[ p. 12 ]
[ p. 13 ]
1. [1] Nous allons désormais expliquer les sacrifices domestiques.
2. Il doit accomplir (les cérémonies) en portant le cordon sacrificiel sur son épaule gauche et en ayant bu une gorgée d’eau.
3. Pendant la course du soleil vers le nord, au moment de la lune croissante, un jour propice, avant midi : il doit savoir que c’est le moment (propre) (pour accomplir les cérémonies).
4. Et comme la prescription (est énoncée en ce qui concerne le temps des cérémonies individuelles).
5. [2] Toutes les cérémonies sont accompagnées par l’Anvâhârya (Srâddha). [ p. 14 ]
6. [3] À la fin (de chaque cérémonie), il doit nourrir les dignes (Brâhmanas) selon ses capacités.
7. [4] Un étudiant, après avoir étudié le Véda, lorsqu’il va mettre le dernier morceau de bois (sur le feu), —
8. Ou saisir la main d’une femme (c’est-à-dire l’épouser),—
9. [5] Il doit puiser de l’eau dans un endroit caché, balayer un endroit incliné vers le nord-est ou plat, et l’enduire de bouse de vache. En partant du centre, il doit tracer une ligne d’ouest en est, une autre ligne du sud au nord qui touche cette ligne à son extrémité ouest, et trois lignes d’ouest en est (touchant la ligne orientée vers le nord en trois points différents) en son milieu (c’est-à-dire à aucune de ses extrémités). Il doit ensuite asperger ces lignes d’eau.
10. De cette façon, le Lakshana (c’est-à-dire la préparation du lieu pour le feu sacré) est effectué partout.
11. Avec les mots « Bhûr, bhuva_h_, sva_h_ », ils portent le feu vers l’avant (à cet endroit) de sorte qu’ils l’ont devant eux.
12. [6] Ou après la mort du chef de famille, le chef [ p. 15 ] (de la famille) devrait le faire (c’est-à-dire qu’il devrait allumer le feu sacré).
13. De cette façon, lors de la coïncidence d’un Tithi (de bon augure) et d’un Nakshatra (de bon augure), (ou d’un tel Nakshatra) et d’un Parvan—
14. Le jour de la pleine lune ou le jour de la nouvelle lune : alors il doit célébrer l’allumage de son feu (domestique sacré).
15. [7] Il devrait prendre du feu dans la maison d’un Vaisya ou dans une poêle à frire, et devrait l’installer (comme son feu sacré) ;
16. Ou (il devrait le chercher) dans la maison de celui qui offre de nombreux sacrifices, que ce soit un Brâhmana, ou un Rânanya, ou un Vainya.
17. Ou bien il peut allumer un autre feu par attrition et le déclencher.
18. C’est pur, mais cela n’apporte pas la prospérité.
19. Il peut faire ce qu’il veut (des choses déclarées comme admissibles dans les derniers Sûtras.
20. [8] Lorsqu’il met (à la fin de son stage) le dernier morceau de bois (sur le feu), ou lorsqu’il sacrifie en allant saisir la main d’une femme, il doit garder ce feu.
21. Cela devient son feu domestique (sacré).
22. [9] Ainsi, son oblation matinale a été offerte. [ p. 16 ]
23. [10] A partir de ce moment-là, le sacrifice (des oblations régulières du matin et du soir) dans le feu domestique est prescrit, de sorte qu’il commence par une oblation du soir.
24. Avant que le moment d’allumer le feu soit venu, il doit aller chercher le soir et le matin dans un endroit caché l’eau avec laquelle les différents actes (comme siroter de l’eau) sont accomplis.
25. Ou (il devrait aller chercher de l’eau seulement) le soir.
26. Ou bien il le tirerait d’une cruche ou d’un tonneau.
27. [11] Avant le coucher du soleil, il doit allumer le feu et sacrifier l’oblation du soir après le coucher du soleil.
28. Le matin, il allumera le feu avant le lever du soleil, et il sacrifiera l’oblation du matin avant le lever du soleil ou après lui.
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1. [12] Il prend comme yaggopavîta (c’est-à-dire cordon sacrificiel) une ficelle, ou un vêtement, ou simplement une corde d’herbe Kuga. [ p. 17 ]
2. Levant son bras droit, mettant la tête dans (l’upavîta), il suspend (la corde) par-dessus son épaule gauche, de sorte qu’elle pend sur son côté droit : ainsi il devient yaggopavîtin.
3. Levant son bras gauche, mettant la tête dans (l’upavîta), il la suspend par-dessus son épaule droite, de sorte qu’elle pend sur son côté gauche : ainsi il devient prâ<ikînâvîtin.
4. Prâkînâvîtin, cependant, il n’est présent qu’aux sacrifices offerts aux Mânes.
5. [13] S’étant éloigné du feu vers le nord, après s’être lavé les mains et les pieds, et s’être assis, il doit boire de l’eau trois fois et s’essuyer (l’eau) deux fois.
6. Après avoir aspergé ses pieds (d’eau), qu’il asperge sa tête.
7. Qu’il touche les organes de ses sens avec de l’eau :
8. Les deux yeux, le nez, les deux oreilles.
9. Tout ce qui (membre de son corps) requiert sa considération (qu’il soit pur ou non), il le touchera avec de l’eau (c’est-à-dire avec une main mouillée).
10. Ici ils disent :
11. Qu’il ne se touche pas (avec de l’eau, ou ne boive pas d’eau) en marchant,
12. Ni debout,
13. Ni rire,
14. Sans regarder autour de soi,
15. Ni sans se baisser, [ p. 18 ]
16. Ni (jeter l’eau) avec ses doigts,
17. [14] Ni sauf avec le (propre) Tîrtha,
18. Sans émettre un son,
19. Ni sans regarder (l’eau),
20. [15] Ni avec ses épaules en arrière,
21. [16] Ne portant pas une partie de son sous-vêtement comme s’il s’agissait d’un vêtement supérieur,
22. Ni avec de l’eau chaude,
23. Ni avec de l’eau mousseuse,
24. Et en aucun cas porter des sandales,
25. [17] (Pas) avec un turban sur la tête (?),
26. (Pas avec son vêtement) noué autour de son cou,
27. Et n’étendant pas ses pieds.
28. [18] Lorsqu’il a enfin touché (l’eau) à nouveau, il devient pur.
29. [19] Qu’il ne boive cependant que de l’eau qui atteint son cœur.
30. Car s’il agit autrement, il reste impur.
31. Voici maintenant les cas où il doit toucher (l’eau) une seconde fois. [ p. 19 ]
32. [20] Après avoir dormi, mangé, éternué, pris un bain, bu quelque chose, changé (de vêtements), marché sur la grande route ou être allé au cimetière, il doit boire de l’eau à petites gorgées, puis boire à nouveau de l’eau.
1. [22] Après avoir mis du bois sur le feu (sacré), après avoir balayé (le sol) autour de lui, il doit, en pliant son genou droit, verser au sud du feu ses mains jointes pleines d’eau avec (les mots) : « Aditi ! Donne ton consentement ! »
2. À l’ouest avec (les mots) : « Anumati ! Donne ton consentement ! »
3. Au nord avec (les mots), ‘Sarasvatî ! Donne ton consentement !’
4. Avec (les mots) « Dieu Savitri ! Donne ton impulsion ! » (Mantra-Brâhmana I, 1, 1), il doit asperger (d’eau) autour du feu une ou trois fois de manière à garder son côté droit tourné vers lui.
