[ p. 69 ]
1. [1] Maintenant (suit) la cérémonie de Godâna (ou coupe de la barbe), dans la seizième année.
2. [2] La coupe des cheveux (et de la barbe) a été expliquée par la (description du) _Kûdûn_a (II, 9). [ p. 70 ]
3. [3] L’étudiant se fait couper les cheveux (et la barbe) lui-même.
4. Il a tous les poils de son corps rasés.
5. Le sacrifice offert par un Brâhmane consiste en un bœuf et une vache,
6. Celui donné par un Kshatriya, d’une paire de chevaux,
7. Ce qui est donné par un Vaisya, d’une paire de moutons.
8. Ou une vache (est donnée par des personnes) de toutes (castes).
9. Une chèvre (est donnée) à celui qui attrape les cheveux.
10. [4] L’Upanayana (lié au Godânavrata et aux autres Vratas) a été déclaré par l’Upanayana (traité ci-dessus, II, 10).
11. [5] (L’utilisation d’) un vêtement, cependant, qui n’a pas encore été lavé, n’est pas requise (ici),
12. Ni l’ornement.
13. (On ne doit) pas initier quelqu’un qui n’a pas l’intention de respecter son vœu pendant un an.
14. Lui remettant (c’est-à-dire à l’étudiant) un bâton, qui doit être fait (du bois d’) un arbre, il lui ordonne (d’observer les devoirs liés à son vœu, dans les termes suivants) :
15. « Obéis à ton maître, sauf en cas de conduite pécheresse.
16. « Évitez la colère et le mensonge,
17. « Rapports sexuels,
18. « Dormir sur des lits surélevés »,
19. 'Exécutions de chant, de danse, etc., utilisation de parfums et de collyres, [ p. 71 ]
20. 'Bain,
21. « Se peigner la tête, se brosser les dents, se laver les pieds,
22. 'Rasage,
23. 'Manger du miel et de la chair,
24. 'Montant sur un char attelé de bétail,
25. 'Porter des chaussures au village,
26. ‘Svayam-indriya-mokanam.’
27. Porter la ceinture, faire la tournée des aumônes, porter un bâton, mettre du combustible (sur le feu), toucher de l’eau, saluer respectueusement (le maître) le matin : tels sont ses devoirs permanents.
28. [6] Le Godâna-vrata, le Vrâtika-vrata, l’Âditya-vrata, l’Aupanishada-vrata, le _Gyaishth_asâmika-vrata (dernier) un an (chacun).
29. Toucher de l’eau le soir et le matin (est prescrit) pour ces (Vratas).
30. [7] Cependant, certains ne subissent pas l’Âditya-vrata.
31. Ceux qui le subissent portent un seul vêtement.
32. Ils ne laissent rien s’interposer entre eux et le soleil, sauf les arbres et les toits des maisons.
33. Ils ne descendent pas dans l’eau plus profonde que la hauteur des genoux, sauf sur l’injonction de leur maître.
[ p. 72 ]
1. [8] Pour les versets Mahânâmnî (le Vrata doit être gardé) douze ans,
2. (Ou) neuf, six, trois (ans).
3. Voici les différentes possibilités.
4. Ou encore un an, selon certains (professeurs).
5. (Dans ce cas, cependant, les observances sont renforcées.
6. (La conservation du Vrata pendant un an n’est autorisée que) si les ancêtres (de l’étudiant) ont appris les versets Mahânâmnî.
7. Il existe aussi un Brâhmana du Rauruki (Sâkhâ, dans lequel il est dit) :
8. « Les mères disent en vérité à leurs fils, quand elles les allaitent :
9. « Devenez des hommes, mes petits fils, qui s’efforcent d’accomplir le Sakvarî-vrata ! »
10. [9] Pendant (le Vrata préparatoire à l’étude de) ces (c’est-à-dire les versets Mahânâmnî), toucher l’eau au moment de chaque Savana (est prescrit).
11. Qu’il ne mange pas le matin avant d’avoir touché de l’eau.
12. [10] Le soir, après avoir touché de l’eau, il ne doit pas manger avant d’avoir mis le morceau de bois sur le feu. [ p. 73 ]
13. Il devrait porter des vêtements sombres.
14. Il devrait manger des aliments foncés.
15. Qu’il soit dévoué à son maître.
16. Qu’il ne laisse la place à personne.
17. Il devrait être accro aux austérités.
18. Il devrait se tenir debout pendant la journée.
19. Il devrait s’asseoir la nuit.
20. Et quand il pleut, il ne doit pas se retirer dans un endroit couvert.
21. Il doit dire au dieu, lorsqu’il envoie la pluie : « Les Sakvarîs sont de l’eau. »
22. Quand (le dieu) envoie la foudre, il doit lui dire : « Telle est en vérité la nature des Sakvarîs. »
23. Quand (le dieu) tonne, il doit lui dire : « La grande voix de la grande (vache) ! »
24. Qu’il ne traverse pas une rivière sans toucher l’eau.
25. Qu’il ne monte pas sur un navire.
26. Si sa vie est en danger, il peut cependant remonter (un navire), après avoir touché l’eau.
27. De la même manière (il devrait toucher l’eau) après avoir débarqué.
28. Car dans l’eau est contenue la vertu des Mahânâmnîs.
29. S’il pratique ces devoirs, (le dieu) Parganya enverra la pluie selon son souhait.
30. [11] Les règles concernant les vêtements sombres, la position debout, la position assise, le chemin (de préparation) et la nourriture (sombre) peuvent être considérées comme facultatives.
31. Après qu’il a respecté son vœu pendant un tiers (du temps prescrit, le maître) devrait [ p. 74 ] lui chanter le (premier) verset Stotriya (des Mahânâmnîs).
32. De la même manière les deux autres versets du Stotriya (après les deux tiers du temps et à la fin du temps entier).
33. Ou tous (les trois versets) à la fin du tout (temps).
34. Il doit les chanter à (l’étudiant) qui a jeûné et fermé les yeux.
35. [12] Après avoir rempli d’eau un vase d’airain, y avoir jeté toutes sortes d’herbes et y avoir trempé les mains (de l’étudiant), le maître doit voiler (les yeux de l’étudiant) de gauche à droite avec un vêtement (neuf) qui n’a pas encore été lavé.
36. [13] Ou il devrait lui chanter (les Mahânâmnîs) immédiatement après avoir voilé (ses yeux).
37. [14] Les yeux voilés, gardant le silence, il doit s’abstenir de nourriture pendant une période de trois nuits, ou pendant un jour et une nuit.
38. Ou il devrait rester dans la forêt jusqu’au coucher du soleil (et passer la nuit au village).
39. Le lendemain matin, il doit mettre du bois sur le feu dans la forêt, doit sacrifier avec les Mahâvyâhritis et doit faire en sorte que l’étudiant regarde (les objets suivants, à savoir.)
40. Le feu, Âgya, le soleil, un Brahman, un taureau, la nourriture, l’eau, le lait caillé,
41. Avec (les mots) : « J’ai contemplé le ciel ! J’ai contemplé la lumière ! » [ p. 75 ]
42. De cette façon, tous (les objets énoncés dans le Sûtra 40) trois fois.
43. [15] Après que la cérémonie de prévention du mal a été accomplie, l’étudiant salue respectueusement le professeur.
44. Il doit donc rompre le silence (qui lui est imposé).
45. [16] Un taureau, un vase en laiton, un vêtement, un don facultatif (d’une vache) : tel est le prix du sacrifice.
