[p. xiii]
9 No. 154, ligne 3. Fick (Sociale Gliederung zu Buddha’s Zeit) rendrait seṇibandham une « querelle de guilde ».
12 Lors d’un éternuement, un hindou des provinces du Nord-Ouest dira encore : « Puissiez-vous vivre cent ans. » North Indian Notes and Queries, iv. 388.
104 Pour la première strophe, comparez Dhammapada, p. 146.
167 Pour les deuxième et troisième strophes, comparer Dhammapada, p. 149.
207 Une variante russe de la naissance Gāmaṇicaṇḍa est donnée dans la revue du professeur S. Oldenburg du volume I. de la présente traduction : (Журналъ Министерства Народнаго Просвѣщенія) 1896, pp. 47 foll.
251 Je dois remercier Fick (Soc. Glied. p. 87 note) pour une correction de la liste des personnes justes, qui devrait être ainsi : « … frère cadet (qui était) vice-roi, prêtre de famille brahmane, courtisan-aurige, trésorier, noble maître des greniers, portier, courtisane esclave. »
257 Fick explique le rajjugāhakaamacco comme une sorte d’arpenteur royal à des fins fiscales, ce qui convient au contexte.
Le rajju sera sa chaîne, symbole de fonction (Soc. Glied. 7 note).
N° 316. Jātaka-Mālā non. 6, çaça.
Cariyā-Piṭaka n° 10, Sasapaṇḍita.
N° 443. Jātaka-Mālā non. 21, Cullabodhi.
Cariyā-piṭaka no. 14, Cullabodhi.
N° 463. Jātaka-Mālā non. 14, Sapāraga.
N° 480. Jātaka-Mā1ā no. 7, Agastya.
Cariyā-piṭaka n° 1, Akatti.
N° 482. Jātaka-Mālā non. 26, Ruru.
N° 483. Jātaka-Mālā non. 25, Çarabha.
N° 488. Jātaka-Mālā non. 19, Bissa.
Cariyā-piṭaka n° 24, Bhisa.
N° 502. Jātaka-Mālā, non. 22, Hamsa.
N° 510. Jātaka-Mālā non. 32, Ayogrha.
Cariyā-piṭaka n° 23, Ayoghara.
Page 125, ligne 26, pour Enseignant lire Être.
Page 256, ligne 4 à partir du pied, lire Anuruddha.