Grihya Sûtra de Gobhila — Adhyâya III | Page de titre | Grihya Sûtra de Hiranyakesin — Note introductive |
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1. [1] Il jette les deux broches dans le feu ;
2. Ce qui consiste en une branche (simple), vers l’est, l’autre vers l’ouest.
3. [2] Ils coupèrent les portions d’Avadâna de tous ses membres,
4. À l’exception de la cuisse gauche et des poumons.
5. Il devrait garder la cuisse gauche pour la cérémonie d’Anvashtakya.
6. [3] Sur le même feu, il fait cuire un plat de grains de riz et un plat de viande, remuant l’un et l’autre séparément, de gauche à droite, avec deux louches.
7. Après les avoir cuits, il versera (Âgya) dessus, les retirera du feu vers le nord, et versera (Âgya) dessus à nouveau.
8. Ayant versé le jus (des Avadânas) dans un vase d’airain,
9. Et ayant placé les Avadânas sur une couche (d’herbe) sur laquelle des branches du Plaksha (arbre) ont été étendues,
10. [4] Il coupe (les portions prescrites) des [ p. 102 ] Avadânas de la manière prescrite pour les Sthâlîpâkas, (et met ces portions) dans (un autre) récipient d’airain ;
11. Et (la portion) pour l’oblation Svishtaktt séparément.
12. Prenant du mélange de grains de riz bouillis (Sûtra 6) une portion de la taille d’un fruit de Bilva, il doit mélanger cela, avec les Avadânas (Sûtra 10), avec le jus (Sûtra 8).
13. Prenant une portion quadruple de Âya, il la sacrifiera avec le premier des huit ya, il la sacrifiera avec le premier des huit Riya, il la sacrifiera avec le premier des huit as, ‘Entrant dans le feu, le feu’ (MB. II, 2, 9-16).
14. Du mélange (Sûtra 12) il coupe la troisième partie et la sacrifie avec la deuxième et la troisième (verset).
15. Il place le mot Svâhâ après le deuxième (de ces versets, c’est-à-dire après le troisième verset de tout le Mantra).
16. De la même manière, il sacrifie les deux autres tiers (de ce mélange, l’un) avec le quatrième et le cinquième (verset), et (l’autre) avec le sixième et le septième (verset).
17. Après avoir coupé le reste, il doit sacrifier l’oblation à (Agni) Svishtaktt avec le huitième (verset).
18. Même s’il est très démuni en richesses, il doit célébrer (l’Ashtakâ) avec (le sacrifice d’) un animal.
19. Ou il devrait sacrifier un Sthâlîpâka.
20. [5] Ou il devrait offrir de la nourriture à une vache. [ p. 103 ]
21. [6] Ou bien il devrait brûler des broussailles dans la forêt et dire : « Ceci est mon Ashtakâ. »
22. Mais qu’il ne néglige pas de faire (une seule de ces choses). Mais qu’il ne néglige pas de faire (une seule de ces choses).
1. [7] Le jour suivant, l’Anvashtakya (cérémonie) est célébrée,
2. Ou le jour qui suit.
3. Au sud-est (de la maison), dans la direction intermédiaire (entre le sud et l’est), ils cloisonnent (un endroit avec des nattes ou autres).
4. Le côté long (de cet endroit doit se trouver) dans la même (direction).
5. Ils doivent accomplir (les cérémonies) en tournant leurs visages dans la même (direction).
6. (Il devrait mesurer) au moins quatre prakramas (c’est-à-dire des étapes).
7. (Il devrait avoir) son entrée par l’ouest.
8. [8] Dans la partie nord de cette enceinte, ils font le Lakshana et portent le feu (à cet endroit).
9. À l’ouest du feu, il place un mortier fermement en place et décortique, la main gauche en l’air, une poignée de grains de riz qu’il a saisis d’une seule main. [ p. 104 ]
10. Lorsque (le riz) a été décortiqué,
11. Il devrait une fois retirer soigneusement les cosses.
12. [9] Et puis il devrait couper un morceau de chair de cette cuisse et le couper en petits morceaux sur un nouveau banc d’abattage,
13. (Avec l’intention) que les Pindas (ou morceaux de nourriture offerts aux Mânes) soient complètement mélangés à la chair.
14. [10] Sur le même feu, il fait cuire un plat de grains de riz et un plat de viande, remuant l’un et l’autre séparément, de droite à gauche, avec les deux louches.
15. [11] Après les avoir cuits, il doit verser (Âgya) dessus, les retirer du feu vers le sud, et ne plus verser (Âgya) dessus.
16. Dans la partie sud de l’enceinte (Sûtras 3 seq.), il devrait faire creuser trois fosses, de sorte que la fosse orientale (soit creusée) en premier,
17. Une empan de longueur, quatre pouces de largeur et de profondeur.
18. [12] Ayant fait le Lakshana à l’est de la fosse orientale, ils portent le feu (à cet endroit).
19. Après avoir porté le feu autour des fosses du côté ouest, il doit le déposer sur le Lakshana.
20. Il répand (autour du feu) une poignée d’herbe Darbha qu’il a coupée en une seule portion. [ p. 105 ]
21. Et (il le jette dans) les fosses,
22. En commençant par l’est (fosse).
23. À l’ouest des fosses, il devrait avoir une couche étalée,
24. De l’herbe Kusa pointée vers le sud,
25. Incliné vers le sud.
26. Et il devrait mettre une natte dessus.
27. [13] À cette (couche d’herbe) ils apportent pour lui (les instruments sacrificiels suivants), un par un, de droite à gauche :
28. Les deux pots dans lesquels la nourriture sacrificielle a été cuite (Sûtra 14), les deux louches (Sûtra 14), un récipient en bronze, une Darvî (cuillère) et de l’eau.
29. [14] La femme (du sacrificateur) place une pierre sur le Barhis et pile (sur cette pierre la substance parfumée appelée) Sthagara.
30. [15] Et sur la même (pierre) elle broie du collyre, et en oint trois lames de Darbha, y compris les interstices (entre les lames individuelles ?).
31. [16] Il devrait également se procurer de l’huile à base de graines de sésame,
32. [17] Et un morceau de ruban de lin.
33. [18] Après avoir invité un nombre impair de Brâhmanes irréprochables, dont les visages doivent être tournés vers le nord, à s’asseoir sur un endroit pur, [ p. 106 ]
34. [19] Et leur a donné de l’herbe Darbha (afin qu’ils puissent s’asseoir dessus),
35. [20] Il leur donne de l’eau (pure) et ensuite de l’eau de sésame, prononçant le nom de son père : « NN ! À toi cette eau de sésame, et à ceux qui te suivent ici, et à ceux que tu suis. À toi Svadhâ ! »
36. [21] Après avoir touché l’eau, (il fait) la même chose pour les deux autres.
37. [22] De la même manière (il leur donne) des parfums.
38. [23] Les paroles par lesquelles il s’adresse (aux Brâhmanes) lorsqu’il va sacrifier sont : « Je l’offrirai au feu. »
39. Après qu’ils ont répondu : « Offrez-le », il doit découper (les portions prescrites) des deux plats de nourriture cuite (Sûtra 14) (et les mettre) dans le récipient d’airain. Il doit ensuite sacrifier, en prélevant (des portions du Havis) avec la louche, la première (oblation) avec (les mots) : « Svâhâ à Soma Pitrimat », la seconde avec (les mots) : « Svâhâ à Agni Kavyavâhana » (MB. II, 3, 1. 2).
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1. [24] Désormais, il doit accomplir (les rites) en portant son cordon sacrificiel sur son épaule droite et en gardant le silence.