46. La première fois, il peut choisir (soit un taureau, soit un vase en laiton).
47. Qu’il fournisse des vêtements à son maître, selon certains (maîtres).
48. [17] Un plat de nourriture cuite, consacré à Indra, est préparé. Qu’il en sacrifie une partie avec ce verset : « Au Ri__k, au Sâman, nous sacrifions » (Sâma-veda I, 369), ou (avec le verset) : « Le seigneur du siège, le merveilleux » (ibid. I, 171), ou avec les deux (versets).
49. [18] Ceci (il devrait le faire) à (toutes) les cérémonies d’Anupravakanîya. [ p. 76 ]
50. [19] Le Mantra doit être modifié partout (de sorte qu’il doive dire) : « J’ai gardé (le vœu), » « J’ai pu », « Ainsi j’ai prospéré », « J’ai subi. »
51. [20] Le prix à payer après l’étude des Parvans est une chèvre pour l’Agni-Parvan, un bélier pour l’Indra-Parvan, une vache pour le Pavamâna-Parvan.
52. Après que (l’étudiant) soit revenu (de la forêt), il devrait divertir son professeur et sa suite avec de la nourriture,
53. Et ses camarades qui se sont réunis.
54. La manière de chanter les _Gyeshth_asâmans a été expliquée par (les déclarations données à propos du) Mahânâmnî-(vrata).
55. [21] Ici, les devoirs permanents suivants doivent être observés :
56. Il ne doit pas avoir de relations sexuelles avec une femme Sûdrâ.
57. Il ne devrait pas manger de chair d’oiseau.
58. [22] Il devrait éviter de vivre constamment du même grain, au même endroit et de porter le même vêtement.
59. Il doit accomplir le rite de « toucher l’eau » avec de l’eau puisée (d’un étang, etc.). [ p. 77 ]
60. [23] À partir du moment où il lui est demandé (d’observer les devoirs de son Vrata), il ne doit pas manger dans un récipient en terre,
61. Ne buvez pas (dans un tel récipient),
62. [24] (Ou plutôt) à partir du moment où il fut enseigné (les _Gyeshth_asâmans, après tout le temps préparatoire, ou après un tiers de ce temps), selon certains (enseignants).
1. [25] Le jour de la pleine lune de Praushthapada (ou) sous (le Nakshatra) Hasta, l’Upâkaratha (ou cérémonie d’ouverture du trimestre annuel d’étude des Vedas) est célébrée.
2. [26] Après que (le professeur) a sacrifié avec les Vyâhritis, il récite le Sâvitrî aux étudiants comme à l’Upanayana ;
3. Et (il chante) le Sâvitrî avec sa mélodie Sâman, [ p. 78 ]
4. Et (le Bârhaspatya Sâman, avec le texte), ‘Soma, le roi, Varuna’ (Sâma-veda I, 91).
5. [27] Après avoir récité (les premiers versets) du livre _Kh_andas, depuis son début, ils peuvent faire ce qu’ils veulent.
6. [28] Ils mangent des grains d’orge frits avec (le verset) : « Ce qui est accompagné de grains et d’un karambha (c’est-à-dire du caillé avec de la farine) » (Sâma-veda I, 2 10).
7. Ils prennent du lait caillé avec (le verset) : « J’ai loué Dadhikrâvan » (Sâma-veda I, 358).
8. [29] Après qu’ils ont bu de l’eau, (le maître) doit leur faire répéter les premiers (?) versets, et chanter les premiers (?) Sâmans, des différentes sections (?).
9. [30] Le jour sacré de Savitri, ils attendent.
10. [31] Et au début de la course nord du soleil (ils attendent) une nuit avec un jour avant et un jour après,
11. (Ou ils interrompent leurs études pendant) une période de trois nuits avant et après, selon certains (enseignants).
12. [32] Et les deux fois des libations d’eau sont offertes aux Âkâryas.
13. [33] Certains accomplissent l’Upâkarana le jour de la pleine lune de _Snn_a et attendent (en étudiant) le temps (de ce jour) jusqu’au jour sacré de Saviri (Sûtra 9).
14. [34] Le jour de la pleine lune de Taisha, ils cessent (d’étudier le Veda).
15. [35] Ils devraient sortir du village en direction de l’est ou du nord, devraient aller vers l’eau qui atteint plus haut que leurs parties secrètes, devraient toucher l’eau (de la manière prescrite ci-dessus, I, 2), et devraient rassasier les mètres, les Rishis et les enseignants (par des libations d’eau).
16. [36] Après ce deuxième Upâkarana, jusqu’à ce que le (principal) Upâkarana (ait été exécuté) à nouveau pour les textes védiques, une interruption de l’étude (du Véda a lieu), si les nuages se lèvent. [ p. 80 ]
17. S’il y a des éclairs, ou s’il y a du tonnerre, ou s’il pleut, (il n’étudiera pas) jusqu’à la même heure le lendemain.
18. [37] Lors de la chute d’un météore, ou après un tremblement de terre, ou une éclipse de soleil ou de lune (l’étude est interrompue jusqu’à la même heure le lendemain),
19. Et si un tourbillon survient.
20. Qu’ils n’étudient pas les jours d’Ashtakâ et les jours de nouvelle lune,
21. Et les jours de pleine lune,
22. [38] Dans les trois mois Kârttika, Phâlguna et Âshâdha.
23. Et (l’étude est interrompue) pendant un jour et une nuit,
24. Si un camarade de classe est décédé,
25. Ou le souverain de son pays ;
26. Trois jours, si son maître (est décédé) ;
27. Un jour et une nuit, si quelqu’un (est décédé) s’est approché avec révérence.
28. Si l’on entend un chant, ou le son d’un instrument de musique, ou des pleurs, ou s’il y a de l’orage, (l’étude du Véda est interrompue) aussi longtemps que dure cette raison.
29. [39] En ce qui concerne les autres (cas dans lesquels la lecture du Véda devrait être interrompue), la pratique du _Sisht_as (devrait être suivie).
30. [40] Dans le cas d’un prodige, une expiation (doit être effectuée) par le chef de famille (ou) par sa femme.
31. Si un longeron du toit ou le poteau central (de la maison) se brise, ou si le tonneau d’eau éclate, qu’il sacrifie (des oblations Âriya) avec les Vyâhritis.
32. S’il a fait de mauvais rêves, qu’il murmure ce verset : « Aujourd’hui, ô dieu Saviri » (Sâma-veda I, 141).
33. Maintenant (suit) une autre (expiation).
34. [41] S’il a touché un autel de feu ou un poteau sacrificiel, ou s’il a un bourdonnement dans les oreilles, ou si son œil palpite, ou si le soleil se lève ou se couche pendant qu’il dort, ou si ses organes des sens ont été souillés par quelque chose de mauvais, qu’il sacrifie deux oblations Ânya avec les deux versets : « Que ma force me revienne » (Mantra-Brâhmana I, 6, 33. 34).
35. Ou (qu’il sacrifie) deux morceaux de bois oints d’Âgya.
36. Ou qu’il murmure (ces deux versets) devant des offenses légères.
[ p. 82 ]
1. [42] Un étudiant, après avoir étudié le Véda,
2. Et a offert un cadeau à son gourou (c’est-à-dire à son) professeur,
3. [43] Devrait, avec la permission (de ses parents), prendre une femme,
4. Celui qui n’appartient pas au même Gotra,
5. [44] Et qui n’est pas un Sapinnun parent de sa mère.
6. [45] Le meilleur, cependant, est une fille « nue ».
7. [46] Maintenant, le bain (qui est pris à la fin de l’études, sera décrit).
