[ p. 91 ]
1. Un bain (doit être pris par l’élève) lorsqu’il va rentrer chez lui (de chez son professeur).
2. [^201]. « Une peau de taureau » — cela a été déclaré. Sur cette peau, il le fait asseoir et lui coupe les cheveux, la barbe, les poils du corps et les ongles.
3. Ayant jeté (les pointes coupées, etc.) avec le riz et l’orge, avec les graines de sésame et de moutarde, avec les fleurs d’Apâmârga et de Sadâpushpî,
4. [1]. Après l’avoir aspergé (d’eau) avec l’hymne Âpohishthîyâ (Rig-veda X, 9),
5. L’ayant orné,
6. L’ayant habillé de deux vêtements avec (le verset), « Les vêtements de vous deux » (Rig-veda I, 152, 1),
7. Il met ensuite sur lui un ornement d’or (avec les mots) : « Donnant vie et vigueur » (Vâgasaneyi Saghitâ XXXIV, 50).
8. Avec (le verset) « À moi, Agni, sois vigoureux » (Rig-veda X, 128, 1), le voilement (de la tête) est fait.
9. Avec (le vers), « Maison par maison, celui qui brille » (Rig-veda I, 123, 4) (il prend) le parasol,
10. Avec (le verset), « Lève-toi » (Rig-veda X, 18, 6), les chaussures, [ p. 92 ]
11. Avec (le verset) « Que ton crochet soit long » (Rig-veda VIII, 17, 10), il prend un bâton de bambou.
12. [2]. Qu’il reste assis ce jour-là dans la solitude.
13. Avec (les versets) : « Ô arbre ! aux membres forts », et « Un véritable souverain » (Rig-veda VI, 47, 26 ; X, 152, 1), qu’il monte sur le char.
14. (Avant de rentrer chez lui) qu’il s’approche d’abord d’un endroit où l’on fera pour lui l’Argha avec une vache ou une chèvre.
15. Ou qu’il revienne (prenant son départ) des vaches ou d’un arbre fruitier.
16. Avec (les versets) « Indra, donne-nous les meilleurs biens » et « Sois amicale, ô terre » (Rig-veda II, 21, 6 ; I, 22, 15), il descend (du char).
17. Qu’il mange ce jour-là son plat préféré.
18. [3]. Il donnera à son maître une paire de vêtements, le turban, les boucles d’oreilles et le bijou, le bâton, les chaussures et le parasol.
1. [4]. S’il souhaite faire construire une maison, il trace avec une branche d’Udumbara trois fois une ligne autour (du terrain à bâtir) avec (les mots) : « J’inclus ici les habitations pour la nourriture », et sacrifie en son centre, sur un point élevé.
2. (Avec les textes,) « Qui es-tu ? À qui es-tu ? À qui te sacrifierai-je, toi qui désires (habiter dans le) village ? Svâhâ !
« Tu es la part des dieux sur cette terre. C’est d’ici que sont nés les pères défunts. Le souverain a sacrifié, désireux de demeurer dans le village, sans rien omettre de ce qui appartient aux dieux. Svâhâ ! »
3. Après avoir fait creuser les fosses pour les poteaux,
4. Il y verse de l’eau bouillie,
5. Et avec (le verset) : « J’érige cette branche de l’immortel, ruisseau de miel, source de richesse. L’enfant, le jeune, l’acclame ; la vache mugira vers elle, l’incessante fécondité. » — il place une branche d’Udumbara enduite de ghee dans la fosse du montant de la porte droite.
6. « J’établis cette branche du monde, un ruisseau de miel, favorisant la richesse. L’enfant, le jeune, crie vers elle ; la vache qui a un jeune veau mugira vers elle » — ainsi à gauche.
7. De même aux deux (fosses) au sud, à l’ouest et au nord.
8. Avec (le verset) : « Cette branche de cet arbre, d’où coule le ghee, je l’érige dans l’immortel. L’enfant, le jeune, l’appelle ; les vaches afflueront vers elle, des vaches sans cesse fertiles » — il érige le poteau principal.
