Brahman a dit.
Français Ainsi [^1813] étudiant dûment au mieux de ses capacités, de la manière indiquée ci-dessus [^1814], et vivant également comme un Brahmakârin, quelqu’un qui est dévoué à son propre devoir et érudit, qui est un sage avec tous ses sens retenus, qui s’applique à ce qui est agréable et bénéfique pour le précepteur, qui est pur [^1815], et constant dans la véracité et la piété, devrait, avec la permission du précepteur, prendre de la nourriture sans la décrier [^1816], devrait manger (les restes) des offrandes sacrificielles et des aumônes, et devrait se tenir debout, s’asseoir et faire de l’exercice [^1817] (dûment), devrait sacrifier deux fois au feu après être devenu pur et avec un (esprit) concentré, et devrait toujours porter un bâton de Bilva ou Palâsa [^1818] (bois). Le vêtement de l’homme deux fois né doit être en lin, en coton, en peau de daim ou en tissu entièrement teint en rouge. Il doit également porter une ceinture de muña ; il doit avoir les cheveux emmêlés, toujours porter de l’eau avec lui, avoir son fil sacré, se consacrer à l’étude sacrée, être exempt d’avarice et de pratiques rigides. Un tel Brahmakârin, faisant toujours des offrandes d’eau pure pour satisfaire les divinités, et ayant l’esprit modéré [^1819], est estimé. Celui qui est ainsi dévoué [1], concentré d’esprit et continent [2], conquiert le ciel et, atteignant le siège le plus élevé, ne retourne pas à la naissance. Raffiné par toutes les cérémonies, et vivant également comme un Brahmakârin [3], un sage qui a renoncé [4] (à tout) devrait quitter les villes et habiter dans les forêts [5]. Vêtu d’une peau ou de l’écorce d’un arbre, il devrait se baigner (chaque) matin et soir, et vivant toujours dans la forêt, ne devrait plus retourner en ville. Il devrait honorer les invités et leur donner abri au moment opportun, se nourrissant de fruits et de feuilles, de racines et de graines de Syâmâka. Il devrait se nourrir sans paresse d’eau, d’air et de tous les produits de la forêt, jusqu’à l’herbe, au fur et à mesure qu’ils viennent, dans l’ordre [6], conformément aux (règles [7] de son) initiation. Il devrait honorer un invité qui vient en lui (offrant) de l’eau accompagnée de racines, de fruits et de feuilles. Et il doit toujours, sans paresse, donner l’aumône de ce qu’il a pour nourriture. Il doit aussi toujours manger après que les divinités et les invités [8] [ p. 362 ] (sont rassasiés) et avec modération, ayant l’esprit exempt d’envie [9], mangeant peu et dépendant des divinités. Maîtrisant ses sens externes, bienveillant, plein de pardon, préservant ses cheveux et sa moustache, accomplissant des sacrifices, adonné à l’étude sacrée et dévoué à la véracité et à la piété, pur de corps [10], toujours adroit [11], toujours dans les forêts et concentré d’esprit,—un forestier dont les sens sont soumis et qui est ainsi dévoué [12] conquiert les mondes. Un chef de famille, ou un Brahmakârin, ou encore un forestier, qui souhaite s’appliquer à l’émancipation finale devrait adopter la meilleure (ligne de) conduite [13]. Offrant la sécurité à tous les êtres, le sage devrait se libérer de toute action [14] et être agréable à tous les êtres, bon et modéré dans tous ses sens. Il devrait faire un feu [15] et se nourrir des aumônes (obtenues) sans demander [16] et sans trouble [17], et qui sont venues spontanément [18], dans un endroit sans fumée et où les gens ont déjà [19] mangé. Celui qui [ p. 363 ] comprend que l’émancipation finale doit chercher à obtenir l’aumône après le nettoyage [20] des ustensiles (utilisés pour la cuisine), et ne doit pas se réjouir s’il l’obtient, ni être découragé s’il ne l’obtient pas (l’aumône). Il ne doit pas non plus demander trop d’aumônes [21], cherchant simplement à subvenir à ses besoins. Ne mangeant que peu, il doit chercher l’aumône avec un esprit concentré, en attendant le moment (approprié). Il ne doit pas souhaiter de gains en commun avec autrui, ni manger lorsqu’il est honoré ; car un ascète doit être réticent à tout