© 2000 Larry Mullins
© 2000 La Communauté Chrétienne des Étudiants du Le Livre d'Urantia
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Le Jardin d’Eden fascine un grand nombre d’Urantiens. De mon point de vue, ayant beaucoup moins de formation religieuse dans ma jeunesse que la plupart des gens, l’histoire du Jardin était relativement inintéressante. Cela a changé ces derniers mois. Un ami et compagnon urantien, Behzad Sarmast, a commencé avec passion à parler à Joan et moi de ses recherches et découvertes sur les légendes et les mythes qui sont enracinés dans la véritable histoire urantienne du Jardin. Il a révélé des choses étonnantes. Pratiquement chaque civilisation a une version de l’histoire du Jardin, avec des fils qui remontent à un passé lointain et semblent ensuite s’effacer et disparaître. Les parallèles entre ces légendes sont étranges.
Sous le parrainage de la Urantia Book Fellowship, Behz a complété un manuscrit préliminaire sur le Jardin, ses conséquences et son héritage durable en tant que mythe humain. L’ampleur et l’originalité du travail de Behz constituent une réalisation remarquable, entièrement documentée et richement illustrée.
La pièce maîtresse des mythes sacrés est remarquablement similaire, nous a expliqué « Behz ». Un dieu héroïque et une belle déesse apparaissent miraculeusement sur notre planète (peuplée mais toujours sauvage) et enseignent à l’humanité les arts de la civilisation. Behz peut présenter un argument très convaincant selon lequel l’un des mystères les plus déroutants de la science peut être expliqué par la révélation d’Adam et Ève telle que décrite dans les Cahiers d’Urantia. Les scientifiques savent qu’il y a trente-cinq mille ans, il y a eu une étonnante poussée de l’évolution humaine, et que l’humanoïde de Cro-Magnon (l’homme moderne) est soudainement apparu tel que nous le connaissons aujourd’hui. Sous le parrainage de la The Urantia Book Fellowship, Behz a achevé un manuscrit préliminaire sur le Jardin, ses conséquences et son héritage durable en tant que mythe humain. L’ampleur et l’originalité du travail de Behz constituent une réalisation remarquable, entièrement documentée et richement illustrée.
Pourtant, m’a dit Behz, il reste encore énormément de recherches à faire sur le thème du Jardin et de l’histoire d’Adam et Ève. Un soir, il n’y a pas si longtemps, les yeux enflammés d’excitation, Behz a déclaré que « une centaine de scientifiques pourraient passer cent ans à suivre les fils des Cahiers d’Urantia et ne jamais achever leur tâche ». J’ai retourné cette remarque dans mon esprit à plusieurs reprises. Puis, comme par hasard, un autre Urantien m’a dit presque la même chose à propos d’un thème entièrement différent dans Le Livre d’Urantia.
Environ un jour plus tard, ma femme Joan a évoqué ses sujets favoris : la prière, l’adoration, le service et la vie intérieure. Joan peut être très enthousiasmée par l’importance de ces facteurs. Pour elle, c’est très clair : les Cahiers d’Urantia nous disent que « De toutes les connaissances humaines, celle qui a la plus grande valeur est de connaître la vie religieuse de Jésus et comment il l’a vécue. » Ensuite, les Papiers nous disent : « Le secret de sa vie religieuse sans précédent était cette conscience de la présence de Dieu ; et il y est parvenu grâce à une prière intelligente et à une adoration sincère – une communion ininterrompue avec Dieu. Si l’on ajoute à cela : « L’adoration est le plus grand privilège et le premier devoir de toutes les intelligences créées », il est clair que nous devons consacrer beaucoup plus de temps à cultiver notre vie intérieure.
Quelle est la manière la plus efficace d’atteindre l’illumination ? Par la méditation ? Non! Joan cite à nouveau le livre : « Le contact de l’esprit mortel avec son Ajusteur intérieur, bien que souvent favorisé par une méditation dévouée, est plus fréquemment facilité par un service sincère et aimant dans un ministère désintéressé envers ses semblables. » Joan pense que nous disposons d’une série d’avertissements clairs et convaincants. Ainsi, une grande partie du travail de Jeanne consiste à persuader les gens de prendre le temps de cultiver leur vie intérieure par la prière et l’adoration.