9. [5]. « Que le jeune enfant y vienne, que le veau… ; qu’ils y viennent avec une coupe de Parisrut, avec des pots de lait caillé.
[ p. 94 ]
1. [6]. « Tiens-toi ici, ô poste, ferme, riche en chevaux et en vaches, . . . . ; tiens-toi en sécurité, laissant couler du ghee ; tiens-toi ici, fixé dans le sol, prospère, durable (?), au milieu de la prospérité des gens qui se rassasient. Puissent les malveillants ne pas t’atteindre ! »
« Ici sont appelées les vaches ; ici sont appelées les chèvres et les moutons ; et la douce essence (?) de la nourriture est appelée ici, dans notre maison.
« Tiens-toi fermement dans le Rathantara ; appuie-toi sur le Vâmadevya ; établis-toi sur le Brihat » — avec (ces textes) il touche le poste principal.
2. Lorsque la maison a été construite conformément (à ses dimensions propres), il touche les poteaux.
3. Les deux (poteaux) à l’est avec (les mots) : « Vérité et foi ! »
4. Ceux du sud avec (les mots) : « Sacrifice et don ! »
5. Ceux à l’ouest avec (les mots) : « Force et puissance ! »
6. Ceux du nord avec (les mots), « Le Brahman et le Kshatra !
7. [7]. « La fortune est le pinacle, la loi le poste principal ! » [ p. 95 ]
8. ‘Jour et nuit les deux montants de la porte !’
9. ‘L’année du toit !’
10. Avec (le verset), « Un taureau, un océan » (Rig-veda V, 47, 3) qu’il enterre une pierre ointe sous le pinacle.
1. [8]. Lors du sacrifice à Vâstoshpati—
2. [9]. Après avoir établi le feu domestique (sacré) à l’extérieur, en prononçant ces mots : « Je place (ici) Agni à l’esprit bienveillant ; puisse-t-il être l’assembleur de biens. Ne nous fais aucun mal, ni aux vieux ni aux jeunes ; sois un sauveur pour nous, hommes et animaux ! »
3. Après avoir placé un nouveau pot à eau sur de l’herbe Kusa fraîche pointée vers l’est,
4. Et il prononça ces mots : « Que nos hommes soient indemnes, que nos richesses ne soient pas gaspillées ! »
5. [10]. Il sacrifie trois oblations dans la matinée avec le texte Stotriya du Rathantara avec répétition et formation de Kakubh ;
6. (Trois oblations avec le Stotriya) du Vâmadevya à midi ;
7. Du Brihat dans l’après-midi ;
8. Les quatre Mahâvyâhritis, les trois versets, ‘Vâstoshpati!’ (Rig-veda VII, 54, 1-3), (les versets individuels), ‘Chasser la calamité’, (et) ‘Vâstoshpati, [ p. 96 ] un poteau ferme’ (Rig-veda VII, 55, 1; VIII, 17, 14), et à (Agni) Svishriakrita dixième oblation de nourriture cuite le soir.
9. Prenant avec lui son fils aîné et sa femme, portant du blé, qu’il entre (dans la maison avec les paroles),
« La maison d’Indra est bénie, riche, protectrice ; j’y entre avec ma femme, avec ma progéniture, avec du bétail, avec l’augmentation de ma richesse, avec tout ce qui est à moi. »
1. « À tous ceux qui sont capables, à tous ceux qui sont heureux, je m’adresse à vous pour la sécurité et la paix. Que nous soyons à l’abri du danger. Que le village me confie la garde de la forêt. Tous ! Confiez-moi la garde du grand », dit-il en quittant le village.
2. « Que la forêt me confie la direction du village. Grand ! Confie-moi la direction de tout » — ainsi (parle-t-il) en entrant dans le village, non sans (emporter) quelque chose (comme du bois de chauffage, des fleurs, etc.).
