LIVRE XV. SHÂO Î OU RÈGLES DE CONDUITE PLUS PETITES[1].
1. J’ai entendu (les choses suivantes) :
Lorsqu’on souhaitait voir pour la première fois une personne de caractère et de rang, on disait : « Untel, je désire ardemment que mon nom soit signalé à l’officier des communications[2]. » Il ne pouvait pas monter les marches directement auprès de son hôte. Si le visiteur était de même rang que lui, il disait : « Moi, untel, je désire ardemment le voir. » S’il était un visiteur occasionnel, il demandait que son nom soit signalé. S’il était un visiteur fréquent, il ajoutait : « ce matin ou ce soir. » S’il était aveugle[3], il demandait que son nom soit signalé.
2. Si c’était à l’occasion d’un deuil, le visiteur disait qu’il était venu comme serviteur et aide ; s’il était jeune, qu’il était venu pour accomplir ce qui pouvait lui être demandé. Si la visite avait lieu à l’occasion des rites funéraires d’un souverain ou d’un haut ministre, le langage était : « Je suis venu pour être employé par le ministre en chef de la maison[4]. »
3. Lorsqu’un souverain était sur le point de quitter son propre État[1:1], si un ministre lui présentait de l’argent, des pièces de jade ou tout autre objet, on disait : « Je présente ceci à l’officier pour les dépenses de ses chevaux. » À un égal dans un cas similaire, on disait : « Ceci est présenté à l’usage de vos disciples. »
4. Lorsqu’un ministre offrait un linceul à son souverain, il disait : « J’envoie ce vêtement mis de côté aux experts[2:1]. » Un égal, envoyant un tel cadeau à un autre égal, disait simplement : « Un linceul. » Les parents, comme les frères, n’entraient pas avec les linceuls qu’ils offraient.
5. Lorsqu’un ministre offrait des articles ou leur valeur à son souverain qui avait des rites de deuil en cours pour le souverain précédent, il disait : « Je présente ces produits de mes champs aux officiers[3:1] ».
6. Un carrosse et des chevaux, offerts pour des funérailles, franchirent la porte du temple ancestral. Les contributions en argent et en chevaux, accompagnées de présents tels que de la soie, le drapeau blanc (d’un carrosse funéraire) et des chars de guerre, ne franchirent pas la porte du temple[4:1].
7. Lorsque l’auditeur eut prononcé son message, il s’agenouilla et laissa les objets à terre. L’officier de communication les ramassa. Le président du deuil ne les reçut pas lui-même.
8. Quand le receveur se levait, le donneur se levait également ; ni l’un ni l’autre ne s’agenouillait. Les parties au caractère franc pourraient peut-être le faire.
9. Lorsque l’invité entra, et qu’il convenait de lui donner la priorité, l’officier de communication dit à l’hôte : « Donnez la priorité. » Lorsqu’ils se dirigèrent vers leurs nattes, il leur dit : « Oui, asseyez-vous. »
Lorsque les battants de la porte s’ouvraient, un seul homme pouvait se déchausser à l’intérieur. Si un visiteur âgé et honorable était déjà présent, les groupes arrivant plus tard ne pouvaient pas le faire.
10. Lorsqu’on leur demandait quels étaient les différents plats (d’un festin), ils répondaient : « Avez-vous apprécié tel ou tel plat ? »
Lorsqu’ils s’interrogeaient les uns les autres sur leurs (divers) parcours[1:2] et leurs réalisations[2:2], ils répondaient : « Avez-vous pratiqué tel ou tel parcours ? Êtes-vous habiles à tel ou tel accomplissement ? »
11. (Un homme cherchait à) ne donner aucune occasion de douter de lui-même, ni à porter un jugement sur les biens d’autrui. Il ne convoitait pas les biens des grandes familles, ni ne parlait en mal des choses auxquelles elles accordaient de la valeur.
12. Balayer en général s’appelait sâo. Balayer devant une natte s’appelait phân. Pour balayer une natte, ils n’utilisaient pas de balai ordinaire[1:3]. Le balayeur tenait la pelle à poussière, la langue tournée vers lui.
