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| Précisions sur les mots et leur définition | Réflectivité — Numéro 346 - Juillet 2021 — Table des matières | La personnalité humaine |
Samuel Heine
ile de la Réunion
Une autre petite pensée que j’ai eue ce matin et qui nia rien à voir avec Ie précédant message est que ; la faculté d’imagination et de visualisation de notre conscience “précédent toujours les mots”, j’en suis venu à penser que c’est précisément l’imagination et la visualisation qui ont conduit l’homme à parler, écrire et conceptualiser sur la base de l’environnement matériel où il vit.
C’est pourquoi il est souvent difficile de comprendre certaines choses qui sont révélées dans le Livre d’Urantia, principalement concernant ce qui est au-delà de l’espace et du temps. C’est pourquoi l’ajusteur (qui est nous) nous amène à percevoir et à ressentir des choses qui sont difficiles à exprimer et qui pourtant peuvent être « ressenties visuellement et intérieurement ».
Je ne sais pas si vous comprendrez, mais je trouve cette faculté de l’âme extraordinaire. Le chercheur de vérité né de la foi et qui a une relation intime avec Dieu est automatiquement en relation avec l’esprit de vérité, et c’est dans ce sens et avec équilibre qu’il y a quelque chose de transformateur au niveau de l’âme lorsque nous nous plongeons dans les révélations contenues dans le Livre d’Urantia.
Les révélateurs savaient très bien ce qu’ils faisaient et les médians qui nous connaissent le mieux ont contribué à nous donner la vie et les enseignements de Jésus sous une forme moderne ou adaptée à la mentalité de l’époque dans laquelle nous vivons.
Les intuitions ou illuminations que nous pouvons avoir sont la preuve indiscutable que Dieu travaille en nous, car nous sommes engagés dans ce partenariat conscient.
Vous pourrez trouver ce qui est écrit d’inutile ou d’incompréhensible, mais en fait, c’est un encouragement (Sourire).
« Le grand défi lancé à l’homme moderne consiste à établir de meilleures communications avec le divin Moniteur qui habite le mental humain. La plus grande aventure de l’homme dans la chair est son effort sain et équilibré pour repousser les frontières de la conscience de soi à travers les domaines imprécis de la conscience embryonnaire de l’âme, dans un effort sincère pour atteindre la région frontière de la conscience de l’esprit — le contact avec la divine présence. Une telle expérience constitue la conscience de Dieu, c’est une expérience qui confirme puissamment la vérité préexistante de l’expérience religieuse consistant à connaitre Dieu. Cette conscience de l’esprit équivaut à connaitre effectivement la filiation avec Dieu. À défaut, l’assurance de cette filiation est l’expérience de la foi… » (LU 196:3.34)
https://bigbluebook.org/fr/196/3/
Malgré l’infinie distance qu’il y a entre nous et le Père Universel qui est au centre de toutes choses, à chaque fois que nous faisons un pas vers lui, il fait un pas vers nous.
C’est du donnant-donnant dans le jeu éternel (une transaction dans laquelle chacune des parties accorde une compensation à l’autre).
Cela me fait penser à la réflexion de Jean François Drouet dans le zoom de la rencontre internationale ; PAS Prière, Adoration, Service.
Cette infraction aux moyens plus solennels et plus révérencieux de communication avec la Déité était un peu déconcertante pour ses parents, spécialement pour sa mère, mais on ne pouvait le persuader de changer ; il [Jésus] disait ses prières exactement comme on les lui avait apprises, après quoi il insistait pour avoir " juste un petit entretien avec mon Père dans les cieux ». LU 123:3.6
¶ Références
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