2. [25] Avec sa main gauche, il doit saisir une lame de Darbha et doit (avec celle-ci) tracer (au milieu des trois fosses) une ligne du nord au sud, avec (la formule) : « Les Asuras ont été chassés » (MB. II, 3, 3.
3. [26] Saisissant, de nouveau avec sa main gauche, un tison, il devrait le placer sur le côté sud des fosses avec (le verset) : « Ceux qui assument des formes (multiples) » (ibid. 4).
4. Il appelle ensuite les Pères (à son sacrifice) avec (le verset) : « Venez ici, vous les Pères, qui avez bu du Soma » (ibid. 5).
5. Il doit ensuite placer des vases pâtra remplis d’eau près des fosses.
6. [27] Saisissant à nouveau de la main gauche le premier récipient, il le verse de droite à gauche sur l’herbe du Darbha dans la fosse orientale, en prononçant le nom de son père : « NN ! Lave-toi, et que ceux qui te suivent ici, et ceux que tu suis, se lavent. À toi Svadhâ ! »
7. [28] Après avoir touché l’eau, (il fait) la même chose pour les deux autres.
8. Saisissant, de nouveau de la main gauche, la cuillère Darvî, il doit couper un tiers du mélange (des différentes sortes de nourriture sacrificielle) et doit déposer (ce Pinda), de droite à gauche, sur l’herbe Darbha dans la fosse est, en prononçant le nom de son père : « NN ! Ce Pinda est à toi, à ceux qui te suivent ici, et à ceux que tu suis. À toi Svadhâ ! »
9. [29] Après avoir touché l’eau, (il fait) la même chose pour les deux autres.
10. S’il ne connaît pas leurs noms, il doit écrire le premier Pinda avec (la formule) : « Svadhâ aux Pères qui habitent sur la terre », le deuxième avec (la formule) : « Svadhâ aux Pères qui habitent dans les airs », le troisième avec (la formule) : « Svadhâ aux Pères qui habitent dans les cieux ».
11. Après avoir déposé (les trois Pindas), il murmure : « Ici, ô Pères, amusez-vous ; montrez votre vigueur virile chacun pour sa part » (MB. II, 3, 6).
12. Il devrait se détourner (retenir son souffle) et, se retournant avant d’expirer, il devrait murmurer : « Les Pères se sont bien amusés ; ils ont montré leur vigueur virile, chacun pour sa part » (ibid. 7).
13. Saisissant, de la main gauche, une lame de Darbha (ointe de collyre ; chap. 2, 30), il la posera, de droite à gauche, sur le Pinda dans la fosse orientale, en prononçant le nom de son père : « NN ! Ce collyre est à toi, et il est celui de ceux qui te suivent ici, et de ceux que tu suis. À toi Svadhâ ! »
14. Après avoir touché l’eau, il fait de même pour les deux autres.
15. [30] De même (il offre) l’huile (aux pères) ; [ p. 109 ]
16. [31] De la même manière le parfum.
17. Puis il effectue la dépréciation (de la manière suivante) :
18. [32] Sur la fosse orientale, il pose ses mains, tournant l’intérieur de la main droite vers le haut, avec (la formule) : « Adoration à vous, ô Pères, pour l’amour de la vie ! Adoration à vous, ô Pères, pour l’amour du souffle vital ! » (MB. II, 3, 8) ;
19. Au milieu (fosse), en tournant l’intérieur de la main gauche vers le haut, avec (la formule) : « Adoration à vous, ô Pères, pour l’amour de la terreur ! Adoration à vous, ô Pères, pour l’amour de la sève ! » (MB., loc. cit.) ;
20. Sur le dernier (fosse), en tournant l’intérieur de la main droite vers le haut, avec (la formule) : « Adoration à vous, ô Pères, pour la consolation ! Adoration à vous, ô Pères, pour la colère ! » (MB. II, 3, 9).
21. Puis, joignant les mains, il murmure : « Adoration à vous, ô Pères ! Ô Pères ! Adoration à vous ! » (MB., loc. cit.).
22. Il regarde sa maison avec (les mots) : « Donnez-nous une maison, ô Pères ! » (MB. II, 3, 10).
23. [33] Il regarde les Pindas avec (les mots) : « Puissions-nous vous donner une demeure, ô Pères ! » (MB. II, 3, 11).
24. [34] Saisissant de nouveau de la main gauche le fil de lin, il le déposera, de droite à gauche, sur le Pinda dans la fosse orientale, en prononçant le nom de son père : « NN ! Ce vêtement est à toi, et il est celui de ceux qui te suivent ici, et de ceux que tu suis. À toi Svadhâ ! » (MB. II, 3, 12).
25. [35] Après avoir touché l’eau, (il fait) la même chose pour les deux autres.
26. Saisissant à nouveau de la main gauche le récipient d’eau (Sûtra 5), il doit asperger (d’eau) autour des Pindas de droite à gauche, avec (le verset) « Apporter la sève » (MB. II, 3, 13).
27. La Pinda du milieu (offerte au grand-père) que la femme (du sacrificateur) doit manger, si elle désire un fils, avec (le verset) : « Donnez du fruit au ventre, ô Pères » (MB. II, 3, 14).
28. Ou parmi ces Brâhmanas (cette personne) qui reçoit les restes (de la nourriture sacrificielle, devrait manger ce Pinda).
29. Après avoir aspergé (et ainsi éteint) le tison (Sûtra 3) d’eau, avec (le verset), « Gâtavedas a été notre messager pour ce que nous avons offert » (MB. II, 3, 15) —
30. (Le sacrificateur) doit asperger les vases sacrificiels et les faire reprendre deux par deux.
31. Le Pindqu’il devrait jeter dans l’eau,
32. Ou dans le feu qui a été porté en avant (du côté est des fosses, chap. 2, 18),
33. Ou bien il devrait les donner à manger à un brahmane,
34. Ou il devrait les donner à une vache.
35. [36] À l’occasion d’un événement heureux (comme la naissance d’un fils, etc.) ou d’une œuvre méritoire (comme la consécration d’un étang ou d’un jardin), il devrait donner de la nourriture à un nombre pair (de Brâhmanas). [ p. 111 ]
36. [37] Le rite (est exécuté) de gauche à droite.
37. L’orge est utilisée à la place du sésame.
1. [38] Par (la description du) Sthâlîpâka offert lors de la cérémonie d’Anvashtakya, le Pittapittyatta a été déclaré ;
2. Il s’agit d’un Srâddha offert le jour de la nouvelle lune.
3. [39] Un autre (Srâddha) est l’Anvâhârya.
4. (Elle est effectuée) mensuellement.
5. [40] Le Havis est préparé (par celui qui a installé les feux sacrés Srauta) dans le Dakshinâgni (c’est-à-dire dans celui des trois feux qui est situé vers le sud).
6. Et du même (feu est pris le feu qui) [ p. 112 ] est transporté (afin d’être utilisé lors des cérémonies).
7. Dans le feu domestique (le Havis est préparé) par celui qui n’a pas allumé les feux (Srauta).
8. Une seule fosse (est réalisée) ;
9. [41] Au sud de celui-ci, le feu a sa place.
10. [42] Ici, la pose du tison est omise,
11. [43] Et (l’étalement de) la couche (d’herbe),
12. [44] Et l’onction (des bouquets d’herbe Darbha), et l’onction (des Pères),
13. [45] Et l’offrande de parfum,
14. [46] Et la cérémonie de dépréciation.
15. [47] (La cérémonie effectuée avec) le récipient d’eau constitue la conclusion (du Pindapitnyanda).
16. [48] Il doit cependant déposer un seul vêtement (pour les Pères en commun).
