Grihya Sûtra de Hiranyakesin — Prasna I, Patala 6 | Page de titre | Grihya Sûtra de Hiranyakesin — Prasna I, Patala 8 |
1. Alors ils la laissèrent partir (dans un véhicule de la maison de son père), ou ils la laissèrent être emmenée.
2. Après avoir mis (le feu dans un récipient), ils portent ce feu (nuptial) derrière (le couple nouvellement marié).
3. Il doit être conservé en permanence.
4. [1] S’il s’éteint, (un nouveau feu) doit être allumé par attrition, ou il doit être récupéré dans la maison d’un Srotriya.
5. De plus, si (le feu) s’éteint, la femme ou le mari doivent jeûner.
6. Lorsque (l’époux et son épouse) sont arrivés à sa maison, il lui dit : « Franchis (le seuil) avec ton pied droit en premier ; ne t’arrête pas sur le seuil. »
7. Dans la salle, dans sa partie est, il éteint le feu et y met du bois.
8. À l’ouest du feu, il étend une peau de taureau rouge, le cou à l’est et les poils à l’extérieur. [ p. 194 ]
9. [2] Sur cette (peau), ils s’assoient tous deux face à l’est ou au nord, de sorte que la femme est assise derrière son mari, avec (le verset) : « Ici peuvent s’asseoir les vaches, ici les chevaux, ici les hommes. Ici peut aussi s’asseoir Pûshan avec mille offrandes (sacrificielles). »
10. Ils restent assis en silence jusqu’à ce que les étoiles apparaissent.
11. Lorsque les étoiles sont apparues, il sort de la maison (avec sa femme) en direction de l’est ou du nord, et adore les quartiers (de l’horizon) avec (l’hémistiche), « Vous, déesses, vous les six larges » (Taitt. Samh. IV, 7, 14, 2).
12. [3] (Il adore) les étoiles avec (le Pâda), « Puissions-nous ne pas être privés de notre progéniture ; »
13. La lune avec (le Pâda), « Puissions-nous ne pas tomber au pouvoir de celui qui nous hait, ô roi Soma !
14. Il vénère les sept Rishis (grande ourse) avec (le vers) : « Les sept Rishis qui ont conduit à la fermeté, elle, Arundhatî, qui se tient la première parmi les six Krittikâs (pléiades) : — puisse-t-elle, la huitième, qui dirige la conjonction de la (lune avec les) six Krittikâs, la première (parmi les conjonctions) briller sur nous ! » Puis il vénère l’étoile polaire avec (la formule) : « Demeure ferme, origine ferme. Tu es le ferme, debout du côté de la fermeté. Tu es le pilier des étoiles ; ainsi protège-moi contre mon adversaire.
Adoration au Brahman, à l’inébranlable ! Adoration au fils du Brahman, Pragâpati ! Adoration aux enfants du Brahman, [ p. 195 ] aux trente-trois dieux ! Adoration aux enfants et petits-enfants du Brahman, aux Aṅgiras !
Celui qui te connaît (l’étoile polaire) comme le Brahman ferme et immuable avec ses enfants et ses petits-enfants, avec un tel homme, enfants et petits-enfants demeureront fermement, serviteurs et élèves, vêtements et couvertures de laine, bronze et or, épouses et rois, nourriture, sécurité, longue vie, gloire, renommée, splendeur, force, éclat sacré et plaisir de la nourriture. Puissent toutes ces choses demeurer fermement et immuablement en moi !
1. (Puis suivez les Mantras) : « Je te connais comme le Brahman ferme. Puissé-je devenir ferme dans ce monde et dans ce pays. »
« Je te connais comme le Brahman immuable. Puissé-je ne pas être éloigné de ce monde et de ce pays. Puisse celui qui me hait, mon rival, être éloigné de ce monde et de ce pays. »
« Je te connais comme le Brahman inébranlable. Puissé-je ne pas être chassé de ce monde et de ce pays. Puisse celui qui me hait, mon rival, être chassé de ce monde et de ce pays.
« Je te connais comme le Brahman infaillible. Puissé-je ne pas tomber de ce monde et de ce pays. Puisse celui qui me hait, mon rival, tomber de ce monde et de ce pays.
