Ce chapitre parle de la manière dont Dieu communique avec l’âme par des visions imaginaires. De solides raisons sont données pour ne pas vouloir se laisser guider de cette manière ; c’est une lecture très enrichissante.
_1. Le joyau dans le médaillon. 2. La comparaison expliquée. 3. L’apparition expliquée. 4. La crainte produite par cette vision. 5. Visions fausses et authentiques. 6. Visions illusoires. 7. Effets d’une vision authentique. 8. Conviction laissée par une vision authentique. 9. Ses effets sur la conduite ultérieure. 10. Un confesseur devrait être consulté. 11. Comment traiter les visions. 12. Effets de la vision du visage du Christ. 13. Raisons pour lesquelles les visions ne doivent pas être recherchées. 14. La deuxième raison. 15. Troisième raison. 16. Quatrième raison. 17. Cinquième raison. 18. Sixième raison. 19. Raisons supplémentaires. 20. Les vertus plus méritoires que les consolations. 21. Les âmes ferventes désirent servir Dieu pour lui seul.
1. Nous en venons maintenant aux visions imaginaires, où l’on prétend que le diable est plus susceptible de tromper les gens que par les autres visions que j’ai déjà décrites. C’est probablement vrai. Pourtant, lorsque les visions imaginaires sont divines, elles semblent, d’une certaine manière, plus profitables pour nous que les autres, car mieux adaptées à notre nature – à l’exception des visions envoyées par notre Seigneur dans la septième demeure, qui surpassent de loin toutes les autres. La présence de notre Seigneur décrite au chapitre précédent peut ainsi être symbolisée. Supposons que nous possédions un médaillon en or contenant une pierre précieuse de la plus haute valeur et des plus grands pouvoirs, que, bien que nous ne l’ayons pas vue, nous sommes certains de sa présence dans l’écrin, et que ses vertus nous soient bénéfiques lorsque nous portons le pendentif. Bien que nous ne l’ayons jamais contemplé, nous lui accordons une grande valeur, sachant par expérience qu’il nous a guéris de maladies pour lesquelles il est un remède. Cependant, nous n’osons ni le regarder ni ouvrir le médaillon, et nous ne le pourrions même pas, même si nous le voulions, car le propriétaire du bijou seul connaît le secret pour ouvrir son écrin. Bien qu’il nous l’ait prêté pour notre usage, il en a gardé la clé pour lui ; il ouvrira le bijou quand il voudra nous en montrer le contenu et le refermera quand il le jugera opportun.
2. Notre Seigneur nous traite ici de cette manière. Supposons maintenant que le propriétaire de ce médaillon l’ouvre soudainement à l’intention de la personne à qui il l’a confié ; cette dernière apprécierait sans doute davantage le diamant en se souvenant de son merveilleux éclat. On peut comparer cela à ce qui se passe lorsque Notre Seigneur se plaît à caresser l’âme. Il lui montre en vision sa très sainte Humanité sous la forme qu’il choisit, soit telle qu’elle était durant sa vie terrestre [1], soit après sa résurrection [2]. La vision passe aussi vite qu’un éclair, mais cette image si glorieuse laisse sur l’imagination une impression qui, je crois, ne s’effacera jamais jusqu’à ce que l’âme voie enfin le Christ pour en jouir éternellement. Bien que je l’appelle une « image », n’imaginez pas qu’elle ressemble à une peinture ; le Christ apparaît comme une Personne vivante qui parle parfois et révèle de profonds mystères. Vous devez comprendre que, bien que l’âme voie cela pendant un certain espace de temps, il n’est pas plus possible de continuer à le regarder que de fixer très longtemps le soleil ; donc cette vision passe très vite, bien que son éclat ne fasse pas mal à la vue intérieure de la même manière que l’éclat du soleil blesse nos yeux corporels.
