© 1959 William S. Sadler
© 1961 Urantia Foundation
« Les mortels primitifs ne réussissaient généralement pas à différencier la notion d’un esprit intérieur de celle d’une âme de nature évolutionnaire. Il y avait grande confusion, chez les sauvages, sur la question de savoir si l’âme était née dans le corps ou si elle était un agent extérieur en possession du corps. L’absence de pensée raisonnée en présence de la perplexité explique le grossier illogisme des points de vue des sauvages sur les âmes, les fantômes et les esprits. » LU 86:5.3
« Le concept d’une âme et d’un esprit intérieur n’est pas nouveau sur Urantia. Il a fréquemment apparu dans les divers systèmes de croyances planétaires. Beaucoup de religions orientales et quelques religions occidentales ont perçu que l’homme est divin par héritage en même temps qu’humain par hérédité. Le sentiment de la présence intérieure, ajouté à l’omniprésence extérieure de la Déité, a longtemps fait partie de bien des religions urantiennes. Les hommes ont longtemps cru à l’existence de quelque chose qui grandit à l’intérieur de la nature humaine, quelque chose de vital destiné à durer au-delà de la courte durée d’une vie temporelle. »
« Avant que les hommes ne se soient rendu compte que leur âme évoluante était engendrée par un esprit divin, ils ont cru qu’elle résidait dans divers organes physiques — l’œil, le foie, les reins, le cœur et, plus tard, le cerveau. Les sauvages associaient l’âme au sang, à la respiration, aux ombres et à leur image réfléchie dans l’eau. » LU 111:0.2-3
« 4. L’âme. L’âme de l’homme est une acquisition expérientielle. À mesure qu’une créature mortelle choisit de « faire la volonté du Père qui est aux cieux », l’esprit qui l’habite devient le père d’une nouvelle réalité dans l’expérience humaine. Le mental mortel et matériel est la mère de cette même réalité émergente. La substance de cette nouvelle réalité n’est ni matérielle ni spirituelle — elle est morontielle. C’est l’âme émergente et immortelle destinée à survivre à la mort physique et à commencer l’ascension du Paradis. » LU 0:5.10
« Les erreurs du mental mortel et les dérèglements de la conduite humaine peuvent notablement retarder l’évolution de l’âme. Toutefois, ils ne sauraient inhiber ce phénomène morontiel une fois qu’il a été déclenché par l’Ajusteur intérieur avec le consentement de la volonté de la créature. Mais, à tout moment antérieur à la mort physique, la même volonté matérielle et humaine a le pouvoir de revenir sur son choix et de rejeter la survie. Même après avoir survécu, le mortel ascendant conserve la prérogative de choisir le rejet de la vie éternelle. À tout moment avant la fusion avec l’Ajusteur, la créature évoluante et ascendante peut décider de renoncer à suivre la volonté du Père du Paradis. La fusion avec l’Ajusteur dénote que l’ascendeur a éternellement et irrévocablement choisi de faire la volonté du Père. » LU 111:3.1
« Cette âme immortelle a d’abord une nature entièrement morontielle, mais elle possède une telle capacité de développement qu’elle s’élève invariablement aux vrais niveaux spirituels dignes de la fusion avec les esprits de la Déité. La fusion a généralement lieu avec le même esprit du Père Universel qui avait déclenché ce phénomène créatif dans le mental de la créature. » LU 111:3.3
« Le mental humain et l’Ajusteur divin sont tous deux conscients de la présence et de la nature différentielle de l’âme en évolution. L’Ajusteur l’est pleinement et le mental, partiellement. Quant à l’âme, au fur et à mesure de sa propre croissance évolutionnaire, elle devient de plus en plus consciente du mental humain et de l’Ajusteur divin en tant qu’identités associées. L’âme participe des qualités du mental humain aussi bien que de celles de l’esprit divin, mais elle évolue constamment vers un accroissement du contrôle spirituel et de la domination divine, en stimulant une fonction mentale dont les significations cherchent à se coordonner avec les vraies valeurs spirituelles. » LU 111:3.4