gain (accompagné) d’honneur [22]. En mangeant, il ne doit goûter à aucun aliment qui a été mangé par d’autres [23], ou qui est piquant, astringent ou amer, et de même pas à aucun jus sucré. Il doit manger juste assez pour sa subsistance, pour subvenir à ses besoins. Celui qui comprend l’émancipation finale devrait chercher à gagner sa vie sans gêner les autres créatures ; et lorsqu’il va demander l’aumône, il ne devrait pas suivre les autres [24]. Il ne devrait pas faire étalage de sa piété, il devrait se déplacer dans un endroit isolé, libre de toute passion. Il devrait chercher refuge dans une maison vide, ou dans une forêt, ou au pied d’un arbre, ou au bord d’une rivière, ou dans la caverne d’une montagne. En été, (il ne devrait passer) qu’une seule nuit [25] dans une ville ; et pendant les pluies, il peut demeurer au même endroit. Il devrait se déplacer dans le monde comme un ver [26], son chemin étant indiqué par le soleil, et il devrait marcher avec circonspection sur la terre par compassion pour tous les êtres [27]. Il ne devrait faire aucune accumulation ; et devrait éviter de vivre avec des amis [28]. Et l’homme qui comprend l’émancipation finale devrait vraiment accomplir tous les actes qui lui incombent, toujours avec de l’eau propre. Un homme devrait toujours se baigner dans une eau propre. Et, ses sens maîtrisés, il devrait se consacrer à ces huit observances [29] : l’innocuité, la vie de Brahmakârin, la véracité, mais aussi la droiture, l’absence de colère, l’absence de critique, la maîtrise des organes externes et l’absence habituelle de médisance.Il doit toujours adopter une conduite sans péché, sans tromperie ni malhonnêteté ; et, libre de tout attachement, il doit toujours obliger celui qui vient (en tant qu’invité) à prendre une bouchée de nourriture. Il doit manger juste assez pour subvenir à ses besoins, pour subvenir à ses besoins. Et il ne doit manger que ce qu’il a obtenu avec piété [30], et ne doit pas suivre son propre désir [31]. Il ne doit rien accepter d’autre que de la nourriture et des vêtements. Et il doit accepter autant qu’il mange et pas plus. Il ne doit pas recevoir d’autrui, ni jamais donner aux autres [32]. [ p. 365 ] Mais en raison de l’impuissance des gens, un homme sage doit toujours partager [avec les autres]. Il ne doit pas s’approprier les richesses d’autrui, et ne doit rien prendre sans qu’on le lui demande. Et, en vérité, après avoir joui d’un objet, on ne doit pas s’y attacher par la suite. Celui qui a quelque chose à faire [33] devrait prendre de la terre, de l’eau, des cailloux, ainsi que des feuilles, des fleurs et des fruits qui ne sont pas acquis [34] (par personne), au fur et à mesure qu’ils se présentent [35]. Il ne devrait pas vivre du métier d’artisan [36], ni désirer de l’or. Il ne devrait pas haïr, ne devrait pas enseigner [37], et devrait être dépourvu de (tout) bien [38]. Il devrait manger ce qui est consacré par la foi [39], et devrait éviter (toute) controverse, devrait agir sans but [40], devrait être libre de tout attachement et sans rendez-vous fixes avec les gens [41]. Il ne devrait pas accomplir, ou faire accomplir, une action impliquant l’attente de fruits, ou impliquant une destruction de vie, ou le rassemblement de personnes [42]. Rejetant toute chose, [ p. 366 ] et étant égal à tous les êtres, mobiles et immobiles, il faut devenir un ascète avec peu de possessions. Il ne faut perturber personne, ni être perturbé par personne [43]). Celui à qui tous les êtres font confiance est dit être le premier parmi ceux qui comprennent l’émancipation finale. Il ne faut pas penser à ce qui n’est pas venu [44], ni réfléchir à ce qui est passé ; il faut négliger le présent, être concentré (dans l’esprit) et indifférent au temps [45]. Il ne doit rien souiller [46] par le regard, l’esprit ou la parole, et ne doit rien faire de mal ouvertement ou en secret. Celui qui attire les sens de tous les côtés comme une tortue (attire) ses membres [47], et en qui les sens, l’esprit et la compréhension