13. Il n’y avait pas de devinette (deux fois sur la même chose) avec un esprit partagé. En interrogeant le devin sur ce qui avait été rapporté à l’écaille de tortue ou aux tiges, deux choses devaient être prises en compte : si la chose demandée était juste, et quelle était la pensée du devin. On pouvait l’interroger sur la question de la justesse, mais pas sur sa propre pensée.
15. Au tir à l’arc, l’inférieur portait ses quatre flèches à la main. Au lancer de fléchettes, il les portait toutes ensemble dans sa poitrine. S’il gagnait, il lavait la coupe et la donnait à l’autre, lui demandant de boire. S’il était vaincu, l’aîné procédait de même avec lui. Ils n’utilisaient pas la (grande) corne ; ils ne retiraient pas la (figurine de) cheval (pour marquer les numéros)[1:4].
16. Lorsqu’il tenait les rênes des chevaux du souverain, le conducteur s’agenouillait. Il portait son épée sur le côté droit, le dos tourné vers la meilleure sangle (pour le souverain). Lorsqu’il la lui tendait, il lui faisait face et tirait la sangle vers la barre transversale. Il utilisait la seconde sangle, ou la sangle inférieure, pour s’aider à monter. Il prenait alors les rênes en main et se mettait en marche.
17. On a demandé la permission de comparaître au tribunal, mais pas de se retirer.
On disait qu’on se retirait de la cour, qu’on rentrait chez soi après un festin ou une promenade, qu’on mettait fin aux travaux d’une campagne.
18. Si, assis à côté d’une personne de rang, elle se met à bâiller et à s’étirer, à tourner sa tablette, à jouer avec la pointe de son épée, à déplacer ses chaussures ou à s’enquérir de l’heure, on peut lui demander la permission de se retirer.
19. Pour celui qui (souhaitait) servir son souverain, (la règle était) d’abord mesurer (ses capacités et ses devoirs), puis d’assumer (ses responsabilités) ; il ne les abordait pas, puis ne les évaluait pas. Il en était de même pour tous ceux qui mendiaient, empruntaient ou cherchaient à se mettre à leur service. De cette façon, les supérieurs n’avaient aucun motif d’offense, et les inférieurs, tout risque de culpabilité.
20. Ils n’espionnaient pas les affaires privées, ne nouaient pas d’intimités sur des sujets extérieurs à leurs affaires. Ils ne parlaient pas d’anciennes affaires et ne donnaient pas l’impression de s’amuser.
21. Un ministre ou un subordonné pourrait adresser des remontrances à son dirigeant, sans toutefois le dénigrer ; il pourrait se retirer de l’État, sans toutefois haïr son chef ; il pourrait le louer, sans toutefois le flatter ; il pourrait adresser des remontrances, sans toutefois se montrer hautain. Si le dirigeant était inactif et indifférent, il pourrait le stimuler et l’aider ; si le gouvernement était sur le point de s’effondrer, il pourrait le renverser et en instaurer un nouveau. Un tel ministre serait considéré comme au service des autels de l’État.
22. Ne commencez ni n’abandonnez quoi que ce soit à la hâte. Ne prenez pas de libertés avec les êtres spirituels et ne les lassez pas. N’essayez pas de défendre ou de dissimuler ce qui a été mal dans le passé, ni de sonder ce qui n’est pas encore arrivé. Un érudit doit constamment rechercher la vertu et se divertir de ses accomplissements.
L’ouvrier doit suivre les règles (de son art) et s’amuser à discuter (de leur application). Il ne doit pas penser aux vêtements et aux articles élégants (des autres), ni chercher à justifier en lui-même ce qui est douteux dans les paroles (qu’il a entendues)[1:5].
23. Le style de conversation recherché exigeait un ton grave et distinctif. Le comportement recherché à la cour exigeait une attitude polie et courtoise ; lors des sacrifices, il fallait être grave et dégager une impression d’anxiété. Les chevaux du char devaient être bien arpentés et bien assortis. La beauté de leurs cloches suggérait la dignité et l’harmonie[1:6].