5. Intervertir les points où il commence et termine (l’aspersion d’eau), et asperger de manière à englober ce qu’il va offrir (avec
7 ms d’eau).
6. [23] Qu’il fasse ensuite des oblations de la nourriture sacrificielle, préparée ou crue, sur le feu. [ p. 20 ]
7. [24] S’il est cru, il doit le sacrifier après l’avoir lavé et avoir laissé l’eau s’égoutter.
8. S’il s’agit de lait caillé, de lait ou de bouillie de riz, (il doit le sacrifier) avec un bol en bronze, ou avec le pot dans lequel sont préparées les oblations de riz bouilli, ou encore avec la (cuillère sacrificielle appelée) Sruva ;
9. [25] [26] Le soir la première (oblation) avec (la formule), ‘À Agni Svâhâ!’ la seconde silencieusement, au milieu et dans la partie nord-est (du feu) ;
10. Le matin la première (oblation) avec (la formule), ‘À Sûrya Svâhâ!’ la seconde encore silencieusement, encore au milieu et dans la partie nord-est (du feu).
11. Après avoir mis un morceau de bois (sur le feu) et l’avoir de nouveau aspergé (d’eau) tout autour, il doit verser à nouveau ses mains jointes pleines d’eau de la même manière (comme prescrit dans les Sûtras 1-3) ; dans les Mantras il dit : « Tu as donné ton consentement » (au lieu de « Donne ton consentement »).
12. [27] Après avoir fait le tour du feu de manière à tourner son côté droit vers lui, après avoir versé le reste de l’eau, rempli de nouveau le récipient et l’avoir remis (à sa place), (il peut faire) ce qu’il veut. [ p. 21 ]
13. [28] De cette façon, à partir du moment où il a commencé à offrir les deux sacrifices quotidiens, il doit sacrifier, ou doit avoir sacrifié, sur le feu domestique (sacré), jusqu’à la fin de sa vie.
14. Ici maintenant ils disent :
15. [29] « Si elle le souhaite, sa femme peut offrir les oblations du matin et du soir sur le feu domestique. Car sa femme est (pour ainsi dire) sa maison, et ce feu est le feu domestique. »
16. [30] Lorsque le repas du matin ou le repas du soir est prêt, il doit faire dire (à sa femme) : « C’est prêt ! »
17. D’une voix ininterrompue (?), s’étant rendu pur,
18. [31] Il répond à voix haute : « Om ! » Puis à voix basse : « À cela (la nourriture), j’apporte mon adoration. Puisse-t-elle ne pas faillir ! »
1. [32] Il devrait alors offrir silencieusement les Balis.
3. Il doit ensuite prendre une portion de nourriture qui est propre au sacrifice, doit verser dessus un liquide propre au sacrifice (comme du ghee, du lait ou du caillé), et doit le sacrifier silencieusement dans le feu avec sa main.
4. La première oblation est consacrée à Pragâpati, la seconde à (Agni) Svishgakgt.
5. Il doit ensuite offrir les Balis, à l’intérieur ou à l’extérieur (l’Agnyagâra), après avoir bien nettoyé le sol.
6. Qu’il verse de l’eau une fois, qu’il mette des Balis à quatre endroits, et enfin qu’il asperge une fois (d’eau sur les quatre Balis).
7. Ou qu’il asperge (d’eau) avant et après chaque Bali qu’il pose.
8. Ce qu’il place en premier, c’est le Bali appartenant à la Terre. Ce qui en second lieu, à Vâyu. Ce qui en troisième lieu, aux devâs Visves. Ce qui en quatrième lieu, à Prasâpati.
9. [33] Il doit ensuite offrir d’autres Balis (près) du pot à eau, du poteau du milieu et de la porte : le premier Bali est consacré aux Eaux, le deuxième aux Herbes et aux Arbres, le troisième à l’Éther. [ p. 23 ]
10. Il doit ensuite offrir un autre Bali au lit ou dans les toilettes. Ce Bali appartient soit à Kâma, soit à Manyu.
11. [34] Puis (un autre Bali) sur le tas de balayures ; cela (appartient) aux armées de Rakshas.
12. Les restes des Balis, il les aspergera d’eau et les répandra vers le sud, de droite à gauche ; ils appartiennent aux Pères.
13. Qu’il sacrifie dans le feu assis.
14. Qu’il fasse l’oblation aux Pères assis ; l’autre (Balis) il pourra l’offrir selon qu’il le souhaite.
15. Il devrait cependant offrir lui-même ces Balis tant qu’il reste à la maison.
16. Ou une autre personne qui doit être un Brâhmana (devrait les lui offrir).
17. Le mari et sa femme (devraient leur offrir) :
18. C’est la règle pour les chefs de famille.
19. [35] La femme le soir, l’homme le matin : ainsi (est-il dit).
20. Il doit offrir de tels Balis de toute nourriture quelle qu’elle soit, qu’elle soit préparée pour les Pères, ou pour des buts propices (par exemple, pour être offerte aux Brâhmanas), ou pour des buts (ordinaires).
21. Seulement dans le cas d’un sacrifice (cette règle) cesse.
22. [36] Si du riz et de l’orge sont préparés pour un seul et même repas, il doit, après avoir offert (Balis) de l’un ou de l’autre (type de nourriture), considérer son devoir comme accompli.
23. [37] Si la nourriture est cuite à différents moments pour un même repas, il ne doit effectuer cette cérémonie de Bali qu’une seule fois.
24. Si la nourriture est préparée à différents endroits pour une même famille, il doit effectuer cette cérémonie de Bali uniquement à partir (de la nourriture préparée dans) la cuisine appartenant au chef de famille.
25. Cependant, celui dont la nourriture est prête avant celle du chef de famille doit offrir la portion prescrite dans le feu, donner sa part à un Brâhmane et manger lui-même.
26. Celui dont la nourriture est prête après celle du maître de maison, doit seulement manger.
27. Ici ils disent aussi :
28. « À la fin de cette offrande de Balis, qu’il prononce un vœu. Alors il s’accomplira. »
29. [38] Lui-même, cependant, doit offrir l’Âsasya Bali, de la récolte de l’orge à la récolte du riz, et de la récolte du riz à la récolte de l’orge. C’est ce qu’on appelle l’Âsasya Bali.
Ce Bali est appelé â-sasya, car il est offert jusqu’à ce que la prochaine récolte (sasya) soit mûre. Quant à la règle selon laquelle le sacrifiant doit l’offrir lui-même, voir ci-dessus, Sûtras 15-19. [ p. 25 ]
30. Ainsi il obtient une longue vie.
31. [39] Lorsqu’un don a été fait, il doit offrir un Bali de paille, d’écume de riz bouilli et d’eau. Ceci est sacré pour Rudra. Ceci est sacré pour Rudra.
[40].
1. Maintenant, aux moments de la nouvelle lune et de la pleine lune (les cérémonies suivantes sont accomplies).
2. [41] Qu’il jeûne ce jour de pleine lune (quand la pleine lune se lève) à la rencontre (du jour et de la nuit).
3. [42] Le lendemain, selon certains (enseignants).
4. Et le jour où la lune n’est pas visible, (il doit jeûner, en le considérant) comme le jour de la nouvelle lune.
5. Les fins des demi-mois sont le temps du jeûne, les commencements du sacrifice.
6. [43] Avec la nourriture sacrificielle du sacrifice de la nouvelle lune [ p. 26 ] il célèbre la première moitié (du mois), avec celle du sacrifice de la pleine lune la seconde.