8. Au nord ou à l’est de la maison du professeur se trouve une enceinte.
9. Là, le maître s’assoit, face au nord, sur l’herbe Darbha pointée vers l’est ; [ p. 83 ]
10. Face à l’est, l’étudiant est sur l’herbe Darbha pointée vers le nord.
11. Le maître doit l’asperger d’eau tiède parfumée, bouillie avec toutes sortes d’herbes.
12. Mais comme s’il (c’est-à-dire l’étudiant) devait le faire lui-même —
13. [47] (De cette manière) il est fait allusion à lui dans les Mantras ; (c’est pourquoi l’aspersion devrait plutôt être faite par l’étudiant, et non par l’enseignant [?]).
14. Avec (le verset), ‘Les feux qui habitent dans les eaux’ (MB. I, 7, 1)—(l’étudiant[?]) verse ses mains jointes pleines d’eau (sur le sol),
15. Et encore avec (la formule) : « Qu’est-ce qu’il y a de terrible dans les eaux, qu’est-ce qu’il y a de cruel dans les eaux, qu’est-ce qu’il y a de turbulent dans les eaux » (ibid. 2).
16. Avec (la formule) « Celui qui brille, je le prends ici » (ibid. 3) — il s’asperge.
17. Et encore avec (la formule) : « Pour la gloire, la splendeur » (ibid. 4).
18. Et encore avec (le verset) : « Par lequel tu as rendu la femme (enceinte ?) » (ibid. 5).
19. Une quatrième fois en silence.
20. Il devrait alors se lever et adorer le soleil avec le Mantra, « Se lever avec (les Maruts) qui portent des lances brillantes » (ibid. 6-9), etc.
21. [48] Il peut éventuellement utiliser les sections individuelles de [ p. 84 ] le Mantra séparément (le matin, à midi et le soir) comme indiqué dans le texte.
22. Il devrait ajouter (la formule) « Tu es l’œil » (ibid. 9) après (chacune des trois sections du Mantra, 6-8).
23. Avec le verset « Desserre la plus haute chaîne, ô Varuna » (ibid. 10), il enlève la ceinture.
24. Après avoir régalé les Brâhmanes et mangé lui-même, il doit se faire couper les cheveux, la barbe, les poils du corps et les ongles, de manière à ne laisser qu’une mèche de cheveux (comme l’exige la coutume de sa famille).
25. Après s’être baigné et paré, et avoir mis deux vêtements (un sous-vêtement et un vêtement supérieur) qui n’ont pas encore été lavés, il doit mettre une guirlande (sur sa tête) avec (la formule) : « Tu es chanceuse ; prends plaisir en moi » (ibid. 11).
26. Les deux chaussures (qu’il met) avec (la formule), « Vous êtes des leaders ; conduisez-moi » (ibid. 12).
27. Avec (la formule) « Tu es le Gandharva » (ibid. 13), il prend un bâton de bambou.
28. Il s’approche du professeur avec l’assemblée (de ses élèves) et regarde l’assemblée de ses (élèves) professeur en disant : « Comme un globe oculaire, puis-je vous être cher » (ibid. 14).
29. S’asseyant près (du professeur), il touche les organes des sens au niveau de sa tête avec (le vers) : « L’ichneumon, couvert par les lèvres » (ibid. 15).
30. Ici, le professeur devrait l’honorer avec la cérémonie d’Argha.
31. (L’étudiant) devrait alors s’approcher d’un char attelé de bœufs et toucher ses deux pièces latérales ou les deux bras du timon du char avec [ p. 85 ] (le verset), « Ô arbre, que tes membres soient forts » (ibid. 16).
32. Avec (les derniers mots de ce verset), « Que celui qui se tient sur toi, gagne ce qui peut être gagné » — il le monte.
33. Après avoir parcouru (une certaine distance) en direction de l’est ou du nord, il fait demi-tour de gauche à droite et revient (vers son professeur).
34. [49] Lorsqu’il est revenu, la cérémonie d’Argha doit être accomplie (pour lui par son maître), disent les Kauhalîyas.
1. [50] Dès lors il devra prendre un comportement digne : c’est en bref la règle (de son comportement).
2. Ici, les enseignants énumèrent les éléments suivants (règlements).
3. Nâgâtalomnyopathâsam igget.
4. Il ne devrait pas non plus (souhaiter du sport) avec une fille qui est l’enfant unique de sa mère,
5. Ni avec une femme pendant ses cours,
6. Ni avec celui qui descend des mêmes Rishis.
7. Qu’il ne mange pas de nourriture qui a été apportée par une autre porte (que la porte habituelle),
8. Ou qui a été cuit deux fois,
9. Ou qui est resté debout toute la nuit—
10. Sauf ceux préparés à partir de légumes, de chair, d’orge ou de farine. [ p. 86 ]
11. Qu’il ne coure pas quand il pleut.
12. Qu’il ne prenne pas lui-même ses chaussures dans ses mains (en les mettant ou en les retirant).
13. Qu’il ne regarde pas dans un puits.
14. Qu’il ne cueille pas lui-même les fruits.
15. Il ne devrait pas porter une couronne sans parfum,
16. Si ce n’est pas une couronne d’or.
17. (Il ne doit pas porter de couronne) dont l’expression mâlâ (guirlande) a été utilisée.
18. Il devrait faire en sorte que les gens l’appellent srag (couronne). (Il pourra alors la porter.)
19. Il devrait éviter d’utiliser le mot bhadra (« béni ») sans raison.
20. [51] Il devrait dire (au lieu de cela), mandra (« charmant »).
21. [52] Il existe trois (types de) Snâtakas :
22. Un Vidyâsnâtaka (ou un Snâtaka par la connaissance), un Vratasnâtaka (ou un Snâtaka par l’accomplissement de son vœu), et un Vidyâvratasnâtaka (c’est-à-dire Snâtaka par les deux).
23. Parmi ceux-ci, le dernier est le plus important ; les deux autres sont égaux (entre eux).
24. (Un Snâtaka) ne doit pas mettre un vêtement mouillé.
25. [53] Il ne devrait pas porter un seul vêtement.
26. Il ne doit pas faire l’éloge d’une personne (de manière excessive).
27. Il ne doit pas parler de ce qu’il n’a pas vu, comme s’il l’avait vu, [ p. 87 ]
28. Ni de ce qu’il n’a pas entendu, comme s’il l’avait entendu.
29. Il devrait abandonner tout ce qui constitue un obstacle à sa récitation du Veda.
30. Il doit s’efforcer de se garder (pur de toute souillure) comme un pot d’huile.
31. Il ne devrait pas grimper à un arbre.
32. Il ne doit pas aller vers le soir dans un autre village,
33. [54] Ni seul,
34. Ni avec les Vrishalas (ou Sûdras).
35. Il ne doit pas entrer dans le village par un chemin de traverse.
36. Et il ne doit pas marcher sans compagnon.
37. Voici les observances pour ceux qui ont accompli le Samâvartana,
38. [55] Et ce qui (en outre) est prescrit par _Sisht_as.
1. [56] Quand ses vaches sont chassées, il doit répéter (le verset) : « Que (Bhava), le tout-vaillant, (et Indra protègent) ces (vaches) pour moi » (MB. I, 8, 1).
2. Lorsqu’ils seront de retour, (il devrait répéter le verset) : « Ceux qui sont riches en douceurs » (ibid. 2). [ p. 88 ]
3. S’il désire prospérer (dans son bétail), il doit lécher avec sa langue le front du veau premier-né, avant qu’il ne soit léché par sa mère, et doit avaler avec (la formule) : « Tu es le flegme des vaches » (ibid. 3).
4. S’il désire prospérer (avec son bétail), il doit, lorsque les vaches ont vêlé, mettre du bois sur le feu dans l’étable la nuit et sacrifier du caillé baratté avec des gouttes de ghee, avec (le verset) « Saisir, saisir » (ibid. 4).