24. À la question sur l’âge du fils d’un souverain, s’il était adulte, on répondait : « Il est capable de s’occuper des autels. » S’il était encore jeune, on répondait : « Il est capable de conduire » ou « Il n’est pas encore capable de conduire. » À la même question concernant le fils d’un grand officier, s’il était adulte, on répondait : « Il est capable de jouer de la musique » ; s’il était encore jeune, on répondait : « Il est capable de prendre des leçons du maître de musique » ou « Il n’est pas encore capable de le faire. » À la même question concernant le fils d’un officier ordinaire, s’il était adulte, on répondait : « Il est capable de conduire la charrue » ; s’il était encore jeune, on répondait : « Il est capable de porter du bois de chauffage » ou « Il n’est pas encore capable de le faire[2:3]. »
25. Lorsqu’on portait un symbole de jade, une écaille de tortue ou des tiges de divination, on ne marchait pas précipitamment. On ne le faisait pas non plus dans une salle surélevée ou sur un mur d’enceinte. Sur un char de guerre, on ne s’inclinait pas devant la barre transversale. Un homme en cotte de mailles n’essayait pas de s’incliner[3:2].
26. Lors des fêtes, même lorsqu’elle recevait un présent du souverain, une épouse faisait seulement une révérence[1:7]. Assise en personnification (de la grand-mère décédée de son mari), elle ne s’inclinait pas, la tête contre les mains, mais faisait la révérence[2:4]. Lorsqu’elle présidait les rites de deuil, elle ne s’inclinait pas, la tête contre les mains, les laissant tomber à terre.
27. (Après le sacrifice du repos), son bandeau était en tissu dolychos et sa ceinture en chanvre.
28. Lorsqu’ils prenaient de la viande sur un présentoir ou qu’ils la déposaient dessus, ils ne s’agenouillaient pas.
29. On transportait un vase vide (avec le même soin) qu’un vase plein, et on entrait dans un appartement vide (avec la même révérence) comme s’il y avait des gens à l’intérieur.
30. Lors de tout sacrifice, que ce soit dans l’appartement ou dans la salle, ils ne portaient pas les pieds nus. Lors d’un festin, ils pouvaient le faire.
31. Ils ne mangèrent pas de la nouvelle récolte avant d’avoir offert une portion dans le temple.
32. Dans le cas d’un cocher et du cavalier qu’il conduisait, lorsque ce dernier montait ou descendait, l’autre lui tendait la sangle. Lorsque le cocher montait pour la première fois, il s’inclinait vers la traverse. Lorsque le cavalier descendait pour marcher, il descendait également, mais revenait (immédiatement) à la voiture et se tenait debout.
33. Les cavaliers d’une voiture de service (à la cour ou au temple) s’inclinaient devant la barre, sauf s’il s’agissait d’une bataille ou d’une chasse. Parmi ces voitures de service, le souverain d’un État en avait sept ; un grand officier du plus haut grade, cinq ; et un officier du plus bas grade, trois[1:8].
34. On ne parlait pas de l’âge des chevaux ni des voitures de ceux qui possédaient de telles voitures d’accompagnement ; on n’accordait pas non plus de valeur à la tenue, à l’épée ou aux chevaux d’un gentilhomme qu’ils voyaient devant eux.
35. En donnant (à un inférieur) ou en offrant à un supérieur quatre pots d’alcool, un paquet de viande séchée et un chien, (le messager) déposait l’alcool et ne portait (que) la viande séchée dans sa main, lors de l’accomplissement de sa mission. Il disait aussi être porteur de quatre pots d’alcool, d’un paquet de viande séchée et d’un chien. En présentant un trépied de viande, il en portait (un morceau) dans sa main. En présentant des oiseaux, s’il y en avait plus d’un couple, il en portait un couple dans sa main, laissant les autres à l’extérieur.
36. Le chien était tenu par une corde. Un chien de garde ou de chasse était remis à l’officier qui servait d’intermédiaire ; et, en le recevant, il lui demandait son nom. Un bœuf était tenu par la longe et un cheval par la bride. Ils étaient tous deux gardés à la droite de celui qui les conduisait ; mais un prisonnier ou un captif, présenté, était gardé à sa gauche.