17. [49] Le huitième jour après la pleine lune de Mâgha, un Sthâlîpâka (est préparé).
18. Il doit en sacrifier (Sthâlîpâka).
19. « À l’Ashtakâ Svâhâ ! » — avec (ces mots) il sacrifie.
20. [50] Le reste (doit être exécuté) selon le rite Sthâlîpâka.
21. [51] Les légumes (sont pris à la place de la viande) comme ingrédient de l’Anvâhârya(-riz).
22. Lors des sacrifices d’animaux offerts aux Pères, qu’il sacrifie l’épiploon avec (le verset) : « Porte l’épiploon, ô Gâtavedas, aux Pères » (MB. II, 3, 16) ;
23. Lors de (tels sacrifices) offerts aux dieux, avec (le vers), ‘Gâtavedas, va vers les dieux avec l’épiploon’ (ibid. 17).
24. Si aucun (dieu à qui le sacrifice doit être offert, et aucun Mantra avec lequel l’oblation doit être faite) n’est connu, il sacrifie, en assignant (son offrande au rite personnifié qu’il accomplit), ainsi que (par exemple) : « À l’Ashtakâ Svâhâ !
25. [52] Le reste (doit être exécuté) selon le rite Sthâlîpâka.
26. [53] Si une dette survient (qu’il ne peut pas payer), il doit sacrifier avec la feuille du milieu de Golakas, avec (le verset), « La dette qui » (MB. II, 3, 18).
27. Vient ensuite la mise en mouvement de la charrue.
28. Sous un Nakshatra propice, il devrait préparer un plat de nourriture sacrificielle et devrait sacrifier aux divinités suivantes, à savoir, à Indra, aux Maruts, à Parganya, à Agani, à Bhaga.
29. [54] Et il doit offrir (Âdya) à Sîtâ, Âdâ, Aradâ, Anaghâ.
30. Les mêmes divinités (reçoivent des offrandes) au [ p. 114 ] sacrifice du sillon, au sacrifice de l’aire de battage, aux semailles, à la récolte et à la mise de la récolte dans le grenier.
31. Et sur les taupinières, il sacrifierait au roi des taupes.
32. [55] À Indrânî un Sthâlîpâka (est préparé).
33. De cela il doit faire une offrande avec (le verset), ‘L’Ekâshtakâ, en accomplissant des austérités’ (MB. II, 3, 19).
34. Le reste (doit être accompli) selon le rituel Sthâlîpâka. Le reste selon le rituel Sthâlîpâka.
1. [56] Aux (sacrifices) pour l’obtention de souhaits particuliers, qui seront désormais décrits,
2. Et, selon certains (enseignants), également lors (des sacrifices) décrits ci-dessus (les rites suivants devraient être accomplis).
3. Il doit toucher la terre, à l’ouest du feu, les deux mains tournées vers le bas, avec (le verset) : « Nous partageons la terre » (MB. II, 4, 1). [ p. 115 ]
4. Dans la nuit (il prononce ce Mantra de sorte qu’il se termine par le mot) « biens » (vasu), dans la journée (de sorte qu’il se termine) par « richesse » (dhanam).
5. Avec les trois versets « Cette louange » (MB. II, 4, 2-4) il doit essuyer (avec ses mains) tout autour (du feu).
6. [57] Avant les sacrifices, la formule Virûpâksha (MB. II, 4, 6) (doit être récitée).
7. Et lors des (cérémonies) liées à des souhaits particuliers, la formule Prapada (MB. II, 4, 5) — (de la manière suivante) :
8. Il devrait murmurer (la formule Prapada) « Austérités et splendeur », devrait effectuer une suppression du souffle, et devrait, fixant ses pensées sur l’objet (de son souhait), émettre son souffle, lorsqu’il commence la formule Virûpâksha.
9. [58] Lorsqu’il entreprend des cérémonies pour l’obtention de souhaits spéciaux, qu’il jeûne pendant trois (jours et) nuits,
10. [59] Ou (qu’il omette) trois repas. [ p. 116 ]
11. [60] Toutefois, lors de cérémonies qui se répètent régulièrement, (qu’il le fasse seulement) avant leur première représentation.
12. [61] Il doit cependant (simplement) jeûner avant les cérémonies qui sont accomplies les jours de sacrifice (c’est-à-dire le premier jour de la quinzaine).
13. [62] (Lors d’une cérémonie) qui doit être accomplie immédiatement (après l’événement qui l’a provoquée), la consécration suit (la cérémonie elle-même).
14. Qu’il récite la formule Prapada (Sûtras 7. 8), assis dans la forêt sur l’herbe Darbha,
15. Dont les panicules sont tournées vers l’est, s’il désire un éclat sacré,
16. Au nord, s’il désire des fils et du bétail,
17. Dans les deux sens, si vous désirez les deux.
18. Celui qui désire que son cheptel augmente, doit offrir un sacrifice de riz et d’orge [ p. 117 ] avec (le verset) : « Celui qui a mille bras, le protecteur des gardiens de vaches » (MB. II, 4, 7).
19. Après avoir murmuré le verset Kautomata (ibid. 8) sur les fruits d’un grand arbre, il devrait leur donner—
20. À une personne dont il souhaite gagner la faveur.
21. Un (fruit) de plus (que celui qu’il donne à cette personne), un nombre pair (de fruits), il doit le garder pour lui-même.
22. Il y a les cinq versets, « Comme un arbre » (MB. II, 4, 9-13).
23. [63] Avec ceux-ci, premièrement, une cérémonie (est accomplie) pour (obtenir des biens sur) la terre.
24. Il devrait jeûner une quinzaine de jours,
25. Ou, s’il n’en est pas capable, il peut boire une fois par jour de l’eau de riz,
26. Dans lequel il peut voir son image.
27. [64] Cette observance (fait partie) de (toutes) les observances bimensuelles.
28. [65] Il doit alors, dans la nuit de pleine lune, plonger jusqu’au nombril dans une piscine qui ne tarit pas, et doit sacrifier à la fin de (chacun de ces cinq) versets des grains frits avec sa bouche dans l’eau, avec le mot Svâhâ.
29. Maintenant (suit) une autre (cérémonie avec les mêmes cinq versets).
30. Avec le premier (verset) celui qui désire la jouissance (des richesses), devrait adorer le soleil, en vue de (cette) personne riche en richesse (de [ p. 118 ] dont il espère obtenir la richesse) ; alors il obtiendra la richesse.
31. Avec le deuxième (verset), celui qui désire que son stock de chevaux et d’éléphants augmente, devrait sacrifier des grains frits, tandis que le soleil a un halo.
32. Avec le troisième (verset) celui qui désire que ses troupeaux augmentent, (devrait sacrifier) des graines de sésame, tandis que la lune (a une auréole).
33. Après avoir adoré le soleil avec le quatrième (verset), qu’il acquière des richesses ; alors il reviendra sain et sauf et riche.
34. Après avoir adoré le soleil avec le cinquième (verset), qu’il retourne chez lui. Il retournera sain et sauf chez lui ; il retournera sain et sauf chez lui.
1. [66] Qu’il répète chaque jour (la formule) ‘Bhû_h_!’ (MB. II, 4, 14) afin d’éviter la mort involontaire.
2. (Celui qui fait cela) n’a rien à craindre des maladies graves ou de la sorcellerie.
3. (La cérémonie pour) chasser le malheur (est la suivante).
4. [67] Elle est effectuée le jour du sacrifice (c’est-à-dire le premier jour de la quinzaine).
5. (Les oblations sont faites avec les six versets), ‘De la tête’ (MB. II, 5, 1 seq.), verset par verset.
