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10, note. Le Garuḷa est souvent représenté comme un homme ailé dans l’art. Voir Fergusson, Tree and Serpent Worship, pl. xxvi. 1, xxviii. 1, etc. Les exemples sont nombreux ; par exemple, British Museum, 2e N. Gallery, « Brahmanism », vitrine latérale, sect. 5 (petits bronzes) ; une grande image en stéatite, ibid. ; Berlin, Mus. f. Völkerkunde, Indian Section, vitrine 45, I. c. 448, Garuḷa en prière du Siam, avec des ailes et des pattes d’oiseau. Le Garuḷa est souvent un oiseau de forme particulière. Un ou deux exemplaires de chaque sont représentés dans Grünwedel, Buddhistische Kunst in Indien, pp. 47-50. |
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53. Comparer avec cette histoire Contes tibétains, p. 348. |
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60, note, avant ‘sur le Sanchi Tope’ insérer ‘peut-être’. (L’archer ne tire pas sur le manguier ; et d’autres choses sont présentes, auxquelles l’histoire ne fait pas référence. J’ai pris cette référence de seconde main, avant de pouvoir voir la plaque moi-même.) |
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80, note, 216, note, lire : Tibétain. |
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92, No. 198, insérer le titre : Rādha-jātaka. |
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129, note 1, lire : Tunisische. |
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158, titre, lire : Asitābhu pour -ū- |
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207, note, ajouter : Comparer les Contes tibétains, p. 29, Ādarśamukha, et préf. p. xli. |
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220, ligne 6 infra, pour Perfections lire Facultés. |
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235, titre, lire : Kakkaṭa. pour -ā-. |