1. [1] Il lui fait alors offrir le sacrifice d’un Sthâlîpâka sacré à Agni.
2. La femme décortique (les grains de riz à partir desquels ce Sthâlîpâka est préparé).
3. Après qu’il a cuit (le Sthâlîpâka), et qu’il a aspergé (Âgya) dessus, et qu’il l’a retiré du feu vers l’est ou le nord, et qu’il a aspergé (Âgya) dessus pendant qu’il se tient (là près du feu), (les cérémonies) depuis le fait de mettre du bois sur le feu jusqu’aux oblations Âgyabhâga (sont accomplies), et pendant qu’elle le saisit, il sacrifie de ce Sthâlîpâka.
4. L’étalement sous et l’aspersion sur (de Âgya sont effectués) une fois ; deux Avadânas (ou portions coupées sont prises).
5. Agni est la divinité (de la première oblation) ; l’offrande est faite avec le mot Svâhâ.
6. [2] Ou il peut sacrifier après avoir choisi, une fois, une portion (de la nourriture sacrificielle avec la cuillère Darvi).
7. Agni Svishtaktt est la deuxième (déité).
8. (Lors de l’oblation Svishtaktt) l’« étalement sous » et la prise d’un Avadâna sont effectués une fois, l’aspersion sur (d’Âtya) deux fois.
9. L’Avadâna pour la première divinité (est pris) du milieu (du Sthâlîpâka) ;
10. On l’offre au centre (du feu). [ p. 265 ]
11. (L’Avadâna) pour la deuxième (déité est prise) de la partie nord (du Sthâlîpâka) ;
12. Il est offert sur la partie orientale de la partie nord (du feu).
13. [3] Après avoir oint silencieusement (une partie du) Barhis (en le trempant) dans les restes à la fois (du Sthâlîpâka et de l’Âya) de la manière prescrite (dans le ya) de la manière prescrite (dans le rituel Srauta) pour la (partie du Barhis appelée) Prastara, il jette (cette partie du Barhis) dans le feu.
14. [4] (La règle concernant) la deuxième aspersion (d’eau autour du feu) est valable (ici).
15. Il donne (les restes de) cette (nourriture sacrificielle) avec du beurre à un Brâhmana à manger —
16. [5] Qu’il vénère. À celui-là (Brâhmana) il fait présent d’un taureau.
17. De même, à l’exception du don sacrificiel, ils doivent désormais sacrifier un Sthâlîpâka, les jours de nouvelle et de pleine lune, après avoir jeûné.
18. Certains disent qu’un récipient plein (de grain) est le don sacrificiel.
19. [6] À partir de ce moment-là, il devra offrir matin et soir de sa main ces deux oblations (à Agni et à Agni Svishtaktt) de grains (de riz) ou d’orge. [ p. 266 ]
20. Les divinités sont les mêmes que celles du Sthâlîpâka (qui vient d’être décrit).
21. Certains disent que la première oblation du matin est sacrée pour Sûrya.
22. [7] Avant et après (ces oblations) l’aspersion (d’eau) autour (du feu est effectuée) comme indiqué ci-dessus.
23. [8] Par le sacrifice de la nouvelle et de la pleine lune, les autres cérémonies ont été expliquées (la connaissance de) qui découle de la pratique.
24. Les divinités (de ces rites) sont, comme indiqué (en ce qui concerne chaque cas particulier), ayant leur place entre Agni (Sûtra 5) et Svishtaktt (Sûtra 7).
25. [9] Le sacrifice (d’une vache) à l’arrivée d’un invité (doit être effectué comme indiqué ci-dessous) sans modifications.
26. [10] (Les divinités) de la cérémonie Vaisvadeva sont les Visve devâs,
27. [11] Des cérémonies accomplies les jours de pleine lune, le jour de pleine lune où elles sont accomplies.