7. [44] La pleine lune est la plus grande distance entre le soleil et la lune ; la nouvelle lune est leur plus proche approche.
8. Ce jour où la lune n’est pas visible, qu’il doit prendre comme jour de nouvelle lune.
9. Parfois, il peut aussi, alors que (la lune) est (encore) visible (l’accepter comme le jour de la nouvelle lune) ; car (déjà alors la lune) a fait son chemin.
10. [45] Le moment de la pleine lune est calculé de trois manières : (quand la pleine lune se lève à) la rencontre (du jour et de la nuit), ou quand elle se lève après le coucher du soleil, ou quand elle est haute (dans le ciel au coucher du soleil).
11. Maintenant, quel jour sera-t-il plein ?
12. La doctrine sur ce point doit être étudiée séparément [ p. 27 ]. Il faut l’étudier, ou vérifier séparément (la date exacte) du Parvan auprès de ceux qui le connaissent.
13. Or, le jour qui est le jour de jeûne, ce jour-là, dans la matinée, après avoir offert son oblation du matin, il enduit de bouse de vache la surface sur laquelle est placé le feu, de tous côtés.
14. Il prépare ensuite les morceaux de bois (qui doivent être mis sur le feu) – de Khadira ou de bois de Palâsa.
15. Si l’on ne peut obtenir du bois de Khadira ou de Palâsa, on peut utiliser du bois, dans la mesure où il sert à cet effet, de n’importe quel arbre, à l’exception du bois de Vibhîdaka, Tilvaka, Bâdhaka, Nîva, Nimba, Râsavsksha, Salmali, Aralu, Dadhittha, Kovidâra, Sleshmâtaka.
16. Le Barhis est constitué d’herbe Kusa coupée aux points où les lames divergent de la tige principale.
17. (Les lames doivent être) coupées près des racines lors (des cérémonies adressées aux) Pères.
18. Si cela (c’est-à-dire l’herbe Kusa) ne peut être obtenu, (il peut prendre) n’importe quelle sorte d’herbe, à l’exception de l’herbe Sûka, du roseau Saccharum, de l’herbe qui est susceptible de se briser, de l’herbe Balbasa, du Mutava, du roseau Amphidonax, du Ssn_sa.
19. [46] (Il doit préparer les choses suivantes, à savoir) Âgya, le riz ou l’orge à cuire pour le sacrifice, le pot dans lequel l’oblation de riz cuit (ou d’orge) est préparée, la louche, le Sruva, l’eau puisée dans un endroit caché—
20. Et les autres choses que nous mentionnerons au cours de (notre exposé du) rituel. [ p. 28 ]
21. Ce jour-là, il ne devra pas s’éloigner (de sa maison pour un voyage, etc.) ;
22. Même d’un endroit éloigné, il devrait retourner dans sa maison.
23. (Ce jour-là) il pourra acheter des biens à d’autres, mais ne pas les vendre (de tels biens).
24. Qu’il ne parle pas beaucoup.
25. Qu’il s’efforce de dire la vérité.
26. [47] L’après-midi, mari et femme, après s’être baignés, devraient manger un repas de jeûne qui leur plaise. Il devrait contenir du beurre (et être préparé) de manière appropriée.
1. [48] Ainsi a parlé Mânatantavya : « En effet, l’offrande d’un homme qui ne mange pas de nourriture de jour de jeûne ne doit pas être offerte.
2. Il devient impuissant. La faim l’assaillira. Il ne gagnera pas la faveur des gens. Sa descendance sera perverse.
3. « Mais celui qui mange de la nourriture de jeûne devient puissant. La faim ne l’atteindra pas. Il gagne la faveur des gens. Sa descendance sera encore plus bénie. »
4. [49] « C’est pourquoi (le mari et la femme) devraient manger la nourriture du jour de jeûne qui leur est agréable. »
5. Laissez-les dormir cette nuit-là sur le sol.
6. Ils devraient passer cette nuit de manière à alterner leur sommeil avec leur veille, en se divertissant avec des contes ou avec d’autres discours.
7. [50] Mais ils devraient éviter de faire quoi que ce soit d’impur (comme cohabiter ensemble).
8. On dit que lorsqu’on est en voyage, il ne faut pas jeûner.
9. Car (disent-ils, dans ce cas) l’observance doit être observée par sa femme.
10. Qu’il fasse (ici) ce qu’il veut.
11. De même, celui qui a allumé les feux (Srauta) doit jeûner,
12. Et (il doit observer) ce qui est prescrit par la tradition sacrée.
13. Maintenant, dans la matinée, après que (le sacrificateur) a offert son oblation matinale, et a fait le tour du feu par son devant, et a répandu au sud du feu de l’herbe de Darbha pointée vers l’est -
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14. [51] (Le Brahmane) se place à l’est de cette (herbe), face à l’ouest, et avec le pouce et l’annulaire de sa main gauche, il prend un brin d’herbe du siège du Brahmane et le jette au sud-ouest, dans la direction intermédiaire (entre le sud et l’ouest), avec (les mots) : « Le disperseur de richesses a été jeté. » [ p. 30 ]
15. Après avoir touché l’eau, il s’assoit sur le siège du Brahman, en disant : « Je m’assois sur le siège de la richesse. »
16. [52] Face au feu, il reste assis en silence, les mains jointes levées, jusqu’à la fin de la cérémonie.
17. Qu’il dise (seulement) ce qui se rapporte à l’accomplissement du sacrifice.
18. Qu’il ne dise pas ce qui est indigne du sacrifice.
19. S’il a dit quelque chose qui n’est pas digne du sacrifice, qu’il murmure un verset, ou un Yagus, consacré à Vishgu.
20. Ou qu’il dise seulement : « Adoration à Vishnu ! »
21. [53] Si quelqu’un désire cependant faire lui-même le travail du Hotri et celui du Brahman, il doit de la même manière placer sur le siège du Brahman un parasol, ou un vêtement extérieur, ou un pot à eau, ou un [ p. 31 ] traversin d’herbe Darbha, et il doit revenir de la même manière (qu’il est allé au siège du Brahman), puis il doit accomplir les autres (devoirs).
1. Il lave ensuite le mortier, le pilon et le panier à vanner, répand à l’ouest du feu l’herbe Darbha pointée vers l’est et pose (le mortier, etc.) sur (cette herbe).
2. [54] Il verse ensuite, avec un vase d’airain ou avec le pot dans lequel sont préparées les oblations de riz cuit, le grain destiné au sacrifice, riz ou orge—
3. En prononçant une fois le nom de la divinité (à laquelle l’offrande sera faite) : « Agréable à telle et telle (divinité), je te verse » ; deux fois (cela se fait) silencieusement.
4. [55] Puis, vers l’ouest, le visage tourné vers l’est, il commence à décortiquer le grain, la main droite posée sur la gauche.
5. Après que le grain a été vanné trois fois, il doit le laver trois fois (s’il est destiné) aux dieux, disent-ils, deux fois, s’il est destiné aux hommes, une fois, s’il est destiné aux Pères.
6. [56] Après avoir placé un purificateur (Darbha) (dans le pot [ p. 32 ] dans lequel l’oblation doit être préparée), il doit y verser le grain (dedans).