3. L’image est perçue par la seule vision intérieure ; mais des apparitions corporelles, je ne peux rien dire, car la personne que je connais si intimement, n’ayant jamais rien vécu de tel elle-même, ne pourrait en parler avec certitude. [3] La splendeur de Celui qui est révélé dans la vision ressemble à une lumière infusée, semblable à celle du soleil, recouverte d’un voile aussi transparent qu’un diamant, si une telle texture pouvait être tissée, tandis que son vêtement ressemble à du fin lin. L’âme à qui Dieu accorde cette vision tombe presque toujours en extase, sa nature étant trop faible pour supporter un spectacle aussi effrayant. Je dis « effroi », bien que cette apparition soit plus belle et plus délicieuse que tout ce que l’on pourrait imaginer, même si l’on vivait mille ans et passait tout ce temps à essayer de se la représenter, car elle dépasse de loin notre imagination et notre compréhension limitées ; pourtant, la présence d’une majesté aussi extraordinaire inspire à l’âme une grande crainte.
4. Il n’est pas nécessaire de se demander comment l’âme a su qui Il était, ni qui a déclaré avec une certitude absolue qu’Il était le Seigneur du ciel et de la terre. Il n’en est pas de même des rois terrestres ; si nous ne connaissions pas leurs noms ou ne voyions pas leurs courtisans, ils attireraient peu l’attention. Ô Seigneur, que nous, chrétiens, te connaissons peu ! Que sera le jour où tu viendras comme notre juge, puisque maintenant, [ p. 239 ] lorsque tu viens comme un ami auprès de ton époux, ta vue nous frappe d’un tel respect ? Ô mes filles ! que sera-t-il lorsqu’il dira avec colère : « Va, maudite de mon Père ? » [^359]Que cette impression soit le résultat de cette faveur accordée par Dieu à l’âme, et nous en retirerons un grand bénéfice, car saint Jérôme, tout saint qu’il était, avait toujours devant les yeux la pensée du jugement dernier. [4] Ainsi, nous ne nous soucierons pas des souffrances que nous endurons à cause des austérités de notre Règle, car aussi longtemps qu’elles puissent durer, le temps n’est qu’un instant comparé à cette éternité de douleur. Je vous assure sincèrement que, méchant comme je suis, je n’ai jamais craint les tourments de l’enfer [5] car ils ne m’ont semblé rien lorsque je me suis souvenu que les perdus verraient les beaux, doux et pitoyables yeux de Notre-Seigneur tournés vers eux avec colère. [6] J’ai pensé toute ma vie que ce serait plus que mon cœur ne pouvait supporter.
5. Combien plus doit-on craindre celui à qui Notre-Seigneur s’est révélé ici en vision, au point de vaincre ses sentiments et de le rendre inconscient ! C’est sans doute la raison pour laquelle l’âme demeure en extase : Notre-Seigneur renforce sa faiblesse afin de l’unir à sa grandeur dans cette sublime communion avec Dieu. Lorsqu’on peut contempler longtemps cette vision de Notre-Seigneur, je ne crois pas qu’il s’agisse d’une vision, mais plutôt d’une idée dominante qui donne à l’imagination l’illusion de voir quelque chose ; mais cette illusion n’est qu’une image morte comparée à la réalité vivante de l’autre cas.
6. Comme non seulement trois ou quatre, mais un grand nombre de personnes m’en ont parlé, je sais par expérience qu’il existe des âmes qui, soit parce qu’elles possèdent une imagination vive ou un esprit vif, soit pour une autre raison que j’ignore, sont tellement absorbées par leurs propres idées qu’elles sont certaines de voir tout ce que leur imagination imagine. Si elles avaient jamais eu une vision authentique, elles reconnaîtraient sans équivoque la tromperie. Elles fabriquent elles-mêmes, pièce par pièce, ce qu’elles croient voir : aucune répercussion ne se produit sur l’esprit, qui est moins porté à la dévotion que la vue d’une image sacrée. Il est clair qu’il ne faut pas prêter attention à de telles imaginations, qui passent plus vite que les rêves de la mémoire.