Joan complète son étude de la vie intérieure avec des livres tels que « The Spiritual Guide » (Molinos), « The Seeking Heart » (Fenelon) et « Practicing His Presence ». (deux livres en un — Laubach et Lawrence). Ce qui est remarquable à propos de ces livres, c’est que tous, sauf celui de Frank Laubach, ont été écrits au XVIIe siècle. Pourtant, ils s’interfacent tous merveilleusement avec les enseignements des Fascicules d’Urantia. Joan dit qu’il y avait un si riche trésor d’informations dans les Cahiers d’Urantia sur la prière et l’adoration que nous ne pourrions pas l’épuiser en cent ans. Naturellement, le commentaire de Joan m’a fait réfléchir à ce que Behz m’avait dit.
Ensuite, j’ai commencé à considérer mes propres parties préférées des Cahiers d’Urantia. Le concept de valeurs tel que présenté dans les Cahiers m’est venu à l’esprit. Les informations sur les valeurs sont si originales et intrigantes que j’y ai passé des années et que je n’en ai pas effleuré la surface. Les méta-valeurs de Vérité, de Beauté et de Bonté me sont précieuses lorsque je travaille avec la direction d’une entreprise. Bien que le concept de Dieu ne puisse pas être présenté dans la plupart des situations commerciales, le concept de méta-valeurs le peut. La vérité, la beauté et la bonté se traduisent facilement par des concepts commerciaux modernes d’intégrité, d’excellence et de bienveillance. Il arrive que les experts estiment désormais que pratiquement toutes les entreprises construites pour durer doivent répondre à ces valeurs fondamentales. L’intégrité, l’honnêteté et la fiabilité sont des enjeux essentiels dans les entreprises modernes. Ensuite, la beauté se traduit par l’expression de soi ou l’excellence. Pour réussir en affaires aujourd’hui, vous devez être supérieur dans vos performances. Enfin, la bienveillance, « l’élément humain », est essentielle au succès en affaires. Vous devez véritablement respecter, apprécier et reconnaître toutes les personnes, y compris les clients, les associés, les fournisseurs et les actionnaires.
Pourtant, je n’ai pas réussi à utiliser une grande partie des informations contenues dans les Cahiers d’Urantia. Les Cahiers d’Urantia portent le concept de valeurs au-delà des paramètres communs de la pensée philosophique. Il y a tellement d’informations là-bas, et elles sont si condensées, qu’une seule vie ne pourrait pas commencer à les explorer. Ce que je veux dire dans tout cela, c’est l’idée que chacun de nous possède au moins un segment ou un thème du Le Livre d’Urantia que nous trouvons particulièrement captivant. Nous aimons y penser et nous aimons en parler. Votre propre favori peut se traduire en termes modernes et vous pourrez peut-être établir un lien avec des idées communes pour atteindre des personnes possédant vos propres connaissances particulières grâce aux articles.
Les Cahiers d’Urantia portent le concept de valeurs au-delà des paramètres communs de la pensée philosophique. Il y a tellement d’informations là-bas, et elles sont si condensées, qu’une seule vie ne pourrait pas commencer à les explorer
Considérez que David Zebadee a été le premier Internet spirituel. Comment pouvons-nous développer son noble service en ces jours de troubles et de confusion ? La composante féminine de Dieu peut vous intéresser : comment ce facteur peut-il être présenté au bénéfice des jeunes femmes du Mouvement Urantia ? Imaginez quel service ce serait si vous pouviez traduire les Rodan Papers en une philosophie moderne de la vie pratique ! Quelles que soient les parties des communications qui vous intéressent particulièrement, réfléchissez aux moyens de les présenter dans un effort de sensibilisation original et créatif. « La religion de l’esprit vous laisse perpétuellement libres de suivre la vérité, où que vous emmènent les directives de l’esprit. Et qui peut juger — cet esprit pourrait peut-être communiquer à cette génération quelque chose que les précédentes ont refusé d’entendre ? » (LU 155:6.5)
De nombreux Urantiens pourraient répondre à cette question : « Qui, moi ? Abraham Maslow aimait remettre en question ses cours d’université en disant : « Qui dans cette salle sera le prochain grand leader, ou écrivain, ou scientifique, ou artiste, ou poète ? Après quelques instants de silence gêné, sans aucun son mais quelques rires étouffés, il demandait alors : « Si ce n’est pas vous, alors qui ?
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