5. S’il désire prospérer (avec son bétail), il fait, lorsque les vaches ont vêlé, avec une épée en bois d’Udumbara, des marques sur un veau mâle et sur une veau femelle, d’abord sur le mâle, puis sur la femelle, avec (le Mantra) : « Le monde est toi, mille fois » (ibid. 5. 6),
6. Et après avoir fait cela, il doit réciter (sur les deux mollets le Mantra) : « Avec du métal, avec le couteau de boucher » (ibid. 7).
7. Lorsque la corde (à laquelle les veaux sont attachés) est déployée, et (à nouveau) lorsque les veaux y ont été attachés, il doit réciter dessus (le verset) : « Cette corde, la mère des vaches » (ibid. 8).
8. Ici maintenant, les (rites) suivants doivent être accomplis jour après jour, (à savoir.)
9. [57] (Les rites à) la sortie (des vaches), au retour (des vaches), et à la mise en mouvement de la corde (avec les veaux).
10. Lors du sacrifice de la vache (c’est-à-dire le sacrifice par lequel les vaches prospèrent), des grains de riz bouillis avec du lait sont offerts. [ p. 89 ]
11. Qu’il sacrifie à Agni, Pûshan, Indra et Îsvara.
12. On rend honneur au taureau (en le parant, en lui donnant une nourriture abondante, etc.).
13. Par le sacrifice de la vache a également été expliqué le sacrifice du cheval (c’est-à-dire le sacrifice par lequel on obtient des chevaux prospères).
14. Des divinités Yama et Varuna sont ajoutées ici (aux divinités mentionnées ci-dessus) (Sûtra II).
15. [58] (Après le sacrifice de la vache) les vaches sont aspergées d’eau parfumée ; les vaches sont aspergées d’eau parfumée.
1. [59] Maintenant (suit) la cérémonie _Sravan_â.
2. Elle doit être effectuée le jour de la pleine lune (du mois _Srâvan_a).
3. Après avoir enduit (une surface) à l’est de la maison (de bouse de vache), ils transportent (à cet endroit) du feu pris du feu domestique (sacré).
4. Il tache quatre points sur les quatre côtés (du feu),
5. Vers les (quatre) directions,
6. (Dans la mesure) de plus d’un prakrama (c’est-à-dire d’une étape).
7. Il met un plat sur le feu et fait frire (dans ce [ p. 90 ] plat) une poignée de grains d’orge, sans les brûler.
8. [60] A l’ouest du feu, il place un mortier de manière à ce qu’il soit bien stable, et décortique (les grains), séparant (les grains décortiqués et les grains non décortiqués ?).
9. Après les avoir soigneusement moulus en farine, et l’avoir jeté dans une coupe en bois (_k_amasa), et l’avoir recouverte d’un van, il la met (dans la maison).
10. Entre (la surface tachée) vers le sud, et celle vers l’est (il devrait y avoir) un passage.
11. [61] Après le coucher du soleil, il prend la coupe en bois, (la cuillère appelée) Darvi, et le panier à vanner, et se rend (au feu) qui a été porté en avant (Sûtra 3).
12. Il jette la farine dans le van et remplit la coupe en bois d’eau.
13. Il prend une fois une quantité de farine avec la cuillère Darvi, verse de l’eau sur l’endroit taché à l’est (du feu), et offre (là) un Bali avec (les mots) : « Ô roi des Serpents, demeurant vers l’est, ceci est ton Bali ! » (MB. II, 1, 1).
14. Il verse le reste de l’eau sur (ce Bali, en prenant soin) qu’elle n’emporte pas le Bali. [ p. 91 ]
15. [62] Se retournant de droite à gauche, il asperge la coupe en bois et la cuillère Darvi, les réchauffe et (répète l’offrande d’un Bali) de la même manière vers le sud, vers l’ouest et vers le nord, comme le Mantra (MB. II, I, 1. 2) court, sans se détourner (entre les offrandes individuelles de Bali).
16. [63] Après avoir jeté les restes (de farine) du panier dans le feu, il va vers ce feu qui n’a pas été transporté.
17. [64] À l’ouest de ce feu, il touche la terre avec ses deux mains tournées vers le bas et murmure le Mantra « Adoration à la Terre » (MB. II, 1, 3).
18. Le soir, on prépare des grains de riz bouillis avec du lait.
19. De ce (lait-riz), il doit faire des offrandes avec (les formules) : « À _Sravan_a, à Vishravau, à Agni, à Praravaâpati, au Viravave devâs Svâhâ ! »
20. [65] Le reste (doit être exécuté) selon le rite Sthâlîpâka.
21. Au nord du feu, il place un bouquet d’herbe Darbha avec racines et murmure le mantra « Soma le roi » (ibid. 4) et « L’accord que vous avez conclu » (ibid. 5). [ p. 92 ]
22. Le lendemain, il fait préparer de la farine de grains d’orge frits, et dans un nouveau pot, en le recouvrant d’un autre pot, il la met (dans sa maison).
23. [66] (De cette farine) il doit offrir silencieusement des Balis jour après jour, le soir, avant le sacrifice, jusqu’au jour de l’Âgrahâyanî.
1. [67] Le jour de la pleine lune (du mois) Âvayuvayuvayua, lors de la cérémonie Pvayushâtaka, un plat de grains de riz bouillis avec du lait, sacré pour Rudra, (est préparé).
2. De ce (lait-riz), qu’il sacrifie, la première oblation avec (le verset) : « À nous, ô Mitra et Varuna » (Sâma-veda I, 220), la seconde avec (le verset) : « Pas dans notre descendance » (Rig-veda I, 114, 8),
3. [68] Et (huit oblations Âgya) avec les « noms de vache » (c’est-à-dire avec les formules), « Tu es la belle », etc., avec chaque (nom) séparément.
4. [69] Le reste (doit être exécuté) selon le rite Sthâlîpâka.
5. Ayant porté le Prishâtaka autour du feu, tournant son côté droit vers (le feu), et ayant fait regarder le Prishâtaka par les Brâhmarias, il devrait le regarder lui-même avec (le verset [ p. 93 ] répété par les Brâhmarias et par le sacrificateur), « Cet œil brillant, créé par les dieux, qui s’élève à l’est, puissions-nous le voir cent automnes ; puissions-nous vivre cent automnes ! »
6. Après avoir régalé les Brâhmanes et s’être mangé lui-même, (le sacrificateur et sa famille) doivent attacher (à leurs bras, à leur cou, etc.) des amulettes faites de laque avec toutes sortes d’herbes, pour la prospérité.
7. Le soir, il doit nourrir les vaches avec le Prishâtaka et laisser les veaux les rejoindre.
8. Ainsi (les vaches) prospéreront.
9. [70] Lors du sacrifice des premiers fruits, un plat de grains de riz bouillis avec du lait, sacré pour Indra et Agni, (est préparé).
10. Après avoir sacrifié d’abord une offrande Havis de cela (lait-riz), il sacrifie sur cette (oblation) quatre oblations Âgya avec (les versets) : « À celui qui porte cent armes », etc. (MB. II, 1, 9-12).
11. [71] Le reste (doit être exécuté) selon le rite Sthâlîpâka.
12. Le reste des restes de la nourriture sacrificielle doit être donné à manger à toutes les personnes présentes qui ont reçu l’initiation (Upanayana).
13. Après avoir « étalé » l’eau une fois, il doit couper deux portions des grains de riz bouillis.
14. Trois (des portions sont coupées) par les descendants de Bhrigu.
15. Et sur (ces portions) de l’eau (est versée).
16. [72] (Après que la nourriture a été préparée de cette [ p. 94 ] manière), il doit l’avaler sans la mâcher, avec (le Mantra), « Du bon au meilleur » (ibid. 13).
