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Le Grihya-sûtra attribué à Sâṅkhâyana, édité et traduit en allemand par moi-même dans le XVe volume des Indische Studien, est basé sur le premier des quatre Védas, le Rig-veda dans la recension de Bâshkala [1], et parmi les textes du Brâhmaria, sur le Kaushîtaka. Son auteur présumé, que l’on trouve généralement appelé par son nom de famille, Sâṅkhâyana, portait le nom propre de Suyariria. C’est ce que nous pouvons déduire des listes d’enseignants védiques données dans différents textes du Grihya où ils décrivent la cérémonie du Tarparia. Bien que l’ordre des noms varie considérablement dans ces listes, les deux noms Suyariria et Sâṅkhâyana sont constamment placés côte à côte, de sorte que ce seul fait rendrait probable leur appartenance à la même personne. Ainsi, nous lisons dans le Sâṅkhâyana-Grihya IV, 10 = VI, 1 :
Kaholam Kaushîtaki_m_, Mahâkaushîtaki_m_, Suyagga_mgS_âṅkhâyanam, Âgvalâyanam, Aitareyam, Mahaitareyam.
Nous avons regroupé ici les deux auteurs Brâhmana (avec leurs doubles fictifs, le grand Kaushîtaki, le grand Aitareya) et les deux auteurs de Sûtra correspondants appartenant aux deux branches principales de la littérature du Rig-veda ; d’abord vient un auteur Brâhmana (car Kahola Kaushîtaki est une seule personne) avec l’auteur de Sûtra qui lui est lié, puis le deuxième auteur de Sûtra et l’enseignant Brâhmana correspondant.
Dans le Sâmbavya-Grihya (Indische Studien, XV, 154), le passage correspondant se présente ainsi :
Gârgya- Gautama- Sâkalya- Bâbhravya- Mândattavya [ p. 4 ] [sic]- Mândûkeyâh Suyanda- Sânkhyâyana- Gnnnnh [sic] Painga [sic]- Sâmbavy’-Aitareyâh_.
Le même Grihya témoigne encore plus explicitement du nom de Suyariria Sâṅkhâyana, en ajoutant à la fin de la liste, d’où sont cités ces noms, les mots suivants : Suyariria Sâkhâyanas [sic] t_ri_[pya]tu, c’est-à-dire « Que Suyariria Sâṅkhâyana se rassasie (de l’offrande d’eau). »
Dans l’Ârivalâyana-Grihya III, 4, nous lisons :
Kaholam Kaushîtakam Mahâkaushîtakam Paiṅgyam Mahâpaiṅgyam Suyagga_mgS_âṅkhâyanam Aitareyam Mahaitareyam.
Nous pouvons également citer ici un Kârikâ donné par Nârâyana [2] dans son grand commentaire sur le Sâṅkhâyana-Gnhya (I, 1, 10) :
Atrâranipradâna_mnhnk_it [3]
matam tan na Suyaggasya, mathita_mgk_gati.
Il serait peut-être hasardeux de revendiquer l’autorité d’un témoin indépendant pour l’auteur de ce Kârikâ, car il a très probablement puisé ses connaissances dans les listes d’enseignants que nous avons citées précédemment. Quoi qu’il en soit, la concordance des trois textes du Grihya fournit une preuve qui, je pense, ne peut être écartée par un autre témoignage que nous devons mentionner maintenant. À la fin du Kaushîtaki-Ârariyaka (Adhyâya 15), nous trouvons un Variria, ou liste des enseignants par qui le savoir contenu dans cet Ârariyaka est censé avoir été transmis. Les premiers mots de cette liste sont ainsi rédigés :
« Om ! Voici maintenant le Vamma. Adoration au Brahman ! Adoration aux maîtres ! Nous avons appris (ce texte) de Gumâkhya Sâṅkhâyana, Gumâkhya Sâṅkhâyana de Kahola Kaushîtaki, Kahola Kaushîtaki d’Uddâlaka Ârumi, etc.