1. [12] Lors des cérémonies d’ouverture et de conclusion de l’étude védique, le Rishi qui est indiqué (comme le [ p. 267 ] Rishi du Kânda qu’ils étudient, est la divinité à laquelle appartient la cérémonie),
2. Et en second lieu Sadasaspati (cf. Mantrap. I, 9, 8).
3. Ils rejettent un sacrifice accompli par une épouse ou par quelqu’un qui n’a pas reçu l’initiation Upanayana, ainsi qu’un sacrifice de nourriture salée ou piquante, ou de nourriture mélangée à une sorte de nourriture méprisée.
4. Les sacrifices liés à des souhaits particuliers et les sacrifices de Bali (devraient être exécutés) comme indiqué (même contre les clauses du dernier Sûtra).
5. Chaque fois que le feu s’allume de lui-même, il doit mettre deux morceaux de bois dessus avec les deux suivants (versets : M. I, 9, 9-10),
6. Ou avec (les deux formules), « Que la fortune m’atteigne ! Que la fortune vienne à moi ! »
7. Qu’il remarque le jour où il ramène sa femme à la maison.
8. (À partir de ce jour) pendant trois nuits, ils dormiront tous deux à même le sol, ils seront chastes et éviteront le sel et les aliments piquants.
9. Entre leurs lieux de couchage est interposé un bâton, qui est oint de parfums et entouré d’un vêtement ou d’un fil.
10. Dans la dernière partie de la quatrième nuit, il prend le bâton avec les deux versets suivants, le lave et le range ; puis les cérémonies, depuis la mise du bois sur le feu jusqu’aux oblations de l’Âriyabhâga, sont accomplies, et tandis qu’elle le saisit, il sacrifie les oblations indiquées par les mantras suivants, puis il entreprend l’accomplissement du Gaya et des oblations suivantes, et accomplit les rites jusqu’à l’aspersion d’eau autour du feu. Puis il la fait asseoir à l’ouest du feu, face à l’est, et verse un peu d’Âriya des restes (de ces oblations) sur sa tête avec les (trois) Vyâhritis et le mot Om comme quatrième (M. I, 10, 10-13). Puis ils se regardent avec les deux versets suivants (M. I, 11, 1-2), selon les caractéristiques (contenues dans ces versets) ; avec le verset suivant (M. I, 11, 3) il enduit la région de leurs cœurs avec les restes d’Âriya ; puis il doit murmurer les trois versets suivants (I, 11, 4-6), et doit murmurer le reste (de l’Anuvâka ; I, 11, 7-11) lorsqu’il cohabite avec elle.
11. Ou une autre personne devrait réciter (le reste de l’Anuvâka) sur elle, (avant qu’ils ne cohabitent).
12. [13] Pendant sa (première) maladie mensuelle, il l’instruit sur les choses interdites (aux femmes menstruées), contenues dans le Brâhmana, dans la section, « Une femme menstruée avec qui », etc.
13. Après l’apparition de sa maladie mensuelle, il devra, lorsqu’il ira cohabiter avec elle après sa maladie, réciter sur elle, après qu’elle se soit baignée, les versets suivants (M. I, 12, 1-13, 4).
1. Chaque nuit suivante avec un nombre pair, de la quatrième (après le début de sa maladie mensuelle) jusqu’à la seizième, leur apporte une progéniture plus excellente, si elle est choisie pour la (première) cohabitation après sa maladie ; ainsi est-il dit.
2. S’il éternue ou tousse en vaquant à ses occupations, il touchera de l’eau et murmurera les deux versets suivants (M. I, 13, 5. 6) selon les caractéristiques (qu’ils contiennent).
3. De la même manière avec le suivant (Mantras — M. I, 13, 7-10 — il devrait s’adresser aux objets suivants), selon les caractéristiques (que contiennent ces Mantras) : un arbre remarquable, un tas d’excréments, le pan (de son vêtement) qui est soufflé contre lui par le vent, et un oiseau hurlant.