sont absorbés [48], qui est libre des désirs, qui comprend toute vérité, qui est libre des paires d’opposés, et de la cérémonie de svâhâ, et qui est libre des salutations [49], et qui est libre (de la pensée que ceci ou cela est) à moi, qui est libre de l’égoïsme, qui est libre de l’anxiété pour de nouvelles acquisitions ou la protection des anciennes acquisitions, et maître de soi [50],qui est libre de [ p. 367 ] attentes, qui est libre de tout attachement à une entité, et qui ne dépend d’aucune [51], qui est attaché à soi, et qui comprend la vérité, est émancipé, il n’y a aucun doute là-dessus. Ceux qui perçoivent le soi, qui est sans mains, sans pieds, ni dos, sans tête, sans estomac, qui est libre des opérations des qualités [52], absolu, non souillé, et stable, dépourvu d’odorat, dépourvu de goût ou de toucher, dépourvu. de couleur, et aussi dépourvu de son, qui doit être compris [53], qui est sans attaches, et qui est aussi dépourvu de chair, qui est libre d’anxiété [54], impérissable, divin, et bien que demeurant dans une maison [55], habitant toujours toutes les entités, ils ne meurent jamais [56]. Là n’atteint pas la compréhension, ni les sens, ni les divinités, ni les Védas, les sacrifices, ni les mondes [57], ni la pénitence, ni la valeur [58] ; l’atteinte de ceux qui possèdent la connaissance est déclarée être sans compréhension des symboles [59]. Par conséquent, l’homme érudit qui connaît (la) propriété d’être dépourvu de symboles [60], étant dévoué à une conduite pieuse, et [ p. 368 ] recourant à la piété cachée [61] devrait adopter le mode de vie (nécessaire) à l’expérience [62]. Bien que non égaré, il devrait agir à la manière de celui qui est égaré [63], ne trouvant pas à redire à la piété [64]. Il devrait pratiquer la piété, se comportant de telle sorte que les autres le manquent toujours de respect [65], et ne devrait pas trouver à redire aux voies du bien [66]. On dit que le sage est le meilleur qui a adopté cette (ligne de) conduite. Les sens, et les objets des sens, et les cinq grands éléments, et l’esprit, la compréhension, l’égoïsme, l’inperçu, et le Purusha également [67], par une détermination précise de la vérité, après avoir compris tout cela, on atteint le ciel [68], étant libéré de tous les liens. Celui qui connaît la vérité, comprenant ces mêmes entités au moment de la fin (de sa vie), devrait méditer, en ne réfléchissant qu’à un seul point [69] ; et alors, ne dépendant de rien [70], il obtient l’émancipation. Libéré de tout attachement, comme l’atmosphère qui réside dans l’espace [71], avec ses accumulations [72] épuisées et libéré de la détresse [73], il atteint le siège le plus élevé.et aussi dépourvu de son, qui doit être compris [53:1], qui est sans attaches, et qui est aussi dépourvu de chair, qui est libre d’anxiété [54:1], impérissable, divin, et bien que demeurant dans une maison [55:1], habitant toujours toutes les entités, ils ne meurent jamais [56:1]. Là n’atteint pas la compréhension, ni les sens, ni les divinités, ni les Védas, ni les sacrifices, ni les mondes [57:1], ni la pénitence, ni la valeur [58:1] ; l’atteinte de ceux qui possèdent la connaissance est déclarée être sans compréhension des symboles [59:1]. Par conséquent, l’homme érudit qui connaît (la) propriété d’être dépourvu de symboles [60:1], étant consacré à une conduite pieuse, et [ p. 368 ] recourant à la piété cachée [61:1] devrait adopter le mode de vie (nécessaire) à l’expérience [62:1]. Bien que non égaré, il devrait agir à la manière de celui qui est égaré [63:1], ne trouvant pas à redire à la piété [64:1]. Il devrait pratiquer la piété, se comportant de telle sorte que les autres le manquent toujours de respect [65:1], et ne devrait pas trouver à redire aux voies du bien [66:1]. On dit que le sage est le meilleur qui a adopté cette (ligne de) conduite. Les sens, et les objets des sens, et les cinq grands éléments, et l’esprit, la compréhension, l’égoïsme, l’inperçu, et le Purusha également [67:1], par une détermination