Il est tout à fait naturel de supposer que l’auteur de cette liste ait voulu commencer par le nom du Docteur éponyme, si l’on peut dire, des Sûtras de son école, puis nommer le Docteur éponyme des Brâhmanes, et après lui les plus anciens maîtres et sages. Mais que l’auteur de ce passage ait réellement supposé ces Gunâkhya _SnS_âṅkhâyana-sûtras ou non, nous serons en droit de suivre plutôt les affirmations unanimes des textes précédemment cités, et d’accepter, conformément à elles, comme nom complet de notre Sûtrakâra, le nom Suyanda Sâṅkhâyana.
Le Grihya-sûtra qui a été traduit ici présuppose, comme tous les Grihya-sûtras, l’existence du Srauta-sûtra, avec lequel il est intimement lié et auquel il est fait référence dans le Grihya à plusieurs reprises [4].
La question se pose ici de savoir si le Grihya-sûtra a été composé par le même auteur que celui du SSrauta-sûtra, de sorte que les deux textes forment ensemble, et devraient, dans la conception de leur auteur, former un seul grand corpus de Sûtras, ou, au contraire, si le Grihya-sûtra est un ajout ultérieur au SSrauta-sûtra. Sur cette question, j’ai osé, dans la préface de mon édition allemande du Sâṅkhâyana[5], faire quelques remarques qui, je me sens toutefois obligé de le dire, ne me semblent pas tout à fait décisives. J’y ai souligné que le Grihya-sûtra contient quelques aphorismes qui, on s’attendrait plutôt à ce qu’ils aient trouvé leur place dans le Srauta-sûtra, si les deux textes avaient été composés par le même auteur et selon un plan commun [6]. Mais, outre la possibilité que dans une œuvre d’une ampleur aussi considérable que ce recueil de Sûtras, de si insignifiantes incohérences ou irrégularités puissent très facilement échapper à l’attention même d’un auteur très attentif, il y a encore une autre objection que l’on peut soulever contre la conclusion que j’ai tirée de tels passages. On peut démontrer [7] que les textes du Grihya que nous possédons sont fondés dans une certaine mesure sur un original commun, dont ils ont repris mot pour mot, ou presque mot pour mot, un certain nombre d’aphorismes. Ainsi, si l’on supposait que le Sâṅkhâyana, [ p. 6 ]], ou quel que soit l’auteur de ce Grihya-sûtra, a trouvé les aphorismes sur lesquels j’ai fondé mon argumentation dans ce texte original, cela expliquerait la présence de ces passages dans une partie du grand corpus des Sûtras différente de celle où nous nous attendrions à les rencontrer. Or, plusieurs des passages en question reviennent à l’identique dans d’autres textes du Grihya, de sorte que nous pouvons en déduire qu’ils sont tirés de cet original perdu, et nous n’avons aucun moyen de juger si d’autres passages similaires n’en sont pas également tirés. Je crois donc que l’opinion que j’ai émise autrefois concernant la relation entre les deux textes du Sûtra ne peut être confirmée, et qu’il est préférable de laisser cette question sans réponse jusqu’à ce que de nouvelles découvertes jettent un nouvel éclairage sur elle.
Pour la reconstruction du texte correct du Sâṅkhâyana-Grihya, et parfois aussi pour son interprétation, il est d’une importance considérable que nous possédions, outre les manuscrits devanâgarî du texte et des commentaires, un manuscrit sud-indien écrit en caractères grantha (MS. Whish 78 à la bibliothèque de la Royal Asiatic Society de Londres) qui contient un Grihya basé sur celui du Sâṅkhâyana et le suivant, pendant la plus grande partie de l’ouvrage, presque mot pour mot [8]. Il est désigné dans le manuscrit, à la fin de l’unique Adhyâya, comme « Kaushîtaka-Grihya ». Il prétend donc suivre l’enseignement du même Brâhmaria, auquel adhère également l’école sûtra du Sâṅkhâyana. Un commentaire métrique, qui suit le texte dans le manuscrit, désigne en son introduction Sâmbavya comme l’auteur de ce Sûtra. Le Sâṅkhâyana est ainsi rédigé :
Natvâ Kaushîtakâkârya_mkSkmkri_ttamam
grihya_mrimrimriri_tam.