7. Il doit cuire le mélange de nourriture sacrificielle de manière à ce qu’il soit bien cuit, en le remuant (avec la louche) de gauche à droite.
8. Quand il est cuit, il doit l’asperger (Âgya), le retirer du feu vers le nord, et l’asperger de nouveau (Âgya).
9. Après avoir mis du bois sur le feu, il doit répandre de l’herbe Kusa tout autour, à l’est, au sud, au nord, à l’ouest.
10. [57] De tous côtés en trois couches ou en cinq couches—
11. [58] Épais, de sorte qu’un nombre toujours impair (de lames) sont assemblées.
12. (Il devrait semer) de l’herbe pointée vers l’est, en recouvrant les racines avec les pointes.
13. [59] Ou bien il devrait le répandre à l’ouest (du feu), et devrait tirer (une partie de l’herbe qu’il a répandue) de l’extrémité sud et (une partie) de l’extrémité nord, dans une direction est.
14. Il devrait (disposer l’herbe de manière à) placer les pointes des brins du sud vers le haut.
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15. Cette règle de répandre (de l’herbe) autour (du feu est valable) pour toutes (les cérémonies) au cours desquelles des oblations sont faites.
16. [60] Certains déposent aussi des branches de bois de Samî ou de bois de Parna autour (du feu). [ p. 33 ]
17. Au nord (du feu) un Sruva plein d’eau (est placé) : c’est l’eau du Pranîta ;
18. S’il y a (une telle eau), ou si on peut s’en passer, disent certains (enseignants).
19. Après avoir mis le plat de nourriture cuite sur le Barhis et mis du bois (sur le feu), il prépare l’Âgya.
20. [61] (Il peut prendre) du ghee, ou de l’huile faite à partir de graines de Tila, ou du caillé, ou du lait, ou du gruau de riz.
21. [62] De ce même Barhis (il prend deux lames de Darbha et) fait des purificateurs (d’eux), de la longueur d’un empan.
22. Plaçant une herbe entre (eux et l’instrument avec lequel il les coupe), il les coupe, non pas avec son ongle, avec (les mots) : « Vous êtes des purificateurs, sacrés pour Vishnu. »
23. Il les essuie ensuite avec de l’eau, avec (les mots) : « Par l’esprit de Vishnu, vous êtes purifiés. »
24. [63] Après avoir purifié (l’Âya en le versant dans le Âya en le versant dans le Âya en le versant dans le Âya pot, sur lequel il a posé un purificateur Darbha), il le purifie (dans le pot) avec les deux purificateurs pointés vers le nord (de la manière suivante) :
25. Les tenant avec ses deux pouces et son quatrième doigt, il purifie (l’Âgya) trois fois, d’ouest en est, une fois avec le Yagus : « Que le dieu Savitri te purifie avec ce purificateur intact, avec les rayons du bon soleil » ; deux fois en silence. [ p. 34 ]
26. Il les aspergera ensuite d’eau et les jettera au feu.
27. Puis, après avoir mis cet Âgya sur le feu, il doit le sortir (du feu) vers le nord.
28. Voici comment préparer l’Âgya.
1. À l’est (est placé) l’Âgya, à l’ouest le mélange de nourriture cuite.
2. [64] Après avoir aspergé (de l’eau) autour (du feu) et versé de l’Âgya sur le mélange de nourriture cuite, il commence à sacrifier simplement avec la louche, en prélevant des portions de la nourriture sacrificielle (sans « étaler » et verser de l’Âgya sur le Havis).
3. [65] S’il a l’intention de sacrifier de manière à « étendre » (le Havis avec Âya) et à verser (Âya) et à verser (Âya) et à verser (Âya) dessus, qu’il sacrifie d’abord les deux portions Âya) et à verser (Âya) (de la manière suivante) :
4. Il doit prendre quatre portions d’Âriya — cinq portions (sont prises) par les Bhrigus — et doit sacrifier d’ouest en est, du côté nord avec (la formule), ‘À Agni Svâhâ!’ et du côté sud avec (les mots), ‘À Soma Svâhâ!’
5. Il coupe ensuite (deux ou trois Avadânas) des Havis, après les avoir « répandus sous » (Âgya).
6. [66] (Deux Avadânas) du milieu et du côté est, s’il (appartient aux familles qui) font [ p. 35 ] quatre Avadânas. (Trois Avadânas) du milieu, du côté est et du côté ouest, s’il (appartient à ceux qui) font cinq Avadânas.
7. [67] Il asperge (Âgya) les parties coupées.
8. Il oint les endroits d’où il les a retranchés (avec Âgya) afin que la force (des Havis) ne soit pas perdue.
9. Il doit sacrifier au milieu du feu avec (les mots) : « À Agni Svâhâ ! » —
10. Une ou trois fois, de la même manière.
11. [68] Maintenant pour le Svishtaktt (oblation), après avoir ‘étalé sous’ (Âtya), il coupe une fois un très grand (Avadâna) de la partie orientale de la partie nord (du Havis), deux fois il doit asperger (Âtya) dessus.
12. Mais s’il (appartient aux familles qui) font cinq Avadânas, il doit ‘étendre’ deux fois, et couper (l’Avadâna), et asperger (Âgya) dessus deux fois.
13. [69] Il n’oint pas le lieu qu’il a retranché, afin que la force (des Havis) soit perdue.
14. [70] Avec les mots, « À Agni Svishtaktt [ p. 36 ] Svâhâ! », il devrait le sacrifier sur la partie orientale de la partie nord (du feu).
15. [71] Il doit sacrifier des oblations d’Âriya on (les principales oblations de nourriture sacrificielle cuite), avec les Mahâvyâhritis.
16. [72] L’insertion (se tient) avant le Svishtaktt (oblation).
17. Si différents sacrifices sont accomplis ensemble, il n’y a qu’un seul balayage (du sol) autour (du feu) (chap. 3, 1), une seule (mise de) combustible (sur le feu) (chap. 7, 19), un seul Barhis, une seule aspersion (d’eau) autour (du feu) (chap. 8, 2), un seul Âgya, et une seule offrande des deux Âgyabhâgas (chap. 8, 3).
18. Ayant coupé (les Avadânas) pour tous (les sacrifices individuels), il sacrifie l’oblation Svishtaktt une seule fois.
19. [73] Après avoir sacrifié, il doit jeter dans le feu la louche qu’il a utilisée dans les cérémonies précédentes.
20. Ou bien, après l’avoir lavé, il emportera avec lui (le reste de la nourriture sacrificielle) et le mangera. [ p. 37 ]
21. Il ne faut pas jeter le Sruva au feu, disent certains (enseignants).
22. [74] Celui qui n’a pas allumé les feux sacrés devrait offrir à Agni un plat de nourriture cuite lors des fêtes de la pleine et de la nouvelle lune.
23. À Agni, ou à Agni et Soma, par celui qui les a établis, à la pleine lune (sacrifice) ;
24. À Indra, ou à Indra et Agni, ou à Mahendra, à la nouvelle lune (sacrifice).
25. Ou encore, celui qui a allumé les feux sacrés, devrait les offrir à Agni lors des fêtes de la pleine et de la nouvelle lune.
