Signification du nom Shû King. Le Shû existait sous forme de recueil de documents avant Confucius. Nombre de documents qu’il contenait à son époque. La préface qui lui est attribuée. Les sources du Shû. Destruction de la littérature classique par l’empereur de Khin. Récupération du Shû.
Les documents sont-ils fiables ou non ? Les Livres de Kâu ; de Shang ; de Hsiâ. Les Livres de Thang et de Yü sont prétendument des compilations ultérieures ; légendaires ; basées sur des documents anciens. Le Tribut de Yü. Yâo, Shun et Yü sont tous des personnages historiques.
III. Sur la chronologie de la Chine et les principales époques du Shu.
Aucun système chronologique détaillé ne peut être établi à partir du Shû. Les tentatives de chronologie systématique ont commencé à l’époque Han. Méthode ancienne pour déterminer la longueur de l’histoire chinoise. Période de la dynastie Kâu ; des Shang ; des Hsiâ ; des Yâo et des Shun.
Carte du révérend professeur Pritchard, représentant les principales étoiles zodiacales au-dessus de l’horizon en Chine centrale, vers 2300 av. J.-C., avec notes et tableau des positions apparentes des principales étoiles en 2300 av. J.-C., 1500 av. J.-C., 1000 apr. J.-C. et 1878 apr. J.-C.
Signification du caractère Shih. Contenu. Seules les pièces de la quatrième partie ont un caractère prétendument religieux. Classification des pièces selon leur forme et leur style.
II. Le Shih avant Confucius, et quels furent ses travaux, le cas échéant. | 280
Déclaration de Sze-mâ Khien ; dans les Archives de la dynastie Sui ; de Kû Hsî. Point de vue de l’auteur. Absence de fondement de la déclaration de Khien. Ce que Confucius a fait pour les Shih. | [p. x]
III. LE SHIH DEPUIS L’ÉPOQUE DE CONFUCIUS JUSQU’À LA RECONNAISSANCE GÉNÉRALE DU PRÉSENT TEXTE | 285
De Confucius à l’avènement de la dynastie Khin. Le Shih a été entièrement récupéré après les incendies de Khin. Trois textes différents : celui de Lû ; celui de Khî ; celui de Han Ying. Le texte de Mâo. |
IV. LA FORMATION DU RECUEIL DU SHIH ; COMMENT EST-IL DEVENU SI PETIT ET INCOMPLET ; L’INTERPRÉTATION ET LES AUTEURS DES PIÈCES ; UN MOMENT QUI Y EST INDIQUÉ AVEC CERTAINE IMPORTANCE ; ET LA PRÉFACE CONFUCÉENNE. | 290
Théorie des érudits chinois sur un recueil de poèmes à des fins gouvernementales. Le maître de musique du roi recevait les odes de chaque État de son maître de musique ; les poèmes recueillis étaient diffusés dans tous les États. Pourquoi le Shih est-il si petit et incomplet ? Les auteurs des pièces. L’année 776 av. J.-C. est clairement indiquée. La préface du Shih. |
ODES DU TEMPLE ET DE L’AUTEL. |
1. Les Odes sacrificielles de Shang | 303
2. Les Odes sacrificielles de Kâu. Décennie I | 313
Décennie II | 320
Décennie III | 328
3. Les odes de louange de Lû. | 313
LES ODES MINEURES DU ROYAUME. |
Décennie I. Odes 5, 6, 9 | 347
Décennie IV. Odes 5, 6, 7, 8, 9, 10 | 349
Décennie v. Odes 1, 2, 3, 4, 6, 9. | 358
Décennie VI. Odes 3, 5, 6, 7, 8. | 364
Décennie VII. Odes 1, 6. | 373
Décennie VIII. Ode 5. | 376
LES GRANDES ODES DU ROYAUME. |
Décennie I. Odes 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 9, 10 | 377
Décennie II. Odes 1, 2, 3, 4, 5, 8, 9, 10. | 396
Décennie III. Odes 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 10, 11. | 410
LEÇONS DES ÉTATS. |
Livre 2. Odes 2, 4 | 430
Livre 3. Odes 4, 15 | 433
Livre 4. Odes 1, 3, 6 | 434[p. xi]
Livre 5. Ode 4. | 437
Livre 6. Odes 1, 9 | 438
Livre 7. Odes 8, 11 | 440
Livre 11. Ode 6. | 442
Livre 15. Ode 1. | 444
Signification du caractère Hsiâo. Confucius a-t-il appelé ce traité le Roi Hsiâo ? Il existait avant la dynastie Han, à l’époque des Kâu. Il provenait probablement de l’école de Ȝang-ȝze.
II. LA RÉCUPÉRATION DU HSIÂO SOUS LA DYNASTIE HAN ET SA PRÉSERVATION JUSQU’À LA PUBLICATION DU COMMENTAIRE DE L’EMPEREUR THANG HSÜAN ȜUNG | 452
Récupération du Hsiâo. Le texte court ou moderne. Le texte ancien ou long. A-t-on découvert une autre copie de l’ancien texte ? Peut-on se fier entièrement aux copies cataloguées par Liû Hin ? De Khung An-kwo à l’empereur Hsüan Ȝung. L’œuvre de l’empereur. L’œuvre de Hsing Ping. |
III. CRITIQUE DU HSIÂO DEPUIS LA DYNASTIE THANG | 458
Travaux sur le texte ancien de Sze-mâ Kwang et Fan Ȝû-yü. Critique sceptique ; points de vue de Kû Hsî et Wû Khăng. Conclusion sur l’authenticité et l’intégrité du Hsiâo. Note sur la traduction.
1. Portée et signification du traité. | 465
2. La piété filiale chez le Fils du Ciel. | 467
3. La piété filiale chez les princes d’État. | 468
4. Piété filiale chez les hauts ministres et les hauts fonctionnaires. | 469
5. Piété filiale chez les officiers inférieurs. | 470
6. La piété filiale chez les gens ordinaires. | 471
7. Piété filiale en relation avec les Trois Pouvoirs. | 472[p. xii]
8. Piété filiale au gouvernement. | 474
9. Le Gouvernement des Sages. | 476
10. Description méthodique des actes de piété filiale | 480
11. La piété filiale face aux cinq châtiments. | 481
12. Amplification de la « Règle de conduite universelle » au chapitre I. | 481
13. Amplification de « la vertu parfaite » au chapitre I. | 482
14. Amplification de « Rendre notre nom célèbre » au chapitre I. | 483
15. La piété filiale face aux reproches et aux remontrances. | 483
16. L’influence de la piété filiale et la réponse à celle-ci. | 484
17. Le service du souverain. | 486
18. Piété filiale dans le deuil des parents. | 487
Translittération des alphabets orientaux adoptés pour la traduction des livres sacrés d’Orient. | 489