
Pour les jeunes femmes engagées dans leur profession et leurs responsabilités familiales et incapables de s’intégrer dans les activités du mouvement Urantia, les participantes ont été unanimes pour affirmer que chaque chose en son temps est une règle raisonnable pour elles. La croissance spirituelle n’est pas seulement une affaire des groupes d’étude du Livre d’Urantia.
¶ Mot du rédacteur
Normand Laperle
Lévis
Un gros merci à ceux qui écrivent des articles dans le Réflectivité. Depuis un certain temps, nous recevons plus d’articles. Bravo et merci à tous. C’est apprécié de tous.
Ce mois-ci nous publions un article qui nous est fourni par le « Groupe d’étude de l’Outaouais ». Je trouve que c’est une bonne idée. Un beau projet de groupe où la participation de chacun est mise à profit. On ne peut qu’applaudir cette initiative.
Si vous êtes allé sur le site de l’AUQ dans les archives du Réflectivité, vous avez peut-être remarqué que c’est impossible de faire un téléchargement à partir des mois d’août 2014. Nous avons demandé à nos techniciens Web de vérifier ce problème.
En attendant, en cas de besoin, vous pouvez cliquer sur les liens suivants :
- Pour le Réflectivité d’août 2014 : https://urantia-quebec.s3.ca-central-1.amazonaws.com/documents/Reflectivite/reflectivite_2014_8_0_4.pdf
- Pour le Réflectivité de septembre 2014 : https://urantia-quebec.s3.ca-central-1.amazonaws.com/documents/Reflectivite/reflectivite_2014_9_0_4.pdf
- Pour le Réflectivité d’octobre 2014 : https://urantia-quebec.s3.ca-central-1.amazonaws.com/documents/Reflectivite/reflectivite_2014_10_0_4.pdf
Le Réflectivité fait relâche en décembre 2014. Par conséquent, la prochaine parution sera dans la première semaine de janvier 2015.
Ce qui fait que vous êtes les tout premiers cette année à recevoir mon souhait de Joyeuses fêtes.
Heureux de vous servir.
«L’une des plus importantes leçons à apprendre pendant votre carrière mortelle est celle du travail en équipe.» « Livre d’Urantia » (LU 28:5.14)
¶ À l’écoute de l’autre
Groupe d’étude de l’Outaouais Outaouais
Dans le monde matériel, celui qui crie le plus fort va se faire entendre le plus loin. Mais nous sommes également des êtres spirituels et dans ce monde, nous n’avons pas besoin de hautparleurs pour faire entendre nos prières, car Dieu est si près de nous qu’ll les entend avant même qu’elles ne soient formulées. Nous serait-il possible de faire de même avec nos frères en affinant notre écoute?
Mais que veut dire écouter l’autre? Écouter l’autre n’est pas seulement d’être attentif à son discours, mais aussi au non-dit, à la gestuelle, aux hésitations, aux malaises, etc. Il faut savoir écouter avec tous ses sens, et lorsque ceci est bien fait, la connaissance de l’autre va au-delà de notre compréhension.
« Dès lors que vous comprenez votre voisin, vous devenez tolérant, et cette tolérance va se transformer, croitre en amitié et murir en amour. » (LU 100:4.4)
Les gens n’arrivent pas toujours à dire ce qu’ils pensent vraiment. Parfois derrière un discours décousu, ils nous racontent ce qu’ils sont, et ça, c’est important. C’est cette connaissance de l’autre qui nous permet de mieux comprendre ce dont il a vraiment besoin, ce qu’il est prêt à recevoir et à donner.
Une autre raison d’améliorer notre écoute est qu’inconsciemment ou non, nous reconnaissons chez nos frères les qualités et les défauts que nous avons nous-mêmes. C’est donc également un moyen de mieux nous connaitre. Nous sommes tous des miroirs les uns pour les autres. Mais un miroir, ça réfléchit la lumière, pas la noirceur. Il faut tendre à illuminer le monde par notre amour comme le Père le fait pour toute sa Création.
« Il est littéralement vrai « qu’il faut connaître les choses humaines pour les aimer, mais qu’il faut aimer les choses divines pour les connaître. » » (LU 102:1.1)
¶ Résumé des Groupes de discussions à Drummondville
Gilles Bertrand
Québec
Ce rapport fait suite à l’article dans Réflectivité, du mois d’octobre dernier sur la rencontre tenue à Drummonville le 21 septembre 2014. Merci Hélène de nous avoir détaillé, par ton procèsverbal, les témoignages vivants des sept conférenciers.