26. [75] Après avoir placé un morceau de bois (sur le feu), et après avoir aspergé (d’eau) autour (du feu), il accomplit la cérémonie Yaggavâstu (de la manière suivante) :
27. [76] De ce même Barhis, il devrait prendre une poignée d’herbe Kura et la tremper trois fois dans l’Âgya ou dans le Havis, les pointes, le milieu et les racines, avec (les mots) : « Que les oiseaux viennent lécher ce qui a été oint. »
28. Il doit ensuite asperger cette (poignée d’herbe) d’eau et la jeter dans le feu avec (le verset) : « Toi qui es le seigneur du bétail, Rudra, qui marches avec les lignes (du bétail), le viril : ne fais pas de mal à notre bétail ; que ceci te soit offert ! Svâhâ !
29. Cette (cérémonie) ils l’appellent Yaggavâstu.
[ p. 38 ]
1. [77] Il devrait alors emporter les restes des Havis dans une direction nord, les sortir (du récipient dans lequel ils se trouvent) et les donner au Brahman.
2. Il devrait essayer de le rassasier.
3. Ils disent en effet à propos du sacrifice : « En rassasiant le Brâhmana (de nourriture sacrificielle), je suis moi-même rassasié. »
4. Ensuite (il devrait donner au Brahman) quelle autre nourriture vient d’être prête.
5. Il devrait alors essayer de gagner la faveur des Brâhmanes par des dons de nourriture.
6. [78] Un récipient plein constitue le prix du sacrifice ; il doit le donner au Brahman.
7. Un vase d’airain ou une coupe en bois qui a été remplie de nourriture, de nourriture préparée ou de nourriture crue, ou même seulement de fruits : c’est ce qu’ils appellent un vase plein.
8. [79] Le Brahmane est le seul prêtre officiant au Pâkayaggas.
9. (Le sacrificateur) lui-même est Hot_ri_.
10. Un récipient plein (voir Sûtra 7) est le prix sacrificiel le plus bas dans un Pâkayagga.
11. Le plus élevé est illimité.
12. [80] Ainsi Sudâs Paigavana, après avoir offert le sacrifice d’un plat de nourriture cuite à Indra et [ p. 39 ] Agni, donna cent mille (vaches comme prix du sacrifice).
13. Or, s’il ne peut se procurer, pour l’oblation du matin ou du soir, ou pour les sacrifices de la pleine ou de la nouvelle lune à son feu domestique (sacré), aucune substance propre au sacrifice, ni personne qui puisse sacrifier (à sa place, s’il en est empêché), que doit-il faire ?
14. [81] Jusqu’à l’oblation du soir, le temps de l’oblation du matin ne s’écoule pas, ni le temps de l’oblation du soir jusqu’à l’oblation du matin. Jusqu’à la nouvelle lune, le temps du sacrifice de la pleine lune ne s’écoule pas, ni le temps du sacrifice de la nouvelle lune jusqu’à la pleine lune.
15. Pendant cet intervalle, il devrait essayer d’obtenir de la nourriture sacrificielle ou de trouver un sacrificateur.
16. [82] Ou (s’il n’y parvient pas) il devrait cuire des fruits ou des feuilles d’arbres ou d’herbes qui sont sacrificiellement purs, et les sacrifier.
17. Ou bien il devrait au moins sacrifier de l’eau ; ainsi a dit Pâkayagga, fils d’Igâ. Car (même s’il n’offre que de l’eau) le sacrifice a été accompli.
18. [83] Et il y a une expiation pour celui qui n’a pas sacrifié. [ p. 40 ]
19. Et, (dit Pâkayagga), un Brâhmaga ne devrait pas omettre de tenir son vœu.
20. Ici ils disent aussi :
21. Il doit tenir (son vœu) pendant le temps où il ne sacrifie pas, en s’abstenant de nourriture.
22. [84] Lorsqu’il a obtenu (les substances nécessaires au sacrifice), il doit compenser les oblations (omises).
23. Car ainsi aussi son vœu a été dûment tenu.
24. [85] Ces règles (qui ont été données à l’égard des sacrifices de la pleine et de la nouvelle lune) sont valables pour les oblations Havis qui seront énoncées ci-après.
25. [86] Après la fin du Mantra suit le mot Svâhâ.
26. [87] Lors des oblations d’Âya, il ne doit préparer que ces oblations d’Âya, il ne doit préparer que ces oblations d’Âya, il ne doit préparer que ces oblations d’Âya (chap. 7, 28) et il doit les sacrifier en en choisissant des portions. (Il ne doit) pas (sacrifier) les deux oblations d’Âya, il ne doit préparer que ces portions d’Âya, ni les oblations Svishya, il ne doit préparer que ces oblations d’Âakya, il ne doit préparer que ces oblations.
27. [88] Lors des oblations Âriya, il doit, si aucune règle spéciale n’est donnée, sacrifier avec les Mahâvyâhritis avant et après (les cérémonies principales). [ p. 41 ]
28. [89] Comme au mariage, ainsi à la tonsure (de la tête de l’enfant), à l’initiation (du Brahmariârin), et à la coupe de la barbe.
29. [90] À la fin de la cérémonie, le Vâmadevya est chanté pour conjurer le mal. Le Vâmadevya est chanté pour conjurer le mal.
Fin du premier Prapâthaka.
13 : 1 1, 1-4. Comp. Khâdira-Grihya I, 1, 1. 2. 5. 7. ↩︎
13:5 Je ne peux donner cette traduction des mots ‘sarvâny evânvâhâryavanti’ sans exprimer mes doutes quant à la justesse du commentateur que j’ai suivi. Il dit : ‘anu pandâd âhriyate yasmât prakntam karma iti, anu pandâd âhriyate yat prastutât (prakntât?) karmana iti _knmnsnmnnnnk_yate.’ Français Il est évident que la première explication de l’anvâhârya comme une cérémonie suivie du sacrifice principal est inadmissible. Ci-dessous, IV, 4, 3. 4, Gobhila lui-même définit l’Anvâhârya Srâddha comme une cérémonie mensuelle (comp. Manu III, 123 ; Max Müller, India, p. 240) ; elle est, par conséquent, différente d’un Srâddha accompagnant chaque sacrifice Gnhya. Le _Snri_hyântara’ ne me semble pas dissiper le doute ; je pense plutôt qu’il contient une spéculation fondée sur ce passage même de Gobhila, pris au sens de la p. 14 tel que le commentateur le prend, et sur les Sûtras IV, 4, 3. 4. Ainsi je crois plutôt que nous devrions comprendre anvâhârya comme un plat de nourriture comme celui offert après les sacrifices darnapûrnamâsau aux prêtres officiants (Hillebrandt, Neu- et Vollmondsopfer, 133), et je propose de traduire : Tous (les sacrifices) sont suivis de (l’offrande de) la nourriture Anvâhârya (au prêtre). ↩︎
14:6 Khâdira-Grihya I, 1, 3. ↩︎