« Je te connais comme la nef de l’univers. Puissé-je devenir la nef de ce pays. Je te connais comme le centre de l’univers. Puissé-je devenir le centre de ce pays. Je te connais comme le fil qui tient l’univers. Puissé-je devenir le fil qui tient ce pays. Je te connais comme le pilier [ p. 196 ] de l’univers. Puissé-je devenir le pilier de ce pays. Je te connais comme le nombril de l’univers. Puissé-je devenir le nombril de ce pays. »
« Comme le nombril est le centre des Prânas, ainsi je suis le nombril. Que le mal soit multiplié par cent, celui qui nous hait et que nous haïssons ; que le mérite soit multiplié par cent ! »
2. Après avoir parlé là-bas avec une personne qu’il aime, et étant rentré à la maison, il lui fait sacrifier un plat de nourriture cuite.
3. La femme décortique (les grains de riz dont est préparé ce Sthâlîpâka).
4. Elle fait cuire (ce Sthâlîpâka), l’asperge (Âtya), le retire du feu, le sacrifie à Agni, puis sacrifie à Agni Svishtaktt.
5. [4] Avec (les restes de) ce (Sthâlîpâka), il reçoit un Brâhmane érudit qu’il révère.
6. Il fait présent à ce (Brâhmana) d’un taureau.
7. À partir de ce moment-là, il sacrifie constamment (yagate) les jours de pleine et de nouvelle lune un plat de nourriture cuite sacrée à Agni.
8. Le soir et le matin, il sacrifie constamment (_g_uhoti) avec sa main (et non avec le Darvî) les deux oblations suivantes de riz ou d’orge : « À Agni Svâhâ ! À Pragâpati Svâhâ ! »
9. Certains (enseignants) déclarent que le matin, la [ p. 197 ] première (de ces oblations) doit être adressée à Sûrya.
10. Pendant une période de trois nuits, ils ne doivent pas manger d’aliments salés, doivent dormir sur le sol, porter des ornements et doivent être chastes.
11. [5] La quatrième nuit, vers le matin, il met du bois sur le feu, accomplit les cérémonies (régulières) jusqu’aux oblations expiatoires (régulières) et sacrifie neuf oblations expiatoires (avec les Mantras suivants) :
1. « Agni ! Expiation ! Tu es l’expiation. Moi, le Brâhmana, je t’en supplie, désireux de protection. Ce qu’il y a de terrible en elle, chasse-le d’ici. Svâhâ !
« Vâyu ! Expiation ! Tu es l’expiation. Moi, le Brâhmana, je t’en supplie, désireux de protection. Ce qu’il y a de blâmable en elle, chasse-le d’ici. Svâhâ !
Soleil ! Expiation ! Tu es l’expiation. Moi, le Brâhmana, je t’en supplie, désireux de protection. Ce qui habite en elle et qui apporte la mort à son mari, chasse-le d’ici. Svâhâ !
« Soleil ! Expiation ! etc.
'Vâyu! Expiation! &c.
« Agni ! Expiation ! etc.
« Agni ! Expiation ! etc.
'Vâyu! Expiation! &c.
« Soleil ! Expiation ! etc. » [ p. 198 ]
2. Après avoir sacrifié (ces oblations), il verse ensuite le reste en oblation sur sa tête, avec (les formules) : « Bhû_h_ ! Je sacrifie la fortune sur toi. Svâhâ ! Bhuva_h_ ! Je sacrifie la gloire sur toi. Svâhâ ! Suva_h_ ! Je sacrifie la beauté sur toi. Svâhâ ! Bhûr bhuva_h suvah_ ! Je sacrifie la luminosité sur toi. Svâhâ ! »
3. Là (près du feu sacrificiel) il place une cruche d’eau, marche autour du feu (et de cette cruche d’eau) en gardant son côté droit tourné vers lui, fait s’allonger (la femme) à l’ouest du feu, face à l’est ou au nord, et touche ses parties secrètes, avec (la formule) : « Nous te touchons avec la main à cinq fourches, propice, non hostile (?), mille fois bénie, glorieuse, afin que tu sois riche en descendance ! »
4. Il cohabite alors avec elle avec (la formule) : « Unie est notre âme, unie nos cœurs, unie notre nombril, unie notre peau. Je te lierai par le lien de l’amour ; il sera indissoluble. »
5. Il l’embrasse alors avec (la formule) : « Sois dévouée à moi ; sois ma compagne. Ce qui habite en toi et qui est mortel pour ton mari, je le rends mortel pour tes amants. Porte-moi chance ; sois un destructeur tranchant pour tes amants. »
6. [6] Il cherche alors sa bouche avec sa bouche, avec (les deux versets), « Chéri ! Voici ! Chéri ! Ceci est du miel ! Le langage de ma langue est du miel ; dans ma bouche habite le miel de l’abeille ; sur mes dents habite la concorde.