6. [68] Le septième (verset) est : « Celle qui traverse » (MB. I, 5, 6).
7. [69] (Suivez ensuite) les versets du Vâmadevya, [ p. 119 ]
8. (Et) les Mahâvyâhritis.
9. Le dernier (verset) est « Pragâpati » (MB. II, 5, 8).
10. [70] Avec la formule « Je suis la gloire » (MB. II, 5, 9), celui qui désire la gloire doit adorer le soleil le matin, à midi et l’après-midi,
11. Changer (les mots) « du matin » (en « du midi » et « de l’après-midi », en conséquence).
12. Adorer (le soleil) au moment du crépuscule du matin et du crépuscule du soir procure le bonheur, (les deux fois) avec (la formule), ‘Ô soleil ! le navire’ (MB. II, 5, 14), et (après cela) le matin avec (la formule), ‘Quand tu te lèveras, ô soleil, je me lèverai avec toi’ (ibid. 15) ; le soir avec (la formule), ‘Quand tu te reposeras, ô soleil, j’irai me reposer avec toi’ (ibid. 16).
13. [71] Celui qui désire gagner cent charretées (d’or) doit garder le vœu (de jeûne) pendant une quinzaine et doit, le premier jour d’une quinzaine sombre, nourrir les Brâhmanas avec du riz au lait bouilli préparé avec un Kânsa de riz.
14. [72] Au crépuscule du soir (de chaque jour de cette quinzaine), ayant quitté le village en direction de l’ouest, et ayant mis du bois sur le feu à un endroit où [ p. 120 ] quatre routes se rencontrent, il devrait sacrifier les petits grains (de ce riz), tournant son visage vers le soleil, avec (les mots) : « À Bhala Svâhâ ! À Bhala Svâhâ ! » (ibid. 17. 18).
15. (Il devrait répéter ces rites) de la même manière les deux prochaines quinzaines sombres.
16. Pendant le temps entre ces deux semaines sombres, il doit observer la chasteté jusqu’à la fin (du rite), jusqu’à la fin (du rite).
1. [73] Qu’il choisisse l’emplacement pour construire sa maison—
2. Sur un terrain plat, couvert d’herbe, qui ne peut être détruit (par les inondations, etc.),
3. Sur lequel les eaux s’écoulent vers l’est ou vers le nord,
4. Sur lesquelles poussent des plantes qui n’ont ni suc laiteux ni épines, et qui ne sont pas acre.
5. La terre devrait être blanche, s’il est un Brâhmane,
6. Rouge, s’il est un Kshatriya,
7. Noir, s’il est un Vaisya.
8. (Le sol doit être) compact, unicolore, ni sec, ni salin, ni entouré de désert sablonneux, ni marécageux.
9. (Le sol) sur lequel pousse l’herbe Darbha, (devrait être choisi) par celui qui désire un éclat sacré,
10. (Sol couvert) de grandes variétés d’herbe, par celui qui désire la force,
11. (Sol couvert) d’herbe tendre, par celui qui désire du bétail. [ p. 121 ]
12. (L’emplacement de la maison) devrait avoir la forme d’une brique,
13. Ou il devrait avoir la forme d’une île ronde.
14. Ou il devrait y avoir des trous naturels (dans le sol) dans toutes les directions.
15. Sur un tel terrain, celui qui désire la renommée ou la force devrait construire sa maison avec sa porte à l’est ;
16. Celui qui désire des enfants ou du bétail, (devrait la construire) avec sa porte au nord ;
17. Celui qui désire tout (ces choses), (devrait le construire) avec sa porte au sud.
18. Qu’il ne la construise pas avec sa porte à l’ouest.
19. [74] Et une porte dérobée.
20. La porte de la maison.
21. Afin qu’il ne soit pas exposé aux regards. [ p. 122 ]
22. [75] « Qu’il évite un arbre Asvattha du côté est (de sa maison), un Plaksha du côté sud, un Nyagrodha du côté ouest et un Udumbara du côté nord.
23. « On devrait dire qu’un Asvattha apporte (à la maison) le danger du feu ; on devrait dire qu’un arbre Plaksha apporte une mort prématurée (aux habitants de la maison), qu’un Nyagrodha apporte l’oppression par des armes (hostiles), qu’un Udumbara apporte des maladies des yeux.
24. ‘L’Asvattha est sacré pour le soleil, le Plaksha pour Yama, le Nyagrodha est l’arbre qui appartient à Varusa, l’Udumbara, à Prasâpati.’
25. [76] Il devrait placer ces (arbres) dans un autre endroit que celui qui leur est propre,
26. [77] Et devrait sacrifier à ces mêmes divinités.
27. [78] Qu’il mette du bois sur le feu au milieu de la maison, et qu’il sacrifie une vache noire,
28. Ou une chèvre blanche, [ p. 123 ]
29. (L’un ou l’autre) avec du riz au lait.
30. Ou (uniquement) riz au lait.
31. Après avoir mêlé la graisse (de l’animal), l’Âgya, sa chair et le riz au lait,
32. Il prendra huit portions (de ce mélange) et sacrifiera (les huit oblations suivantes) :
33. Le premier (verset accompagnant la première oblation) est : « Vâstoshpati ! » (MB. II, 6, 1).
34. [79] (Suivent ensuite) les (trois) versets du Vâmadevya,
35. (Et les trois) Mahâvyâhritis.
36. [80] La dernière (oblation est offerte avec la formule), ‘À Pragâpati (svâhâ).’
37. Après avoir sacrifié, il doit offrir dix Balis,
38. Dans les différentes directions (de l’horizon), de gauche à droite,
39. Et dans les points intermédiaires,
40. Dans l’ordre, sans transposition.
41. (Il devrait offrir un Bali) à l’est avec (la formule), ‘(Adoration) à Indra !’ dans la direction intermédiaire — ‘À Vâyu !’ au sud — ‘À Yama !’ dans la direction intermédiaire — ‘(Svadhâ) aux Pères !’ à l’ouest — ‘(Adoration) à Varuna !’ dans la direction intermédiaire — ‘À Mahârâna !’ au nord — ‘À Soma !’ dans la direction intermédiaire — ‘À Mahendra !’ vers le bas — [ p. 124 ] ‘À Vâsuki !’ vers le haut, dans le ciel (c’est-à-dire en jetant le Bali en l’air), avec (la formule), ‘Adoration à Brahman !’
42. À l’est, vers le haut et vers le bas, cela doit être fait constamment, jour après jour.
43. [81] (Toute la cérémonie est répétée) chaque année ou aux deux sacrifices des prémices.
1. [82] Lors des sacrifices _Sravanravan_î, il doit laisser un reste de grains frits.
2. Étant sorti du village en direction de l’est ou du nord, et ayant mis du bois sur le feu à un endroit où quatre chemins se rencontrent, il doit sacrifier (ces grains frits) avec ses mains jointes, avec l’unique (verset du texte), ‘Écoute, Râkâ!’ (MB. II, 6, 2-5).
3. En marchant vers l’est (il devrait), en regardant vers le haut, (offrir un Bali) aux hôtes des êtres divins, avec (la formule), « Soyez un donateur de richesse » (ibid. 6) ;
4. [83] (En marchant ?) vers le côté, (il devrait offrir un Bali) aux hôtes des autres êtres, en regardant vers le bas.
5. [84] De retour (au feu) sans regarder en arrière, il devrait, avec les personnes appartenant à sa [ p. 125 ] famille, dans la mesure où elles ont été initiées (par l’Upanayana), manger les grains frits.
6. (Cette cérémonie) procure le bonheur.