Sûrement, cette nouvelle formule de partage est à réitérer plus encore, car elle a mis en évidence des valeurs profondes qu’ont dispensées ces personnes. Elles nous ont inspirés grandement et le produit de cette journée en fut une des plus profitables socialement, mentalement et spirituellement, ceci en parlant en termes de gains personnels et communs.
Consécutivement à ces exposés, la séance s’est terminée par des discussions en ateliers, et Luciano Camellini, Vice-président de l’AUQ, a alors demandé aux participants de ces tables rondes, de lui faire parvenir la synthèse des réflexions des membres participants, que je publi ici pour le bénéfice des lecteurs de Réflectivité.
Le sujet de la rencontre se retrouvait dans cette interrogation capitale :
« Comment nous vivons et transmettons les enseignements du Livre Urantia? »
Voici donc les récépissés reçus de trois des porte-paroles de cesdits groupes. Les commentaires sont synthétisés par une simple énumération des notes prises lors de ces partages, mais combien vous les verrez éclairants.
Un premier groupe :
- Dans mon groupe de marche, j’échange avec mes camarades sur les valeurs de la vie : le partage, l’amour, le service, l’entraide, la fraternité.
- À la retraite je fais du bénévolat dans ma communauté et je m’implique dans la vie sociale. Je prends le temps d’être, de vivre la valeur du moment.
- J’essaie de rendre les gens heureux, par un sourire, en pratiquant la patience aux caisses à l’épicerie par exemple. Sourire à la caissière,
- Mon Ajusteur me fait vivre des occasions pour croître. Je suis conscient de l’Ajusteur en moi.
- J’écoute les gens avec amour et je les respecte où ils sont rendus dans leur cheminement de vie et de croissance. Je m’efforce de ne pas juger les gens et de m’intéresser à eux en tant que personne.
- Je prends Jésus comme exemple pour m’adresser aux gens. Je me vois faire comme lui. Il pratiquait «l’art de vivre». J’essaie de poser les bonnes questions, le plus doucement et respectueusement possible. Comme Jésus, je dois aimer les gens comme il nous a aimés.
- Méditer et prier m’aide à sortir de mes problèmes. Ça me donne une sérénité.
- Je sème des graines par mon exemple et par mes paroles sur l’importance de «la vie intérieure.»
- Je dis aux gens que Dieu vit en eux et ça porte à la conversation.
- J’essaie de me libérer de l’esclavage intellectuel et vivre plus de façon spirituelle.
- L’usage de la technologie exagérée d’aujourd’hui éloigne les gens de la vie intérieure. Les gens sont plus tendus, hyper vigilants et trop influencés par le monde extérieur.
- Je ne peux pas forcer quelqu’un à s’intéresser à la spiritualité ou à la vie intérieure.
- Je prends conscience que je dois d’abord vivre moi-même les enseignements du « Livre d’Urantia » avant de les faire connaitre aux autres.
Merci de la belle joumée de dimanche.
Fraternellement,
Yvon Belle-Isle
Un second groupe nous élaborait ce qui suit : (Chacun des commentaires provenait aussi d’un participant différent)
- D’abord, il faut avoir le désir de les transmettre. En étant camionneur, j’ai développé une plus grande tolérance envers les autres. De plus, j’ai réalisé que je devrais être plus tolérant envers moi-même. Tout l’amour que je donnais aux autres s’est retourné sur moi-même.
- Mon attitude s’est transformée envers le service aux autres. J’ai pris l’engagement dans mon groupe d’études d’aider les personnes en fin de vie en écoutant d’abord.
- Moi aussi, j’ai accompagné quelques personnes en fin de vie. Je leur disais que si Dieu existe partout, il est donc en nous.
- Ce service m’a permis de prendre conscience que la vie est très fragile.
- J’ai rencontré aussi une personne qui avait peur d’aller en enfer. Je lui ai raconté ce qui se passe après la mort et le chemin vers le monde des maisons. L’entretien s’est terminé avec un sourire.
- Au début, c’était mon travail d’accompagner les personnes en fin de vie, maintenant c’est un honneur. Mon salaire est le sourire qui exprime que la personne quitte avec la paix en elle.
- J’ai essayé de transmettre les enseignements, mais il y avait beaucoup de résistances. Par contre, mon fils s’est mis à lire. C’est à travers ma façon de vivre que j’ai transmis les enseignements.
