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Impressions sur la table ronde d’information technologique | Volume 6, numéro 4, Nov. 2012 — Table des matières | Urantia Book Holiday Sale |
Ce que Le Livre d’Urantia signifie pour moi
Par Karmo Kalda, Estonie
Vers 1980, quand j’avais sept ou huit ans, je me souviens d’avoir eu ma première expérience avec Dieu. Ma famille et moi conduisions de Tallinn à Vastseliina [Tallinn se trouve dans le nord et Vastseliina dans le sud] pour rendre visite à mes grands-parents, qui vivaient dans une ferme. C’était la période de la domination soviétique en Estonie. Nous avions la chance d’avoir une voiture, mais cette voiture, une Zaporozhets, n’était pas beaucoup plus qu’une boîte en métal avec un moteur et des roues. Elle avait plus de pièces cassées que de pièces qui fonctionnaient et avant notre départ de Tallinn en route vers Vastseliina, mon père passa la moitié de la nuit à réparer la boîte à vitesse avec des pièces usagées données par des amis. Nous n’avions pas d’autres pièces pour réparer quoi que ce soit si quelque chose était tombé en panne pendant le voyage.
Donc, vous pouvez vous demander, comment ceci est-il relié à ma première expérience avec Dieu ? Ne voulant pas que la voiture tombe en panne au milieu de nulle part, et ne voulant pas m’asseoir dans la voiture et attendre que mon père trouve de l’aide, j’étais assis sur le siège arrière, les yeux fermés, et je priais pour la première fois : « Cher Dieu, s’il vous plaît, assurez-vous que la voiture ne tombe pas en panne, afin que nous puissions aller à Vastseliina et revenir à la maison sans problème ! » Une prière égoïste peut-être, mais elle a fit rouler la boule de neige.
Mes parents n’étaient pas religieux, mais quelques-uns d’entre eux prétendaient croire en « quelque chose », mais ce qu’était ce « quelque chose », ils ne pouvaient le dire car ils ne savaient pas. Une de mes grands-mères était membre d’une église. Elle ne mangeait pas de lapin, d’anguille ou de porc, ce qui était une croyance de son église, apprise de l’Ancien Testament. Je pensais que cette pratique, et bien d’autres pratiques et croyances de son église étaient étranges et puériles. Je décidais alors de croire également en « quelque chose », et c’est alors que ma « recherche » pour « quelque chose » débuta.
J’ai lu beaucoup de livres mystiques pour élargir mes connaissances. J’ai commencé à faire du karaté. Maintenant, cela semble amusant, mais à l’époque, la philosophie du karaté était comme du miel pour mon âme. Le film Star Wars, croyez-le ou non, m’a donné une idée de ce « quelque chose ». Et je ne suis pas le seul, car il y a une secte Jedi aux États-Unis.
Ma deuxième expérience avec Dieu a eu lieu après que le rideau de fer fut levé, et que les églises du monde entier arrivèrent en Estonie pour faire de la publicité pour leur religion à une nation qui avait été sans Dieu pendant 50 ans. Les églises devinrent très populaires. Beaucoup de jeunes se joignirent à elles, y compris mon meilleur ami et ses frères. Il m’a encouragé à les rejoindre, mais j’avais toujours eu une image dans mon esprit d’un Dieu qui nous interdisait de manger de l’anguille, du porc et du lapin, et qui permît aux croisés il y a 700 ans d’occuper l’Estonie par le feu et l’épée. Je ne rejoignis pas l’église, et mon ami cessa de communiquer avec moi, et ma recherche de « quelque chose » se poursuivît.
En 1996, alors que j’étais étudiant à l’université, j’ai vu Le Livre d’Urantia sur l’étagère d’un ami. Malheureusement, à cette époque, le livre était seulement en anglais, et aucun de nous ne pouvait lire l’anglais suffisamment bien pour comprendre le contenu du livre. Mais je savais que le livre était quelque chose de très important. J’ai dû attendre plusieurs années jusqu’à ce que j’entende Peep Sõber, le chef de l’équipe de traduction estonienne, à la radio. C’était une émission spirituelle, et il a mentionné Le Livre d’Urantia. Après cela, j’ai vu Urantia Raamat dans les librairies spirituelles à Tallinn. Ce n’était pas encore un livre, c’était 16 fascicules de 10 chapitres chacun. Je les ai lus, dévorant les enseignements comme un animal affamé.
Maintenant, je sais ce que ce « quelque chose » est. Je sais que c’est Dieu mais pas un dieu primitif qui régit ce que nous mangeons, mais plutôt un Dieu d’amour qui est notre Père. Le Livre d’Urantia m’a donné le sentiment que j’étais arrivé à la maison. La recherche a pris fin, et le voyage peut commencer. Mes possibilités sont infinies, ma vie est sans fin, et la vie sur le Paradis est intemporelle.
Merci, êtres célestes et médians, de nous avoir donné cette révélation !
Le Livre d’Urantia m’a donné le sentiment d’être rentré chez moi.
Partager la bonne parole
Par Conrad Wood, Bowen Island, BC, Canada
J’ai encouragé, depuis de nombreuses années, sans grand succès, les amis et les gens que j’ai rencontrés à lire Le Livre d’Urantia. Cette situation a soulevé beaucoup de questions dans mon esprit, telles que: Ne sont-ils pas intéressés ? Sont-ils réticents à chercher plus ? Pensent-ils que je suis une victime de fraude ? Est-ce-que j’utilise des méthodes erronées ? Ma motivation n’est-elle pas sincère ?
Après sincère réflexion, la réponse à toutes ces questions est oui. Découragé ? Un peu, mais j’ai appris à partager par d’autres moyens ce que je crois et ce que je souhaite. Maintenant, je ne mentionne plus _L_e Livre d’Urantia, sauf si quelqu’un me le demande expressément.
Parfois, au travail et dans des circonstances sociales, il existe des opportunités pour favoriser les discussions au sujet de Dieu et les croyances religieuses avec de petits groupes de personnes qui présentent un intérêt spirituel et les personnes qui ont de sincères questions, commentaires et doutes. Le résultat semble toujours être positif. Nous arrivons tous à une meilleure compréhension de l’autre et faisons l’expérience que « la cohésion [qui existe] entre les personnalités spirituelles et spiritualisées de tout monde, de toute race, de toute nation ou de tout groupe de croyants. » (82.5) 7:1.6
À la maison et au travail, je trouve que d’encourager les autres à évaluer les tâches à accomplir et de bien les faire, semble remonter le moral de mes semblables. De sages éloges et un sourire sincère ont le même effet. Nous avons tous une compréhension intérieure du plaisir de la lutte pour des valeurs plus élevées et la lutte est contagieuse et motivante pour nos associés de nos lieux de travail.
Plus j’étudie _L_e Livre d’Urantia, plus je suis sûr de l’importance de faire preuve d’amour désintéressé à tous ceux avec qui nous partageons nos vies ou à toute personne que nous rencontrons, « en passant ».
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