« Ô oiseau qui voles », etc. — Cette histoire, racontée par le Maître à Jetavana, concerne un homme qui se languissait de son ancienne épouse. Les circonstances qui ont provoqué cette histoire sont [^233] expliquées dans le Conte de la Naissance de Puppharatta [1], et le récit du passé dans le Conte de la Naissance d’Indriya [2].
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L’homme fut donc empalé vivant. Alors qu’il était suspendu là, il leva les yeux et vit un corbeau voler dans les airs. Et, ne sentant rien de la douleur, il appela le corbeau pour envoyer un message à sa chère épouse, répétant ces versets :
« Ô oiseau, qui voles dans le ciel !
Ô oiseau ailé, qui voles haut !
Dis à ma femme, aux cuisses si belles :
Le temps lui semblera long.
« Elle ne sait pas que l’épée et la lance sont prêtes :
Pleine de colère et de colère, elle s’inquiétera.
C’est mon tourment et ma peur,
Et ce n’est pas comme si je restais là.
« J’ai mis de côté mon courrier de lotus,
Et des bijoux reposent sur mon oreiller,
Et un doux tissu Bénarès à côté.
Qu’elle soit satisfaite de richesse.
[444] Avec ces lamentations, il mourut.
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Lorsque le Monsieur eut terminé ce discours, il déclara les Vérités et identifia la Naissance (maintenant, à la conclusion des Vérités, le frère malade d’amour atteignit la réalisation du Premier Sentier) : « L’épouse d’alors était l’épouse d’aujourd’hui ; mais l’esprit qui vit cela, c’était moi-même. »