© 2018 Ivan Stol, Georges Michelson-Dupont, Patrick Morelli, Jean Claude Romeuf, Robert Lebel, Thierry Lepage, Doc. William S. Sadler, Fernand de Vinck
© 2018 Association Francophone des Lecteurs du Livre d'Urantia
DE TEMPS EN TEMPS, certains nous quittent et partent vers d’autres cieux. Les hommages qui suivent sont suffisamment éloquents pour ne pas en rajouter, sinon, Merci, Jean, pour ta participation constante.
Avez-vous pensé qu’un ou plusieurs remplaçants seront nécessaires pour continuer le travail qu’il fournissait?
Sinon, cette année nous avons une conférence internationale au Pays Bas à Amsterdam du 12 au 15 avril dont le thème est « Jésus l’enseignant » et une réunion nationale à Neylière du 31 mai au 3 juin où l’AFLLU vous attend avec un thème proposé par Georges sur « Synthèse Personnalité-Pouvoir ». Encore des occasions d’échanges pour ceux qui trouveront le temps (et les moyens) d’y participer. Il y aura certainement des vidéos pour Amsterdam.
Le Lien est le journal de l’association Francophone des lecteurs du Livre d’Urantia (AFLLU) membre de l’AUI, Association Urantia Internationale.
Siège social: 1, rue du Temple, 13012 Marseille. +33 (0)980 978481
Cœurriel : afllu@urantia.fr
Site/Forum: http://www.urantia.fr et http://forum.urantia.fr
Directeur de publication: Ivan Stol ; ivan.stol@free.fr
Rédacteur en chef: Georges Michelson-Dupont; georges.michelson-dupont@wanadoo.fr
Comité de lecture: Jean Duveau; Ivan Stol & Patrick Morelli.
Le Lien: Parution 4 fois par an par voie électronique aux membres de l’AFLLU
Dépôt légal: Décembre 1997 — ISSN 1285-1116
Tous droits réservés. Les matériaux tirés du Livre d’Urantia sont utilisés avec permission. Toutes représentation(s) littéraire(s) ou artistique(s), interprétation(s), opinion(s) ou conclusion(s) sous-entendue(s) ou affirmée(s) est (sont) celle(s) de son auteur et ne représente( n t ) pas nécessairement les vues de la Fondation Urantia ou celles de ses sociétés affiliées.
Par Georges Michelson-Dupont
Recloses (France)
Jean Royer nous a quitté pour les mondes des maisons au soir du 5 février 2018 à l’hôpital d’Avignon (Sud de la France) à l’âge de 78 ans.
Le Livre d’Urantia et ses enseignements sont entrés dans la vie de Jean au début des années soixante et depuis lors il a été un fervent défenseur de la révélation. Il correspondit très tôt avec Jacques Weiss à propos de la traduction française et lui proposa de nombreuses corrections. À la fin des années soixante il prit contact avec mon père, Jacques Dupont et tous les deux devinrent très proches, se rendant visite, partageant les enseignements, écrivant des articles et organisant des groupes d’étude dans leurs environnements respectifs.
Jean Royer nous a quitté à l’âge de 78 ans, son âme navigue en ce moment avec son séraphin transporteur vers le monde des maisons. Essayer de définir Jean est assez difficile, car c’est une personnalité complexe, elle vit toujours.Ce qui était le plus marquant au cours de sa vie parmi nous, était son sens de la réserve et de la modestie, car malgré une érudition évidente il a toujours été plein de délicatesse et d’humilité. Sa personnalité est la seule que j’ai vraiment côtoyée qui mérite ce terme d’érudition.
La largeur de ses possibilités était telle que son métier lui a permis de développer complètement la maîtrise des langues telles que l’anglais, le grec, le latin, l’espéranto. Mais ce n’était pas qu’un littéraire, dans les domaines scientifiques il excellait également, il a durant les années soixante et dix fait une thèse sur un sujet d’astrophysique avec Jacque Weis, qui avait comme pseudonyme à l’époque « Louis Colombelle ».
J’Aurais pu te dire: « Attends un peu, attends que ma guitare pleure en te disant adieu. »
Mais non, je ne pleurerai pas car je ne suis pas triste. Au contraire, je me réjouis pour toi. Tu es prêt maintenant pour une autre aventure.
Il fallait que ce monde-là passe. Ce monde n’est qu’un épisode à franchir au cours de la vie éternelle. Te souviens-tu des soirs où nous jetions nos yeux au milieu des étoiles. Tu disais: « voilà notre chemin. » Alors, nous regardions à l’horizon, le Sagittaire.
Poème dédié à Jean Royer
Rentrer cher Dieu…
Comme on rentrie chery soi
Au bout de chaque jour,
Au bout de nos voyages,
Et trouver près de Lui
Le repars de son coeur.
Apprendre aupès de Lui
Ce que veut dire Aimer…
Et rallumer ce feu
Qu’il est venu répandre.
Robert Lebel
Thierry Lepage
Il y a le mépris, le jugement, la critique, envers celui que je trouve disgracieux, envers l’handicapé, le pauvre, l’étranger…
Il y a l’avarice, le manque de générosité, l’égoïsme, la peur de donner, la peur de manquer.
Il y a l’égocentrisme, la recherche d’un avantage pour moi, du meilleur pour moi.
Georges Michelson-Dupont
Avec Dieu le Père, la filiation est la grande relation
À vous, mon Père, j’affirme mon ambition de devenir expérientiellement parfait un jour par la technique de l’association, de l’intégration et de l’unification de ma volonté avec votre volonté.
À toi, mon Ajusteur de Pensée, je désire ardemment que tu prennes possession de mon mental pour devenir mon Contrôleur de Pensée et inspirer ma volonté pour faire les ajustements nécessaires suivants:
Dr. William Sadler
Voici une réflexion de Fernand de VINCK sur la mort qu’il a couché sur papier peu avant qu’il nous quitte pour le monde des maisons.
Fernand était belge, d’une famille noble, il eut une brillante carrière militaire. À la retraite, il vivait à Breine l’Alleud, près de Bruxelles.
Fernand fut un ami de longue date de Jean Royer, de Jacques Dupont et de moi-même. Il participa à la première correction de la traduction de Jacques Weiss, de 1978 à 1994.
Fernand collaborait épistolairement à LA LETTRE, le périodique trimestriel du CERDH.
Fernand DE VINCK
Breine l’Alleud (Belgique)