© 2002 La Bibliothèque de la Confrérie des Hommes
Sur le libre arbitre | Volume 9 - No. 1 — Table des matières | Qu'est-ce qu'on attend des lecteurs du Livre d'Urantia ? |
Il n’est pas possible que l’Esprit ait plus de bonté que le Père puisque toute bonté a son origine dans le Père, mais dans les actes de l’Esprit nous pouvons mieux comprendre cette bonté.
« Pourquoi m’appelles-tu bon ? Nul n’est bon sinon Dieu, » (LU 196:2.2)
Le Jésus humain considérait Dieu comme étant saint, juste et grand, tout en étant vrai, beau et bon. Il a concentré tous ces attributs divins dans son esprit comme étant la « volonté du Père céleste ». Le Dieu de Jésus était à la fois « le Saint d’Israël » et « le Père céleste vivant et aimant ».
La bonté, comme la vérité, est toujours relative et le mal est contrasté.
Dans sa véritable essence, la religion est une confiance en la bonté de Dieu. Dieu peut être grand et absolu, voire même intelligent et personnel, en philosophie, mais en religion, Dieu doit aussi être moral ; il doit être bon. L’homme peut craindre un grand Dieu, mais il ne fait confiance et n’aime qu’un bon Dieu. Cette bonté de Dieu fait partie de la personnalité de Dieu, et sa pleine révélation n’apparaît que dans l’expérience religieuse personnelle des fils de Dieu croyants.
Dieu ne peut pas créer de cercles carrés ni produire un mal qui est intrinsèquement bon. Dieu ne peut pas faire des choses impies.
Toutes les bonnes choses descendent du Père de la lumière, en qui il n’y a ni variabilité ni ombre de changement.
Sur le libre arbitre | Volume 9 - No. 1 — Table des matières | Qu'est-ce qu'on attend des lecteurs du Livre d'Urantia ? |