7. [85] (Avec les deux formules), « Obéir à la volonté » et « Saṅkha » (MB. II, 6, 7. 8), il devrait sacrifier deux oblations de riz et d’orge séparément,
8. [86] En référence à une personne dont il souhaite gagner la faveur.
9. Ceci est fait quotidiennement.
10. [87] Avec le verset Ekâksharyâ (MB. II. 6, 9) deux rites (sont accomplis) qui sont liés à l’observance (du jeûne) pendant une quinzaine de jours.
11. Celui qui désire une longue vie, devrait sacrifier (avec ce verset), dans la nuit de la pleine lune, cent chevilles de bois de Khadira ;
12. De fer, s’il désire que (ses ennemis) soient tués.
13. Maintenant une autre cérémonie (effectuée avec le même verset).
14. Après être sorti du village en direction de l’est ou du nord, il doit, à un endroit où quatre routes se croisent, ou sur une montagne, mettre le feu à une surface élevée, constituée de crottes de bêtes de la forêt, balayer les braises et faire une oblation de beurre (sur cette surface) avec sa bouche, en répétant ce mantra mentalement. [ p. 126 ]
15. Si (cette oblation de beurre) prend feu, douze villages (seront à lui).
16. Si de la fumée monte, au moins trois.
17. Ils appellent cette cérémonie une cérémonie qui n’est pas vaine.
18. [88] Celui qui désire que ses moyens de subsistance ne soient pas épuisés, devrait sacrifier de la bouse de vache verte le soir et le matin.
19. [89] Des objets qu’il a achetés, il doit, après avoir jeûné trois (jours et) nuits, faire une oblation avec la formule : « Voici ce Visvakarman » (MB. II. 6, 10).
20. D’un vêtement, il devrait offrir quelques fils (avec cette formule),
21. D’une vache quelques poils (de sa queue) ;
22. De la même manière (il devrait offrir une partie) des autres articles qu’il a achetés.
23. [90] Le sacrifice d’une oblation complète (avec le verset « Je sacrifie une oblation complète », MB. II, 6, 11) doit être effectué le jour du sacrifice (c’est-à-dire le premier jour de la quinzaine),
24. Et (qu’il sacrifie en un tel jour) avec (la formule), ‘Indrâmavadât (?)’ (MB. II, 6, 12).
25. Celui qui désire la gloire, (devrait offrir) la première (oblation) ; celui qui désire des compagnons, la seconde.
[ p. 127 ]
1. [91] Celui qui désire devenir un dirigeant parmi les hommes doit jeûner pendant une période de huit nuits.
2. Ensuite, il doit fournir une cuillère Sruva, une tasse (pour l’eau) et du combustible en bois d’Udumbara,
3. Devrait sortir du village en direction de l’est ou du nord, devrait mettre du bois sur le feu à un endroit où quatre routes se rencontrent,
4. Et il devrait sacrifier Âgya, tournant son visage vers le soleil, avec (les formules) : « La nourriture est en effet la seule chose qui soit imprégnée par les mètres », et « La félicité est en effet » (MB. II, 6, 13. 14) ;
5. Une troisième (oblation) dans le village avec (la formule) : « L’essence de la nourriture est le ghee » (ibid. 15).
6. Celui qui désire du bétail (devrait offrir cette oblation) dans une étable.
7. [92] Si (l’étable) est endommagée par le feu (?), (il doit offrir) une robe de moine.
8. Sur une route dangereuse, qu’il fasse des nœuds aux pans de ses vêtements (de lui-même et de ses compagnons),
9. S’approcher de ceux (des voyageurs) qui portent des vêtements (avec des jupes). [ p. 128 ]
10. (Qu’il le fasse avec les trois formules, MB. II, 6, 13-15) avec le mot Svâhâ à la fin de chacune.
11. Cela lui assurera un voyage prospère, à lui et à ses compagnons. [Ou : (Il devrait faire de même avec les vêtements) de ses compagnons. Cela lui assurera un voyage prospère.]
12. Celui qui désire gagner mille charretées (d’or), doit sacrifier mille oblations de farine de grains frits.
13. Celui qui désire du bétail doit sacrifier mille oblations des excréments d’un veau mâle et d’une veau femelle ;
14. D’un mouton et d’une brebis, s’il désire des troupeaux.
15. [93] Celui qui désire que ses moyens de subsistance ne soient pas épuisés, devrait sacrifier le soir et le matin les chutes de grains de riz, avec (les formules) : « À la faim Svâhâ ! » « À la faim et à la soif Svâhâ ! » (MB. II, 6, 16. 17).
16. [94] Si quelqu’un a été mordu par un animal venimeux, il doit murmurer (le verset) : « N’aie pas peur, tu ne mourras pas » (MB. II, 6, 18), et l’asperger d’eau.
17. Avec (la formule), « Fort ! Protège » (MB. II, 6, 19), un Snâtaka, lorsqu’il est allongé (pour dormir), devrait déposer son bâton de bambou près (de son lit).
18. Cela lui portera chance.
19. (Les versets), « Ton ver est tué par Atri » (MB. II, 7, 1-4), il devrait murmurer, en aspergeant d’eau un endroit où il a un ver. [ p. 129 ]
20. S’il a l’intention de faire cela pour le bétail, il devra aller chercher dans l’après-midi une motte de terre prélevée dans un sillon et la déposer à l’air libre.
21. Le matin, il en répandra la poussière tout autour (du lieu attaqué par les vers), et murmurera (les mêmes textes).
1. [95] Au nord du lieu (où la réception Arghya sera offerte à un invité), ils doivent attacher une vache (à un poteau ou similaire), et doivent s’en approcher (avec révérence) avec (le verset), ‘Arhanâ putra vâsa’ (MB. II, 8, 1).
2. [96] (L’invité à qui la réception Arghya va être offerte) doit s’avancer en murmurant : « Ici, je marche sur ce Padyâ Virâg pour le plaisir de la nourriture » (ibid. 2).
3. (Il devrait le faire) là où ils vont effectuer la cérémonie d’Arghya pour lui,
4. Ou quand ils l’exécutent.
5. Qu’ils annoncent trois fois (à l’invité) séparément (chacune des choses suivantes qui lui sont [ p. 130 ] apportées) : un lit (d’herbe pour s’asseoir), de l’eau pour se laver les pieds, de l’eau d’Argha, de l’eau à siroter et du Madhuparka (c’est-à-dire un mélange de ghee, de caillé et de miel).
6. Qu’il étende le lit (d’herbe, de sorte que les pointes de l’herbe soient) tournées vers le nord, avec (le verset) « Les herbes qui » (MB. II, 8, 3), et qu’il s’assoie dessus ;
7. S’il y a deux (lits d’herbe), avec les deux (versets) séparément (MB. II, 8, 3. 4) ;
8. [97] Sur le deuxième (il marche) avec les pieds.
9. Qu’il regarde l’eau (avec laquelle il doit se laver les pieds), avec (la formule) : « De quel côté je vois les déesses » (ibid. 5).
10. Qu’il lave son pied gauche avec (la formule) : « Je lave le pied gauche » ; qu’il lave son pied droit avec (la formule) : « Je lave le pied droit » (MB. II. 8, 6. 7) ;
11. [98] Aussi bien avec le reste (du Mantra, c’est-à-dire avec la formule), ‘D’abord l’un, puis l’autre’ (II, 8, 8).
12. Qu’il accepte l’eau d’Arghya avec (la formule) : « Tu es la reine de la nourriture » (ibid. 9).
13. L’eau (qui lui est offerte) à siroter, il doit la siroter avec (la formule) : « Gloire à toi » (ibid. 10).
14. Il devrait accepter le Madhuparka avec (la formule) : « Tu es la gloire de la gloire » (ibid. 11).
15. [99] Qu’il en boive trois fois avec (la formule [ p. 131 ] qu’il répète trois fois), « Tu es la nourriture de la gloire ; tu es la nourriture de la puissance ; tu es la nourriture de la félicité ; accorde-moi la félicité » (MB. II, 8, 12) ;
16. [100] Silencieusement une quatrième fois.