(« Après m’être incliné devant le plus excellent auteur de Sûtras, Sâmbavya, l’Âriârya appartenant à l’école Kaushîtaka, je vais composer un court commentaire sur son Grihya, qui a été oublié par beaucoup. »)
Français Le nom de ce Sâmbavya n’apparaît pas parmi les [ p. 7 ] enseignants énumérés dans la description de la cérémonie de Tarpana, ni dans Sâṅkhâyana IV, 10, ni dans Ânvalâyana III, 4 ; mais dans la liste du Sâmbavya-Gnhya lui-même, on le trouve (voir ci-dessus, p. 4) ; et en outre, il me semble qu’il est également mentionné dans Ânvalâyana-Gnhya IV, 8, 24, dans lequel passage il ne sera guère considéré comme trop audacieux de conjecturer _SnSnm_vatya.
Bien que le manuscrit du Sâmbavya-Grihya soit très confus et truffé d’erreurs de toutes sortes, il mérite d’être étudié attentivement par tous les érudits habitués à considérer, sinon en théorie du moins en pratique, la concordance de quelques manuscrits védiques ou de quelques commentaires indiens, comme s’il pouvait prétendre à une autorité inattaquable à laquelle les orientalistes européens n’auraient aucun droit de renier leur foi. On trouve dans le Sâṅkhâyana-Grihya un certain nombre de passages dans lesquels des interprétations corrompues ou des explications perverses sont corroborées par tous les manuscrits du Sâṅkhâyana. Français et par tous les commentaires Sâṅkhâyana, et si, par un rare et heureux hasard, le manuscrit Sâmbavya Grantha, qui n’est pas affecté par les erreurs des manuscrits Devanâgarî, n’avait pas été découvert dans le sud de la péninsule, ces lectures et explications sembleraient reposer sur l’accord unanime de la tradition. Il semble peut-être inutile de s’attarder sur ce point, car très peu d’orientalistes, voire aucun, seraient prêts à affirmer que la tradition indienne est infaillible. Mais en examinant de nombreuses éditions et traductions des textes védiques, même celles qui ont été publiées ces dernières années, on trouve de nombreuses occasions d’observer que dans des centaines de passages, la tradition a été pratiquement traitée, par des érudits de très haut mérite, comme si elle avait une autorité pas très éloignée de l’infaillibilité. Un cas comme celui dont nous devons parler ici, dans lequel un ensemble complet de manuscrits, et parfois aussi de commentaires, peut être testé par un manuscrit. d’un texte proche, écrit dans un caractère différent et dans une région éloignée de l’Inde, renforcera notre conviction que nous avons raison de juger par nous-mêmes, même si ce jugement devait s’opposer à des autorités telles que Nârâyaria ou Râmariandra ou Gayarâma.