14:7 Le texte continue en traitant de l’installation du feu domestique. Khâdira-Grihya I, 3, 1. ↩︎
14:9 Khâdira-Grihya I, 3, 1 suiv.; Grihya-sarigraha I, 47 suiv.; Zeitschrift der Deutschen Morgenl. Gesellschaft, XXXV, 557. ↩︎
14:12 J’ai suivi dans la traduction de parameshthikaratham la voie indiquée par le Gthhya-sathgraha I, 77, et par Sâṅkhâyana (I, 1, 5) : prete vâ gthhapatau svaya_mthg_yâyân. Je pense que le parameshthî est la même personne que le gyâyan. Le commentaire donne une explication différente : parameshthî agnir ity âthakshate, tasya parameshthinoऽgne_hthnthmthn_am. ↩︎
15h15 15-18. Khâdira-Grihya I, 5, 3 suiv. ↩︎
15:20 20, 21. Khâdira-Grihya I, 5, I. 2. Comp. également ci-dessus, Sûtras 7 et 8. ↩︎
15:22 C’est-à-dire que dans le premier des deux cas mentionnés dans le Sûtra 20, la mise de combustible sur le feu, et dans le second cas, les oblations de grains frits, etc., prescrites pour le mariage, sont considérées comme l’oblation matinale du sacrificateur dans son feu Grihya nouvellement établi, de sorte que les oblations régulières doivent commencer par le sâyamâhuti. ↩︎
16:23 Khâdira-Grihya I, 5, 6. Comp. Note du professeur Bloomfield 2, Zeitschrift der Deutschen Morgenl. Gesellschaft, XXXV, 561. ↩︎
16:27 27, 28. Khâdira-Grihya I, 5,7-9. Quant aux deux cas concernant l’heure de l’oblation du matin, voir Indische Studien, X, 329. ↩︎
16:1 2, 1-4. Règles concernant l’Upavîta. Khâdira-Grihya I, 1, 4-6. Comparer la description détaillée des neuf fils dont doit être composée la cordelette de l’Upavîta, dans le Grihya-sarigraha II, 48 seqq. Une cordelette était évidemment considérée comme la forme régulière et préférable de l’Upavîta ; concernant la deuxième sorte d’Upavîta mentionnée dans le Sûtra 1, le commentaire dit : « Un vêtement (est utilisé), p. 17, si l’Upavîta a été perdue, par exemple, dans une forêt, et s’il est impossible de se procurer une cordelette. » Une remarque similaire est donnée en référence à la troisième sorte d’Upavîta, la cordelette d’herbe Kuria. ↩︎
17:5 5-32. Règles concernant l’âkamana et l’upasparkana. Khâdira-Gkhya I, 1, 7-10 ; Manu II, 60 seqq. ↩︎
18:17 Quant aux Tîrthas (ou parties de la main) sacrées pour les différentes divinités ou êtres, voir Vasishtha III, 64 seqq., etc. Voir aussi Manu II, 58. ↩︎
18:20 Selon le commentaire, il doit tenir ses mains entre ses genoux. Comp. Sâṅkh.-Grihya I, 10, 8. Ainsi, les épaules sont avancées. ↩︎
18:21 21-27. Ces Sûtras forment trois hémistiches réguliers de Sloka. Seule la fin du deuxième hémistiche présente une irrégularité métrique (sopânatka_hkvak_it se trouvant à la fin du vers). ↩︎
18:25 Kâsaktika_h_, que le commentaire explique comme un composé de ka, ‘la tête’, et âsaktikâ = âveshtikâ. ↩︎
18:28 Khâdira-Grihya I, 1, 10. ↩︎
18:29 Dans d’autres textes (par exemple, Manu II, 62 ; Vasishtha III, 31 seqq.), il est indiqué qu’un Brâhmatha doit siroter de l’eau qui atteint son cœur, un Kshatriya de l’eau qui atteint sa gorge, un Vaithya de l’eau qui mouille son palais ; un Sûdra ne doit toucher l’eau qu’avec ses lèvres. ↩︎
19:32 Ce Sûtra forme à nouveau un Sloka, bien qu’un Sloka légèrement irrégulier. ↩︎
19:3 Règles concernant le sacrifice quotidien du matin et du soir. ↩︎
19 : 1 1-5. Khâdira-Grihya I, 2, 17-21. ↩︎
19:6 La nourriture sacrificielle est soit krita (préparée), soit akrita (non préparée). Un plat de riz bouilli, par exemple, est krita, les grains de riz sont akrita. ↩︎
20 : 7 7-12. Khâdira-Grihya I, 5, 10-12. Prodaka dans le Sûtra 7 est expliqué par pragatodaka. ↩︎
20h10 9-10. Khâdira-Grihya, ll 13-15. ↩︎
20:9 La première oblation est faite au milieu, la seconde, consacrée à Pragâpati (Sâṅkhâyana I, 3, 15, etc.), dans la partie nord-est du feu sacré. Le dixième Sûtra doit bien sûr être compris de la même manière. ↩︎
20:12 L’eau est celle mentionnée au chap. 1, 24. En ce qui concerne la p. 21 yathârtham, le commentaire dit : ‘yathârtha_m karmâpavargavihitam_ Vâmadevyagânâdika_m karmâpavargavihitas_ karmâpavargavihitaâdvihita_m karmâpavargavihitag_ karmâpavargavihitaa_m karmâpavargavihitas karmâpavargavihitah_.’ Français De même, dans la note sur II, 4, 11, il est dit : « yathârtham iti karma karmâpavargavihitaa_h karmâpavargavihitak_yate ; » II, 8, 17 : « yathârtha_m karmâpavargavihitam_ kuryât, » etc. Dans ma traduction, j’ai adopté l’opinion du professeur Weber (Indische Studien, V, 375), selon laquelle yathârtham signifie simplement : « (il doit se comporter) comme l’exigent les circonstances » ; « (il doit faire) ce qui se trouve être son affaire. » ↩︎
21:13 Les derniers mots sont â _gîvitâvabhri_thât, qui signifie littéralement « jusqu’au bain Avabhîvitâvabhtha de sa vie ». Le bain Avabhîvitâvabhtha est le bain pris à la fin de certains sacrifices, de sorte que l’Avabhîvitâvabhtha de la vie signifie la mort. ↩︎
21:15 Khâdira-Grihya I, 5, 17. ↩︎
21:16 16-18. Khâdira-Grihya, ll 18, 19. Dans ma traduction du Sûtra 17, j’ai adopté, bien que non sans aucun doute, la conjecture du professeur Roth donnée dans la note du professeur Knauer, p. 137. Le professeur Roth écrit _ririkriririk_â : il dit simplement ‘om’, et non ‘ó-o-ó-o-ó-om’. Selon le commentaire, le Sûtra 17 se référerait à la femme, et non au mari. ↩︎
21:18 Les manuscrits donnent mâkhyâ et mâkshâ. Il faudrait lire : tan ma kshâyîty upâmmu. Comp. Âpastamba II, 2, 3, 11 ↩︎
22 : 1 4, 1 suiv. L’offre quotidienne de Bali. Khâdira-Grihya I, 5, 20 suiv. ↩︎
22:9 Selon le commentaire, le premier de ces trois Balis doit être offert près du pot à eau, le deuxième près de la porte du milieu de la maison, le troisième (comp. Gautama V, 16) dans les airs. Le mot samîpe est ajouté aux génitifs. Il est difficile de comprendre pourquoi l’auteur, si son intention avait été d’indiquer trois endroits où les Balis devaient être offerts, n’en a mentionné que deux. Je crois donc que la bonne explication est celle du professeur Knauer, qui prend madhyama dans le sens du poteau du milieu de la maison (comp. III, 3, 31). ↩︎
