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J’ai récemment découvert l’histoire fascinante du mouvement béguinal à travers la série « Las Beguinas », une production Atresmedia qui m’a captivé dès le premier épisode. Avant de regarder cette série, j’ignorais complètement l’existence de ces communautés de femmes qui, entre le XIIIe et le XVIe siècle, ont défié les normes sociales et religieuses de leur temps en vivant de manière indépendante, en se consacrant à la fois à la contemplation spirituelle et à des activités pratiques. comme l’enseignement, les soins aux malades et l’artisanat.
La série, qui se déroule au XVIe siècle, m’a poussé à approfondir mes recherches sur ce mouvement, et c’est ainsi que je suis tombé sur le livre El beso de Dios du Madrilène Prado Pérez. Cet ouvrage plonge dans la vie des béguines et explore leurs défis, leurs réalisations et la spiritualité intense qui caractérisait ces femmes. Ce livre est une fenêtre sur un monde de foi et de résistance, et je le recommande vivement à tous ceux qui souhaitent en savoir plus sur cette partie peu explorée de l’histoire européenne en général et de l’histoire espagnole en particulier.
Ce qui m’a le plus frappé chez les béguines, c’est la façon dont leur recherche d’une vie spirituelle authentique, libre des contraintes de l’époque, résonne avec certains des principes que j’ai trouvés dans Le Livre d’Urantia. Bien que dans des contextes très différents, tous deux partagent des points communs qui méritent d’être soulignés :
Pour ceux qui souhaitent rencontrer l’auteur, Prado Pérez de Madrid, voici une interview qu’elle a réalisée précisément pour la publication de ce beau livre :
https://www.youtube.com/watch?v=ATLHxqZPBd0