37. Pour présenter un chariot, le messager retirait la courroie et la portait à la main. Pour présenter une cotte de mailles, s’il y avait d’autres objets à transporter avant, le messager les portait. Sinon, il enlevait la housse et tenait le casque dans ses mains. Pour un navire, il portait sa housse. Pour un arc, de la main gauche, il retirait la housse et saisissait le milieu du dos. Pour une épée, il ouvrait le couvercle de son étui et le plaçait en dessous. Puis il y glissait un tissu de soie sur lequel il plaçait l’épée.
38. Tablettes officielles ; écrits ; tiges de chair séchée ; paquets enveloppés dans des roseaux ; arcs ; coussins ; nattes ; oreillers ; tabourets ; piques ; bâtons ; luths, grands et petits ; lances tranchantes dans leurs fourreaux ; tiges de divination ; et flûtes : tous ces objets étaient portés de la main gauche levée. Pour les armes pointues, la pointe était gardée en arrière et l’anneau présenté ; pour les armes tranchantes, le manche était présenté. Pour toutes les armes pointues et tranchantes, la pointe était tournée vers l’extérieur lorsqu’on les tendait à d’autres.
39. En quittant la ville, pour monter sur un char de guerre, l’arme était portée pointe en avant ; au retour et à l’entrée, pointe en avant. La gauche était réservée au général et aux officiers de l’armée ; la droite, aux soldats.
40. Pour les visiteurs et les invités, l’essentiel était une humilité courtoise ; lors des sacrifices, le respect ; lors des rites de deuil, le chagrin ; lors des réunions et des retrouvailles, un intérêt actif. Dans les opérations de guerre, il fallait penser aux dangers. On dissimulait ses propres sentiments afin de mieux juger ceux des autres.
41. Lorsqu’il festoyait avec un homme de rang et de caractère supérieurs, l’invité goûtait d’abord les plats, puis s’arrêtait. Il ne devait ni avaler la nourriture ni boire d’un trait. Il devait prendre de petites bouchées fréquentes. Tout en mâchant rapidement, il ne faisait pas de grimaces. Lorsqu’il s’apprêtait à retirer les plats et que l’hôte refusait ce service, il s’arrêtait[1:9].
42. La coupe avec laquelle l’invité avait été engagé était placée à gauche ; celles qui avaient été bues (par les autres) à droite. Celles du serviteur de l’invité, de l’hôte lui-même et de son assistant étaient toutes placées à droite[2:5].
43. Lorsqu’on déposait un poisson bouilli pour le manger, on plaçait la queue devant. En hiver, on la plaçait avec le ventre gras à droite ; en été, avec le dos. Les tranches offertes en sacrifice (au père du régime à base de poisson) étaient ainsi plus faciles à couper[3:3]).
44. Tous les condiments étaient pris avec la main droite et étaient donc placés à gauche.
45. Celui qui recevait les présents offerts (au souverain) était à sa gauche ; celui qui transmettait ses paroles, à sa droite.
46. Une coupe était versée au conducteur d’un personnage mortuaire, comme au conducteur du souverain. Dans le carrosse, tenant les rênes de la main gauche, il recevait la coupe de la main droite ; il en offrait un peu en sacrifice au bout de l’essieu et de la traverse, à droite et à gauche (au père du char), puis buvait la coupe.
47. De tous les aliments qui ont été placés sur les supports, le joint torique a été placé à l’intérieur du support.
Un gentleman ne mangeait pas les entrailles d’animaux nourris au grain[1:10].
Un garçon[2:6] courait, mais ne marchait pas vite, à pas mesurés. Lorsqu’il prenait sa coupe, il s’agenouillait pour en offrir une partie en sacrifice, puis se relevait et buvait le reste. Avant de rincer la coupe, ils se lavaient les mains. En séparant les poumons des bœufs et des moutons, ils n’en coupaient pas la partie centrale[3:4] ; lorsque les mets étaient servis avec de la sauce, ils n’y ajoutaient pas de condiments.
Lorsqu’ils choisissent un oignon ou une ciboule pour un gentleman, ils coupent à la fois la racine et le sommet.
Lorsque la tête était présentée parmi les mets, le museau était avancé, pour être utilisé comme offrande.