- Peut-on parler des enseignements du « Livre d’Urantia »? Dans mon groupe de lecture, j’ai demandé à chaque lecteur de déposer leur livre sur une tablette. Puis, nous avons parlé pendant deux heures de spiritualité sans lecture du LU. Quelle belle expérience…
- En entendant tous ces témoignages, nous pouvons dire que chaque pensée, parole et action afin de servir les autres nous le faisons pour nous-même d’abord. Servir les autres nous valorise beaucoup. Est-ce de l’égoïsme? Vouloir aller au ciel, estce de l’égoïsme?
- Je pense que l’amour inconditionnel existe naturellement pour la mère. Avoir des enfants est essentiel pour vivre cette expérience.
- J’essaie de l’appliquer dans ma vie.
- Mais, c’est l’amour conditionnel à une situation donnée que je vis chaque jour.
- En étant un lecteur, est-ce que je l’applique dans ma vie personnelle?
Ce fut un plaisir de voir votre dévotion, dynamisme et sincérité à servir chacun de nous.
Merci d’avoir partagé cette journée…
Merci pour ce partage divin.
Au plaisir de se revoir.
Roger Périgny, représentant de notre table ronde
Je vous laisse finalement méditer sur les trouvailles d’un troisième groupe conduit par Normand Laperle cet après-midi-là.
- On peut amorcer un dialogue avec l’autre par une question.
- Il nous faut développer l’habileté à poser les bonnes questions.
- Jésus était devenu maître dans cet art.
- De cette façon, on ne commence pas avec nos conditions et nos définitions ou tout ce qui est important pour nous. On ne s’impose pas.
- Avantages à procéder par questions :
- On amène l’autre à réfléchir.
- On amène l’autre à une nouvelle conscience.
- On anime ainsi la discussion…
- en donnant de l’importance à la personne.
- en explorant son point de vue.
- en discutant sur les conditions de l’autre.
- Exemple de question à poser : «Q Quand tu vas être de l’autre côté, comment vas-tu faire pour communiquer avec les autres personnes? » (Télépathie, autre…)
- Lorsqu’on répond à une question de l’autre, toujours personnaliser notre réponse et notre dialogue. (Utiliser le «Je»)
- Au sujet de l’implication personnelle:
- Si on ne se trouve pas une activité personnelle pour s’engager …on perd notre temps.
- Imagine-toi toutes les occasions qu’on a pour partager.
- Il faut profiter des occasions qui nous sont offertes ou qui se présentent à nous.
- Dans l’action, plus je donne, plus je reçois.
- Si on s’implique, ça va nécessairement ouvrir d’autres portes. (Dieu nous mène).
Phrases disparates :
- On s’accroche à une pensée parce qu’on a « besoin» de cette pensée.
- Phrase à dire lorsqu’on parle à des jeunes : «Le « Livre d’Urantia » a été écrit pour vous autres. »
- Les gens ne cherchent PAS à « connaître le monde spirituel », ils cherchent plutôt à savoir « comment vivre.»
- Si vous ne cherchez pas à rencontrer Dieu, vous allez finir par faire marche arrière …vers ce que vous étiez.
- C’est important de pouvoir « reconnaître la spiritualité chez l’autre».
- On n’est pas habitué à rencontrer une personne qui a des idéaux et qui est animé de passion.
Et la dernière perle entendue dans ce groupe :
- «Pour que le mal réussisse, il faut que les gens de bien n’en fassent pas cas. »
¶ «Oyez Oyez !»
L’Association Urantia du Québec est à la recherche d’un webmestre pour refaire son site Internet et s’occuper de son maintien.
Si vous êtes un lecteur qui avez ce savoirfaire et qui désirez servir la Révélation, voilà une opportunité de combler cette aspiration.
Pour plus d’info, contacter Gaétan G. Charland à : president.auq@ gmail.com
Gaétan G. Charland
Président AUQ
¶ Activités à venir de l’AUQ
Brunch des Fêtes
Vous êtes invités à festoyer, le dimanche 7 décembre de 11:30 à 14:30 à
l’Hôtel Best Western de St-Jérôme.
[420 Boulevard Monseigneur-Dubois,
Saint-Jérôme, QC J7Y 3L8,
Téléphone: (450) 438-1155]
Confirmer avant le 30 novembre à association.urantia.quebec@ gmail.com ou en appelant au 450-565-3323
Assemblé générale de l’AUQ
Inscrivez à votre agenda, l’Assemblé général de l’AUQ, dimanche le 15 février 2015, 10h00 à 16h00, à l’hôtel « Le dauphin », au 600 Boul. St-Joseph, Drummondville.