3. [11]. J’entre dans la maison bénie et joyeuse, qui n’apporte pas la mort aux hommes ; viril (j’entre) dans celle qui est riche en hommes. Apportant du rafraîchissement, versant du ghee (nous entrons dans la maison) dans laquelle je me reposerai joyeusement — ce verset doit être constamment prononcé (quand il entre dans la maison).
[ p. 97 ]
1. Celui qui n’a pas allumé les feux (sacrés Srauta), lorsqu’il part en voyage, regarde sa maison.
2. (Il murmure le texte) : « Vous deux, Mitra et Varuna, protégez cette maison pour moi ; puisse Pûshan la garder jusqu’à notre retour, sans être blessé ni dérangé ; »
3. Et murmure (le verset) : « Sur le chemin où nous sommes entrés » (Rig-veda VI, 51, 16).
1. Lorsqu’il revient ensuite de son voyage, il regarde sa maison (et dit),
2. [12]. « Maison, n’aie pas peur, ne tremble pas ; nous revenons avec force. Fort, joyeux et sage, je reviens à toi, à la maison, l’esprit joyeux. »
« Ce à quoi pense le voyageur, ce qui abrite tant de joie, c’est cela que j’appelle la maison. Puisse-t-elle nous connaître comme nous la connaissons. »
« Ici sont appelées les vaches ; ici sont appelées les chèvres et les moutons ; et la douce essence (?) de la nourriture est appelée ici, dans notre maison. »
3. Après avoir approché le feu domestique (sacré) avec le verset : « Cet Agni est glorieux pour nous, il est hautement glorieux. En l’adorant (?), puissions-nous ne subir aucun mal ; puisse-t-il nous conduire à la suprématie »
4. Qu’il prononce des paroles de bon augure.
5. [13]. En acceptant l’eau pour se laver les pieds, il dit : « Tu es le lait de Virâg ; puis-je obtenir [ p. 98 ] le lait de Virâ_g_ ; en moi (que) le lait de Padyâ Virâg (habite) ! »
1. [14]. Quand celui qui n’a pas allumé les feux (sacrés Srauta) va prendre part aux prémices (de la récolte), qu’il sacrifie aux divinités Âgrayana avec (Agni) Svishnaknt comme quatrième, et avec le mot SVÂHÂ, sur son feu (sacré) domestique.
2. Après avoir récité sur (la nourriture) qu’il va manger (la formule), « À Pragâpati je t’attire, la part appropriée, pour ma chance, pour ma gloire, pour ma nourriture ! » —
3. [15]. Il en mange trois fois, l’aspergeant d’eau, avec (le verset) : « Du bien, vous nous avez conduits au meilleur, ô dieux ! Par vous, la nourriture, puissions-nous vous obtenir. Ainsi, entre en nous, ô potion, qui apporte le rafraîchissement ; sois un sauveur pour nous, pour les hommes et les animaux ! »
4. Avec (le verset) : « C’est toi, souffle ; en vérité, je dis cela ; de toutes parts tu es entré (dans tous les êtres). Toi qui chasses la vieillesse et la maladie de mon corps, sois chez moi. Ne nous abandonne pas, Indra ! » — il touche le cœur ; [ p. 99 ]
5. Avec (les mots) : « Tu es le nombril ; n’aie pas peur ; tu es le nœud des pouvoirs respiratoires ; ne te desserre pas », (il touche) le nombril ;
6. Avec le verset « Béatitude avec nos oreilles » (Rig-veda I, 89, 8), (il touche) les membres comme indiqué (dans ce verset) ;
7. Adorer le soleil avec le verset « Là-bas, l’œil » (Rig-veda VII, 66, 16).
1. [16]. « Que les (déesses) bruyantes vous empêchent de massacrer des armées. Que toute la part qui appartient à ce seigneur des vaches, ô vaches, ne souffre aucun mal parmi vous — (et)
« Que Pûshan aille chercher nos vaches » (Rig-veda VI, 54, 5) — c’est ce qu’il dira aux vaches lorsqu’elles partiront (vers leurs pâturages).
2. « Que Pûshan tienne » (Rig-veda VI, 54, 10), quand ils courent.