17. De la même manière trois fois.
18. Silencieusement une quatrième fois.
19. Après avoir retranché une plus grande portion,
20. Ils peuvent, s’ils le souhaitent, mâcher cela.
21. Après avoir bu de l’eau, ils doivent toucher leur bouche, leur tête et leurs membres de haut en bas, avec (le verset) : « Ceci est toi » (ibid. 14).
22. De la même manière (on accomplit des sacrifices des prémices) de Syâmâka (panicum frumentaceum) et d’orge.
23. (Lors du sacrifice) de Syâmâka (le Mantra avec lequel la nourriture est partagée [comp. Sûtra 16], est), ‘Qu’Agni mange en premier’ (ibid. 15).
24. (Au sacrifice) de l’orge, ‘Cette orge, mêlée de miel’ (ibid. 16).
1. [73] Le jour de l’Âgrahâyanî (ou le jour de la pleine lune du mois de Mârgasîrsha), des offrandes de Bali (sont faites).
2. [74] Ils ont été expliqués par le sacrifice _Srâvan_a.
3. [75] Il ne murmure pas (ici) le mantra « Adoration à la Terre ». [ p. 95 ]
4. Le matin, après avoir sacrifié l’oblation matinale (habituelle), il doit faire apporter les plantes et branches d’arbres suivantes : de l’herbe Darbha, une branche de Sami, de l’herbe Vîrina, une branche de Badarî avec des fruits, de l’Apâmârga et du Sirîsha. Il doit ensuite jeter silencieusement une portion de farine d’orge frite dans le feu, faire prononcer des vœux de bon augure par les Brâhmanes et faire le tour de la maison en tournant son côté droit vers elle, en partant de la pièce réservée au feu (sacré), et en attisant la fumée (du feu sacré) avec ces objets (c’est-à-dire avec les plantes et les branches mentionnées ci-dessus).
5. Il devrait jeter ces objets après les avoir utilisés.
6. [76] Sur des pierres solides, il place un tonneau d’eau avec les deux (Sâmans appartenant au verset), ‘Vâstoshpati’ (Sâma-veda I, 275) et avec (ce) Rik (lui-même).
7. Qu’il verse deux pots d’eau dans ce tonneau avec ce verset : « Rassemblez-vous » (Sâma-veda-Âranyaka, vol. ii, p. 292, éd. Bibl. Indica).
8. [77] Le soir, on prépare des grains de riz bouillis avec du lait.
9. De cela (lait-riz), il devrait faire une oblation avec (le Mantra) : « Elle a brillé comme la première » (MB. II, 2, 1).
10. [78] Le reste (doit être accompli) selon le rite Sthâlîpâka. [ p. 96 ]
11. À l’ouest du feu, il touche les Barhis avec ses deux mains tournées vers le bas, et murmure les Vyâhritis (c’est-à-dire les paroles solennelles) : « Dans le Kshatra, je m’établis » (ibid. 2. 3).
12. À l’ouest du feu, il devrait avoir une couche étalée,
13. D’herbe pointée vers le nord,
14. Incliné vers le nord.
15. Après avoir étendu sur cette (herbe) de nouveaux tapis, le maître de maison s’assoit dessus, du côté sud.
16. Puis sans intervalle les autres selon leur âge,
17. Et sans intervalle leurs femmes, chacune avec ses enfants.
18. Lorsqu’ils sont assis, le maître de maison touche la couche (d’herbe) avec ses deux mains tournées vers le bas et murmure le verset : « Sois douce pour nous, ô Terre » (ibid. 4).
19. Quand il a terminé ce (verset), ils se couchent sur le côté droit.
20. [79] De la même manière (ils se couchent sur le côté droit) trois fois, en se tournant vers eux-mêmes (c’est-à-dire en se retournant vers l’avant, pas vers l’arrière, et en revenant ainsi à leur position antérieure ?).
21. Ils répètent les hymnes de bon augure dans la mesure où ils les connaissent ;
22. [80] Le complexe de Sâmans appelé Arishta, selon certains (enseignants). [ p. 97 ]
23. Après avoir touché l’eau, ils peuvent faire ce qu’ils veulent.
1. [81] L’Ashtakâ (est une fête) sacrée de la nuit.
2. Il procure la prospérité.
3. Il est consacré à Agni, ou aux Mânes, ou à Pragâpati, ou aux Saisons, ou aux devâs Vigves — ainsi la divinité (à laquelle l’Ashgakâ est consacré) est étudiée (par différents enseignants).
4. [82] Il y a quatre Ashtakâs dans (les quatre mois de) l’hiver ;
5. Il doit s’efforcer de célébrer tout cela avec des offrandes de viande ;
6. Ainsi parle Kautsa.
7. (Il n’y a que) trois Ashtakâs (en hiver), dit Audgâhamâni,
8. Et c’est ce que disent (aussi) Gautama et Vârkakhandi.
9. Le huitième jour de la quinzaine sombre après l’Âgrahâyatî est appelé Apûpâshtakâ (c’est-à-dire Ashtakâ des gâteaux).
10. [83] Ayant préparé des grains de la manière prescrite [ p. 98 ] pour les Sthâlîpâkas, il fait cuire (ces grains et prépare ainsi) un karu.
11. [84] Et (en outre il prépare) huit gâteaux, sans les retourner dans le plat (dans lequel il les fait cuire) ;
12. (Chacun) dans un plat;
13. Sans Mantras, selon Audgâhamâni ;
14. [85] De la taille des (gâteaux) sacrés à Tryambaka.
15. Après les avoir cuits, il versera (Âgya) dessus, les retirera du feu vers le nord, et versera (Âgya) dessus à nouveau.
16. [86] De la manière prescrite pour les Sthâlîpâkas, il coupe (les portions prescrites) du mélange de grains bouillis et des gâteaux, et sacrifie avec (les mots) : « À l’Ashtakâ Svâhâ ! »
17. [87] Le reste (doit être exécuté) selon le rite Sthâlîpâka.
18. [88] (Lors du deuxième Ashtakâ, le) huitième jour après le jour de pleine lune de Taisha, une vache (est sacrifiée).
19. Peu avant le moment de la jonction (du jour et de la nuit, c’est-à-dire avant le crépuscule du matin), il doit placer cette (vache) à l’est du feu, et quand (ce moment) est venu, il doit sacrifier (Âgya) avec [ p. 99 ] (le verset), ‘Que pensez-vous, ô bêtes’ (MB. II, 2, 5).
20. Et après avoir sacrifié, il doit réciter sur (la vache) le verset : « Que ta mère te le permette » (ibid. 6).
21. Qu’il asperge (la vache) avec de l’eau contenant de l’orge, en disant : « Conformément à l’Ashtakâ, je t’asperge. »
22. Qu’il porte un tison tout autour avec (le verset) : « Le seigneur des biens, le sage (fait) le tour » (Sâma-veda I, 30).
23. Qu’il lui donne de l’eau à boire.
24. Le reste de ce qu’il a bu, il le versera sous (les pieds de) la bête avec (la formule) : « Loin des dieux, le Havis a été enlevé » (MB. II, 2, 7).
25. Ils marchent ensuite vers le nord (du feu) et tuent (la vache),
26. Dont la tête est tournée vers l’est, les pieds vers le nord, si le rite est sacré pour les dieux,
27. La tête au sud, les pieds à l’ouest, si le rite est sacré pour les Mânes.
28. Après avoir été tué, il doit sacrifier (Âgya) avec (le verset) : « Si la bête a mugi » (ibid. 8).
29. Et la femme (du sacrificateur) doit prendre de l’eau et laver toutes les ouvertures du corps de la vache.
30. Ils placent deux purificateurs (c’est-à-dire des brins d’herbe) sur (le corps de la vache) près de son nombril, le coupent dans le sens de ses poils et en retirent l’épiploon.