7. En faveur de qui je parle, le cas est bien différent. On est loin de penser à voir quelque chose dont l’esprit n’ait aucune idée, lorsque soudain la vision se révèle dans son intégralité, causant dans les facultés et les sens de l’âme un effroi et une confusion bientôt changés en une paix bienheureuse. Ainsi, après que saint Paul fut jeté à terre, une grande tempête et un grand bruit s’ensuivirent du ciel ; [7] de même, dans le monde intérieur de l’âme, il y a un tumulte violent suivi instantanément, comme je l’ai dit, d’un calme parfait. Entre-temps, certaines vérités sublimes ont été si imprimées dans l’esprit qu’il n’a pas besoin d’autre maître, car, sans aucun effort de sa part, la Sagesse elle-même a éclairé son ancienne ignorance.
8. L’âme possède, pendant quelque temps, une telle certitude que cette grâce vient de Dieu que, quoi qu’on puisse dire du contraire, elle ne peut craindre l’illusion. Plus tard, lorsque son confesseur lui suggère des doutes, Dieu peut permettre qu’une telle personne hésite un temps dans sa foi et craigne, en punition de ses péchés, de s’être égarée. Cependant, elle ne cède pas à ces appréhensions, mais (comme je l’ai dit en parlant d’autres sujets) [8] elles ne l’affectent que de la même manière que les tentations du diable contre la foi, qui peuvent troubler l’esprit sans ébranler la fermeté de la foi. En fait, plus l’assaut est violent, [9] plus elle est certaine que le malin n’aurait jamais pu produire les grands bienfaits qu’elle a conscience d’avoir reçus, car il n’exerce aucun pouvoir sur l’intérieur de l’âme. Il peut présenter une fausse apparition, mais celle-ci n’a pas une telle vérité, une telle majesté et une telle efficacité.
9. Comme les confesseurs ne voient pas ces effets, que la personne à qui Dieu a montré la vision est peut-être incapable d’expliquer, ils craignent la tromperie, et ils ont raison de l’être. Il faut donc être prudent et prendre le temps d’observer les effets qui en découlent. Il faut observer jour après jour les progrès de l’âme dans l’humilité et les vertus : si le diable est impliqué, il se montrera bientôt et se révélera dans mille mensonges. Si le confesseur est expérimenté et a lui-même reçu de telles faveurs, il ne tardera pas à découvrir la vérité. En effet, il saura immédiatement, dès qu’on lui aura parlé de la vision, si elle est divine, imaginaire ou démoniaque ; surtout s’il a reçu le don de discerner les esprits ; s’il est instruit, il comprendra immédiatement la chose, même s’il n’en a pas personnellement fait l’expérience.
10. L’essentiel, mes sœurs, est que vous soyez parfaitement sincères et directes avec votre confesseur : je ne parle pas de déclarer vos péchés, ce qui est assez évident, mais de lui rendre compte de votre prière. [10] Si vous ne le faites pas, je ne peux vous assurer de votre sécurité ni de votre conduite divine. Notre Seigneur désire que nous soyons aussi sincères et ouvertes avec ceux qui le remplacent qu’avec lui-même ; que nous souhaitions qu’ils connaissent non seulement nos pensées, mais surtout tout ce qui concerne nos actions, si insignifiantes soient-elles. Alors, vous n’aurez ni trouble ni inquiétude [11], car même si votre vision ne venait pas de Dieu, elle ne pourrait vous nuire si vous êtes humbles et possédez une bonne conscience, car Sa Majesté sait discerner le bien du mal. Ce que le diable a voulu vous faire du mal vous sera bénéfique : croyant que Dieu vous a accordé de si grandes faveurs, vous vous efforcerez de mieux lui plaire et garderez toujours son image présente à votre mémoire. [ p. 243 ] 11. Un grand théologien [12] a dit un jour qu’il ne devait pas s’inquiéter si le diable, qui est un peintre habile, présentait devant ses yeux l’image vivante du Christ, ce qui ne ferait qu’attiser sa dévotion et vaincre le malin avec ses propres armes. Aussi méchant que soit un artiste, nous devrions révérer son tableau s’il représente Celui qui est notre seul bien. Ce grand érudit