« Le legs héréditaire des facultés cérébrales et celui du supercontrôle électrochimique concourent tous deux à délimiter la sphère d’activité efficace d’un Ajusteur, mais nul handicap héréditaire n’empêche jamais (dans un mental normal) l’accomplissement spirituel final. L’hérédité peut intervenir dans la rapidité de conquête de la personnalité, mais elle n’empêche pas la consommation finale de l’aventure ascendante. Si vous voulez bien coopérer avec votre Ajusteur, tôt ou tard il développera l’âme morontielle immortelle. Après fusion avec cette âme, le don divin présentera la nouvelle créature au Maitre Fils souverain de l’univers local et, en fin de compte, au Père des Ajusteurs au Paradis. » LU 109:5.5
« Le moi matériel possède une personnalité et une identité, une identité temporelle. L’Ajusteur, esprit prépersonnel, a aussi une identité, une identité éternelle. Cette personnalité matérielle et cette prépersonnalité spirituelle sont capables d’unir leurs attributs créateurs de manière à faire naitre l’identité survivante de l’âme immortelle. »
« Ayant ainsi pourvu à la croissance de l’âme immortelle et libéré le moi intérieur de l’homme des chaines qui le faisaient dépendre absolument des causes antérieures, le Père se tient à l’écart. Ainsi, l’homme a été libéré des chaines de la loi de cause à effet, au moins en ce qui concerne sa destinée éternelle, et l’âme, le moi immortel, a ce qu’il faut pour croitre ; il appartient maintenant à l’homme lui-même de vouloir ou d’inhiber la création de ce moi survivant et éternel qu’il a la possibilité de choisir. Nul autre être, nulle force, nul créateur ou agent dans le vaste univers des univers ne peuvent interférer à un degré quelconque dans la souveraineté absolue du libre arbitre humain opérant dans les domaines d’option concernant la destinée éternelle de la personnalité du mortel qui choisit. Quant à la survie éternelle, Dieu a décrété que la volonté matérielle et humaine était souveraine, et ce décret est absolu. » LU 5:6.7-8
« La mesure de la capacité spirituelle de l’âme en évolution est votre foi dans la vérité et votre amour pour les hommes ; mais la mesure de votre force de caractère humaine est votre aptitude à résister à l’emprise des rancunes et à ne pas broyer du noir à l’occasion d’un profond chagrin. La défaite est le véritable miroir dans lequel vous pouvez examiner sincèrement votre moi réel. » LU 156:5.17
« La création évolutionnaire de cette âme immortelle résulte de trois facteurs, et non de deux. Ces trois antécédents de l’âme morontielle humaine sont les suivants : »
« 1. Le mental humain et toutes les influences cosmiques qui le précèdent et qui agissent sur lui. »
« 2. L’esprit divin qui habite ce mental humain et tous les potentiels inhérents à un tel fragment de spiritualité absolue, ainsi que toutes les influences et tous les facteurs spirituels qui lui sont associés dans la vie humaine. »
« 3. La relation entre le mental matériel et l’esprit divin, qui dénote une valeur et comporte une signification ne se trouvant dans aucun des deux facteurs de cette association. La réalité de cette relation unique n’est ni matérielle ni spirituelle, mais morontielle. C’est l’âme. » LU 111:2.4-7
« Les médians ont depuis longtemps appelé mental intermédiaire cette âme évoluante de l’homme, par contraste avec le mental inférieur ou matériel et le mental supérieur ou cosmique. Ce mental intermédiaire est en réalité un phénomène morontiel, puisqu’il existe dans le domaine intermédiaire entre le matériel et le spirituel. Le potentiel de cette évolution morontielle est inhérent aux deux impulsions universelles du mental : l’impulsion du mental fini de la créature pour connaitre Dieu et parvenir à la divinité du Créateur, et l’impulsion du mental infini du Créateur pour connaitre l’homme et aboutir à l’expérience de la créature. » LU 111:2.8
« Cette opération céleste faisant apparaitre par évolution l’âme immortelle est rendue possible parce que le mental mortel est, en premier lieu, personnel et, en second lieu, en contact avec des réalités superanimales ; il possède une dotation supramatérielle de ministère cosmique qui assure l’évolution d’une nature morale capable de prendre des décisions morales, ce qui produit un contact créatif de bonne foi avec les ministères spirituels associés et avec l’Ajusteur de Pensée intérieur. »