précise de la vérité, après avoir compris tout cela, on atteint le ciel [68:1], étant libéré de tous les liens. Celui qui connaît la vérité, comprenant ces mêmes entités au moment de la fin (de sa vie), devrait méditer, en ne réfléchissant qu’à un seul point [69:1] ; et alors, ne dépendant de rien [70:1], il obtient l’émancipation. Libéré de tout attachement, comme l’atmosphère qui réside dans l’espace [71:1], avec ses accumulations [72:1] épuisées et libéré de la détresse [73:1], il atteint le siège le plus élevé.et aussi dépourvu de son, qui doit être compris [53:2], qui est sans attaches, et qui est aussi dépourvu de chair, qui est libre d’anxiété [54:2], impérissable, divin, et bien que demeurant dans une maison [55:2], habitant toujours toutes les entités, ils ne meurent jamais [56:2]. Là n’atteint pas la compréhension, ni les sens, ni les divinités, ni les Védas, ni les sacrifices, ni les mondes [57:2], ni la pénitence, ni la valeur [58:2] ; l’atteinte de ceux qui possèdent la connaissance est déclarée être sans compréhension des symboles [59:2]. Par conséquent, l’homme érudit qui connaît (la) propriété d’être dépourvu de symboles [60:2], étant consacré à une conduite pieuse, et [ p. 368 ] recourant à la piété cachée [61:2] devrait adopter le mode de vie (nécessaire) à l’expérience [62:2]. Bien que non égaré, il devrait agir à la manière de celui qui est égaré [63:2], sans critiquer la piété [64:2]. Il devrait pratiquer la piété, se comportant de telle sorte que les autres le manquent toujours de respect [65:2], et ne devrait pas critiquer les voies du bien [66:2]. On dit que le sage est le meilleur qui a adopté cette (ligne de) conduite. Les sens, et les objets des sens, et les cinq grands éléments, et l’esprit, la compréhension, l’égoïsme, l’inperçu, et le Purusha également [67:2], par une détermination précise de la vérité, après avoir compris tout cela, on atteint le ciel [68:2], étant libéré de tous les liens. Celui qui connaît la vérité, comprenant ces mêmes entités au moment de la fin (de sa vie), devrait méditer, en ne réfléchissant qu’à un seul point [69:2] ; et alors, ne dépendant de rien [70:2], il obtient l’émancipation. Libéré de tout attachement, comme l’atmosphère qui réside dans l’espace [71:2], avec ses accumulations [72:2] épuisées et libéré de la détresse [73:2], il atteint le siège le plus élevé.et ne devrait pas critiquer les voies du bien [66:3]. On dit que le sage est le meilleur qui a adopté cette (ligne de) conduite. Les sens, et les objets des sens, et les cinq grands éléments, et l’esprit, la compréhension, l’égoïsme, l’inperçu, et le Purusha également [67:3], par une détermination précise de la vérité, après avoir compris tout cela, on atteint le ciel [68:3], étant libéré de tous liens. Celui qui connaît la vérité, comprenant ces mêmes (entités) au moment de la fin (de sa vie), devrait méditer, en réfléchissant exclusivement sur un point [69:3] ; et alors, ne dépendant de rien [70:3], il obtient l’émancipation. Libéré de tous attachements, comme l’atmosphère qui réside dans l’espace [71:3], avec ses accumulations [72:3] épuisées et libéré de la détresse [73:3], il atteint le siège le plus élevé.et ne devrait pas critiquer les voies du bien [66:4]. On dit que le sage est le meilleur qui a adopté cette (ligne de) conduite. Les sens, et les objets des sens, et les cinq grands éléments, et l’esprit, la compréhension, l’égoïsme, l’inperçu, et le Purusha également [67:4], par une détermination précise de la vérité, après avoir compris tout cela, on atteint le ciel [68:4], étant libéré de tous liens. Celui qui connaît la vérité, comprenant ces mêmes (entités) au moment de la fin (de sa vie), devrait méditer, en réfléchissant exclusivement sur un point [69:4] ; et alors, ne dépendant de rien [70:4], il obtient l’émancipation. Libéré de tous attachements, comme l’atmosphère qui réside dans l’espace [71:4], avec ses accumulations [72:4] épuisées et libéré de la détresse [73:4], il atteint le siège le plus élevé.