17. Après en avoir bu davantage, il doit donner le reste à un Brâhmana.
18. Après qu’il ait bu une gorgée d’eau, le barbier doit lui dire trois fois : « Une vache ! »
19. [101] Il devrait répondre : « Libérez la vache des chaînes de Varuna ; liez (avec elle) celui qui me hait. Tuez-le ainsi que (l’ennemi) de NN, (les ennemis) de (moi-même et de NN). Délivrez la vache ; laissez-la manger de l’herbe, laissez-la boire de l’eau » (MB. II, 8, 13).
20. (Et après que la vache a été libérée), qu’il s’adresse à elle avec (le verset) : « La mère des Rudras » (MB. II, 8, 14).
21. [102] Ainsi, s’il n’y a pas de sacrifice (au cours duquel la réception d’Arghya est offerte),
22. (Il devrait dire) : « Préparez-le », s’il s’agit d’un sacrifice.
23. Il y a six personnes à qui la réception d’Arghya est due, (à savoir), [ p. 132 ]
24. [103] Un enseignant, un prêtre officiant, un Snâtaka, un roi, le beau-père, un ami venant en invité.
25. [104] Ils devraient offrir la réception Arghya (à ces personnes pas plus de) une fois par an.
26. Mais à plusieurs reprises dans le cas d’un sacrifice et d’un mariage. Mais à plusieurs reprises dans le cas d’un sacrifice et d’un mariage.
Fin du quatrième Prapâthaka.
Fin du Gobhila-Grihya-sûtra.
Grihya Sûtra de Gobhila — Adhyâya III | Page de titre | Grihya Sûtra de Hiranyakesin — Note introductive |
101:1 1, 1. Comp. III, 10, 31. ↩︎
101 : 3 Comp. Ârivalâyana-Grihya I, 11, 12 ; Khâdira-Grihya III, 4, 14 suiv. ↩︎
101:6 ‘Il fait cuire un plat de viande’ — c’est-à-dire qu’il fait cuire les Avadânas. Comp. Khâdira-Grihya, ll 17 ; Âriv.-Grihya I, 11, 12. ↩︎
101:10 Voir I, 8, 5 seq. ↩︎
102:20 20 seq. Concernant ces Sûtras, qui apparaissent presque identiques dans Sâṅkhâyana III, 14, 4 seq., Âsvalâyana II, 4, 8-11, comp. la note, vol. xxix, p. 105. ↩︎
103:21 Je crois que nous devrions corriger upadhâya en upadahya. Sâṅkhâyana III, 14, 5 : api vâranye kaksham apâdahet. Ânvalâyana II, 4, 9 : agninâ vâ kaksham uposhet. ↩︎
103:1 2, 1 seq. La cérémonie d’Anvashtakya ; comp. Khâdira-Gthya III, 5, 1 seq. ↩︎
103:8 « Ils font le Lakshana » signifie qu’ils préparent le terrain sur lequel le feu sera établi, en traçant les cinq lignes. Voir ci-dessus, I, 1, 9. 10 ; Gnhya-sangraha I, 47 seq. ↩︎
104:12 Quant aux mots « de cette cuisse », voir ci-dessus, chap. I, 5. ↩︎
104:14 Comp. chap. I, 6. La nourriture sacrificielle est ici brassée de droite à gauche, et non de gauche à droite, car elle est sacrée pour les Mânes. Le plat de viande est composé de la viande traitée dans le Sûtra 11. ↩︎
104:15 Comp. ci-dessus, chap. I, 7. ↩︎
104:18 18, 19. Quant à lakshana, voir note du Sûtra 8. ↩︎
105:27 Les derniers mots du Sûtra, traduits littéralement, seraient : « suivre le bras gauche ». Comp. Sâṅkhâyana-Grihya II, 3, 2. Ils placent les différents objets aprâdakshiriyena. ↩︎
105:29 Voir chap. 3, 16. ↩︎
105:30 Voir chap. 3, 13. ↩︎
105:31 Voir chap. 3, 15. ↩︎
105:32 Voir chap. 3, 24. ↩︎
105:33 Quant aux deux classes de Brâhmarias paitrika et daivika. comp. la note sur Sâṅkhâyana IV, I, 2. ↩︎
106:34 Comp. la note, p. 932 de l’édition de Gobhila dans la Bibliotheca Indica. ↩︎
106:35 Concernant l’eau de sésame (c’est-à-dire l’eau dans laquelle les graines de sésame ont été jetées), comp. Ârivalâyana-Grihya IV, 7, 11. ↩︎
106:36 Il répète la même cérémonie, en prononçant le nom de son grand-père, au lieu de celui de son père ; puis il le répète pour son arrière-grand-père. ↩︎
106:37 Il donne des parfums aux Brâhmanes, s’adressant d’abord à son père, puis à son grand-père et à son arrière-grand-père. ↩︎
106:38 38, 39. Comp. Ârivalâyana-Grihya IV, 7, 18 seq. Concernant le terme upaghâtariuhuyât, comp. Grihya-sarigraha I, 111 seq. et la note du professeur Bloomfield. Concernant l’oblation faite à Agni Kavyavâhana, comp. Âpastamba VIII, 15, 20 : Agnim Kavyavâhanam Svishriakridarthe yariati. ↩︎
107:1 3, 1. Comp. I, 2, 3 seq. ↩︎
107:2 Kâtyâyana-Srauta-sûtra IV, 1, 8. ↩︎
107:3 Kâtyâyana-Srauta-sûtra IV, 1, 9. ↩︎
107:6 Kâtyâyana-Srauta-sûtra IV, 1, 10. ↩︎
107:7 Voir chap. 2, 36. ↩︎
108:9 9, 14. Voir chap. 2, 36. ↩︎
108:15 Voir chap. 2, 31. ↩︎
109:16 Voir chap. 2, 29. ↩︎
109:18 18 seq. Comp. Vâ_g_. Samhitâ II, 32. ↩︎
109:23 Le Vâgasaneyi Saghitâ (loc. cit.) a la lecture, sato vah pitaro deshma, « Puissions-nous vous donner, ô Pères, de ce que nous possédons ! » ↩︎
109:24 Comp. chap. 2, 32. ↩︎
110:25 Voir chap. 2, 36. ↩︎
110:35 Comp. Sâṅkhâyana-Grihya IV, 4. ↩︎
111:36 36, 37. Sâṅkhâyana-Grihya IV, 4, 6. 9. Concernant l’utilisation des graines de sésame, voir ci-dessus, chap. 2, 35. ↩︎
111:1 4, 1. Khâdira-Grihya III, 5, 35. Comp. MM, ‘L’Inde, que peut-elle nous apprendre ?’ p. 240. Le mot Sthâlîpâka est utilisé ici, comme on le remarque dans le commentaire, afin d’exclure le mets de viande (chap. 2, 14) des rites des Piririapitriyariria. ↩︎
111:3 Anvâhârya signifie littéralement ce qui est offert (ou donné) après quelque chose d’autre, en supplément. Dans le commentaire sur Gobhila, p. 666, un verset est cité :
amâvâsyâ_m dvitîyam dvitîyam dvitîyak_yate,
« Le second (Srâddha) qui est accompli le jour de la nouvelle lune, est appelé anvâhârya. » Vient d’abord le Pindapitnyanda, puis l’Anvâhârya Srâddha ; ce dernier est identique au Pârvana Srâddha, qui est décrit comme la principale forme des cérémonies Srâddha, par exemple dans Sâṅkhâyana-Gnhya IV, 1. Comp. Manu III, 122. 123, et la note de Kullûka ; MM, « L’Inde, que peut-elle nous apprendre ? » p. 200. ↩︎
111:5 Selon le commentaire, ce Sûtra et les suivants se réfèrent uniquement au Pindapitnyanda, et non à l’Anvâhârya Srâddha. Comp. Khâdira-Gnhya III, 5, 36-39. ↩︎