« Le résultat inévitable de cette spiritualisation du mental humain par contact est la naissance graduelle d’une âme, progéniture conjointe d’un mental adjuvat dominé par une volonté humaine ardemment désireuse de connaitre Dieu et qui travaille en liaison avec les forces spirituelles de l’univers qui sont sous le contrôle d’un fragment effectif du Dieu même de toute la création — le Moniteur de Mystère. C’est ainsi que la réalité matérielle et mortelle du moi transcende les limitations temporelles du mécanisme de la vie physique et atteint une nouvelle expression et une nouvelle identification dans le véhicule évoluant qui doit assurer la continuité de l’individualité, l’âme morontielle et immortelle. » LU 111:2.9-10
« Un élément réel, un produit de l’évolution humaine, quelque chose en sus du Moniteur de Mystère, survit à la mort. Cette entité nouvellement apparue est l’âme, et elle survit à la mort de votre corps physique aussi bien qu’à celle de votre mental matériel. Cette entité est l’enfant conjoint de la vie et des efforts conjugués du vous humain en liaison avec le vous divin, l’Ajusteur. Cet enfant d’ascendance humaine et divine constitue l’élément survivant d’origine terrestre ; c’est le moi morontiel, l’âme immortelle. » LU 112:5.12
« Le mental est l’instrument cosmique sur lequel la volonté humaine peut jouer les dissonances de la destruction ou sur lequel cette même volonté humaine peut faire résonner les délicates mélodies de l’identification avec Dieu et de la survie éternelle qui en résulte. L’Ajusteur donné à l’homme est, en dernière analyse, imperméable au mal et incapable de pécher, mais le mental mortel peut effectivement être dénaturé, déformé et rendu laid et mauvais par les machinations coupables d’une volonté humaine égoïste et perverse. De même, ce mental peut être rendu noble, beau, vrai et bon — effectivement grand — en accord avec la volonté illuminée par l’esprit d’un être humain connaissant Dieu. » LU 111:1.6
« Le mental est votre navire, l’Ajusteur est votre pilote, la volonté humaine est le capitaine. Le maitre du vaisseau mortel devrait avoir la sagesse de se fier au divin pilote pour conduire l’âme ascendante dans les havres morontiels de la survie éternelle. C’est seulement par égoïsme, par paresse et par le péché que la volonté de l’homme peut rejeter la gouverne d’un pilote aussi aimant et de naufrager finalement la carrière du mortel sur les dangereux écueils du refus de la miséricorde et sur les récifs de la pratique du péché. Avec votre consentement, ce fidèle pilote vous fera traverser en sécurité les obstacles du temps et les handicaps de l’espace, jusqu’à la source même du mental divin et aller même au-delà, jusqu’au Père des Ajusteurs au Paradis. » LU 111:1.9
« Quand l’âme évoluante et l’Ajusteur divin ont finalement et éternellement fusionné, chacun d’eux acquiert toutes les qualités susceptibles d’être acquises de l’autre. Cette personnalité coordonnée possède toute la mémoire expérientielle de survie jadis détenue par le mental mortel ancestral et, maintenant, par l’âme morontielle. En outre, le finalitaire potentiel englobe toute la mémoire expérientielle de l’Ajusteur au cours de ses séjours de tous les temps chez des mortels. Toutefois, l’Ajusteur aura besoin de l’éternité future pour doter complètement cette association de personnalités des significations et valeurs que ce divin Moniteur apporte en provenance de l’éternité passée. » LU 110:7.5
« L’âme ayant valeur de survie reflète fidèlement à la fois les actes et les mobiles qualitatifs et quantitatifs de l’intellect matériel, siège antérieur de l’identité de l’individualité. En choisissant la vérité, la beauté et la bonté, le mental mortel entre dans sa carrière universelle prémorontielle sous la tutelle des sept esprits-mentaux adjuvats unifiés sous la direction de l’esprit de sagesse. Par la suite, quand les sept cercles d’aboutissement prémorontiel ont été franchis, la dotation du mental morontiel se surimpose sur le mental adjuvat, ce qui inaugure la carrière préspirituelle ou morontielle de progression dans l’univers local. » LU 112:6.9