3. « Que ceux dont le pis avec ses quatre trous est plein de sucre et de ghee, soient pour nous des donneurs de lait ; (qu’ils soient) nombreux dans notre étable, riches en ghee » — et « Les vaches sont venues » (Rig-veda VI, 28), quand elles sont revenues.
4. Le dernier (verset) quand il les met dans (dans l’étable).
5. L’hymne « Vent rafraîchissant » (Rig-veda X, 169), (il le récite sur les vaches), lorsqu’elles sont entrées dans l’étable.
1. La nouvelle lune qui suit la pleine lune de Phâlguna [ p. 100 ] tombe sous (le Nakshatra) Revatî : ce jour-là (de la nouvelle lune), il fera faire les marques (sur son bétail),
2. [17]. Avec (ces mots) : « Tu es le monde, mille fois prospère. Que l’effort (?) te donne à Indra. Tu es inviolable, indemne, sève, nourriture, protection. Pour autant de (vaches) je ferai cela maintenant, pour davantage (que celles-ci) je le ferai l’année prochaine. »
3. De cette (vache) qui met bas en premier, qu’il sacrifie les biches avec les deux versets : « Chaque année le lait de la vache » (Rig-veda X, 87, 17. 18).
4. Si elle enfante des veaux jumeaux, qu’il sacrifie avec les Mahâvyâhritis, et donne la mère des jumeaux (aux Brâhmarias).
1. [18]. Vient ensuite le Vrishotsarga (c’est-à-dire la mise en liberté d’un taureau).
2. Le jour de la pleine lune de Kârttika ou le jour du Â_svayug_a (mois) qui tombe sous (le Nakshatra) Revatî—
3. Il sacrifie, après avoir allumé au milieu des vaches un feu bien allumé, Â_g_ya oblations (avec les mots),
4. Ici est le délice ; prenez ici plaisir. Svâhâ ! [ p. 101 ] Ici est l’immobilité ; ici est (votre) propre immobilité. Svâhâ !
« J’ai laissé le veau rejoindre sa mère. Puisse le veau, tétant le sein de sa mère, favoriser l’accroissement de la richesse parmi nous. Svâhâ ! »
5. Avec le verset « Que Pûshan aille après nos vaches » (Rig-veda VI, 54, 5), il sacrifie (un amas de nourriture sacrificielle) appartenant à Pûshan.
6. [19]. Après avoir murmuré les Rudra (hymnes),
7. (Il prend) un taureau unicolore, bicolore ou tricolore,
8. Ou celui qui protège le troupeau,
9. Ou qui est protégé par le troupeau,
10. Ou il peut aussi être rouge.
11. Il doit avoir tous ses membres complets et être le meilleur (taureau) du troupeau.
12. Ayant orné ce (taureau),
13. Et les quatre meilleures jeunes vaches du troupeau, les ayant également ornées,
14. [20]. (Il dit « Ce jeune (taureau) je te le donne comme époux ; joue avec lui, ton amant, et promène-toi. Ne nous abandonne pas (?), étant uni (à nous) depuis ta naissance. Que nous nous réjouissions de l’augmentation de nos richesses et de la nourriture. Svâhâ ! »
15. Quand (le taureau) est au milieu (des vaches), il récite sur (elles) « Rafraîchissant », etc. (Rig-veda X, 169, I seq.) jusqu’à la fin de l’Anuvâka.
16. Avec le lait de tous, il fera cuire du riz au lait et nourrira les Brâhmanes avec.
[ p. 102 ]
1. [21]. Après l’Âgrahâyanî (ou le jour de pleine lune du mois de Mârganîrsha) (suivent) les trois Ashtakâs dans la deuxième quinzaine (du Mârganîrsha et des deux mois suivants).