soutenait qu’il était très mal de conseiller à quiconque ayant eu une vision de notre Seigneur de lui offrir des signes de mépris, [13] car nous sommes tenus de montrer du respect au portrait de notre Roi où que nous le voyions. Je suis sûr qu’il avait raison, car même dans le monde, toute personne ayant des relations amicales avec une personne considérerait comme une offense son portrait traité avec mépris. Combien plus devrions-nous toujours montrer du respect à un crucifix ou à une image de notre Souverain céleste où qu’il croise notre regard ! Bien que j’aie déjà écrit à ce sujet ailleurs, je suis heureuse de pouvoir le dire maintenant, car je connais quelqu’un qui a été profondément peiné d’être ainsi sommé. Je ne sais pas qui a pu inventer un tel supplice pour une personne qui se sentait obligée d’obéir au conseil de son confesseur, car elle aurait cru que son âme était en jeu si elle lui avait désobéi. Mon conseil est que, si un tel ordre vous est donné, alléguant humblement les raisons que je vous ai exposées à votre confesseur, vous ne l’exécutez pas. Je suis parfaitement satisfaite des motifs invoqués par celui qui m’a conseillée à ce sujet. [ p. 244 ] 12. Un grand avantage que l’âme retire de cette faveur de Notre-Seigneur est que, lorsqu’elle pense à Lui, à sa vie et à sa Passion, le souvenir de son visage si doux et si beau lui apporte la plus grande consolation. De même,Nous nous sentons plus heureux après avoir vu un bienfaiteur que si nous ne l’avions jamais connu personnellement. Je peux vous assurer que le souvenir de la joie provoquée par cette vision nous apporte le plus grand réconfort et le plus grand secours.
13. Il en résulte bien d’autres avantages ; mais comme j’ai déjà longuement écrit ailleurs [14] sur l’effet produit par ces visions, et que je devrai le faire à nouveau plus tard, je n’en dirai pas plus pour le moment, de peur de nous lasser tous les deux. Mais je vous conseille vivement, lorsque vous saurez ou entendrez parler de ces grâces accordées par Dieu à d’autres, de ne jamais prier ni désirer vous laisser guider par cette voie, même si elle vous paraît excellente ; en effet, elle mérite d’être hautement estimée et vénérée, mais personne ne devrait chercher à la suivre, pour plusieurs raisons. Premièrement, comme c’est manquer d’humilité que de désirer ce que l’on n’a jamais mérité, je ne pense pas que quiconque aspire à ces grâces puisse être réellement humble : un simple ouvrier ne songe jamais à devenir roi ; la chose lui paraît impossible et il n’en est pas digne ; un esprit humble éprouve le même sentiment à l’égard de ces faveurs divines. Je ne crois pas que Dieu accordera jamais ces dons à une telle personne, car avant de le faire, il donne toujours une connaissance approfondie de soi. Comment une âme, remplie d’aspirations aussi élevées, peut-elle réaliser la vérité selon laquelle Il lui a montré une grande miséricorde en ne la jetant pas en enfer ?
14. La seconde raison est qu’un tel homme est certain [ p. 245 ] d’être trompé ou du moins d’être en grand danger d’être trompé, car une porte est ainsi laissée ouverte au diable, qui n’a qu’à voir la porte entrouverte pour s’y glisser aussitôt et nous jouer mille tours.
15. Troisièmement : lorsque les gens désirent fortement une chose, l’imagination leur fait croire qu’ils la voient ou l’entendent, tout comme lorsque l’esprit d’un homme est fixé sur un sujet toute la journée, il en rêve la nuit.
16. Quatrièmement : il serait très présomptueux de ma part de choisir une voie pour moi-même sans savoir ce qui est bon pour moi. [15] Je devrais laisser notre Seigneur, qui connaît mon âme, me guider comme il est le mieux pour moi afin que sa volonté soit faite en toutes choses.
17. Cinquièmement : pensez-vous que ceux à qui notre Seigneur accorde ces faveurs ont peu à souffrir ? Non, vraiment ! Leurs épreuves sont très dures et de toutes sortes. Comment pouvez-vous savoir si vous seriez capable de les supporter ?