Il ne sera peut-être pas déplacé d’ajouter ici, pour illustrer ces remarques, quelques observations sur l’un des passages où le rejet de la lecture traditionnelle du Sâṅkhâyana, ainsi que l’explication traditionnelle du Sâṅkhâyana, sont confirmés par le manuscrit du Sâmbavya. Cependant, sans aucun doute, même sans l’aide de ce manuscrit, nous aurions dû tirer les bonnes conclusions. Dans le Sâṅkhâyana II, 4, 1. 2, la lecture traditionnelle est :
Maman a dit à son père : « Je t’aimerai toujours. »
Sâṅkhâyana traite ici de l’Upanayana, ou initiation de l’étudiant qui est reçu par un maître et qui a l’intention d’étudier le Véda avec lui. Le maître doit alors prononcer le mantra que nous venons de transcrire, et qui, traduit en français, serait ainsi :
« Sous ma volonté, je prends ton cœur ; ton esprit suivra mon esprit ; tu te réjouiras de ma parole de tout ton cœur ; puisse Birhaspati t’unir à moi. » « Du Brahmaariarya de Kâma (ou luxure), NN ! »
Les manuscrits donnent la fin du passage tel que nous l’avons imprimé ci-dessus : kâmasya brahmakaryasyâsâv iti. Ce Nârâyaka l’explique de la manière suivante. Brahmakarya désigne ici les observances que l’étudiant doit observer pendant certaines périodes de temps avant que les différents textes qu’il doit apprendre puissent lui être enseignés. Vient d’abord le verset Sâvitrî, auquel il se prépare en observant le sâvitra vrata ; celui-ci dure soit un an, soit trois jours, soit le Sâvitrî peut également lui être enseigné immédiatement (voir chap. 5, 1-3). Vient ensuite le sukriya vrata, de trois jours, ou douze jours, ou un an, ou toute autre période de temps selon le bon plaisir de l’enseignant (chap. 11, 10) ; grâce à ce vrata, l’étudiant est en mesure d’étudier la partie principale du Véda. Enfin viennent les observances sâkvara, vrâtika, aupanishada, dont chacune doit durer un an, et qui se réfèrent aux différentes parties de l’Ârakyaka (voir chap. 11, 11 seq., et le sixième livre). Or, la formule dont nous traitons ici se réfère principalement au sâvitra [ p. 9 ] vrata. Le maître annonce à l’élève combien de temps il doit observer ce vrata. Il dit (Sûtra 1) : « Puisse Bkhaspati te joindre à moi (Sûtra 2) pour un brahmakarya (c’est-à-dire un vrata) de telle et telle durée (kâmasya) (un an, trois jours, etc.) ; NN ! » Kâma (le plaisir) serait donc ici un juron qui devait être remplacé dans chaque cas particulier par l’indication de l’espace de temps réel qui dépendait du plaisir du maître (« . . . niyunaktu mahya_mkmkkkskmkg_keya_h_ »). La même chose devrait avoir lieu dans les formes correspondantes de l’Upanayana qui devaient précéder l’entrée de l’étudiant dans les observances sukriya, sâkvara, etc. Telle est l’explication de Nârâyaka, avec laquelle Râmakandra et tous les autres commentaires sont d’accord. Il sera à peine nécessaire d’observer que l’emploi singulier de kâ ma, sur lequel repose cette explication traditionnelle, n’est ni conforme au sens du mot, ni soutenu par aucun texte parallèle. Ainsi, avant même d’avoir eu l’occasion de collationner le manuscrit Sâmbavya, je n’avais aucun doute que le système des Vratas n’avait rien à voir avec notre Sûtra, et que son texte devait être rendu intelligible par une légère altération touchant seulement la quantité du a dans deux syllabes, en écrivant, Kâmasya brahmakâry asy asâv iti (tu es le Brahmakârin de Kâma, NN!), comme nous le lisons dans Âkvalâyana I, 20, 8, kasya brahmakâryasi, prâkasya brahmakâry asi.J’ai découvert par la suite que le manuscrit Grantha de Sâmbavya donne exactement la lecture que j’avais conjecturée.
Des passages comme celui-ci ne sont pas rares dans les Grihya-sûtras. Dans les autres Sûtras, nous ne bénéficions pas d’un manuscrit nous permettant, comme le manuscrit Grantha de Sâmbavya, de vérifier leur texte.
Nous ne pouvons conclure ces remarques introductives sans évoquer les ajouts ultérieurs ajoutés à la fin du corps original des Sâṅkhâyana-Grihya-sûtras [9]. Il existe des indications indéniables que les cinquième et sixième livres sont des ajouts ultérieurs. Le cinquième livre est [ p. 10 ] désigné comme paririishria dans un Kârikâ cité par Nârâyaria :
paroissesishsd âvasathye pârvasâtikrame ksh
Vaisvânarâyâgnaye kâgnaye [10] tantumate tathâ.