4. Celui (par exemple, le père de l’épouse) qui souhaite que les cœurs des deux (mari et femme) soient en accord doit observer la chasteté pendant au moins trois nuits et préparer un Sthâlîpâka. Puis (les cérémonies) sont accomplies, depuis le dépôt du bois sur (le feu) jusqu’aux oblations Ânyabhâga ; et tandis que l’épouse le saisit, il sacrifie du Sthâlîpâka les oblations (indiquées par le) suivant (Mantras ; M. I, 14, 1-7) ; puis il entreprend l’accomplissement du Gaya et des oblations suivantes, et accomplit (les rites) jusqu’à l’aspersion (d’eau) autour (du feu). (Les restes de) la (nourriture sacrificielle) avec du beurre, il les donnera à manger à un nombre pair de Brâhmanes, au moins à deux, et il leur fera formuler des vœux pour son succès.
5. [14] Lorsque la lune, le jour suivant, sera en conjonction avec Tishya, elle répandra trois fois sept grains d’orge autour de la plante Clypea Hernandifolia avec la formule suivante : « Si tu appartiens à Varuna, je te rachète de Varuna. Si tu appartiens à Soma, je te rachète de Soma. » [ p. 270 ]
6. Le jour suivant, elle redressera (la plante) avec le verset suivant (M. I, 15, 1), récitera les trois versets suivants (M. I, 15, 2-4) dessus, attachera (sa racine) avec le verset suivant (M. I, 15, 5) à ses mains afin que (son mari) ne la voie pas, et, lorsqu’ils seront couchés, elle embrassera son mari dans ses bras, le verset faisant allusion au mot upadhâna (‘revêtir’ ; M. I, 15, 6).
7. Ainsi il lui sera soumis.
8. Par ce (rite) aussi (une épouse) triomphe de ses coépouses.
9. Dans ce même but, elle adore le soleil quotidiennement avec le prochain Anuvâka (M. I, 16).
10. Si une femme est atteinte de consomption ou est malade d’une autre manière, celui qui doit observer la chasteté, doit frotter ses membres avec de jeunes feuilles de lotus qui sont encore enroulées, et avec des racines de lotus, avec les (formules, membre par membre) suivantes selon les caractéristiques (contenues dans ces formules ; M. I, 17, 1-6), et doit jeter (les feuilles et les racines) vers l’ouest.
11. Avec les (versets suivants ; M. I, 17, 7-10) il devrait donner le vêtement de l’épouse (qu’elle a porté au mariage [?]) à (un Brâhmana) qui connaît cette (cérémonie).
264:1 7, 1 seq. Hiranyakenin I, 7, 23, 2 seq. ↩︎
264:6 Quant à la signification technique de upahatya ou upaghâtam, voir la note sur Gobhila I, 8, 2 ; Grihya-sarigraha I, 111. ↩︎
265:13 Comp. Srauta-sūtra III, 5, 9 seqq. — Sur le prastara, voir Hillebrandt, Neu- et Vollmondsopfer, ↩︎
265:14 Voir ci-dessus, I, 2, 8. Les upahomas prescrits ci-dessus, I, 2, 7, ne sont pas exécutés ici, mais le deuxième parishekana l’est. ↩︎
265:16 J’ai modifié dans ma traduction la division des deux phrases. Comp. Hiranyakeinin I, 7, 23, 5-6, et la note qui s’y trouve. ↩︎
265:19 Les deux oblations quotidiennes régulières correspondant à l’Agnihotra du rituel Srauta. ↩︎
266:22 Voir I, 2, 3. 8. ↩︎
266:23 Voir I, 1, 1. ↩︎
266:25 Voir ci-dessous, V, 13, 16. ↩︎
266:26 Voir Âpastamba Dharma-sūtra II, 2, 3, 1 (SBE, vol. ii, p. 103). ↩︎
266:27 Par exemple, le Srâvaî paurî paurî pauramâsî est la divinité de la cérémonie décrite ci-dessous, VII, 18, 5 seq. ↩︎
266:1 8, 1. Haradatta observe qu’au kâ
268:12 Taittiriya Samhit II, 5, 1, 6 seq. ↩︎
269:5 9, 5. Comp. Gobhila II, 6, 6 seq. ↩︎