© 2002 Ken Glasziou
© 2002 La Bibliothèque de la Confrérie des Hommes
Aucun autre être, force, créateur ou agent dans tout le vaste univers des univers ne peut interférer à quelque degré que ce soit avec la souveraineté absolue du libre arbitre mortel, tel qu’il opère dans les domaines du choix, concernant la destinée éternelle de la personnalité de l’être. choisir mortel. En ce qui concerne la survie éternelle, Dieu a décrété la souveraineté de la volonté matérielle et mortelle, et ce décret est absolu.
Aucune créature personnelle ne peut être contrainte à participer à l’aventure éternelle ; le portail de l’éternité ne s’ouvre qu’en réponse au choix libre des fils du Dieu du libre arbitre.
Le libre arbitre de l’homme est suprême dans les affaires morales ; même l’Ajusteur de Pensée intérieur refuse de contraindre l’homme à penser une seule pensée ou à accomplir un seul acte contre le choix de sa propre volonté.
Lorsque l’esprit choisit un jugement moral juste par un acte de libre arbitre, une telle décision constitue une expérience religieuse.
L’homme mortel est doté du libre arbitre, du pouvoir de choisir, et bien que ce choix ne soit pas absolu, il est néanmoins relativement définitif au niveau fini et concernant le destin de la personnalité qui choisit.
L’homme n’a pas un libre arbitre illimité ; il y a des limites à son éventail de choix, mais dans le rayon de ce choix, sa volonté est relativement souveraine.
La pensée doit être divisée contre elle-même avant de pouvoir parvenir à une quelconque connaissance d’elle-même.
Aldous Huxley
Sans une incertitude sans mesure et perpétuelle, le drame de la vie humaine serait détruit.
Winston Churchill