« Même chez les candidats à la fusion avec l’Ajusteur, seules les expériences humaines qui présentaient une valeur spirituelle sont la propriété commune du mortel survivant et de l’Ajusteur revenu, et sont donc immédiatement remémorées après la survie du mortel. Quant aux évènements qui étaient dépourvus de signification spirituelle, même les fusionnés avec l’Ajusteur doivent compter sur l’attribut de la récognition par sensibilité chez l’âme survivante. Or, tout évènement peut avoir une valeur spirituelle pour un mortel sans en avoir pour un autre. Il est donc possible à un groupe d’ascendeurs contemporains venant de la même planète de mettre en commun leur provision d’évènements remémorés par les Ajusteurs, et de reconstruire ainsi toute expérience qu’ils ont faite ensemble et qui avait une valeur spirituelle dans la vie de l’un d’entre eux. » LU 40:9.7
« Avant la mort, le mental humain a conscience d’être indépendant de la présence de l’Ajusteur ; pour pouvoir fonctionner, le mental adjuvat n’a besoin que du modèle associant l’énergie et la matière. Mais l’âme morontielle, étant superadjuvate, ne retient pas la conscience d’elle-même sans l’Ajusteur quand elle est privée du mécanisme du mental matériel. Cette âme évoluante possède toutefois une continuité de caractère dérivée des décisions prises par son ancien mental adjuvat associé et ce caractère devient une mémoire active quand les modèles de cet ancien mental reçoivent l’énergie de l’Ajusteur revenu. » LU 112:6.7
« Les transcriptions du mental mortel et les modèles actifs de la mémoire de la créature, transposés des niveaux matériels aux niveaux spirituels, sont la propriété individuelle des Ajusteurs de Pensée détachés. Ces facteurs spiritualisés du mental, de la mémoire et de la personnalité de la créature font pour toujours partie intégrante de ces Ajusteurs. La matrice mentale de la créature et les potentiels d’identité passifs sont présents dans l’âme morontielle confiée à la garde des gardiens séraphiques de la destinée. Et c’est la réunion de l’âme morontielle confiée aux séraphins et du mental spirituel confié à l’Ajusteur qui reconstitue la personnalité de la créature et constitue la résurrection des survivants endormis. » LU 47:3.3
« Même l’expérience de l’homme et de l’Ajusteur doit trouver un écho dans la divinité de Dieu le Suprême. En effet, quand les Ajusteurs font leur expérience, ils sont semblables au Suprême, et l’âme évoluante des mortels est créée grâce à la possibilité préexistante de cette expérience à l’intérieur du Suprême. » LU 117:5.11
« L’âme morontielle d’un mortel évoluant est réellement la fille de l’action du Père Universel par l’Ajusteur et l’enfant de la réaction de l’Être Suprême, la Mère Universelle. L’influence maternelle domine la personnalité humaine pendant toute l’enfance de l’âme en croissance dans l’univers local. L’influence des parents divins devient plus égale après la fusion avec l’Ajusteur et durant la carrière superuniverselle, mais, quand les créatures du temps commencent la traversée de l’univers central d’éternité, la nature paternelle devient de plus en plus manifeste, atteignant son apogée de manifestation finie lors de la récognition du Père Universel et de l’admission au Corps de la Finalité. » LU 117:6.5
« Tous les humains dont l’âme évolue sont littéralement les fils évolutionnaires de Dieu le Père et de Dieu la Mère, l’Être Suprême. Mais, jusqu’au moment où l’homme mortel devient conscient dans son âme de son héritage divin, cette assurance d’apparentement à la Déité doit être réalisée par la foi. L’expérience de la vie humaine est le cocon cosmique dans lequel les dons universels de l’Être Suprême et la présence dans l’univers du Père Universel (ces dons et cette présence n’étant pas des personnalités) font évoluer, l’âme morontielle temporelle et le caractère finalitaire humain-divin de destinée universelle et de service éternel. » LU 117:6.8