2. Au premier de ces sacrifices, il sacrifie des légumes,
3. [22]. Avec (le verset) : « Celle qui a brillé la première est cette (terre) ; elle marche, étant entrée en elle. L’épouse a donné naissance (aux enfants), la mère nouvellement créatrice. Puissent les trois puissances la suivre. Svâhâ ! »
4. Maintenant (l’oblation pour Agni) Svishtaktt,
5. [23]. Avec (les versets) : « Celle en qui Yama, le fils de Vivasvat, et tous les dieux sont contenus, l’Ashtakâ dont le visage est tourné de tous côtés, elle a rassasié mes désirs.
« Ils appellent tes dents « les pierres à presser » ; ton pis est (Soma) Pavamâna ; . . . . sont les mois et les demi-mois. Adoration à toi, ô toi au visage joyeux ! Svâhâ ! »
1. [24]. Au milieu (Ashtakâ) et au milieu de la saison des pluies,
2. Les quatre Mahâvyâhritis (et) les quatre (versets), Ceux qui ont soif’ (Rig-veda X, 15, 9 seq.) : après avoir rapidement récité (ces versets), il sacrifiera l’épiploon ;
3. Ou (il le fera) avec le verset : « Porte l’épiploon, Gâtavedas, aux Mânes, là où tu les connais dans le monde de la vertu. Que des flots de graisse coulent vers eux ; que les souhaits du sacrificateur soient exaucés. Svâhâ ! »
4. (Suivent ensuite) les quatre Mahâvyâhritis (et) les quatre (verset) « Ceux qui ont soif » (voir Sûtra 2) : (ainsi est offerte) une oblation octuple de nourriture cuite, avec les portions coupées. [ p. 104 ]
5 [25]. Ou : « Les montagnes sont interposées ; la vaste terre est interposée pour moi. Avec le ciel et tous les points de l’horizon, j’interpose un autre à la place du père. À NN svâhâ !
« S’interposent à moi les saisons, les jours et les nuits, enfants du crépuscule. Avec les mois et les demi-mois, j’interpose un autre à la place du père. À NN svâhâ !
« Avec ceux qui sont debout, avec ceux qui coulent, avec les petits qui circulent : avec les eaux, les soutiens de tous, j’interpose un autre à la place du père. À NN svâhâ !
« En quoi ma mère a mal agi, s’égarant, infidèle à son mari, que mon père prenne du sperme pour sien ; qu’un autre tombe de la mère. À NN svâhâ ! » — ces quatre (versets) au lieu des Mahâvyâhritis, si (le sacrificateur) est un enfant illégitime.
6. Ou du riz au lait (devrait être proposé).
7. [26]. Le lendemain, la cérémonie d’Anvashtakya (c’est-à-dire la cérémonie suivant l’Ashtakâ) selon le rite du Pittapittyatta.
1. Lors du dernier (Ashtakâ), il sacrifie des gâteaux,
2. Avec les mots « L’Ukthya et l’Atirâtra. » le Sadyahkrî avec le mètre — Ashhakâ ! [ p. 105 ] Préparateur de gâteaux ! Adoration à toi, ô toi au visage joyeux. Svâhâ !
3. [27]. Une vache ou une chèvre est l’animal (à sacrifier), ou un plat de nourriture cuite (à offrir).
4. Ou il peut éventuellement offrir de la nourriture à une vache.
5. [28]. Ou bien, il peut éventuellement brûler des broussailles dans la forêt et dire : « Ceci est mon Ashtakâ. »
6. Mais qu’il ne néglige pas de faire (une seule de ces choses). Mais qu’il ne néglige pas de faire (une seule de ces choses).
Ici se termine le Troisième Adhyâya.