23:11 Le commentaire explique avasalavi nere, comme c’est souvent le cas, par pitritîrthena. Je suis d’accord avec l’opinion exprimée dans le Dictionnaire de Saint-Pétersbourg, en rejetant cette explication. ↩︎
23:19 Comp. Manu III, 121. ↩︎
24:22 Kâla je le prends, comme le fait le commentateur, pour bhoganakâla. ↩︎
24:23 Ici encore, kâla apparaît dans le même sens. Comp. Khâdira-Grihya I, 5, 34. ↩︎
24:29 Khâdira-Grihya I, 5, 37. La récolte de l’orge a lieu pendant la saison chaude, celle du riz en automne (voir Zimmer, Altindisches Leben, 243). Le sacrifiant offre de l’orge de la récolte de l’orge jusqu’à celle du riz ; et du riz de la récolte du riz jusqu’à celle de l’orge. [fp. 25 ↩︎
25:31 Khâdira-Grihya I, 5, 30. La répétition des derniers mots rend probable que ce Sûtra fut un temps considéré comme la fin du premier livre. Comp. Introduction, p. 11. ↩︎
25:5 Description des sacrifices de la pleine et de la nouvelle lune. Paradigme de l’offrande régulière du Sthâlîpâka. Les douze premiers Sûtras de ce chapitre ont été traduits par le professeur Weber, Ueber den Vedakalender namens Jyotisham, pp. 50 et suiv. ↩︎
25:2 Voir la note ci-dessous au Sûtra 10. ↩︎
25 : 3 Avec ces deux Sûtras, ‘sandhyâ_m paurn_amâsîm upavaset ; uttarâm iti eke’, il faut comparer un passage qui se retrouve identiquement dans l’Aitareya (VII, 11), et dans le Kaushîtaka Brâhma paura (III, 1) : pûrvâ_m paurn_amâsîm upavased iti Paiṅgyam, uttarâm iti Kaushîtakam. ↩︎
25:6 Le mois est compté ici, comme on le fait habituellement, comme commençant avec la quinzaine de la lune croissante. ↩︎
26:7 Ici commence une nouvelle exposition de la question de la pleine et de la nouvelle lune qui se trouve indépendamment à côté des sections précédentes, et que Gobhila n’a pas pris beaucoup de soin de souder avec elles. Comp. Sûtra avec les Sûtras 2 et 3, et Sûtra 8 avec Sûtra 4. ↩︎
26:10 Le premier des trois moments est celui mentionné dans le Sûtra 2. Il ne me semble pas très sûr d’interpréter sandhyâ dans ce sens moderne, dans lequel sandhi est utilisé, par exemple, dans le verset cité par Mâdhava, Weber, Jyotisha 51, de sorte qu’il désigne le point de rencontre de la quinzaine lumineuse et de la quinzaine sombre (‘âvartane yadâ sandhih parvapratipador bhavet,’ etc.). Si sandhyâ était cela, nous devrions nous attendre à ce que le même mot occupe une position similaire dans la définition d’amâvâsyâ. Je préfère donc, avec le commentaire, comprendre sandhyâ dans son sens ancien, comme le temps qui sépare le jour de la nuit. Ainsi, sandhyâ paurnamâsî, le jour de pleine lune, où la lune se lève à la rencontre du jour et de la nuit, s’oppose à uttarâ paurnamâsî (Sûtra 2), ou à astamitoditâ (scil. paurnamâsî, Sûtra 10), exactement de la même manière que dans les passages de Brâhmana cités plus haut (note sur le § 3), pûrvâ paurnamâsî s’oppose à uttarâ paurnamâsî. Les deuxième et troisième cas sont ceux de la pleine lune se levant (peu) après le coucher du soleil, et de la lune devenant pleine lorsqu’elle est haute dans le ciel. ↩︎
27:19 Quant à anuguptâ âpa_h_, voir ci-dessus, chap. I, 9. ↩︎
28:26 Khâdira-Grihya II, 1, 4. 6. Le commentaire explique kurialena : il devrait être facile à digérer. Comp. ci-dessous, II, 1, 2 : (dârân kurvîta) lakshariaprariastân kurialena. ↩︎
28:1 6, 1. Le nom du maître est orthographié ailleurs Mânutantavya, ce qui semble être l’orthographe la plus correcte. Le Khâdira-Grihya (II, I, 5) porte Mânadantavya. Le Dr Knauer a attiré l’attention sur plusieurs autres erreurs des manuscrits, qui sont inhabituellement fréquentes dans ce passage. Car je ne doute pas que, malgré l’accord unanime des manuscrits, nous devions changer mânushyâhutir en mânushasyâhutir, et je pense qu’il est très probable, pour le moins, que dans le Sûtra 4, kâmayetaupavasathikam soit corrigé en kâmayeyâtâm aupavasathikam, bien qu’ici le singulier puisse être défendu par des croyants très fidèles à l’autorité des manuscrits. ↩︎
29:4 Ou, lequel lui est agréable ? Voir la note du § 1. ↩︎
29:7 Khâdira-Grihya II, I, 7. ↩︎
29:14 Les cérémonies mentionnées dans ce Sûtra doivent être accomplies par le Brahman. Ceci est indiqué dans le commentaire, et la comparaison p. 30 des textes parallèles ne laisse aucun doute quant à la justesse de ce point de vue. Ainsi, Hiranyakenin dit (I, 1) : etasmin kâle brahmâ yandopavîta_mnrinknnnnnnnri_nam nirasya, etc. Voir aussi les passages correspondants du rituel Srauta donnés par Hillebrandt, Neu- et Vollmondsopfer, p. 17. Je ne pense pas qu’il soit probable, cependant, que nous lisions brahmâऽsanât, de sorte que le texte exprime clairement que le Brahman est le sujet (cf. Introduction du Dr Knauer, p. viii). Car nous lisons dans ce même Sûtra brahmâsanât tndam abhisangnhya ; dans le Sûtra 15, brahmâsana upavinati ; dans le Sûtra 21, brahmâsane nidhâya : de ces passages, le deuxième est rendu probable par le sens, et le troisième est certain, que brahmâsana doit être compris comme un composé égal à brahmasadana. Il serait donc, à mon avis, anormal de ne pas l’expliquer de la même manière dans le premier passage. Parâvasu s’oppose à Vasu (Sûtra 15) de la même manière que certains textes, par exemple Âpastamba, opposent Parâgvasu à Arvâgvasu. ↩︎
30:16 suiv. Khâdira-Grihya I, 1, 19 suiv. ↩︎
30:21 ‘De la même manière’ se réfère aux cérémonies énoncées dans les Sûtras p. 31 13 et 14. Sur le darbhakaku ou, comme le lisent certains manuscrits, darbhavaku, voir la note de Bloomfield sur le Gkhya-sakgraha, I, 88. 89. Knauer donne darbhavakum sans ajouter de lectures diverses. Comp. Khâdira-Gkhya I, 1, 23. ↩︎
31 : 2 7, 2, 3. Khâdira-Grihya II, 1, 9. ↩︎
31 : 4 4, 5. Comp. Hillebrandt, Neu- et Vollmondsopfer, pp. 29 suiv. Khâdira-Grihya II, 1, 10-13. ↩︎