« Le (charme magique de) la concorde qui appartient aux oiseaux kakravâka, qui est apporté des [ p. 199 ] rivières, dont le divin Gandharva est possédé, par là nous sommes concordants. »
7. [7] Une femme qui a ses règles mensuelles, observe pendant une période de trois nuits les observances prescrites dans le Brâhmana.
8. La quatrième nuit, après avoir bu une gorgée d’eau, il appelle sa femme, qui a pris un bain, qui porte une robe et des ornements propres et qui a parlé avec un Brâhmane, et lui dit les vers suivants :
1. [8] (a) « Que Vishnu prépare ton ventre ; que Tvashnari façonne la forme (de l’enfant) ; que Pranâpati déverse (le sperme) ; que Dhâtri te donne la conception !
(b) « Donne la conception, Sinîvâlî ; donne la conception, Sarasvatî ! Que les deux Asvins, couronnés de lotus, te donnent la conception ! »
© « L’embryon que les deux Asvins produisent avec leurs bâtons d’allumage dorés : cet embryon, nous l’appelons dans ton ventre, afin que tu puisses lui donner naissance après dix mois.
(d) [9] « Comme la terre est enceinte d’Agni, comme le ciel est enceinte d’Indra, comme Vâyu demeure dans le ventre des régions (de la terre), ainsi je place un embryon dans ton ventre.
[ p. 200 ]
(e) « Ouvre ton ventre, prends le sperme ; qu’un enfant mâle, un embryon, naisse dans ton ventre. La mère le porte dix mois ; qu’il naisse, le plus vaillant de sa famille. »
(f) « Qu’un embryon mâle entre dans ton ventre, comme une flèche dans le carquois ; qu’un homme naisse ici, ton fils, après dix mois.
(g) [10] « Je fais avec toi (le travail) qui est sacré pour Pragâpati ; qu’un embryon entre dans ton ventre. Qu’un enfant naisse sans déficience, avec tous ses membres, ni aveugle, ni boiteux, ni sucé par Pigâgas. »
(h) [11] « Par les pouvoirs supérieurs que les taureaux produiront pour nous, deviens ainsi enceinte ; puisse-t-il naître, le plus vaillant de ses parents.
(i) [12] ‘Indra a déposé dans l’arbre l’embryon de la vache stérile et de la vache qui produit prématurément ; deviens ainsi enceinte ; sois une vache bien élevée’—
Et (en plus des deux Mantras), « Unis sont nos noms » (ci-dessus, 24, 4), et « La concorde des oiseaux kakravâka » (24, 6).
2. (Il devrait cohabiter avec elle avec les formules) : « Bhû_h_ ! Par Pragâpati, le taureau le plus élevé, je verse (le sperme) ; conçois un fils vaillant, NN ! Bhuva_h_ ! Par Pragâpati, etc. — Suva_h_ ! Par Pragâpati, etc. » Ainsi, il gagnera un fils vaillant.
3. Les Mantras doivent être répétés chaque fois qu’ils cohabitent, selon Âtreya,
4. Seulement la première fois et après ses cours mensuels, selon Bâdarâyana.
[ p. 201 ]
1. Le feu que (le sacrificateur garde) depuis son mariage, est appelé l’Aupâsana (ou feu domestique sacré)
2. C’est avec ce feu que sont accomplies les cérémonies domestiques sacrées.
3. [14] En raison de son culte consacré à ce (feu), le sacrificateur est considéré comme un Âhitâgni (c’est-à-dire comme celui qui a établi les feux Srauta), et en raison de ses sacrifices bimensuels de _Karu (les jours de la nouvelle et de la pleine lune) comme celui qui offre les sacrifices de la nouvelle et de la pleine lune (comme prescrit dans le rituel Srauta) ; ainsi (est-il enseigné).