112:9 Voir chap. 2, 18. ↩︎
112:10 Voir chap. 3, 3. ↩︎
112:11 Chap. 2, 23. ↩︎
112:12 Chap. 2, 30; 3, 13. ↩︎
112:13 Chap. 3, 16. ↩︎
112:14 Chap. 3, 17 seq. ↩︎
112:15 Chap. 3, 26. ↩︎
112:16 Comp. chap. 3, 24. 25. ↩︎
112:17 17-21. Description de la troisième fête d’Ashtakâ. ↩︎
112:20 Comp. ci-dessus, III, 7, 20 note. ↩︎
112:21 Comp. IV, I, 12. ↩︎
113:25 Voir III, 7, 20 note. ↩︎
113:26 Je ne suis pas sûr de la traduction des mots golakânâ_m madhyamaparn_ena. Le sens ordinaire de golaka est « balle », voir, par exemple, Sâṅkhâyana-G madhyamaparhya IV, 19, 4. Le commentaire dit : golakânâ_m madhyamapars madhyamaparm madhyamaparn madhyamapark_ madhyamaparadena. ↩︎
113:29 Le nom de la troisième de ces divinités rurales est orthographié différemment ; le Dr Knauer donne les lectures, Aradâm, Aradâm, Aragam, Ararâm, Aram. ↩︎
114:32 32-34. Khâdira-Grihya III, 5, 40. Je comprends que ce sacrifice est lié aux fêtes rurales dont il est question dans les Sûtras précédents. Dans le commentaire, on conclut du mantra que la cérémonie en question appartient au jour de l’Ekâshriakâ. Or, l’Ekâshriakâ est l’Ashriakâ de la sombre quinzaine de Mâgha (voir SBE XXIX, 102), et la description des rites propres à ce jour a déjà été donnée plus haut, Sûtras 17-21. Il arrive très fréquemment, dans le rituel du Grihya, que des mantras soient utilisés lors de sacrifices n’ayant aucun rapport avec ceux pour lesquels ils ont été composés à l’origine. ↩︎
114 : 15, 1 séq. Comp. Khâdira-Grihya I, 2, 6 suiv. ↩︎
115:6 6-8. Khâdira-Grihya I, 2, 23; Grihya-sarigraha I, 96. Il est indiqué que la récitation des formules du Virûpâksha et du Prapada ainsi que du parisamûhana (Sûtra 5) doivent être omises lors des soi-disant Kshiprahomas, c’est-à-dire lors des sacrifices accomplis sans l’aide d’un yariavid. Voir les notes de Bloomfield sur le Grihya-sarigraha I, 92. 96. Concernant la manière dont un prâriâyâma (« suppression du souffle ») est exécuté, comp. Vasishria XXV, 13 (SBE XIV, p. 126). ↩︎
115:9 9 séq. Khâdira-Grihya IV, 1, 1 suiv. ↩︎
115:10 Il y a deux repas par jour. Les mots de ce Sûtra, « Ou trois repas », sont expliqués dans le commentaire de la manière suivante. Il devrait, s’il ne s’abstient pas complètement de nourriture pendant trois jours, ne prendre que trois repas pendant cette période, c’est-à-dire qu’il devrait prendre un repas par jour. Le commentateur ajoute que certains lisent abhaktâni au lieu de bhaktâni (« ou il devrait omettre trois repas »), auquel cas le résultat serait le même. Je préfère lire p. 116 bhaktâni, et propose de remplacer « il devrait manger », par « il devrait omettre » (« abhoganam », Sûtra 9). Il est possible que le sens soit que trois repas successifs devraient être omis ; c’est ainsi que le compilateur du Khâdira-Gghya semble avoir compris ce Sûtra. ↩︎
116:11 Comp., par exemple, ci-dessous, chap. 6, 1. ↩︎
116:12 Comp. ci-dessous, chap. 6, 4; 8, 23. ↩︎
116:13 Ma traduction de ce Sûtra diffère du commentaire. Il y est dit : « Un événement qui n’est perçu qu’une fois arrivé (sannipatitam eva), et dont la cause est inconnue, par exemple l’apparition d’un halo, est appelé sânnipâtika. De telles cérémonies sânnipâtika sont des uparishtâddaiksha. La dîkshâ est la consécration préparatoire (du sacrificateur), par exemple par trois jours de jeûne. Une cérémonie qui a sa dîkshâ après elle-même est appelée uparishtâddaiksha. » De même, le commentaire sur Khâdira-Gthya IV, 1, 3 dit : « uparishtât sânnipâtike naimittike karma kttvâbhotanam. » ↩︎
117:23 Le commentaire explique pârthivam, ‘prithivyartham kriyate, iti pârthivam, grâmakshetrâdyartham’ ; de même le commentaire sur Khâdira-Grihya IV, 1, 13 dit, ‘prithivîpatitvaprâptyartham idam uktam karma’. ↩︎
117:27 Comp. ci-dessous, chap. 6, 12. ↩︎
117:28 Grihya-sarigraha II, 11. ↩︎
118 : 16, 1 seq. Comp. Khâdira-Grihya IV, I, 19 suiv. ↩︎
118:4 Comp. ci-dessus, chap. 5, 12. ↩︎
118:6 Comp. ci-dessus, II, 7, 14. ↩︎
118:7 Le texte appartenant au Vâmadevya Sâman, est le Triria, Sâma-veda II, 32-34. ↩︎
119:10 Selon le commentaire, la formule yasoऽham bhavâmi comprend cinq sections ; elle inclurait donc les sections II, 5, 9-13 du Mantra-Brâhmasa. Le Mantra cité ensuite par Gobhila (Sûtra 12) est en réalité MB. II, 5, 14. ↩︎
119:13 Comp. chap. 5, 24-27. Un Kâmsa est considéré comme une mesure égale à un Droma. L’orthographe la plus courante est kamsa, et cette interprétation se retrouve dans le passage correspondant de la Khâdira-Gmhya (IV, 2, 1). ↩︎
119:14 Quant à la signification de kana (« petit grain de riz »), comp. Hillebrandt, Neu- et Vollmondsopfer, p. 32, note 1. ↩︎
120 : 17, 1 séq. Comp. Khâdira-Grihya IV, 2, 6 suiv. ↩︎
121:19 19-21. J’ai traduit les mots de ces Sûtras sans essayer d’en exprimer le sens. Selon le commentaire, le sens est le suivant : 19. Il ne doit pas construire une maison dont la porte soit à l’arrière, soit à une porte d’entrée et une porte de derrière. 20. La porte de la maison ne doit pas faire face à la porte d’une autre maison. 21. La porte de la maison doit être construite de telle sorte que le maître de maison ne puisse pas être vu par les Kânââlas, etc., lorsqu’il accomplit des actes religieux ou lorsqu’il dîne chez lui. Ou, si au lieu de saâlokî on accepte la lecture saâloki, le Sûtra signifie : la porte de la maison doit être construite de telle sorte que les objets de valeur, etc., qui se trouvent dans la maison, ne puissent être vus par les passants. — Le commentaire sur Khâdira-Gâhya IV, 2, 15 contient la remarque : dvâradvayam (var. lectio, dvâra_mâmâri_âu na syâd iti keâit). Cela me semble conduire à la bonne compréhension de ces Sûtras. Je pense que nous devrions lire et diviser de cette façon : (19) anudvâra_mâk_a. (20. 21) gâhadvâra_mâm_loki syât. ‘Et (qu’il construise) une porte arrière, de sorte qu’elle ne soit pas face à la porte (principale) de la maison.’ Les manuscrits Khâdira ont les lectures suivantes : asallokî, asandraloke, saâloka. ↩︎