360:1 Arguna Misra dit : « Après avoir décrit d’abord l’ordre du chef de famille, car c’est le chef, il décrit maintenant celui de Brahmakârin. » Cf. Âpastamba II, 9, 21, 1, et note. ↩︎
360:2 Où ? C’est obscur. ↩︎
360:3 À la fois intérieurement et extérieurement, je suppose. ↩︎
360:4 Cf. Taittiriya, p. 129 ; Sânti Parvan (Moksha), chap. 192, st. 6. ↩︎
360:5 Cf. Gîtâ, p. 69. Arguna Misra dit : « Faire de l’exercice en se tenant debout et assis ; cela signifie ne pas dormir sauf au moment opportun. » ↩︎
360:6 Cf. Manu II, 41 suiv. ↩︎
361:1 Ou peut-être « étant retenu et de tout son cœur ». Les constructions dans l’original varient considérablement, et il en va de même dans la traduction. ↩︎
361:2 S’appliquant à ses devoirs. ↩︎
361:3 Cf. Maitrî, p. 18, et commentaire là-bas. ↩︎
361:4 Cf. Manu VI, 1 suiv. ↩︎
361:5 C’est-à-dire qui est un ascète mendiant. ↩︎
361:6 Cf. p. 173 supra, note 9. Il donne ici une description du troisième ordre de forestier, à propos duquel comparer généralement Manu VI. ↩︎
361:7 D’abord les produits de la jungle, puis l’air, etc., Arguna Misra. Il semble que les restrictions devraient devenir progressivement plus strictes. Cf. Manu VI, 24-31 ; Âpastamba II, 9, 22, 2 s. ; II, 9, 23, 2. ↩︎
361:8 C’est-à-dire toute restriction qu’il s’est imposée en entrant dans ce mode de vie particulier. ↩︎
362:1 C’est-à-dire des autres pour obtenir davantage, et ainsi de suite. La lecture d’Arguna Mişra est différente, et il le traduit par « celui par qui la règle de vie en tant que Brahmaşārin n’a pas été violée ». ↩︎
362:2 Lecture d’Arguna Misra, « celui qui a rejeté (tout attachement au) corps ». Comparer pour les cheveux et la moustache, Manu VI, 6 seq. ↩︎
362:3 Voir Gîtâ, p. 127. Ici, le sens est probablement assidu dans l’accomplissement des devoirs, des vœux, etc. ↩︎
362:4 C’est-à-dire qu’il s’applique à ses devoirs. ↩︎
362:5 Arguna Misra dit que cela signifie ânandâsramam, mais il doit y avoir une mauvaise copie ici. Je prends le mot tel qu’il est pour signifier quelque chose comme les « dons divins » de la Gîtâ, p. 114. ↩︎
362:6 Voir Gîtâ, pp. 54, 127. Le sens ici est probablement celui d’une action sans égoïsme. Voir Gîtâ, p. 55. ↩︎
362:7 C’est-à-dire qu’Arguna Misra dit : « Pas la nuit. » Les lectures sont insatisfaisantes. Je lis kritvâ vahnim, mais avec hésitation. S’agit-il d’une allusion à la règle d’Âpastamba II, 9, 21, 10 ? Cf. Gautama III, 27. ↩︎
362:8 Cf. Kaushîtaki, p. 32. ↩︎
362 : 11 Cf. Manu VI, 56 ans ; Gautama III, 15. ↩︎
363:1 C’est-à-dire, je suppose, pour éviter de nuire au confort des autres. Et voir la dernière note. ↩︎
363:2 Voir Manu VI, 55. Quant au moment propre plus loin, voir la dernière note. ↩︎
363:3 Cf. Sanatsugâtîya, pp. 45-147 ; « sans respect » dans la Gîtâ, p. 120, signifie probablement avec irrespect, sinon ce passage et celui-ci seraient quelque peu incohérents. Voir aussi Manu II, 162. ↩︎
363 : 4 Cf. Manu II, 56 ans ; Gîtâ, p. 118 ; et p. 269 ci-dessus. ↩︎
363:5 Comme cet autre pourrait ne rien obtenir s’ils partent ensemble, Arguna Misra Cf. Manu VI, 51. ↩︎
363:6 Cf. Gautama III, 21. ↩︎
364:1 C’est-à-dire pas très rapide, Arguna Misra ; ‘le chemin étant indiqué par le soleil’ = pas la nuit, de peur de détruire les vers, etc. ↩︎
364:2 Cela semble très proche de la pratique des Gainas d’aujourd’hui. Et cf. Manu VI, 69. ↩︎
364 : 4 Cf. Gîtâ, p. 114, et cf. aussi Sanatsugâtîya, p. 153. ↩︎
364:5 C’est-à-dire obtenu sans violation d’aucune obligation contraignante, ou règle des Sâstras. ↩︎