91:2 1, 2. Comp. ci-dessus, I, 16, 1, et la note qui s’y trouve. ↩︎
91:4 Nârâyana dit ici, ena_mnnnknmnm_ kârayitvâ. Comp. Pâraskara II, 6, 9 seq. ↩︎
92:12 Pratilîna signifie évidemment la même chose que celle qui est si souvent exprimée dans les textes bouddhistes par patisallîna. ↩︎
92:18 La paire de vêtements est celle mentionnée dans le Sûtra 6 ; sur le turban, voir le Sûtra 8. Sur le bâton et les chaussures, voir les Sûtras 10, 11 ; sur le parasol, voir le Sûtra 9. ↩︎
92:1 2, 1 seqq. Sur la maison des Indiens védiques, comp. Zimmer, Altindisches Leben, pp. 148 seqq. ↩︎
93:9 Sur le parisrut, voir Zimmer, Altindisches Leben, p. 281. Les mots bhuvanas pari n’ont aucun sens ; Pâraskara donne probablement la bonne lecture, â vatso gagadaih saha (III, 4, 4 ; comp. Sûtra 8 : Vasûmsagadaik_a Rudrân Âdityân Î_sagadaimagadaigagadaih saha ; commentaire de gagadaiG_ayarâma par anuga, anuagadaiara). Le mot gagada a bien sûr été exposé à toutes sortes de corruptions ; p. 94 ainsi le texte de Â_sagadaigagadaim saka; l’Atharva-veda (III, 12, 7) gagatâ saha; et de ce gagat au bhuvana trouvé dans notre texte le chemin n’est pas très long. ↩︎
94:1 3, 1. Selon Nârâyana, le verset donné au chap. 2, 9 forme un seul Mantra avec ceux du 3, 1. Le sens de sîlamâvatî est incertain. Le mot réapparaît dans le Rig-veda X, 75, 8. Pâraskara (III, 4, 4) a sûnntâvatî. Sur tilvila, comp. Rig-veda V, 62, 7. Le mot suivant est tout à fait incertain tant quant à sa lecture que quant à sa signification. Comp. p. 143 seq. de l’édition allemande. Sur kîlâla, comp. Zimmer, loc. cit. p. 281. ↩︎
94:7 Comp. Pâraskara III, 4, 18. ↩︎
95:1 4, 1. Le sacrifice à Vâstoshpati est célébré lorsque le sacrificateur entre dans sa nouvelle maison. ↩︎
95:2 Comp. ci-dessus, I, 7, 9. ↩︎
95:5-7 Sur la manière de réciter un Pragâtha, de manière à former trois versets, voir Indian Studies, VIII, 25 ; Journal de la Morg allemande. Gesellschaft, XXXVIII, 476. Le Stotriya du Rathantara est le Rig-veda VII, 32, 22 seq. ; celui du Vamadevya, IV, 31, 1-3 ; celui du Brihat, VI, 46, 1 seq. ↩︎
96:3 5, 3. Pour anyeshv aha_m nous devrions peut-être lire yeshv aham_. Â_s nous devrions peut-être lire yeshv ahaS_raut. II, 5, 17 a teshv aha_m_. ↩︎
97:2 7, 2. Sur kîlâla, voir chap. 3, 1. ↩︎
97:5 Padyâ virâg est le mètre Virâg, dans la mesure où il se compose de p. 98 Pâdas ; à cet égard, bien sûr, l’expression est également destinée à transmettre le sens de « la splendeur qui réside dans les pieds ». Comp. Pâraskara I, 3, 12 et la note du professeur Stenzler. Ma traduction allemande de ce Sûtra du Sâṅkhâyana repose sur un malentendu. ↩︎
98:1 8, 1. L’Âgrayaneshni est le rite correspondant du rituel Srauta. Comp. Indische Studien, X, 343. Les divinités de ce sacrifice sont Indra et Agni ; les devâs Vinfs ; le Ciel et la Terre. ↩︎
98:3 Dans le texte, lisez pour tvayâ gvasena, tvayâऽvasena. ↩︎
99:1 9, 1. Ceux qui font du bruit sont les vents ; comp. le passage du _Sâṅkhâyana-Srauta-sûtra, cité p. 144 de l’édition allemande. ↩︎
100:2 10, 2. La lecture de tvâ sramo dadat est douteuse. Voir les diverses lectures dans l’édition allemande. ↩︎
