© 2017 Tamara Strumfeld
© 2017 Fondation Urantia
Par Tamara Strumfeld, Fondation Urantia, Chicago, Illinois, États-Unis
Mo Siegel et moi participèrent cette année au Salon du Livre Américain, au Centre Javits à New York City, du 31 mai au 2 juin. Cela fait toujours plaisir de participer à ce salon, d’apprendre les dernières et meilleures nouveautés du commerce du livre, et de voir ce que sont les dernières tendances.
La taille du Salon et le nombre des exposants ont diminué ces dernières années. Le Salon se trouvait dans de nombreux halls et l’on ne pouvait pas avancer dans les allées sans bousculer quelqu’un. Cette année, tout se passait dans un seul grand hall et beaucoup d’éditeurs connus étaient absents. Néanmoins, nous avons beaucoup appris !
Les livres physiques vendus dans le commerce du livre, sont en hausse d’un demi pour cent. Nous, les lecteurs du Livre d’Urantia pouvons fêter les ventes de livres en hausse de onze pour cent en 2016, et de trois pour cent pour le premier trimestre 2017. Les ventes de livres numériques sont en baisse partout et cela comprend les livres numériques d’Urantia dans plusieurs langues.
Beaucoup d’entre vous ont remarqué qu’Amazon avait placé une restriction quantitative sur les livres brochés. Amazon ne vendra qu’un livre broché par client et par semaine. Mo et moi avons fait de notre mieux pour savoir pourquoi la restriction était là et comment l’enlever. Personne ne sait vraiment pourquoi, mais une personne connaissant Amazon, dit que cela s’est déjà passé avec des livres populaires que les gens achetaient en grandes quantités. Amazon ne veut pas être traité comme un grand magasin et dés que les algorithmes de transport sont mis en place, personne ne peut plus rien y faire. Heureusement, cela changera dans le futur mais pour l’instant, achetez, s’il vous plaît, de plus grandes quantités de livres brochés chez Barnes & Noble. Le prix du livre est réduit là aussi.
Sur le terrain de l’Amérique Latine, nous exprimons nos remerciements aux lecteurs du Brésil. Un libraire local se plaignait qu’à cause des difficultés économiques, les commandes de livres étaient au point mort depuis plusieurs mois. Un livre, cependant continue à être demandé, O Livro de Urântia !
Un autre brésilien vint nous voir et nous dit combien le livre changea sa vie et nous encouragea vigoureusement à traduire le Livre des Paraboles en portugais.
Pour en savoir plus sur les tendances en cours, Mo et moi avons visité le Salon. Nous sommes tombés sur le discours d’une auteur. Elle avait attiré un large groupe de gens. Curieux de savoir de quoi elle parlait, nous virent que son livre était sur les sorcières. Excepté pour la nourriture et les rencontres amoureuses, (autres sujets populaires au Salon), il semblerait que l’intérêt pour les sorcières croît. Byron Belitsos, un lecteur de longue durée qui est aussi dans l’édition, confirma ceci lorsqu’il visita notre stand. Il dit qu’il ne pouvait pas faire marcher un groupe d’étude dans sa région parce que Le Livre d’Urantia ne parle pas de sorcières. Incroyable ! Cela me rappela la première phrase du Livre d’Urantia, « Dans le mental des mortels d’Urantia- ce nom étant celui de votre monde-il existe une grande confusion quant à la signification des termes tels que Dieu, divinité et déité. » LU 0:0.1
Pour nous, le point culminant du Salon, fut d’échanger avec les visiteurs de notre stand. Quelques uns étaient fans du livre et voulaient nous raconter leur histoire ; d’autres avaient abandonné le livre il y a des années, mais sentaient que c’était le moment de le reprendre et de s’y dévouer. Une discussion à propos des anges était tellement intrigante que l’exposante à notre gauche avoua le lendemain qu’elle avait prêté l’oreille. Elle voulut avoir un exemplaire du livre pour en apprendre plus. Elle aurait voulu en emporter un, mais ne voulait pas ajouter deux kilos à ses bagages.
L’expérience entière augmenta ma gratitude d’avoir ce livre et ses enseignements dans ma vie. Il apporte des dons, comme la paix que Jésus nous laissa, notre relation toujours croissante au Père (la foi), la certitude de notre filiation et le désir de servir nos congénères, des dons dont le monde a désespérément besoin.
Il reste encore beaucoup de travail à faire pour semer Le Livre d’Urantia et ses enseignements, mondialement. Cela demande des efforts constants pour des progrès lents et continus. Puissions-nous continuer à prier quotidiennement pour plus de travailleurs !