[p. v]
À mon retour à Cambridge en 1902, le professeur Cowell me demanda de réviser avec lui la traduction de ce volume. Nous avons donc relu les trois premières nouvelles avant sa mort ; ses manuscrits m’ont alors été remis, et j’ai complété ce qu’il avait laissé de côté. La traduction a été achevée jusqu’à la page 338, à l’exception du n° 541 et de quelques petites lacunes ailleurs ; ma part du travail se compose donc du n° 541 et de la page 338 jusqu’à la fin, ainsi que des omissions plus brèves indiquées à leur place, ce qui représente environ la moitié du livre. J’ai également révisé la partie de la traduction du professeur Cowell que nous n’avons pas pu faire ensemble. Je n’ai pas cru pouvoir apporter la moindre modification à son texte, sauf très rarement, en cas d’erreur ou d’oubli évident. Ces modifications sont toutes indiquées dans les notes.
Comme la proportion de vers est très importante dans ce livre et que les vers sont souvent obscurs, les érudits doivent s’attendre à rencontrer un certain nombre de difficultés que je n’ai pas pu résoudre. Les remarques sur le texte sont donc plus nombreuses que d’habitude : les points douteux sont indiqués dans les notes.
Je dois remercier M. HT Francis pour l’aide aimablement apportée à de nombreux endroits.
J’éprouve une satisfaction particulière à terminer ce travail, car c’est en 1888 que j’en ai proposé l’exécution au professeur Cowell. J’avais initialement prévu de le réaliser moi-même ; mais les circonstances ont modifié ce plan au grand bénéfice de l’ouvrage.
QUOI DE NEUF ?
Septembre 1907.