364:7 Ce n’est pas très clair, et les commentaires d’Arguna Misra sont inintelligibles. Le sens semble être le suivant : « Il ne doit pas prendre plus que nécessaire, ni conserver des réserves pour les donner aux autres, mais doit partager immédiatement avec les autres tout ce qu’il a gagné. » ↩︎
365:1 Arguna Misra dit que cela signifie que s’il les veut pour un but particulier, il doit prendre la terre, etc. ↩︎
365:2 C’est-à-dire apparemment, pris en possession et conservé comme sien par quelqu’un. ↩︎
365:3 Arguna Misra traduit cela par « qui mènent à l’action ». Ne s’agit-il pas plutôt des « gains spontanés » de la Gîtâ, p. 60 ? ↩︎
365 : 4 Cf. Manu III, 64 ans ; Âpastamba I, 6, 18, 18 ; Gautama XVII, 7. ↩︎
365:5 C’est-à-dire enseigner celui qui ne demande pas à être instruit. Cf. Manu II, 110. ↩︎
365:6 Cf. Gîtâ, p. 60 ; le mot original, cependant, n’est pas le même. ↩︎
365:7 Voir p. 360, note [^1815] supra ; Manu II, 54-55 ; Gautama IX) 59. « Controverses » ; l’original est nimitta, et l’interprétation est ce qui semble être celle d’Arguna Misra. Cela peut aussi signifier « présages ». Que ce soit le vrai sens apparaît dans Manu VI, 50. ↩︎
365:9 Aguna Misra dit : « par exemple, je viendrai à vous demain pour l’aumône », etc. Cf. Âpastamba I, 6, 19, 12. ↩︎
365:10 Les mots sont les mêmes que dans la Gîtâ, p. 54, « garder les gens (à leurs devoirs), » mais le sens semble être différent. Les commentateurs ne disent rien à ce sujet. ↩︎
366:2 Autrement dit, il ne faut pas envisager l’avenir avec des aspirations ou des attentes, et il ne faut pas regarder le passé avec tristesse. Arguna Misra. Voir aussi p. 170, note 9 supra. ↩︎
366:3 Je ne suis pas sûr que ce soit une interprétation correcte. Mais il semble peu probable que l’autre sens possible – littéralement « attendre le temps » – puisse être visé ici. ↩︎
366:4 Ceci est obscur. Le sens est-il qu’il ne faut pas observer, ni penser, ni parler mal ou du mauvais côté des choses ? ↩︎ ↩︎ ↩︎
366:8 Cf. Gîtâ, p. 48, où les mots originaux sont les mêmes. ↩︎ ↩︎ ↩︎
367 : 2 Ce sont des effets de Prakriti par lesquels le Purusha n’est pas affecté. ↩︎ ↩︎ ↩︎
367:4 Ceci est obscur. Le texte d’Arguna Misra est nisikityam. Cela signifie-t-il « qui doit être compris avec précision » ? La traduction dans le texte de la lecture de Nîlakantha peut signifier que le Brahman n’a pas de pensées (kintâ) telles que celles mentionnées dans la Gîtâ, p. 115. ↩︎ ↩︎ ↩︎
367:6 C’est-à-dire qu’ils sont libres de naissance et de mort. Cf. Âpastamba I, 8, 22, 4. ↩︎ ↩︎ ↩︎
367:7 Ceci, encore une fois, n’est pas tout à fait clair. L’explication se trouve probablement dans le passage de la Gîtâ p. 79. ↩︎ ↩︎ ↩︎
367:8 La lecture de Nîlakanthaa est « observances ou vœux ». ↩︎ ↩︎ ↩︎
367:9 C’est-à-dire « ne pas être acquis par inférence », Arguna Misra, p. 35, supra. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
367:10 Voir p. 309 supra ; « qui est sans symboles et connaît la piété », selon la lecture d’Arguna Misra. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
368:1 Voir p. 159 supra, note 7, et cf. Manu III, 109, qui est le texte mentionné dans la note 5. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
368 : 2 C.-à-d. perception directe du Brahman. Voir Gîtâ, p. 57, note 5. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
368 : 3 Voir p. 160 supra, note 8, et cf. aussi Manu II, 110. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
368:4 Arguna Misra compare la Gîtâ, p. 55, à propos de « l’ébranlement des convictions ». ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
368:6 Cela signifie, je suppose, le bien consacré à l’action et non à la connaissance seulement. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