122:22 22-24. Ce sont des Slokas auxquels le commentaire applique très justement, bien que pas exactement dans le sens où il a été écrit à l’origine, le dicton si fréquemment trouvé dans les textes brâhmaniques : na hy ekasmâd aksharâd virâdhayanti. Les tentatives du Dr Knauer pour rétablir les Slokas corrects sont peut-être un peu hasardeuses ; il insère dans le troisième verset ka après plakshas, et dans le second, il change le premier brûyât en ka, ce qui fait que le deuxième pied de l’hémistiche perd sa forme régulière , et reçoit à la place la forme
. ↩︎
122:25 Il devrait enlever un arbre Asvattha du côté est, etc. ↩︎
122:26 Il doit sacrifier aux divinités pour lesquelles les arbres transplantés sont sacrés. ↩︎
122:27 27 suiv. Ici commence la description du vastusamana, qui s’étend jusqu’au Sûtra 43. Quant au sacrifice animal prescrit dans ce Sûtra, comp. Essai du Dr Winternitz, Einige Bemerkungen über das Bauopfer bei den Indern (Sitzungsbericht der Anthrop. Gesellschaft à Vienne, 19 avril 1887), p. 8. ↩︎
123:34 Comp. ci-dessus, chap. 6, 7 note. ↩︎
123:36 Le commentaire dit : « La dernière oblation doit être offerte avec la formule : « À Pragâpati svâhâ ! » » Nous devrions probablement corriger le texte, Pragâpata ity uttamâ, « le dernier (verset) est : « Pragâpati ! » » (MB. II, 5, 8) ; voir ci-dessus, IV, 6, 9 ; Khâdira-Gghya IV, 2, 20. ↩︎
124:43 Voir ci-dessus, III, 8, 9 seq. ↩︎
124 : 18, 1. Voir ci-dessus, III, 7 ; 9. Comp. Khâdira-Grihya III, 2, 8 suiv. ↩︎
124:4 Le commentaire dit : Tiryaṅ tirassînam yathâ bhavati tathâ, iti kriyâviseshasam etat. athavâ . . . tiryaṅ tirassînam san. Arvâṅ devrait être corrigé en avâṅ (comp. Khâdira-Gshya III, 2) 13). ↩︎
124:5 Le commentaire explique upetai_h simplement par samîpam âgataih_. ↩︎
125:7 7 séq. Khâdira-Grihya IV, 2, 24 suiv.
7. C’est-à-dire qu’il doit sacrifier une oblation de riz et une d’orge. ↩︎
125:8 Littéralement, à une personne, etc. Le sens est qu’il doit prononcer le nom de cette personne. Le Sûtra est répété à partir de IV, 5, 20 ; ses expressions ne correspondent donc pas exactement au contexte dans lequel il se trouve ici. ↩︎
125:10 10 secondes. Khâdira-Grihya IV, 3, 1 suiv. ↩︎
126:18 Khâdira-Grihya IV, 3, 18. Sur haritagomayân le commentaire porte la note suivante : yai_hrihrimrisriri_riâni prariastâny utpadyante tân kila gomayân haritagomayân âriakshate. te khalv ârdrâ ihâbhipreyante. katha_mrig_riâyate. techv eva tatprasiddhe_h_. ↩︎
126:19 Khâdira-Grihya IV, 3, 7. ↩︎
126:23 23 séq. Khâdira-Grihya IV, 3, 8 suiv. La Pratîka citée dans le Sûtra 24 est corrompue. ↩︎
127 : 19, 1 seq. Khâdira-Grihya IV, 3, 10 suiv. ↩︎
127:7 Peut-être devrions-nous suivre le commentaire et traduire par « Quand (l’étable) devient chauffée (par le feu sur lequel il va sacrifier), » etc. (« goshtheऽgnim upasamâdhâyaiva homo na kartavyah, kin tv agnim upasamâdhâyâpi tâvat pratîkshanîyam bhavati »). J’ai traduit kîvaram selon le sens ordinaire du mot ; dans le commentaire, il est pris comme équivalent à lauhathûrtham (limaille de cuivre). ↩︎
128:15 Khâdira-Grihya IV, 3, 6. ↩︎
128:16 16 séq. Khâdira-Grihya IV, 4, 1 suiv. ↩︎
129 : 1 10, 1 séq. La réception Arghya ; Khâdira-Grihya IV, 4, 5 suiv.; Grihya-sarigraha II, 62-65. Les premiers mots du Mantra cité dans le Sûtra 1 sont corrompus. Le Mantra est évidemment une adaptation du verset bien connu adressé à l’Âgrahâyariî (Gobhila III, 9, 9 ; Mantra-Brâhmaria II, 2, 1), ou à l’Ashriakâ (Pâraskara III, 3, 5, 8) : prathamâ ha vyuvâsa, etc. Le premier mot, arhariâ (« dûment »), qui fait allusion à la cérémonie d’Arghya, à laquelle ce mantra est adapté, semble tout à fait exact ; le troisième mot pourrait être, comme le suppose le Dr Knauer, uvâsa (« elle a habité », ou peut-être plutôt « elle a brillé »). Pour le deuxième mot, je ne suis pas en mesure de suggérer une correction. ↩︎
129:2 Concernant Padyâ Virâ_g_, comp. Sâṅkhâyana III, 7, 5 note ; Pâraskara I, 3, 12. ↩︎
130:8 Voir Pâraskara I, 3, 9. ↩︎
130:11 Le commentaire dit : _seshenesheseshet_enodakena. Comp., cependant, Khâdira-Géshé hya IV, 4, II. ↩︎
130:15 J’ai adopté la lecture srîbhaksho, qui est donnée dans le Mantra-Brâhmana, et j’ai suivi l’opinion du commentateur p. 131 selon laquelle le Mantra entier, et non ses parties individuelles, doit être répété chaque fois qu’il boit du Madhuparka. Dans le Khâdira-Gnhya, le texte du Mantra diffère, et le rite est décrit différemment (IV, 4, 15). ↩︎
131:16 16, 17. Peut-être ces deux Sûtras devraient-ils plutôt être compris comme formant un seul Sûtra, et devraient-ils être traduits comme je l’ai fait dans Khâdira-Grihya IV, 4, 16. ↩︎
131:19 Iti après abhidhehi doit être omis. Comp. les longues discussions sur ce mot, pp. 766 suiv. de l’édition de Gobhila dans la Bibliotheca Indica. « NN » est l’hôte qui propose l’Arghya ; comp. Khâdira-Grihya IV, 4, 18. ↩︎
131:21 21, 22. Dans le cas d’un sacrifice, la vache est tuée ; comp. Sâṅkhâyana II, 15, 2. 3 note ; Pâraskara I, 3, 30. ↩︎
132:24 Vivâhya est expliqué dans le commentaire de vivâhayitavyo gâmâtâ. Comp., cependant, Sâṅkhâyana II, 15, 1 note. ↩︎
132:25 25, 26. Comp. Sâṅkhâyana II, 15, 10 et la note. ↩︎