(« Selon la Parishissa, si l’un des sacrifices bimensuels a été omis, un plat de riz doit être offert sur le feu sacré domestique à Agni Vaisvânara et à Agni Tantumat. »)
Les passages de la Parishsa auxquels il est fait ici référence sont les deux premiers aphorismes du V, 4 :
« Maintenant, si un sacrifice bimensuel n’a pas été accompli, l’un ou l’autre d’entre eux, alors un plat de riz (doit être offert) -
« Avec (les mots) : « À Agni Vaisvânara svâhâ ! À Agni Tantumat svâhâ ! »
Il existe, en outre, plusieurs passages dans lesquels Nârâyana lui-même mentionne le cinquième livre sous le nom de Parineshâdhyâya [11]. Et même sans l’autorité du Kârikâ et de Nârâyana, le contenu du cinquième livre à lui seul susciterait des soupçons quant à son authenticité. Le sujet habituellement traité dans les textes Gnhya est clos dans les Adhyâyas I à IV ; dans le cinquième livre, nous trouvons divers ajouts supplémentaires sur des points déjà abordés ; des règles qui auraient sans doute été données à leur place si le cinquième livre avait été composé à la même époque et par le même auteur que les livres précédents [12]. En outre, nous trouvons traitées différentes oblations de prâyanditta, et une description de deux cérémonies qui ne sont mentionnées, autant que je sache, dans aucun autre Gnhya-sûtra, mais appartiennent aux rites fréquemment décrits dans des ouvrages tels que les Purânas, les Parinishnas et les textes ultérieurs du Dharma : la consécration des étangs ou des puits (chap. 2) et la consécration des jardins (chap. 3).
Il ne fait donc guère de doute quant au caractère secondaire du cinquième livre. Et cela seul suffit à fournir un argument important en faveur de la même thèse concernant le sixième livre. Cette thèse est en outre étayée par l’invocation d’ouverture de ce livre, adressée à Brahman et à plusieurs êtres mythologiques, sages et maîtres védiques. Il est évident que, par une telle invocation, ce livre est caractérisé comme un traité distinct, présupposant bien sûr le corps principal des Sâṅkhâyana-sûtras, mais n’en faisant pas partie au même titre que, par exemple, le deuxième ou le troisième Adhyâya. L’objet de ce traité est l’exposé du rituel lié à l’étude des textes Rahasya. Le sixième livre, composé sans doute par un adepte ultérieur de l’école Sâṅkhâyana, revient en fait sur des sujets qui ont déjà trouvé leur place dans le Grihya-sûtra original en II, 12, et en partie aussi en IV, 7.
3:1 Voir IV, 5, 9. ↩︎
4:1 Manuscr. Chambers 712 (Bibliothèque royale de Berlin), fol. 12 b. ↩︎
4:2 Comp. Pâraskara-Grihya I, 2, 5: arariipradânam eke. ↩︎
5:1 Voir, par exemple, Grihya I, 16, 1 (Srauta IV, 16, 2). ↩︎
5 : 2 Indische Studien, vol. XV, p. 11, 12. ↩︎
5:3 Les Sûtras en référence auxquels j’ai fait cette observation sont I, 8, 14; 14, 13-15; II, 15, 10. Comp. Srauta-sûtra II, 7, 12; IV, 21. ↩︎
5:4 J’ai l’intention de donner quelques preuves de cela dans l’Introduction générale aux Grihya-sûtras qui sera donnée dans le deuxième volume de ces traductions. ↩︎
6:1 Comp. les déclarations données à propos de ce texte dans mon édition allemande de Sâṅkhâyana, Indische Studien, XV, 4 seq. ↩︎
9:1 Comp. les remarques dans mon édition allemande de Sâṅkhâyana, Ind. Studien. XV, 7. ↩︎
10:1 vâgnaye le MS. ↩︎
10:2 Nârâyana sur I, 9, 3 ; 10, 2. ↩︎
10:3 La Paddhati insère la paraphrase de plusieurs de ces règles dans l’explication du premier Adhyâya. ↩︎