31. Il le crachera sur deux morceaux de bois, une branche simple et une branche fourchue, l’arrosera d’eau et le rôtira. [ p. 100 ]
32. [89] Quand la vache cesse de tomber, il doit dire : « Coupez la vache en morceaux.
33. ‘Afin que le sang ne tache pas la terre à l’est du feu.’
34. Après avoir rôti (l’épiploon), il doit verser (Âgya) dessus, doit le retirer du feu vers le nord, et doit verser (Âgya) dessus à nouveau.
35. [90] Après avoir coupé (les portions prescrites de) l’épiploon de la manière prescrite pour les Sthâlîpâkas, ou de la manière prescrite pour le Svishtaktt (oblation), il sacrifie avec (les mots) : « À l’Ashtakâ Svâhâ !
36. [91] Le reste (doit être accompli) selon le rite Sthâlîpâka. Le reste selon le rite Sthâlîpâka.
Fin du Troisième Prapâthaka.
69:1 1, 1. Après la description de l’Upanayana régulier, suivent, dans les chap. 1 et 2, des déclarations concernant les Vratas spéciaux que l’étudiant védique doit subir, ou plutôt qu’il peut subir, pendant la durée de son étude. Comp. les déclarations correspondantes sur les Vratas des Rigvedins, Sâṅkhâyana-Grihya II, 11 et 12. Chez les adeptes du Sâma-veda, la cérémonie du Godâna, ou coupe de la barbe (comp. Sâṅkhâyana I, 28, 19 ; Pâraskara II, 1, 7 seq. ; Ârivalâyana I, 18), était mise en relation avec leur système de Vratas ; Français la réalisation du Godânavrata a permis à l’étudiant d’étudier le Pûrvârriika du Sâma-veda. Dans le commentaire sur Gobhila III, 1, 28, nous trouvons les déclarations suivantes concernant ce Vrata ainsi que les autres Vratas mentionnés dans le Sûtra 28 : « L’Upanayana-vrata a été déclaré se référer à l’étude du Sâvitrî (comp. les notes de Bloomfield sur Grihya-sarigraha II, 42. 43) ; le Godânavrata, à l’étude des recueils de versets sacrés aux dieux Agni, Indra et Soma Pavamâna (il s’agit du Pûrvârriika du Sâma-veda) ; Français le Vrâtika-vrata, à l’étude de l’Ârariyaka, à l’exclusion des sections Sukriya ; l’Âditya-vrata, à l’étude des sections Sukriya ; l’Aupanishada-vrata, à l’étude de l’Upanishad-Brâhmaria ; le _Grith_asâmika-vrata, à l’étude des Âriyadohas. Les Vratas étaient liés à une répétition de la cérémonie de l’Upanayana (Sûtras 10 seq.) de la manière indiquée dans ma note sur Sâṅkhâyana II, 12, 1. — Khâdira-Grihya II, 5, 1 seq. ↩︎
69:2 Comp. Sâṅkhâyana I, 28, 19, ‘Le Godânakarman est identique au _Kûd_âkarman.’ Pâraskara II, 1, 7, Lors de la cérémonie du Keûânta, il dit : « Cheveux et barbe » (au lieu de « cheveux », comme au _Kûdûn_a).’ ↩︎
70:3 Au _Kûdûn_a, l’enfant est assis sur les genoux de la mère et d’autres accomplissent les rites pour lui. ↩︎
70:10 Voir la note sur le Sûtra 1. ↩︎
70:11 Comp. ci-dessus, II, 10, 7. ↩︎
71:28 La signification de ces expressions a été expliquée dans la note sur le Sûtra 1. ↩︎
71:30 Selon le commentaire, certains étudient les _Sukriyas comme une partie de l’Âran_yaka ; ceux-ci ne subissent pas l’Âditya-vrata. D’autres, par exemple les Kauthumas, séparent les _Sukriyas comme une partie de l’Âran_yaka et gardent un vœu spécial, l’Âditya-vrata, par lequel ils sont autorisés à étudier ces textes. ↩︎
72:1 2, 1. Concernant les versets Mahânâmnî ou Sakvarî et les observances liées à leur étude, comp. Sâṅkhâyana II, 12 (voir en particulier la note sur II, 12, 13) et le sixième Adhyâya de ce texte. Khâdira-Grihya II, 5, 22 seq. ↩︎
72:10 Les règles concernant le fait de « toucher l’eau » ont été données ci-dessus, I, 2, 5 seq. Les trois Savanas ou pressions du Soma dont se compose le sacrifice du Soma sont le prâta_h_-savana, le mâdhyandina-savana et le tritîya-savana, c’est-à-dire le Savana du matin, le Savana du midi et le troisième ou Savana du soir. ↩︎
72:12 Comp. ci-dessus, II, 10, 46; III, I, 27. ↩︎
73:30 Voir Sûtras 13. 18. 19. 16. 14. ↩︎
74:35 Comp. Sâṅkhâyana-Grihya VI, 3, 7. ↩︎
74:36 C’est-à-dire que le jeûne prescrit dans les Sûtras 34 et 37 peut, s’ils le souhaitent, suivre l’enseignement du chant sacré, au lieu de le précéder. ↩︎
74:37 Sâṅkhâyana-Grihya II, 12, 6 suiv. ↩︎
75:43 Comp. ci-dessus, I, 9, 29; Sâṅkhâyana VI, 3, 11 seq. ↩︎
75:45 45, 46. L’étudiant doit donner une rétribution à son maître trois fois, après avoir appris chacun des trois versets du Stotriya (Sûtras 31. 32). À ces trois occasions correspondent les quatre objets mentionnés dans le Sûtra 45, de sorte que la première fois, on peut choisir soit le premier, soit le second de ces objets, le taureau ou le récipient en bronze ; la deuxième fois, il offre un vêtement, la troisième fois un vara (ou don facultatif). Voir la correspondance similaire de quatre objets et des trois cas auxquels ces objets se réfèrent, II, 10, 8. 52. ↩︎
75:48 Il s’agit de la cérémonie Anupravakanîya (ou cérémonie à effectuer après l’étude d’un texte védique) appartenant aux Mahânâmnîs ; comp. Khâdira-Gkhya II, 5, 34 ; Âkvalâyana-Gkhya I, 22, 1 2 ; Sâṅkhâyana II, 8, 1 note. ↩︎
75:49 Peut-être que sarvatra (« partout ») appartient au Sûtra 49, de sorte que nous devrions traduire : Ceci (devrait être fait) partout à la p. 76 des cérémonies Anupravakanîya, c’est-à-dire également lors des cérémonies Anupravakanîya qui sont liées à l’étude des autres textes. ↩︎
76:50 Au lieu de « Je tiendrai le vœu », il dit : « J’ai tenu le vœu », etc. ; II, 10, 16. ↩︎
76:51 Les Parvans sont les trois grandes sections, consacrées à Agni, Indra et Soma Pavâmana, en lesquelles le premier Sâmavedârkika est divisé. ↩︎
76:55 Selon le commentaire, il doit garder ces observances tout au long de sa vie. ↩︎
76:58 Ou, porter toujours le même vêtement ? ↩︎
77:60 Concernant les instructions données à l’élève par le professeur, voir chap. 1, 14. ↩︎
77:62 Voir ci-dessus, Sûtras 31. 33. ↩︎