31 : 6 Hillebrandt, p. 39. ↩︎
32:10 Khâdira-Grihya I, 2, 10. ↩︎
32:11 Ceci me semble la traduction la plus probable de ayugmasamhatam, expression à laquelle il convient de comparer la note du Dr Knauer aux pp. viii et suivantes de son Introduction. Comp. Hillebrandt, pp. 64 et suivantes. ↩︎
32:13 13-14. C’est la même manière de répandre l’herbe qui est décrite dans le Mânava-Grihya I, 10, 4. 5; Khâdira-Grihya I, 2, 9. ↩︎
32:16 Comp. Grihya-sarigraha I, 85. 97. ↩︎
33:20 Toutes les substances qui sont mentionnées dans ce Sûtra peuvent être considérées comme Âriya. Grihya-sarigraha I, 106. 107. ↩︎
33:21 21 suiv. Khâdira-Grihya I, 2, 12 suiv. ↩︎
33:24 Quant à sampûyotpunâti, comp. Hiranyakenin I, 1, 1, 23 : pavitrântarhite pâtreऽpa ânîyopabila_mnmnm_ trir utpûya . . . ↩︎
34:2 8, 2. Sur l’aspersion d’eau autour du feu, comp. ci-dessus, chap. 3, 1 seq. Sur la signification technique de upaghâtam, voir la note de Bloomfield sur Grihya-sarigraha Paririishria I, 111 (Zeitschrift der Deutschen Morgenländischen Gesellschaft, XXXV, 568). ↩︎
34:3 3 séq. Comp. Khâdira-Grihya II, 1, 17. ↩︎
34:6 Khâdira-Grihya II, I, 19 seq. L’Upastararia (Sûtra 5) et p. 35 l’Abhighâraria (Sûtra 7) sont comptés comme deux Avadânas, de sorte qu’ils forment, avec les deux ou trois portions séparées des Havis, respectivement quatre ou cinq Avadânas. Sur la différence des familles quant au nombre d’Avadânas, voir Weber, Indische Studien, X, 95. ↩︎
35:7 7 suiv. Comp. Khâdira-Grihya II, I, 21-24. ↩︎
35:11 Comp. les règlements correspondants du rituel Srauta à Hillebrandt, Neu- et Vollmondsopfer, 117-119. ↩︎
35:13 La même règle se retrouve dans le rituel Srauta ; Hillebrandt, ll 117, note 8. ↩︎
35:14 L’expression utilisée ici uttarârdhapûrvârdhe se retrouve également dans la plupart des passages correspondants du rituel Srauta, p. 36 donné par Hillebrandt, ll 119, note 3. Le Khâdira-Grihya a prâgudîriyâm. ↩︎
36:15 Si les principales oblations consistent en Âriya, elles sont à la fois précédées et suivies par les oblations Mahâvyâhriti. Voir ci-dessous, chap. 9, Sûtra 27. ↩︎
36:16 Sur les âvâpa (c’est-à-dire les offrandes caractéristiques spéciales de chaque sacrifice), voir Sâṅkhâyana-Grihya I, 9, 12, et la note qui s’y trouve (vol. xxix, p. 28). ↩︎
36:19 Selon le commentaire, etad appartiendrait à sauvishtakttam (Sûtra 18) : « Après avoir sacrifié cela, il devrait jeter la louche dans le feu. » La comparaison de Baudhâyana 1, 17, 23, atraitan mekshatam âhavanîveऽnupraharati (Hillebrandt, p. 119, note 3), montre que le commentaire est erroné, et qu’etad appartient à mekshatam. ↩︎
37 : 22 22-25. Comp. Khâdira-Grihya II, 2, 1-4. ↩︎
37 : 26 26-29. Khâdira-Grihya II, 1, 26 suiv.; Grihya-sarigraha II, 1 seq. ↩︎
37:27 L’expression tata eva barhishah apparaît déjà au chap. 7, 21. Le Mantra réapparaît dans Vâ_g_. Samhitâ II. 16 e, &c. ↩︎
38 : 19, 1. Khâdira-Grihya II, I, 29. ↩︎
38:6 6 suiv. Khâdira-Grihya II, 1, 30. 31. ↩︎
38:8 8, 9. Les autorités indigènes divisent ces deux Sûtras selon ritvik ; je propose de les diviser selon pâkayaggeshu. ↩︎
38:12 Le commentaire ici se réfère à la règle du Drâhyâyana-sûtra (= Lânyâyana VIII, I, 2) : sankhyâmâtre knnnh. ↩︎
39:14 14 séq. Khâdira-Grihya II, 2, 5 suiv.; Sâṅkhâyana-Grihya I, 3, 6. ↩︎
39:16 16 seqq. Khâdira-Grihya II, 2, 10 seqq. Dans ce maître Pâkayariria, fils d’Iriâ, dont l’opinion sur l’accomplissement de certains Pâkayaririas est ici énoncée, nous devons bien sûr voir un sage fictif du même genre avec le bien connu Rishi Pragâtha, à qui l’on attribue la paternité d’un certain nombre de Sûktas dans le livre de Pragâtha (Rig-veda, Maririala VIII). ↩︎
39:18 18, 19. Par la répétition de iti, ces Sûtras semblent être caractérisés comme continuant l’énoncé de l’opinion de Pâkayagga ; comp. Introduction du Dr Knauer, p. xviii. Quant au Sûtra 18, comp. Sâṅkhâyana-Gghya I, 3, 9. ↩︎
40:22 ‘Il doit compter les (oblations) omises, doit verser le nombre correspondant d’oblations dans son récipient, et doit les sacrifier de la manière appropriée, toutes en une seule fois avec un seul Mantra. De la même manière aussi les autres oblations (appartenant à d’autres dieux).’ Karmapradîpa. ↩︎
40:24 Havis est-il utilisé ici par opposition à Âgya (Sûtra 26), de la même manière que Kâtyâyana dit (Sraut. I, 9, 1. 20) : ‘vrîhîn yavân vâ havishi; ubhayata âgya_mgh_’ ? Comp. ci-dessous, III, 8, 10 ; Âgvalâyana-Gghya I, 10, 26. ↩︎
40:25 Khâdira-Grihya I, 1, 15. ↩︎
40:26 Quant à upaghâtam, comp. la note du chap. 8, 2. ↩︎
40:27 Sâṅkhâyana-Grihya I, 12, 13; Khâdira-Grihya I, 3, 12-13, où la division traditionnelle des Sûtras diffère de celle qui est soutenue par la tradition dans le texte de Gobhila. Gobhila a utilisé p. 41 le mot âriyâhutishu au début du Sûtra 26, et il aurait été superflu qu’il le répète en rapport avec les mots nâriyabhâgau na svishriakrit. Dans les Sûtras correspondants de la Khâdira, le cas était différent, et là, les mots nâriyabhâgau na svishriakrit nécessitaient inévitablement l’ajout d’un mot comme âriyâhutishu, afin de montrer quelle classe de sacrifices ne nécessitait ni Âriyabhâgas ni Svishriakrit. Le mot suivant dans le texte de la Khâdira, cependant, anâderie, devrait être rapporté, contre la tradition, au Sûtra 13, comme le montre la comparaison avec Sâṅkhâyana-Grihya I, 12, 13. ↩︎
41:28 Au mariage, les oblations sont faites d’abord avec les trois Mahâvyâhritis isolés, puis avec les Mahâvyâhritis ensemble ; voir ci-dessous, II, 1, 25. 26. La tonsure de la tête de l’enfant est traitée ci-dessous, II, 9 ; l’initiation (upanayana), II, 10 ; la coupe de la barbe, III, 1. Comp. Khâdira-Grihya, I, 3, 10. ↩︎
41:29 Apavritte karmarii devrait être corrigé en apavrikte karmarii, comme cela a été noté dans le Dictionnaire de Saint-Pétersbourg, sv apa-vart. Le Sâṅkhâyana-Grihya I, 2, 1 dit karmâpavarge. ↩︎