Même si vous n’êtes pas membre, vous pouvez assister à cette rencontre. Vous entendrez, entre autre, un compte rendu de s’est activités et projets en 2014 et celles à venir.
En après-midi, il y aura des témoignages sur le « Livre d’Urantia ».
¶ GROUPES D’ÉTUDE
CETTE ACTIVITÉ PERMET À PLUSIEURS LECTEURS DE DIFFÉRENTS NIVEAUX DE compréhension, d’échanger et d’étudier ensemble les enseignements du Livre d’Urantia. Elle favorise le progrès spirituel en permettant à ses participants de trouver des applications pratiques aux enseignements du Livre d’Urantia dans leur vie quotidienne. Cette pratique importante permet de garder un point de vue élargi sur les concepts de vérité.
Vous désirez participer ou former un groupe d’étude; avec joie, nous vous assisterons. Vous désirez faire paraître votre groupe d’étude dans cette liste, contactez la responsable, via courriel association.urantia.quebec@gmail.com ou au 450-565-3323.
Groupe de l’Outaouais
Région de Gatineau
Les mardi de 19h00 à 21 h00
Maurice Migneault :
(613) 789-6833
Groupe : «Sans Frontière »
Région de Hawkesbury
Les dimanches de 9h30 à 11h30
Yvon et Irène Belle-Isle : (613) 632-5706
Groupe : «Laurantia »
Région de Petite Nation en Outaouais
Les dimanches dès 9 h 00
Denise Charron & Jean-Claude Lafrenière Tél : (819) 983-2113
Groupe : « Découverte »
Région des Laurentides
Les lundis de 19h30 à 21h30
Gaétan Charland et Line St-Pierre
Tél.: (450) 565-3323
Groupe : «Étoile du Soir »
Région des Laurentides
Les mercredis de 19h00 à 21 h00
Carmen Charland : (450) 553-3601
Groupe : «Les Débonnaires »
Région de Terrebonne
Aux 2 sem. : Les jeudis de 19h00 à 21h00
Julien Audet : (514) 315-9871
Groupe : «Uni-Terre»
Région de Lanaudière
Les dimanches dès 9 h 00
Éric Martel : (450) 756-9387
Groupe : « Fraternité-Urantia »
Région de Lanaudière
Les mercredis de 19h30 à 21h00
Richard Landry & Gisèle Boisjoly Tél : (450) 589-6922
Groupe : «La Famille Unie d’Urantia »
Région de Montréal
Les mardis de 19h00 à 21 h00
Mme Diane Labrecque : (514) 277-2308
Groupe : «Le Pont »
Région de Rive-Sud de Montréal
Les jeudis de 19h30 à 21h30
Guy Vachon : (450) 465-7049
Groupe : «Le Phare de la Rive-Sud »
Région de Rive-Sud de Montréal
Les lundis de 19h00 à 21h00
Luciano Camellini et Dominique Marchessault Tel.: (450) 332-1459
Groupe : « Vers les Sommets »
Régions d’Ormstown & Valleyfield
Les vendredis de19h00 à 21h00
Louise Sauvé : (450) 829-3631
Groupe de Sherbrooke
Région de Sherbrooke
Aux 2 sem.: Mardis ou mercredis (à confirmer) de 19h30 à 21h30
Hélène Boisvenue et Denis Gravelle Tél.: (819) 569-6416
Groupe : «Lecteurs de la Mauricie »
Région de Trois-Rivières
Les lundis de 19h00 à 21 h00
Madeleine Boisvert : (819) 376-8850
Roger Périgny : (819) 379-5768
Groupe : «Les Agondontaires »
Région de Québec
Aux 2 sem. : Les dimanches de à 16h00
Guy & Rolande L. Martin : (418) 651-3851
Groupe : «Les Partenaires du Suprême »
Région de Québec
Les lundis de 19h30 à 21 h 30
Richard Lachance : (418) 614-2520
ou (418) 933-0244 (cell.)
Groupe : «À la Maisonia »
Région de Québec
Aux 2 sem. : Les dimanches de 13h15 à 15h30
Gilles Bertrand & Louise Renaud :
(418) 871-4564
Groupe : «Les Ascendants»
Région de Rive-Sud de Québec
Aux 2 sem. : Les dimanches de 13 h 00 à 15h30
Guy Le Blanc : (418) 886-2366
¶ Réflectivité
Responsable : Normand Laperle
Assisté par : Gilles Bertrand.
Pour nous joindre :
reflectivite.auq@gmail.com
(418) 835-1809 (Normand Laperle)
(418) 871-4564 (Gilles Bertrand)
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Publication :
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