100:1 11, 1. Une partie de ce chapitre est presque identique à la section correspondante du Kâthaka-ghhya ; voir l’article de Jolly, Das Dharma-sûtra des Vishhu, &c. (Sitzung der philos. philol. Classe der Bairischen Academie, 7 juin 1879), p. 39. Comp. aussi Pâraskara III, 9 ; Vishhu LXXXVI, et les remarques de Jolly, dans Deutsche Rundschau X, p. 428. ↩︎
101:6 Rig-veda I, 43. 114; II, 33; VII, 46. ↩︎
101:14 La traduction « ne nous abandonne pas » repose sur la conjecture mâvasthâta ; voir les diverses lectures et la note p. 245 de l’édition allemande. ↩︎
102:1 12, 1. Sur les fêtes Ashtakâ, dont certains textes en comptent trois, tandis que d’autres en ont quatre, comp. Weber, Naxatra (deuxième article), pp. 337, 341 seq.; Bühler, SBE, II, p. 214; Ludwig, Rig-veda, vol. iv, pp. 424 seq.; Atharva-veda III, 10. La dernière Ashtakâ, qui est célébrée dans la quinzaine sombre de Mâgha, est appelée Ekâshtakâ; cette Ashtakâ est appelée «l’épouse de l’année», «l’image de l’année», «l’ordonnatrice des jours». Si le mois Phâlguna est considéré comme le premier de l’année, cet Ashtakâ précède le début de l’année de quelques jours seulement ; il existe également des passages védiques qui indiquent que l’Ekâshtakâ suit peu après le début de l’année ; voir Weber, loc. cit., p. 342. ↩︎
102:3 Au lieu de navakrit, les textes parallèles (à l’exception du Mantrabrâhmaria II, 2, 12) ont navagat, qui est expliqué par nûtanavivâhavatî (Ludwig, loc. cit.) ; les « trois pouvoirs » sont compris par Mâdhava (dans le commentaire sur Taitt. Sarih. IV, 3, 11) comme Agni, Sûrya et Kandra. ↩︎
102:5 Après pavamânah il manque évidemment un mot qui, p. 103, désignait le membre du corps de l’Ashtakâ identifié aux mois et aux demi-mois. ↩︎
103:1 13, 1. Sur madhyâvarsha, comp. Weber, loc. cit., pp. 331, 337. Nârâyana ne comprend pas « au milieu de la saison des pluies », mais « au milieu de l’année » (voir sa note, p. 146 de l’édition allemande). Je ne peux m’empêcher de penser que le mot madhyâvarshe, donné par les MSS. ici et dans Pâraskara III, 3, 13, et expliqué par Nârâyana, est une lecture corrompue que nous devrions corriger en mâghyavarshe (« la fête célébrée pendant la saison des pluies sous le Nakshatra Maghâs »), ou quelque chose comme cela. Les MSS. de Â_s_valâyana-Gnhya II, 5, 9 ont mâghyâvarsha_m_, mâghâvarsha_m_, mâdhyâvarsha_m_. Vishnu (LXXVI, 1, comp. LXXVIII, 52, et note du professeur Jolly, Sacred Books of the East, VII, p. 240) mentionne « les trois Ashnakâs, les trois Anvashnakâs, un jour Mâgha qui tombe le treizième jour de la moitié sombre du mois Praushnapada. » Comp. Manu III, 273, varshâsu _knk_a ; Yândavalkya I, 260. ↩︎
104:5 Au lieu de « NN » (le texte contient le féminin amushyai), le sacrificateur insère le nom de sa mère. Pour mâsâs, ardhamâsâs, je propose de lire, mâsais, ardhamâsais. ↩︎
104:7 Sur Anvashtakya, comp. Bühler, SBE, XIV, p. 55; Jolly. loc. cit., p. 59. ↩︎
105:3-6 14, 3-6. C’est l’un des passages que l’auteur a repris sans changement d’un Sûtra plus ancien ; voir Â_s_v. II, 4, 8-11 ; Gobhila IV, 1 (fin du chapitre). Les Sûtras ne se réfèrent pas, comme leur position semble l’indiquer, au troisième, mais au deuxième Ashtakâ. ↩︎