48. Celui qui disposait les cruches considérait que la gauche de l’échanson était la place de celui qui était le plus haut. Les cruches et les jarres étaient placées avec leur bec verseur tourné vers celui qui les disposait.
Lors des cérémonies de lavage de la tête et de mise en coupe, en présence du support sur lequel reposaient les victimes divisées, les buveurs ne s’agenouillaient pas. Avant que la coupe commune ne circule, ils ne goûtaient pas les mets.
49. La chair des bœufs, des moutons et des poissons était coupée en petits morceaux et transformée en hachis. Celle des élans et des cerfs était marinée ; celle du sanglier était hachée ; elles étaient toutes tranchées, mais non coupées en petits morceaux. Seule la chair du muntjac était marinée, et celle des volailles et des lièvres était coupée en petits morceaux. Des oignons et des échalotes étaient émincés et ajoutés à la saumure pour attendrir la viande.
50. Lorsque les morceaux du corps étaient sur le support, on ne s’agenouillait pas pour en prendre un pour l’offrir et le rendre[1:11]. Il en était de même pour l’offrande de viande rôtie. Si l’offrant, en revanche, était un personnificateur du défunt, il s’agenouillait.
51. Lorsqu’un homme portait ses robes et ne connaissait pas leurs noms (ou la signification de leurs noms), il était vraiment ignorant.
52. Si quelqu’un arrivait en retard et arrivait avant l’allumage des torches, on lui annonçait que tous les invités étaient là et précisait leur identité. La même chose était signifiée à un musicien aveugle par celui qui l’invitait. Lors d’une beuverie, lorsque l’hôte portait une lampe ou une torche devant lui, les invités se levaient et déclinaient l’honneur qui leur était fait. Sur ce, il remettait la torche à un porteur de torche, qui ne bougeait pas de sa place, ne prononçait pas un mot et ne chantait pas[2:7].
53. Lorsqu’on apportait de l’eau ou de la boisson et de la nourriture à un supérieur ou à un ancien, la règle était de ne pas souffler dessus ; et si une question était posée, de tourner la bouche d’un côté.
54. Lorsqu’on offrait un sacrifice à quelqu’un d’autre (et qu’on envoyait à d’autres la chair de la victime), le message était : « Voici (la chair de) bénédiction. » Lorsqu’on envoyait la chair de son propre sacrifice à un homme supérieur, on annonçait simplement de quoi il s’agissait.
S’il s’agissait de la chair du sacrifice, on l’annonçait lors du dépôt de la tablette du défunt dans le temple, ou à la fin de la première année de deuil. Le principal endeuillé étalait les portions et les donnait à son messager, au sud des marches est, en s’inclinant deux fois et en posant sa tête à terre pour le renvoyer. À son retour, il annonçait l’exécution de sa mission, puis s’inclinait à nouveau deux fois et posait sa tête à terre.
Si le sacrifice était grand, composé de trois victimes, la portion envoyée était le quart gauche du bœuf, divisé en neuf morceaux de l’épaule. Si le sacrifice était plus petit, la portion envoyée était le quart gauche, divisé en sept morceaux. S’il n’y avait qu’un seul porc, la portion était le quart gauche, divisé en cinq morceaux.
[1:12] : Chiens (élevés pour être mangés) et cochons. La raison pour laquelle on ne mange pas leurs entrailles est difficile à expliquer.
[2:8] : Un garçon d’attente.
[1:13] : Les poumons.
Comparez vol. xxvii, pages 80, 81, paragraphes 54, 57, et al. L’auteur passe dans ce paragraphe du mode indicatif au mode impératif. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
Dans le Zo Kwân, nous avons de nombreux récits de ces divertissements. Le chant consistait presque toujours en quelques vers d’une des pièces du Shih King, exprimant un sentiment approprié à l’occasion. La coutume ressemblait à nos discours et toasts d’après dîner. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
Afin qu’il puisse être facilement pris en main et déposé comme offrande d’action de grâces. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
Il nous est difficile d’apprécier les raisons avancées pour justifier la distinction faite entre ces contributions. ↩︎ ↩︎