Il y avait un Yî à l’époque de Confucius. Le Yî est aujourd’hui constitué du Texte que Confucius a vu et des Appendices qui lui sont attribués. Le Yî a échappé aux feux de Žhin. Le Yî avant Confucius, et lorsqu’il fut créé, est mentionné dans le Livre Officiel de Kâu ; dans le Žo Khwan ; témoignage des Appendices. Ce n’est pas le plus ancien des livres chinois. Le Texte est beaucoup plus ancien que les Appendices. Les travaux des érudits autochtones sur le Yî sont imparfaitement décrits. Compte rendu erroné des travaux des sinologues.
II.
LE SUJET DU TEXTE. LES FIGURES LIGNEUSES ET LEUR EXPLICATION
Le Yî est composé d’essais basés sur les figures linéaires. Origine des figures linéaires. Qui les a multipliées jusqu’à soixante-quatre ? Pourquoi n’ont-elles pas été continuées au-delà de soixante-quatre ? La forme de la carte fluviale. État du pays à l’époque du roi Wăn. Caractère du dernier roi des Shang. Les seigneurs de Kâu ; et en particulier le roi Wăn. Wăn en prison occupé avec les figures linéaires. Le septième hexagramme.
III. | LES ANNEXES | 26
| Sujets du chapitre. Nombre et nature des appendices. Leur auteur. Aucune suscription de Confucius sur aucun d’entre eux. Les troisième et quatrième ne sont évidemment pas de lui. Portée de cette conclusion sur les autres. Le premier appendice. Les trigrammes de Fû-hsî. Ceux du roi Wăn. Le nom Kwei-shăn. Le deuxième appendice. Le Grand Symbolisme. Le troisième appendice. Harmonie entre les lignes des figures toujours changeantes et les changements dans les pbeno mena externes. Divination ; ancienne, et son objet. Formation de la p. viii des figures linéaires par les tiges divinatoires. Les noms Yin et Yang. Le nom Kwei-shăn. Shăn seul. Le quatrième appendice. Le cinquième. Premier paragraphe. Mythologie du Yî. Opération de Dieu dans la nature tout au long de l’année. Paragraphes de conclusion. Le sixième appendice. Le septième. Planches I, II, III, présentant les hexagrammes et les trigrammes.
COMPLÉMENTAIRE AU THWAN ET AU YÂO SUR LES PREMIER ET DEUXIÈME HEXAGRAMMES, ET MONTRANT COMMENT ILS PEUVENT ÊTRE INTERPRÉTÉS DE LA NATURE ET DES ACTIONS DE L’HOMME.