4. Si (le service au feu domestique) a été interrompu pendant douze jours, le sacrificateur doit rallumer le feu.
5. Ou bien il devrait compter tous les sacrifices (qui ont été laissés de côté) et les offrir.
6. (Le punarâdhâna ou l’allumage répété du feu s’effectue de la manière suivante) : dans un espace clos, après avoir soulevé (la surface), l’avoir aspergée (d’eau), jonchée de sable et recouverte de branches d’Udumbara ou de Plaksha, il rassemble silencieusement les choses appartenant (au sacrifice) selon qu’il est capable de les obtenir, produit du feu par attrition à partir d’un morceau de bois sacrificiellement pur, ou prend un feu ordinaire, le place dans un grand récipient, l’embrase et y met (du combustible) en disant : « Bhû_h_ ! Bhuva_h_ ! Suva_h_ ! Om ! Fixité ! » [ p. 202 ]
7. Il met ensuite du bois sur le feu, accomplit (les rites) jusqu’aux oblations de Vyâhriti, et offre deux ‘oblations de l’esprit’ (c’est-à-dire des oblations pour compenser les défauts) avec (les deux Mantras), ‘Si un défaut (de l’esprit) est apparu en moi’, (et), ‘Agni m’a rendu mon œil’ (Taitt. Sarih. III, 2, 5, 4).
8. Il offre trois « oblations tantu » avec (les Mantras), « Étirer la trame (tantu) » (Taitt. Samh. III, 4, 2, 2), « Réveille-toi, Agni ! » (IV, 7, 13, 5), « Les trente-trois fils de la trame » (I, 5, 10, 4).
9. Il offre quatre « oblations abhyâvartin » avec (les Mantras), « Agni qui se tourne vers nous (abhyâvartin) ! » « Agni Aṅgiras ! » « De nouveau avec la sève », « Avec la richesse » (Taitt. Samh. IV. 2, 1, 2. 3).
10. [15] Ayant fait des oblations avec le seul Vyâhritis et avec (les trois Vyâhritis ensemble), et ayant fait une oblation avec le verset : « Tu es vif, Agni, et exempt d’imprécation. En vérité (satyam) tu es vif. Tenu par nous dans notre esprit vif (manas), avec ton esprit vif tu portes l’offrande (aux dieux). Étant vif, accorde-nous le remède ! Svâhâ ! » — cette (dernière) oblation contient une allusion à l’esprit (manas), elle se réfère à Prariâpati, et fait allusion au nombre sept (?), — il répète rapidement dans son esprit la formule dariahotri (Taitt. Ârariy. III, 1, 1). Français Puis il fait l’oblation sagraha (?) ; (puis suivent les oblations de [p. 203]), « Ceci, ô Varuria » (&c. ; voir I, 2, 8, 16, jusqu’à la fin du Sûtra). Puis il sert de la nourriture aux Brâhmarias et les fait dire : « Un jour propice ! Salut ! Bonne chance ! » puis il accomplit de la manière connue le sacrifice d’un plat de nourriture cuite à Agni.
11. Ici, il offre un cadeau facultatif à son gourou : une paire de vêtements, une vache laitière ou un taureau.
12. [16] S’il part en voyage, il fait entrer le feu en lui-même ou dans les deux bâtons d’allumage de la manière qui a été décrite (dans le Srauta-sûtra).
13. Ou qu’il le fasse entrer dans un morceau de bois, de la même manière que dans les bâtons d’allumage.
14. Un morceau de bois de Khadira, ou de Palâsa, ou d’Udumbara, ou de bois d’Asvattha—
15. Avec un de ces bois, il va chercher, où il le remet (au cours de son voyage), du feu dans la maison d’un Srotriya, et met le (morceau de bois) dans lequel son feu est entré, sur (ce feu), avec les deux versets : « Celui qui a reçu les oblations » (Taitt. Samh. IV, 6, 5, 3), et « Réveillez-vous ! » (IV, 7, 13, 5).
16. La manière dont il sacrifie a été expliquée (dans le Srauta-sûtra).
17. Si un sacrifice bimensuel a été omis, il doit en faire un à (Agni) Pathikriit sur ce (feu). S’il y a deux (sacrifices bimensuels), il doit en faire un à (Agni) Vairivânara et Pathikriit. S’il y en a plus de deux, (le feu) doit être rallumé.
