1. Après avoir étudié le Véda, au moment de prendre le bain (qui signifie la fin de son étude), il entre dans une étable avant le lever du soleil, accroche à sa porte une peau avec les cheveux à l’intérieur et s’y assoit.
2. Ce jour-là, le soleil ne devrait pas briller sur lui.
3. [1] À midi, après que (les cérémonies) depuis le fait de mettre (du bois) sur le feu jusqu’aux oblations d’Âsyabhâga (aient été accomplies), il met un morceau de bois de Palâsa sur (le feu) avec le (verset ; M. II, 7, 1) suivant, s’assoit à l’ouest du feu sur une natte ou sur de l’herbe erakâ, récite le (verset, II, 7, 2) suivant sur un rasoir, et le remet au barbier avec le Yasus suivant (II, 7, 3). (Les rites) commençant par le versement d’eau (chaude et froide) jusqu’à l’enterrement des cheveux sont les mêmes que ci-dessus (comp. M. II, 7, 4).
4. Il s’assoit derrière l’étable, enlève la ceinture et la remet à un Brahmakârin.
5. Le (Brahmakârin) le cache avec le prochain Yakus (II, 7, 5) à la racine d’un arbre Udumbara ou dans une touffe d’herbe Darbha.
6. [2] Avec l’eau de la description indiquée ci-dessus, il [ p. 276 ] se baigne avec les six suivants (versets ; II, 7, 6-11), et avec le suivant (II, 7, 12) il nettoie ses dents avec un bâton de bois d’Udumbara.
7. Après avoir lavé et shampouiné son corps avec des ingrédients utilisés pour le bain (poudre aromatique, etc.),
8. Il revêt avec le Yagus suivant (M. II, 7, 13) un sous-vêtement propre, et s’oint, après avoir donné le baume aux divinités avec le suivant (Mantras, II, 7, 14), avec le suivant (verset, II, 7, 15) avec un baume de santal parfumé de toutes sortes de parfums. Avec le suivant (verset, II, 7, 16) il fait circuler une pastille d’or avec sa monture, qui est enfilée sur un cordon, trois fois de gauche à droite dans un pot à eau ; avec le suivant (verset, II, 7, 17) il attache la pastille à son cou ; de la même manière, sans Mantras, il attache une boulette de bois de Bâdara à sa main gauche, et répète les rites énoncés ci-dessus avec un vêtement supérieur frais, avec les (versets), ‘Que le riche’ (comp. ci-dessus, IV, 10, 10 ; M. II, 7, 18).
9. À la jupe (de ce vêtement) il attache deux boucles d’oreilles, les met dans la (cuillère sacrificielle appelée) Darvi, offre les oblations (indiquées par le) prochain (Mantras ; M. II, 8, 1-8), versant l’Âgya sur (les boucles d’oreilles), et commence (l’accomplissement de) la Gaya et des oblations suivantes.
10. Après avoir accompli (les cérémonies) jusqu’à l’aspersion (d’eau) autour (du feu), il doit attacher (une des boucles d’oreilles) avec les mêmes (versets) à son oreille droite, et avec les mêmes (versets) à son oreille gauche.
11. De même, il doit, selon les caractéristiques qui y sont contenues, mettre une couronne sur sa [ p. 277 ] tête, oindre ses yeux, se regarder dans un miroir, mettre des chaussures, et prendre un parasol et un bâton.
12. Il garde le silence jusqu’à ce que les étoiles apparaissent.
13. Quand les étoiles sont apparues, il s’en va vers l’orient ou le nord, adore les quartiers (de l’horizon) avec l’hémistiche suivant, et les étoiles et la lune avec le suivant (M. II, 9, 6).
14. Après avoir parlé avec un ami, il peut aller où il veut.
1. Voici une autre façon d’accomplir le Samâvartana : il se baigne silencieusement dans un lieu de baignade et met silencieusement un morceau de bois sur le feu.
2. [3] Il s’assoit sur une touffe d’herbe, comme indiqué ci-dessus (comp. M. II, 9, 7), à l’endroit où ils vont l’honorer (avec la réception d’Argha).
3. Un roi et un chef (s’assoient) de la même manière (qu’un Brâhmana), avec les deux suivants (formules, M. II, 9, 8. 9), selon les caractéristiques (contenues en eux).
4. (L’hôte) annonce (à l’invité) : « L’eau pour laver les pieds ! »
5. [4] (L’invité) doit réciter le verset suivant (II, 9, 10) sur (cette eau) et doit tendre le pied droit en premier vers un Brâhmana, le gauche vers un Sûdra.
6. Après avoir touché celui qui le lave, il doit se toucher lui-même (c’est-à-dire son propre cœur) avec le suivant (formule, M. II, 9, II).
7. (L’hôte, prenant l’eau d’Argha) dans un [ p. 278 ] récipient en terre qu’il tient avec deux touffes d’herbe, annonce (à l’invité) : « L’eau d’Argha ! »
8. (L’invité) doit réciter la prochaine (formule, II, 9, 12) sur (cette eau) et doit murmurer le prochain Yagus (II, 9, 13), tandis qu’une partie (de l’eau) est versée sur ses mains jointes.
9. Sur le reste (de l’eau) qui est versé vers l’est, il récite le suivant (verset, M. II, 9, 14).
10. (L’hôte) verse du lait caillé et du miel dans un récipient en laiton, le recouvre d’un plus grand (couvercle en laiton), le saisit avec deux touffes d’herbe et annonce (à l’invité) : « Le mélange de miel ! »
11. Certains prennent trois substances (celles mentionnées précédemment) et du ghee.
12. Certains en prennent cinq (les trois mentionnés précédemment), des grains et de la farine.
13. L’invité récite les deux (formules, M. II, 10, 1. 2) suivantes sur (le mélange de miel) et boit de l’eau avec les deux Yagus (II, 10, 3. 4) avant (de manger) et après ; avec le (verset, II, 10, 5) suivant, il doit partager trois fois (la nourriture) et doit donner le reste à une personne envers laquelle il est bien disposé.
14. Un roi ou un chef ne devrait l’accepter et le donner qu’à son Purohita.
15. (L’hôte) annonce la vache avec (le mot), « La vache ! »
16. Après que l’invité a récité la formule suivante (M. II, 10, 6), il refroidit l’épiploon de la vache, et après avoir répandu et aspergé l’épiploon, il le sacrifie avec le verset suivant (M. II, 10, 7) avec une feuille de Palâsa prise au milieu ou à l’extrémité (de la tige). [ p. 279 ]
17. Si l’invité choisit de lâcher (la vache), il murmure la formule suivante (II, 10, 8-11) à voix basse (et dit) à voix haute : « Om ! Lâche-la ! » (II, 10, 12).
18. (Dans ce cas) il récite la (formule suivante, M. II, 10, 13-17) à voix basse sur la nourriture qui lui est annoncée (au lieu de la vache), (et dit) à haute voix : « Om ! Préparez-la ! » (II, 10, 18).
19. Pour son maître, pour un Ritvig, pour son beau-père, pour un roi, il doit accomplir cette (cérémonie d’Arghya) aussi souvent qu’ils visitent sa maison, si au moins un an s’est écoulé (depuis leur dernière visite).
20. Pour un enseignant renommé (du Veda, la cérémonie doit être effectuée) une fois.