18. Sixièmement : ce que vous pensez être un gain pourrait peut-être être une perte, comme cela arriva à Saül lorsqu’il fut fait roi. [16] Bref, mes sœurs, il y a d’autres raisons que celles-ci ; croyez-moi, il est plus sûr de ne vouloir que ce que Dieu veut, lui qui nous connaît mieux que nous-mêmes et qui nous aime. Remettons-nous entièrement entre ses mains, afin que sa volonté soit faite en nous ; nous ne pourrons jamais nous égarer si notre volonté est toujours fermement fixée sur cela.
19. Sachez qu’après avoir reçu de nombreuses faveurs de ce genre, vous ne mériterez pas plus de gloire, mais serez d’autant plus tenu de servir, puisque vous en aurez reçu davantage. Dieu ne nous prive de rien qui nous permette de mériter davantage, car cela dépend de nous. Nombreux sont les saints qui n’ont jamais su ce que c’était que de recevoir une telle faveur, tandis que d’autres, qui les ont reçues, ne sont pas du tout saints. N’allez pas croire que ces dons soient continuellement accordés ; au contraire, pour un don accordé, l’âme porte bien des croix, de sorte qu’au lieu de désirer davantage de faveurs, elle s’efforce seulement d’en faire un meilleur usage.
21. Je crois que ces désirs sont surnaturels et propres aux âmes très ferventes qui désirent prouver à Dieu qu’elles ne le servent pas pour un salaire ; ainsi, comme je l’ai dit, ces personnes ne se poussent pas à travailler plus dur pour lui par la pensée de la gloire qu’elles en tireront, mais s’efforcent plutôt de satisfaire leur amour, dont la nature est de travailler pour le Bien-Aimé de mille manières. De telles âmes chercheraient volontiers le moyen de se consumer en lui, et s’il était nécessaire, pour la plus grande gloire de Dieu, qu’elles soient anéanties à jamais, elles considéreraient cela comme un grand gain. Loué soit à jamais celui qui, en s’abaissant à dialoguer avec nous, misérables créatures, daigne manifester sa grandeur ! Ainsi soit-il.
[^359] : 239 : 4 Saint Matthieu. XXV. 41 : « Discedite a me, maledicti, in ignem æternum. »
237:1 Vie, ch, vii, 11. ↩︎
237:2 Ibid. xxix, 4. ↩︎
238:3 Vie, ch, vii. 11, 12. ↩︎
239:5 « Chaque fois que je pense au Jour du Jugement, je suis bouleversé par cette pensée et je tremble de la tête aux pieds. » (Saint Jérôme). La phrase suivante est attribuée à saint Jérôme par certains, bien qu’elle ne figure pas dans ses œuvres : « Que je mange, que je boive, ou que je fasse quoi que ce soit d’autre, la terrible trompette du dernier jour semble toujours résonner à mes oreilles : Levez-vous, morts, et venez au jugement. » (Alban Butler, Vie de saint Jérôme). La Vie du Christ de Ludolf de Saxe donne cette citation avec le mot vox au lieu de tuba (partie ii. ch. lxxxvii. 9). ↩︎
239:6 Vie, ch. iii. ↩︎
239:7 Excl. xiii, 3. ↩︎
240:8 Actes ix. 3, 4. ↩︎
241:9 Château, M. vi. ch. iii. 12. ↩︎
241:10 La Voie de la Perfection ch, xl. 4. ↩︎
242:11 Vie, ch. xxvi. 5; xxviii. 21. ↩︎
242:12 Chemin de la Perfection ch. xl. 3. ↩︎
243:13 C’était le Père Dominic Bañez. Trouvé. ch. viii. 3. Vie, ch. xxix. 6, 7 et note. ↩︎
243:14 Lettres du bienheureux Jean d’Avila (traduites par les Bénédictins de Stanbrook), i. 5, p. 19. ↩︎
244:15 Vie, ch. xxviii. 13, 4. ↩︎
245:16 Sainte Thérèse, lorsqu’elle était conduite de cette façon, demandait toujours à être délivrée de faveurs aussi dangereuses que les visions, etc. Voir Vie, ch. xxv. 20; xxvii. 3. ↩︎
245:17 I. Reg. xv. 26-28. ↩︎
246:18 Vie, ch. xl. 27. Elle-même en était une, et l’autre, sans doute, était saint Jean de la Croix. ↩︎