« « L’âme est la fraction de l’homme qui reflète son moi, qui discerne la vérité et qui perçoit l’esprit ; elle élève à jamais l’être humain au-dessus du niveau du monde animal. La conscience de soi, en elle-même et par elle-même, n’est pas l’âme. La conscience du moi moral est la réalisation du vrai moi humain et constitue le fondement de l’âme humaine. L’âme est la partie de l’homme qui représente la valeur de survie potentielle de l’expérience humaine. Le choix moral et l’accomplissement spirituel, l’aptitude à connaitre Dieu et l’impulsion à être semblable à lui, sont les caractéristiques de l’âme. L’âme de l’homme ne peut exister sans pensée morale et sans activité spirituelle. Une âme stagnante est une âme mourante. Mais l’âme de l’homme est distincte de l’esprit divin qui habite son mental. L’esprit divin arrive au moment même où le mental de l’homme manifeste sa première activité morale, et c’est l’occasion de la naissance de l’âme. »
« « Le salut ou la perte d’une âme dépendent du fait que la conscience morale a atteint, ou non, le statut de survie par alliance éternelle avec l’esprit immortel associé qui lui a été donné. Le salut est la spiritualisation de sa propre réalisation de la conscience morale, qui acquiert ainsi une valeur de survie. Toutes les formes de conflits de l’âme consistent en un manque d’harmonie entre la conscience de soi, morale ou spirituelle, et la conscience de soi purement intellectuelle. »
« « Quand l’âme humaine est murie, ennoblie et spiritualisée, elle approche du statut céleste, en ce sens qu’elle est proche d’être une entité intermédiaire entre le matériel et le spirituel, entre le moi matériel et l’esprit divin. L’âme évoluante d’un être humain est difficile à décrire, et son existence est encore plus difficile à démontrer, car on ne peut la découvrir ni par les méthodes d’investigation physiques ni par celles de la preuve spirituelle. La science matérielle ne peut prouver l’existence d’une âme, et les épreuves purement spirituelles non plus. Malgré l’impuissance de la science matérielle et des critères spirituels à découvrir l’existence de l’âme humaine, tout individu moralement conscient connait l’existence de son âme en tant qu’expérience personnelle réelle et effective. » » LU 133:6.5-7
Dans de nombreux passages où l’âme se trouve dans la version King James, elle est traduite par vie, personne ou être dans la version révisée.
« Dans sa main est la vie de tout être vivant et le souffle de toute l’humanité. Job 12:10. (La version King James se lit comme suit : “l’âme de tout être vivant”.)
« A insufflé dans ses narines le souffle de la vie ; et l’homme est devenu un être vivant. (Âme) Gen 2:7.
“Aucun homme ne se soucie de moi.” (Mon âme) Ps 142:4.
" Ainsi ceux qui reçurent sa parole furent baptisés, et il s’y ajouta ce jour-là environ trois mille âmes. " Actes 2:41.
“Car la parole de Dieu est vivante et active, plus tranchante qu’aucune épée à deux tranchants, pénétrante jusqu’à la division de l’âme et de l’esprit.” Héb 4:12.
« Mais Anne répondit : … Je suis une femme profondément troublée ;… J’ai répandu mon âme devant l’Éternel. » 1 Sam 1:15.
“Affamés et assoiffés, leur âme s’est évanouie en eux.” Ps 107:5.
“Comme l’eau froide pour une âme assoiffée, ainsi sont les bonnes nouvelles d’un pays lointain.” Prov 25:25.
“Alors il leur dit : ‘Mon âme est très triste, jusqu’à la mort.’” Matthieu 26:38.
“Tu observeras le sabbat… quiconque y travaille, cette âme sera retranchée de son peuple.” Ex 31:14.
“Il a racheté mon âme pour qu’elle ne descende pas dans la fosse.” Job 33:28.
“Mais Dieu rachètera mon âme.” Ps 49:15.
“L’âme qui pèche mourra.” Ezéchiel 18:4.
“Mon âme aspire à toi dans la nuit.” Isa 26:9.
“Et Marie dit : ‘Mon âme magnifie le Seigneur.’” Luc 1:46.
“Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton coeur, de toute ton âme et de toute ta force.” Dt 6:5.
“Il restaure mon âme.” Ps 23:3.
“Et trouvez du repos pour vos âmes.” Jer 6:16.
“Prenez mon joug sur vous,… et vous trouverez du repos pour vos âmes.” Matthieu 11:29.
“Et que ton esprit, ton âme et ton corps soient gardés sains et irréprochables.” 1 Th 5:23. (Paul a reconnu la triple nature de l’homme.)
“Et comme son âme s’en allait (car elle est morte).” Gn 35:18.
“Pour quoi profitera-t-il à un homme, s’il gagne le monde entier et perd sa vie?” (Âme, version King James) Matt 16:26