77:1 3, 1 seq. La cérémonie de l’Upâkarana ; Khâdira-Gnhya III, 2, 16 seq. Concernant les différents termes de cette cérémonie, comp. Sâṅkhâyana IV, 5, 2 ; Ânvalâyana III, 5, 3 ; Pâraskara II, 10, 2. Hiranyakenin dit : snnnnnm vâdhyâyopâkarma. — Il me paraît impossible d’adopter une explication de ce Sûtra, qui donne à praushnapadî un autre sens que celui fondé sur l’emploi constant de ces féminins dérivés des noms de Nakshatras, c’est-à-dire le jour de la pleine lune qui tombe sous tel ou tel Nakshatra. Hasten a, par conséquent, se réfère nécessairement à un autre jour que le Praushnapadî, où l’Upâkarana peut être célébré. Peut-être pouvons-nous conjecturer, praushnapadî_mnn_am. ↩︎
77:2 Comp. ci-dessus, II, 10, 39. ↩︎
78:5 Le livre _Kh_andas est le premier Sâmavedârkika dans lequel les versets sont disposés selon leur mètre. ↩︎
78:6 Le texte ne précise pas clairement dans quelle mesure les rites décrits dans les Sûtras 6 à 8 se situent par rapport à ceux traités dans les Sûtras précédents. L’expression yathârtham utilisée dans le Sûtra 5 (« yathârtham iti karmana_hnk_yate », Comm. ; comp. ci-dessus, I, 3, 12 note) indique clairement la fin de la cérémonie ; d’autre part, la comparaison de Pâraskara II, 10, 15 ss., Sâṅkhâyana IV, 5, 10 ss., Ânvalâyana III, 5, 10, semble montrer que les actes énoncés dans les Sûtras 6 à 8 font partie de la cérémonie décrite précédemment. ↩︎
78:8 Je n’essaie pas de traduire ce Sûtra très obscur selon le commentaire, dans lequel khândika est expliqué comme « le nombre (d’élèves) ». Peut-être le mot est-il une faute d’orthographe pour kandikâ ou similaire, et signifie-t-il des sections des textes. Comp. Khâdira-Gnhya III, 2, 23. La construction (ânântodakâh . . . kârayet) est assez irrégulière. ↩︎
78:9 C’est-à-dire qu’ils ne poursuivent pas leur étude. Le jour consacré à Savitri est le jour sous la constellation de Hasta, mentionné dans le Sûtra 1, car Savitri est la divinité qui préside à ce Nakshatra (comp. Sâṅkhâyana I, 26, 11). ↩︎
78:10 Comp. la note sur le Sûtra 16. ↩︎
79:12 Concernant la cérémonie de Tarpana, comp. Sâṅkhâyana 1V, 9, note. Du mot « et », le commentateur conclut que les libations sont offertes non seulement aux Ânâryas, mais aussi aux Rishis, etc. (Sûtra 15). ↩︎
79:13 Comp. Gautama XVI, 1; Vasishtha XIII, 1; Âpastamba I, 9, 1, etc. ↩︎
79:14 Âpastamba I, 9, 2, &c. ↩︎
79:15 Ceci est une description de la cérémonie d’Utsarga ; comp. Sâṅkhâyana IV, 6, 6 ; Âsvalâyana III, 5, 21-23 ; Pâraskara II, 12. ↩︎
79:16 La manière la plus naturelle d’interpréter le texte serait, à mon avis, de supposer que le « second Upâkarana » (pratyupâkarana) est identique à l’Utsarga. Le second Upâkarana conclurait ainsi en même temps le premier trimestre d’étude du Veda p. 80 et en ouvrirait un second. La distinction de deux de ces périodes, que l’on peut appeler deux trimestres, se rencontre fréquemment dans d’autres textes, par exemple dans Vasishna XIII, 5-7 (SBE XIV, 63) ; Manu IV, 98. Selon le commentaire, en revanche, le second Upâkarana est accompli au début de la course septentrionale du soleil (comp. Sûtras 10-12) ; Il est indiqué qu’après cette cérémonie, les textes Uttara (c’est-à-dire l’Uttarârnika ?) et Rahasya sont étudiés. Il convient de noter que Manu (IV, 96) prescrit d’accomplir l’Utsarga soit sous le Nakshatra Pushya (c’est-à-dire Tishya), soit le premier jour de la quinzaine lumineuse de Mâgha, qui est considérée comme coïncidant, au moins approximativement, avec le début de la course septentrionale du soleil. ↩︎
80:18 Comp. Manu IV, 105. ↩︎
80:22 Ce sont les jours des anciens sacrifices védiques kâturmâsya. ↩︎
81:29 La définition d’un _Sisht_a, ou personne instruite, est donnée dans Baudhâyana I, 1, 6 (SBE XIV, 143). ↩︎
81:30 30-36. Différentes expiations ; comp. Khâdira-Grihya II, 5, 35-37. ↩︎
81:34 Kitya signifie K_itya agni, l’autel du feu empilé, dont la construction est traitée, par exemple, dans le Satapatha Brâhmaitya signifie a VI-X. Le professeur Weber a consacré aux rites liés au kitya agni un article très détaillé, Indische Studien, XIII, 217 seq. Que kitya signifie k_itya agni est démontré par le Mânava-Gitya signifie hya I, 3: yadi . . . akshi vâ spandet karitya signifie o vâ kroitya signifie ed agni_mitya signifie kitya signifie sitya signifie sitya signifie mitya signifie kitya signifie ed yûpa_mitya signifie riitya signifie et, &c. ↩︎
82:1 4, 1 seq. La description donnée dans ce chapitre du Samâvartana, ou de la cérémonie célébrée à la fin de l’étude, s’ouvre par quelques phrases se référant à une autre section du rituel du Grihya, à savoir le mariage. Il me semble que ces premiers Sûtras de ce chapitre formaient autrefois, dans un texte d’où Gobhila les a tirés, l’introduction d’un exposé des cérémonies de mariage, et que Gobhila fut incité à les transférer à la description du Samâvartana, par leurs mots d’ouverture : « Un étudiant, après avoir étudié le Véda, etc. » Avec les Sûtras 1 à 3, comp. Khâdira-Grihya I, 3, 1. ↩︎
82:3 Je préfère fournir, (avec la permission) de ses parents, et non de son professeur. Hiranyakenin dit, samâvntta ânâryakulât mâtâpitarau bibhnyât, tâbhyâm anundâto bhâryâm upayandet. ↩︎
82:5 Concernant le terme Sapinda, voir, par exemple, Gautama XIV, 13 (SBE II, 247) : « La relation Sapinda cesse avec le cinquième ou le septième (ancêtre). » Comp. Manu V, 60. ↩︎
82:6 Selon le Grihya-sarigraha (II, 17. 18), une fille « nue » est une fille qui n’a pas encore ses règles ou dont la poitrine n’est pas encore développée. Comp. Vasishria XVII, 70 ; Gautama XVIII, 23. ↩︎
82:7 7 suiv. Comp. Khâdira-Grihya III, 1, 1 suiv. ↩︎
83:13 Dans les Mantras prescrits pour l’aspersion de l’étudiant (Mantra-Brâhmana I, 7, 1 seq.) on trouve des passages tels que, par exemple, « Avec cela, moi, NN, je m’asperge. » ↩︎
83:21 Il peut utiliser la première section du Mantra, qui contient le mot prâtar, le matin, etc. ↩︎