18. Si le feu est détruit ou perdu, ou s’il est mêlé à d’autres feux, il doit être rallumé.
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193:4 22, 4 ‘Si le feu sur lequel ils avaient mis du bois était un feu produit par attrition, (le nouveau feu) devait (aussi) être allumé par attrition. S’il s’agissait d’un feu ordinaire (laukika) qu’ils avaient apporté, (le nouveau feu) devait être apporté dans la maison d’un Srotriya. Il est ainsi démontré que le feu ordinaire lors de la cérémonie de l’Upanayana, etc., ne devait être apporté que dans la maison d’un Srotriya.’ Mâtridatta. ↩︎
194:9 Comp. Pâraskara I, 8, 10, et les lectures citées ici de l’Atharva-veda. ↩︎
194:12 12, 13. Ce sont les deux derniers Pâdas du verset dont le premier hémistiche est cité dans le Sûtra 11. ↩︎
196:5 5, 6. Dans le commentaire, ces Sûtras sont divisés ainsi : 5. tena brâhmana_mnmnt_i ; 6. yoऽsyâpanito bhavati tasmâ rinm dadâti. (5. Avec cela, il reçoit un Brâhmana érudit. 6. À celui qu’il révère, il présente un taureau.) Le commentateur observe que certaines autorités font un seul Sûtra des deux, de sorte que le Brâhmana qui reçoit la nourriture et celui à qui le taureau est donné seraient la même personne. ↩︎
197:11 Selon le commentaire, il accomplit les cérémonies régulières jusqu’à l’oblation offerte avec le Mantra, « Ainsi toi, Agni » (voir ci-dessus, I, 3, 5, et comparer Pâraskara I, 2, 8). Mâtridatta dit, prâyaririittiparyanta_mriririm_ no Agna ity etadanta_mririris_riittîr guhoti . . . vyâhritiparyanta_mriririm_ me Varurieti gatasro (I, 3, 5) hutvaitâ guhoti. ↩︎
198:6 Avec le premier verset comp. Taitt. Samh. VII, 5, 10, 1; Kâtyâyana XIII, 3, 21; Lâmyâyana IV, 3, 18. ↩︎
199:7 Taitt. Samhitâ II, 5, 1, 5.6: Il ne faut donc pas parler à une femme qui a ses règles, ni s’asseoir avec elle, ni manger la nourriture qu’elle lui a donnée, etc. ↩︎
199:1 25, 1 (ac). Rig-veda X, 184, 1-3; comp. SBE, vol. xv, p. 221. ↩︎
199:d (df). Sâṅkhâyana-Grihya I, 19. Il convient d’observer que le texte de Hirariyakeriin comporte au début de (e) une erreur tout à fait identique à celle que l’on retrouve également dans les manuscrits Sâṅkhâyana, yasya au lieu de vyasya. ↩︎
200:g (g) Comp. Atharva-veda III, 23, 5. L’Âpastambîya Mantrapâtha se lit (a)pithâthadhîta_h_. ↩︎
200:h (h) Sankhâyana-Grihya I, 19, 6; Atharva-veda III, 23, 4. ↩︎
200:i (i) Comp. Atharva-veda III, 23, 1. ↩︎
201:1 Ce chapitre est omis dans le commentaire de Mâtridatta ; il semble s’agir d’un ajout ultérieur. La division des Sûtras est la mienne. ↩︎
201:3 26, 3. Pour tasyaupâsanena, je pense que nous devrions lire tasyopâsanena. ↩︎
202:10 Quant au Mantra « Tu es vif, etc. », voir ci-dessus, I, 1, 3, 5, et la note sur Sâṅkhâyana I, 9, 12. Je ne vois pas pourquoi l’oblation faite avec ce Mantra est appelée saptavatî (allusion au nombre sept) ; peut-être devrions-nous lire satyavatî (contenant le mot satyam, « en vérité »). Les mots sagraham hutvâ peuvent-ils signifier « ayant accompli le culte des planètes (graha) lors de son sacrifice » ? ↩︎
203:12 Comp. Sâṅkhâyana V, 1, 1. ↩︎