85:34 Au lieu d’être exécuté au moment indiqué dans le Sûtra 30. ↩︎
85:1 5, 1 seq. Règles de conduite pour le Snâtaka ; comp. Khâdira-Grihya III, I, 33 seq. ↩︎
86:20 Quant à la lecture, comp. les remarques du Dr Knauer dans son édition du texte, p. xi de l’Introduction. ↩︎
86:21 21, 22. Ces Sûtras sont identiques à Pâraskara II, 5, 32. Comp. les définitions de ces trois sortes de Snâtakas, Pâraskara, ll 33-35. ↩︎
86:25 Comp. ci-dessus, chap. 2, 58. ↩︎
87:33 Que le Snâtaka ne soit pas autorisé à se rendre seul dans un autre village découle du Sacra 36 ; le Sûtra 33 est donc superflu. Le commentateur tente bien sûr de défendre Gobhila, mais je pense qu’il n’y est pas parvenu. Gobhila a probablement emprunté les deux Sûtras à des textes différents, sur lesquels sa propre composition semble se baser. ↩︎
87:38 Baudhâyana I, 1, 6 (SBE XIV, 144) : « Ceux qui, conformément à la loi sacrée, ont étudié le Véda avec ses appendices, savent en tirer des conclusions et sont capables d’apporter des preuves perceptibles par les sens à partir des textes révélés sont appelés _Sisht_as. » ↩︎
87:1 6, 1 seq. Différentes cérémonies liées à l’élevage du bétail. Comp. Khâdira-Grihya III, I, 45 seq. ↩︎
88:9 Voir Sûtras 1. 2. 7. ↩︎
89:15 Quant à la répétition des derniers mots de ce chapitre, voir les notes sur I, 4, 31; II, 8, 25; 10, 50. ↩︎
89:1 7, 1 seq. La cérémonie _Sravan_â ou l’offrande de Bali aux Serpents. Comp. Khâdira-Gravahya III, 2, 1 seq., et l’article détaillé du Dr. Winternitz, Der Sarpabali, ein altindischer Schlangencult (Vienne, 1888). ↩︎
90:8 Quant à avahanti, comp. ci-dessus, I, 7, 4 ; Hillebrandt, Neu- et Vollmondsopfer, p. 30. ↩︎
90:11 Selon le commentaire, atipranîta signifie le feu qui a été transporté (Sûtra 3). Une autre explication est ensuite ajoutée, basée sur une citation d’un « tantrântara » : « Après avoir établi un feu, il doit transporter un tison pris de ce feu, en direction du sud-est, avec le Mantra ye rûpâni pratimundamânâh etc. ; ce feu est le feu atipranîta. » ↩︎
91:15 Littéralement, « se retournant, suivant son bras gauche ». Comp. Sâṅkhâyana II, 3, 2. Le Mantra dit ainsi : « Ô roi des Serpents, demeurant vers le sud (l’ouest, le nord), ceci est ton Bali ! » ↩︎
91:16 Comp. Sûtra 11 et la note. ↩︎
91:17 Comp. ci-dessous, IV, 5, 3. ↩︎
91:20 Grihya-sarigraha I, 114: ‘Lorsque l’expression technique est utilisée, « Le repos selon le rite des Sthâlîpâkas », il devrait, après avoir sacrifié les deux Âriyabhâgas, verser (Âriya) dans le Sruk et couper (les Avadânas avec le Sruk).’ Comp. Gobhila I, 8, 3 seq. ↩︎
92:23 Le sacrifice est celui prescrit dans les Sûtras 18. 19, qui doit, ainsi que l’offrande de Balis, être répété quotidiennement. ↩︎
92:1 8, 1 seq. La cérémonie du Prishâtaka; comp. Khâdira-Grihya III, 3, 1 seq. Un Prishâtaka est un mélange de lait ou de caillé avec de l’Âriya; comp. Khâd. ll 3; Grihya-sarigraha II, 59; Sâṅkhâyana IV, 16, 3 note. ↩︎
92:3 Les « noms de vache » sont donnés dans le Grihya-sarigraha II, 60 ; des neuf noms qui y sont donnés, le dernier est omis lors de la cérémonie du Prishâtaka. ↩︎
92:4 Voir ci-dessus, chap. 7, 20 et la note. ↩︎
93:9 9 seq. Le sacrifice des prémices ; comp. Khâdira-Grihya III, 3, 6 seq. ↩︎
93:11 Voir chap. 7, 20 et la note. ↩︎
93:16 16, 20. Au lieu de asamsvâda_m_, samsvâdayeran, j’ai lu p. 94 asamkhâda_m_, samkhâdayeran. Comp. Khâdira-Gmhya III, 3, 13 : asamkhâdya pragiret, et les citations dans le dictionnaire de Böhtlingk-Roth s_v_. sa_m_-khâd et â-svad. ↩︎
94:1 9, 1 seq. La cérémonie Âgrahâyariî par laquelle se concluent les rites consacrés aux Serpents. Khâdira-Grihya III, 3, 16 seq. ↩︎
94:2 Voir ci-dessus, chap. 7. ↩︎
94:3 Comp. chap. 7, 17 : À l’ouest de ce feu, il touche la terre avec ses deux mains tournées vers le bas et murmure le Mantra : « Adoration à la Terre. » ↩︎
95:6 Il chante les deux Kâvasha Sâmans dont le verset Sâma-veda I, 275 est considéré comme le Yoni, puis répète ce verset lui-même. ↩︎
95:8 Ce Sûtra est identique aux chap. 7, 18. ↩︎
95:10 Comp. chap. 7, 20 note. ↩︎
96:20 L’explication que donne le commentaire de ce Sutra difficile peut difficilement être acceptée : trir âvritya tririkritvoऽbhyasya . . . abhyâtmam âtmano grihapater âbhimukhyena, âtmana ârabhyety artha_h_. katham nâma? yenaiva krameriopavishriâ_hrinrimrisrimrih_. ↩︎
96:22 Le commentaire donne un deuxième nom à cette litanie Sâman p. 97, arishtabhaṅga. Nârâyata dit : abodhy agnir (Sv. I, 73) mahi trîtâm (I, 192) iti dve tvâvata (I, 193) ityâdika_mtmtg_ya. ↩︎
97:1 10, 1 seq. Les fêtes Ashtakâ ; Khâdira-Gthya III, 3, 28. Comp. Sâṅkhâyana-Gthya III, 12, 1 note (SBE XXIX, 102). ↩︎
97:4 4, 7. Quant à la différence d’opinion concernant le nombre d’Ashtakâs, comp. Weber, Naxatra, deuxième article, p. 337. Gobhila lui-même suit l’opinion d’Audgâhamâni, car il ne mentionne que trois Ashtakâs dans la saison hivernale, le premier suivant la pleine lune d’Âgrahâyatî (chap. 50, 9), le deuxième après la Taishî (10, 18), et le troisième après la Mâghî (IV, 4, 17). ↩︎
97:10 Voir ci-dessus, I, 7, 2 seq. ↩︎
98:11 Grihya-sarigraha II, 71 : prithakkapâlân kurvîta apûpân ashriakâvidhau. ↩︎
98:14 Concernant les gâteaux Traiyambaka, comp. Kâtyâyana Srauta-sûtra V, 10, 1 suiv.; Vaitâna-sûtra IX, 18, etc. ↩︎
98:16 Voir ci-dessus, I, 8, 5 seq. ↩︎
98:17 Comp. chap. 7, 20 note. ↩︎
98:18 Les rites Srauta du sacrifice animal doivent être comparés aux paragraphes suivants ; voir J. Schwab, Das altindische Thieropfer (Erlangen, 1886). ↩︎
100:32 Dans le texte, nous devrions lire vissasata, comme l’a observé le Dr Knauer. ↩︎
100:35 Les règles concernant les Avadânas sont données pour les Sthâlîpâkas, I, 8, 5 seq., et pour l’oblation Svishtaktt, I, 8, 11 seq. ↩︎
100:36 Comp. III, 7, 20 note. ↩︎